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Un étrange colis

Chapitre 5

En club

Erotique
BOUM BOUM BOUM RABOUM BOUM BOUM
La musique puissante et répétitive choisie par le DJ de la boîte fait vibrer tout le corps de la jeune femme. Elle s’appuie un peu sur le bar et contemple la piste, cherchant à retrouver ses esprits. Tout s’enchaîne si vite. Tant de choses ont changé en à peine une journée. Le petit téléphone rangé dans sa pochette a cessé de vibrer, mais il a déjà tellement transformé la jolie brune. Elle passe une main sur son front pour en éponger un peu de sueur. Depuis qu’elles sont arrivées dans la boîte, elle n’a pas eu besoin du téléphone pour se lâcher. Mélanie et Matou sont tout de suite parties danser. Marguerite elle a entraîné Lucie au bar pour qu’elles prennent leur conso et prendre un autre verre tout de suite après. Elles sont restées longtemps à papoter et à rigoler toutes les deux. Au bout d’un moment, voilà que le barman avec un sourire resplendissant leur a tendu 2 shooters de rhum à chacune. Amusées voilà qu’elles se sont laissées tenter. La chaleur a été instantanée.
Voilà que les rires sont encore plus déliés, que les conversations sont de plus en plus osées. Alors que leurs deux copines s’éclatent sur la piste ignorant les garçons autour d’elles, Marguerite glisse à l’oreille de Lucie.
— Dis ... hips ... jeee ... ne savais pas que ... tu compensais le ... hips ... manque-toi aussi hihi.

Lucie rougit d’un coup. Comme elle, Marguerite vit éloignée de son compagnon. Même si Marguerite est réputée pour jouer avec le feu et aimer flirter, jamais Lucie ne l’a vue déraper et jamais elle n’a cru en déceler une trace. Elle a peur de comprendre ce que suggère son amie. Le plug dans ses fesses est comme animé d’envie et vibre dans son petit anus tendre. Malgré les nombreux verres d’alcool, le goût du sperme du viking inconnu.
— Tuuuu ... je ... je ... je ne ... vois pas ce que tu ... enfin ...

Le malaise de la jolie brune est visible. Elle se mord les lèvres. Marguerite éclate de rire. Elle pose sa main sur la cuisse de sa copine et pose un baiser sur sa joue :
— Tu crois vraiment que ton petit manège était discret ave ton étalon blond hihi !

Puis, guillerette, elle se jette au bas de son tabouret et se précipite sur la piste. Dansant et tournoyant. Dans sa bulle. Laissant l’alcool et l’euphorie du moment faire leur effet. Elle attire très vite les hommes en nombre. Elle n’a pratiquement aucun effort à faire pour cela. Une ravissante petite blonde sophistiquée, les fesses moulées dans une minijupe rouge ornée d’un zip à l’arrière, la cambrure renforcée par ses talons et le haut du corps serré dans un petit top blanc, cela ne peut qu’attirer des grappes de mâles en rut sur une piste de danse. Elle le sait et en joue. Lucie est toujours aussi fascinée par cette aisance qu’a son amie. Les paroles qu’elles ont échangées et les évènements du début de la soirée semblent lui donner un nouveau regard sur la situation. Les petits jeux de Marguerite qui laisse traîner ses mains ou qui laissent des mains traîner près d’elle lui semblent ce soir bien moins innocents et inconscients que d’habitude.
Furtivement, il lui semble que ... serait-ce possible ? Mais oui ... il lui semble bien que la main de Marguerite ait frôlé un peu trop longuement la bosse proéminente de l’un de ses cavaliers. Surprise et bien plus intriguée et excitée que choquée, Lucie descend à son tour de son tabouret et décide de laisser aller ses barrières. Au lieu d’aller danser comme souvent entre filles avec Matou et Mélanie, elle va rejoindre ce soir la meute qu’elle essaye tout le temps d’éviter en boîte. Voilà qu’en quelques minutes elle aussi se retrouve entourée de plusieurs hommes qui rivalisent d’habileté et de souplesse pour montrer leur maîtrise de leur corps. Ils savent et cherchent à faire passer l’idée que leur maîtrise du corps leur permet d’être de bons amants. Les chemises et les t-shirts moulent des corps sculptés par le sport et la musculation qui apparaissent de manière diffuse dans les éclairages saccadés de la piste de danse. Marguerite semble s’amuser comme une folle et petit à petit elle disparaît dans la foule des hommes. Lucie la perd de vue et elle se retrouve seule sur la piste de danse. Elle s’amuse et joue. Les mains la frôlent. Certaines croisent ses fesses.
Un corps frôle ses seins. Des doigts jouent avec sa nuque. Elle sent le plug tressauter au rythme de ses mouvements dans ses fesses. Elle n’en fait que se cambrer et tournoyer davantage. Une sorte d’orgasme la terrasse de manière inattendue. D’un regard, elle remercie ses cavaliers avec un sourire et quitte la piste.

Essoufflée et amusée, Lucie retourne vers le bar. Alors qu’elle s’apprête à commander un verre, voilà que le barman au sourire plus blanc que blanc lui tend un petit paquet :
— On vient de déposer ça pour vous Mademoiselle.
Les oreilles de Lucie se remettent à bourdonner. Merde merde ... mais qu’est-ce que c’est que ce truc ? Elle attrape sa pochette fébrilement. Et y trouve le petit objet de plastique. Une fois l’écran déverrouillé, elle voit le message.
— C’est pour toi. Tu vas devoir aller aux toilettes pour bien l’installer.
Elle regarde autour d’elle. Cherche à voir si quelqu’un l’observe.
BZZZZZ BZZZZZZ BZZZZZ
— Mets-le !
Lucie déglutit lentement. Regarde à nouveau le petit écran lumineux. Mets-le. Mets quoi ? Elle entrouvre le petit colis et se fige. Dans la petite boîte trône un petit œuf en plastique. Elle comprend tout de suite quel est cet objet. Un œuf vibrant. Elle avait découvert ce genre de petits jouets lors d’après-midi à surfer sur des sites de sex-toys et dédiés au plaisir de tous. Normalement, ce genre de petit objet est accompagné d’une télécommande. Ici rien. De plus en plus curieuse et intriguée, elle camoufle le petit objet dans son poing et repose le colis vide sur le bar. Le serveur lui lance un drôle de regard. Elle l’ignore et descend de son tabouret. Marchant comme une automate vers les toilettes pour trouver un petit moment d’isolement.
Le cœur battant la chamade, elle s’installe dans une des cabines de toilettes. Elle baisse son short et attrape le petit objet. Elle le garde de longues minutes dans la main. Elle est immobile et entend le sang battre ses tempes. Elle entend surtout ce qui se passe à côté. Et c’est intéressant. Très intéressant. Dans la cabine d’à côté, il semblerait que plusieurs personnes se partagent l’espace exigu. Au moins deux. Un homme et une femme. Elle pousse de petits gémissements qu’elle ne cherche pas particulièrement à cacher. L’homme grogne parfois et la fine cloison entre la cabine de Lucie et celle d’à côté est prise parfois de tremblements. Elle entend la fille souffle « vas-y ... encore ! ... plus fort ... hummmmm ». Lucie est troublée. Cette voix serait elle celle de Marguerite ? ferait-elle cela ? Toute à ses questions et à son envie, elle laisse ses doigts jouer entre ses cuisses.
Elle frisonne de sentir ses ongles manucurés gratter son petit bouton gonflé d’envie et de désir depuis ce matin. Elle ferme les yeux et essaye d’imaginer dans quelle position se trouve le couple d’à côté. Ce qu’ils font. Comment ils le font ? Une fois encore, elle débranche son cerveau et de sa main gauche, elle apporte le petit œuf de plastique à ses lèvres intimes. D’une petite poussée, elle enfonce le jouet dans son antre intime. Elle attrape le petit portable maudit et écrit pour la première fois un message.
— C’est fait.
BZZZZZ BZZZZZZ BZZZZZ ...
Elle frissonne. Cette fois-ci, les vibrations viennent de son corps. Ses deux trous sont emplis et le désir monte encore d’un cran...

A suivre...
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