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Un étrange colis

Chapitre 4

En sortie

Erotique
Lucie marche guillerette vers la terrasse où ses copines l’attendent. Elle se voit dans la vitrine d’un magasin et l’image qu’elle voit la trouble et lui plaît. Elle voit ce soir ce que tout le monde voit depuis longtemps. Elle voit ce qu’elle ignore souvent. Une jolie femme. Une belle femme. Une femme superbe. Une femme désirable.
Elle fait discrètement un petit tour sur elle-même pour s’admirer dans ce miroir à taille réelle. Ses cheveux bruns ondulés sont lâchés sur ses épaules. Son petit top blanc moule idéalement ses seins qu’elle trouve toujours trop petits, trop pointus, trop ci trop ça et qui ce soir lui paraissent parfaits. Son petit short en jeans moule ses fesses bombées qu’elle prend tant de temps à entretenir par ses séances pénibles et quotidiennes de sport. Ses jambes qu’elle trouve toujours trop lourdes lui apparaissent comme à tout le monde fines et élancées. Ses sandales à talon compensé lui permettent d’allonger sa silhouette et de cambrer délicieusement ses fesses. Elle a maquillé son visage en insistant sur son regard noir d’un trait d’eye-liner et fait une tentative avec ses ongles en testant le vert. Elle qui a toujours du mal à sortir des clous, elle s’est lâchée d’un coup. Elle sourit. Se sourit. Sourit à la situation. « Un plug dans les fesses et le monde est changé ».
Le téléphone et les émotions de la journée lui ont permis de faire des découvertes sur elle-même. Elle jette un dernier regard à sa silhouette de gitane aguicheuse dans le miroir improvisé et reprend sa marche.
Elle arrive au bar. Une grande terrasse avec de nombreuses tables. Elle rejoint celle de ses amies qui lui font de grands signes. Matou la brune fine qui aime être habillée sexy, Marguerite la blonde sophistiquée qui se cache derrière le personnage d’une séductrice écervelée et Mélanie la petite rousse assez simple, enfin qui fournit beaucoup d’efforts pour paraître simple tout en restant jolie. En traversant les tables, Lucie sent les regards des hommes posés sur elle. Sur son corps. Elle sent la masse sourde du plug entre ses fesses qui l’envahit. Et qu’elle commence à de plus en plus accepter en même temps. De petites vagues de plaisir remontent de son petit anus tendre. La sensation est délicieuse. Le plaisir ne la quitte pas. Elle s’assied en cabrant un peu trop ses fesses. Heureuse de se sentir belle et gourmande de toujours plus de plaisir.
— Luciiiiieee t’es trop belle ce soiiiir.
Les compliments et les bises s’échangent. Les filles sont toutes à leur joie de se retrouver.
La soirée bat son plein. Les cocktails se suivent et se mélangent avec les éclats de rire. A chaque fois que c’est son tour de commander, Lucie s’amuse des regards qui se posent sur elle. Fait parfois durer le plaisir. En marchant un peu plus lentement vers le bar. Elle croise quelques regards posés sur elle et quand ses yeux croisent ceux du prétendant un peu trop indiscret au lieu de le gratifier de son regard noir habituel, elle fait un discret sourire avec des étoiles dans les pupilles. Elle minaude un peu avec les barmen qui profitent de l’aubaine quand elle ou l’une de ses copines vient commander. Les verres gratuits sont nombreux ce soir et les sourires des filles toutes plus sexy les unes que les autres sont eux aussi de plus en plus nombreux. Et Lucie remarque ce soir qu’on la trouve belle. Et qu’à côté de ces filles qu’elle trouve si belles, elle attire au moins autant les regards. Elle se sent malgré tout un peu coupable vis-à-vis de Tom et attrape son smartphone :
— Je t’aime mon amoureux.— Je t’aime aussi ma belle. Passe une bonne soirée, amuse-toi bien avec les filles.

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Alors qu’elle range son smartphone, dans son sac à main, une vibration qu’elle commence à bien connaître se fait sentir. Elle réalise qu’elle avait envisagé de laisser le téléphone chez elle avant de partir. Elle en était même décidée. Et ... qu’elle ne l’a pas fait. Machinalement presque.
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A nouveau, la vibration. L’air de rien tout en continuant la conversation avec ses copines, elle jette un œil dans son sac à main pour regarder son nouveau compagnon. 2 messages. Elle hésite. Quelques secondes qui lui paraissent des minutes, des heures. Elle appuie sur le bouton pour déverrouiller l’écran. 2 messages donc ... 2 fois le même message :
— Il est là ... il te veut.— Il est là ... il te veut.
Sa gorge se serre. Son ventre fourmille tout à coup d’une chaleur intense. Comme des chatouilles et des centaines de petites aiguilles. Qui est là ? Lui ? Celui qui envoie des messages ? Thor le viking du café ? Tom ? Qui ?La sensation d’angoisse et d’excitation mêlées lui donne la sensation que son petit anus se resserre contre le plug. Elle lutte soudain contre une vague de plaisir qui remonte de son anus. Elle se mord les lèvres et ses pupilles s’écarquillent. Elle réprime à grande difficulté un gémissement qui reste coincé dans sa gorge avec un petit son sourd. Elle se racle la gorge un peu trop fort pour camoufler son minuscule gémissement.
— Ça va Lucie ? demande Marguerite, une lueur amusée dans les yeux.— Oui oui, un message de Tom hihi...
Enfin, elle espère que Tom est lié à tout cela. Quoique. Elle n’arrive plus à savoir.

Curieuse et excitée, elle commence à regarder autour d’elle. Elle essaye de faire discrètement. Son regard balaye la foule de gens attablés et bien occupés à faire la fête et à boire des verres. Elle se demande si elle va croiser quelqu’un, un regard. La situation lui échappe totalement. Elle est guidée par des désirs qu’elle ne contrôle pas vraiment et par cet interlocuteur inconnu. Elle qui passe tant de temps à vouloir contrôler chaque moment de sa vie, elle prend un délicieux plaisir à s’affranchir de toutes les règles qu’elle s’est elle-même imposées. Sans savoir jusqu’où elle pourrait aller.Soudain, elle se fige. Il est là oui. Lui. Thor. Le grand blond à la carrure de Viking et au regard perçant. Un regard qui la déshabille. Elle se sent nue. Pire que nue sous le regard de cet homme. Il est attablé. Seul. Une grande pinte de bière devant lui. Versée dans une choppe comme si les clichés des Vikings n’étaient pas assez présents dans sa tête.
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— Va dans la ruelle. Il te veut.
Le cœur battant, Lucie se lève. Elle essaye d’avoir la démarche la plus féline possible. Elle avance entre les rangs et repère une petite ruelle sombre un peu éloignée du bar. Le son de ses pas sur le gravier de la ruelle résonne dans un son qui devient ainsi sexy. Le plug continue à envahir ses fesses qui irradient de plaisir à la fréquence de son rythme cardiaque. Rythme cardiaque qui s’arrête d’ailleurs l’espace d’un instant quand dans la pénombre de la ruelle une silhouette puissante se dessine. Et avance vers lui.
Il ne dit pas un mot. Alors qu’elle recule jusqu’à toucher le mur, il avance. Elle le regarde, les yeux brulant d’excitation, mais aussi terrifiée par ce qui se passe. Il pose ses lèvres sur les siennes et alors qu’elle n’est pas une grande adepte des baisers les plus baveux qui soient, voilà qu’elle laisse spontanément sa langue filer dans la bouche de l’homme. Thor la prend de ses mains puissantes et caresse son corps. Ses mains passent sur ses fesses et de ses doigts il sent la base du plug se dessiner. Il pousse un grognement d’approbation alors qu’il s’amuse pendant le baiser à appuyer sur le socle de plastique. Lucie est comme doigtée par cet inconnu qui ne lui a toujours pas adressé la parole. Doigtée ... dans les fesses. Elle se laisse envahir par le plaisir et les frissons que la situation lui fait vitre. Elle réfléchira après.
Après de nombreuses secondes, leurs lèvres se décollent. Un dernier baiser sur les lèvres de son amant puis elle le repousse contre le mur. Souriant, il se laisse faire et passe ses mains derrière sa nuque comme un prisonnier. Elle avance vers lui. Pose ses mains sur le torse puissant. Elle laisse ses doigts filer sur les muscles à travers le t-shirt noir de l’homme. Elle pose ses lèvres sur le haut de son ventre. Mordille le tissu et lentement descend à genoux. La ceinture claque en un son sec. Fébrilement, elle ouvre le bouton du jeans et descend la braguette avec précaution. Elle attrape l’élastique du boxer et elle le descend. Griffant un peu la peau de l’homme de ses ongles vernis de vert. Et un sexe jaillit. Un sexe gros, épais, veineux et bandé comme une poutre de charpente.
Fascinée par l’objet qu’elle a fantasmé et qui est loin de la décevoir, elle reste bouche bée. Avant qu’elle n’ait eu le temps de décider de la marche à suivre, profitant de sa bouche en cul de poule, l’homme fait entrer son gland suintant de désir entre ses lèvres. Par réflexe voilà qu’elle pose sa langue sur le gland décalotté. La fait tourner autour de la poutre veineuse. Ses lèvres flattent la peau de la bite et elle creuse ses joues pour aspirer et pomper le sang de l’homme. Sa main gauche se pose sur ses couilles et commence à les masser. Griffant encore la peau de ses ongles. Sa main droite s’accroche aux fesses musclées de l’homme. De l’inconnu. Elle sent une main se poser sur sa tête et sent alors que l’homme commence à prendre les choses à son compte. Il donne de petits coups de reins en avant. Le sexe entre de plus en plus profondément dans sa bouche. Dans sa gorge. Elle peine à garder le contrôle. La salive lui monte à la bouche et déborde par la commissure des lèvres.
Coule sur son menton et le long de l’épaisse tige qui la perfore. Les couilles commencent elles-mêmes de s’emplir de bave, mais elle continue à les masser. Ses yeux s’emplissent de quelques larmes quand la longue verge parfois va trop loin dans sa gorge. Elle sent les mouvements de l’homme s’accélérer. Se désordonner. Il pousse un long rugissement. Son sexe est pris de spasmes. Alors qu’elle lève les yeux vers lui et que leurs regards se croisent, elle sent sa bouche s’emplir d’une épaisse crème chaude et un peu amère. Il la regarde dans les yeux avec un plaisir intense. Il maintient sa tête et ne ressort pas sa bite. La poussant à avaler sa semence. Ce qu’elle n’a jamais fait.
Une fois la dégustation terminée, il ressort sa queue qui a commencé à débander même si elle continuait lentement à le pomper et le flatter dans sa bouche. Sans un mot, il remonte son caleçon et referme son pantalon. Sans un mot, il tourne les talons et fait demi-tour. Le son de ses pas qui s’éloignent résonne sur le gravier.
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— C’est bon d’être une petite salope n’est-ce pas ?
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— Si tu ne l’avais pas fait attendre ce matin, il t’aurait sans doute baisée ...
Elle est bouleversée. Tant de choses qu’elle a vécues pour la première fois ce soir. Le goût du sperme un peu âcre reste sur sa langue et dans sa bouche. Elle a adoré sucer l’homme jusqu’au bout et tenir sa jouissance entre ses lèvres, mais elle n’est pas fan du goût. Mais bon, le plaisir qu’elle a ressenti en croisant le regard de l’homme au moment de son orgasme valait le coup. Elle se redresse doucement. La tête pleine de bourdonnements.
Après s’être remaquillée, elle rejoint ses copines. Souriante. Ses fesses toujours fouillées. Marguerite lui fait un drôle de sourire :
— Dis donc tu en as mis du temps à te maquiller ma belle hihi.— On va danser ? lance Matou ...

La soirée n’est peut-être donc pas finie ...
A suivre ...
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