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Etrange conversation entre une mère et sa fille.

Chapitre 2

Inceste
— La mère: Lilianne, 50 ans.— La fille ainée: Isabelle, 25 ans.— La deuxième fille: Emma, 20 ans.
Isabelle reste assise durant de longues minutes silencieuses, mais son esprit est envahi de pensées cacophoniques et contradictoires.L’ album de Marvin Gaye finit par s’ arrêter.Elle ferme les yeux, voit sur l’ écran de son imagination des scènes tendrement érotiques.Emma et elle s’ embrassant passionnément, nues, se caressant mutuellement.Comme une somnambule, elle dégrafe son jean avant de le baisser jusqu’ aux chevilles. Sa main droite glisse doucement le long bas-ventre avant de s’ infiltrer dans le string.Son ventre se contracte presque douloureusement lorsque ses doigts commencent à jouer avec le clitoris.
— Putain, ma mère à raison, ce ne sont que des fantasmes! dis-t-elle à haute voix.
Comme une incantation, ces mots dissolvent les dernières hésitations.Le string rejoint le pantalon. Un doigt de la main gauche caresse les lèvres intimes avant de pénétrer le sexe.
— Bon sang, c’ est dingue comme je suis mouillée! pense-t-elle en contractant le vagin.
Elle caresse plus rapidement le clitoris, un deuxième doigt entre en elle. Tout son corps tremble légèrement.Isabelle se voit entre les cuisses de sa soeur, lapant son intimité comme une chatte. Elle imagine la timide Emma, les yeux fermés, comme une poupée absorbée par ces nouvelles sensations.Le désir, l’ acceptation de ce désir tabou, fait perler une larme.La jouissance approche comme un ouragan.Et une nouvelle sensation apparaît... Comme si elle regardait deux chaînes de télé en même temps, l’ image de sa mère se masturbant durant leur conversation téléphonique se superpose au film dédié à Emma.L’ orgasme arrive en un éclair. Le corps foudroyé de plaisir se tétanise avant de s’ immobiliser.Un observateur aurait pu croire notre Isabelle terrassée par une crise cardiaque, se serait précipité pour lui faire du bouche à bouche...
Mais assise, Isabelle s’ endort comme un bébé.C’ est au milieu de la nuit qu’ elle est réveillée par sa chatte, Patsy, qui vient de sauter sur le canapé.Isabelle grommelle quelques mots, se débarrasse complètement du pantalon et du string qui était resté sur les chevilles.Trop ensommeillée pour rejoindre le lit, elle s’ allonge sur le divan et s’ endort rapidement, dans une position foetale.

Lilianne ressent une vague de bonheur après avoir raccroché.Finalement il s’ avère que sa fille lui ressemble plus qu’ elle ne le pensait. Elle aussi fantasme sur sa soeur (bien qu’ en fait, malgré ce que Lilianne à dit, sa relation avec la tante d’ Isabelle avait été plus loin que de simples rêveries érotiques).Elle met un album de Janis Joplin, ouvre le frigo orné de fleurs psychédéliques pour se servir un verre de jus d’ orange... dans lequel elle rajoute une longue larme de rhum.Elle lève son verre.
— A toi ma petite Isa! pense-t-elle, comme une gentille sorcière lançant une invocation d’ amour.
Lilianne boit une longue gorgée et, assise sur le banc de bois de la cuisine, se roule un autre joint. La sensation de sa chatte humide sur le siège électrise tout son corps.La petite confession de sa fille tourne en boucle dans son esprit échauffé.Un mélange d’ appréhension et d’ impatience divise son coeur. Comment va se passer leur rencontre, demain, dégrisées?Elle finit d’ une traite le rhum-orange. La pièce commence à tourner.
— Oups, j’ ai franchit la frontière! dit-elle à son verre avant de le poser un peu trop fort sur la table de bois.
Elle pose le joint à peine entamé dans le cendrier pleins de mégots avant de rejoindre, en titubant, l’ accueillant lit orné de coussins multicolores.Trouvant enfin une position qui stabilise la pièce en mouvement, Lilianne s’ endort, une main entre les cuisses apaisées.
Vers dix heure du matin, elle est réveillée par le son d’ un texto envoyé par sa fille:
— Désolé maman, trop de boulot, je ne pourrais pas passer à midi.
En lisant le message, le coeur de Lilianne subit une secousse. Elle émerge complètement du sommeil, une vague d’ angoisse la submerge.
— Je suis allé trop loin hier soir! pense-t-elle alors que les souvenirs ressurgissent.
Elle saute du lit et se précipite sous la douche, comme pour se nettoyer des peurs qui l’ assaillent.Après le réconfort d’ un thé à la menthe, Lilianne se décide à prendre le téléphone pour envoyer un texto à sa fille:
— Ma chérie, passe ce soir stp, il faut qu’ on discute.
Une longue heure se passe avant que le téléphone daigne répondre:
— Ok , à ce soir.
Isabelle, dans une de ses facettes bipolaire, à souvent été laconique.Mais là, sans smiley, cette phrase replonge Lilianne dans une spirale d’ angoisses.
La journée passe terriblement lentement.
Lilianne fait de multiples méditations pour se calmer, en vain. Finalement un joint en milieu d’ après-midi la détend.
— Je vais nous préparer un super apéro! pense-t-elle en écrasant le joint consommé jusqu’ au filtre.
Rassurée, elle commence à préparer une série de feuilletés aux multiples saveurs.Elle à toujours adorée cuisiner. Tenter de nouvelles expériences, oser les associations culinaires improbables.
Vers dix-huit heure, un petit verre de rosé...Dix-neuf heure quarante-cinq, après un autre verre de rosé, un deuxième joint, la sonnerie de la porte retentit comme le gong d’ un ring de boxe.Le coeur de Lilianne semble s’ arrêter.

La journée d’ Isabelle à également été longue...Du lever jusqu’ au moment où son doigt se pose sur la sonnette de la porte d’ entrée, la facette héritée de son père à prit le dessus.Une froide efficacité totalement investie dans son travail lui à permit de ne pas écouter les réminiscences de cette nuit partagée entre le plaisir et la honte.Mais la pause déjeuner à été dure, elle s’ est isolée avec son sandwich en proie aux multiples scénarios de la future discussion entre elle et sa mère.C’ est un doigt fragile qui se pose sur la sonnette.

Lilianne ouvre la porte en s’ efforçant de sourire le plus naturellement possible. Elle embrasse chaleureusement sa fille en disant:
— Bonjour ma chérie, viens, je nous ai préparé un petit apéro comme tu les aimes.
Elle prend Isabelle par la main pour l’ emmener dans le salon.
— Je vois que tu ne m’ a pas attendu pour commencer l’ apéritif! s’ exclame Isa en souriant.
Elle à toujours apprécié de voir sa mère gentiment "défoncée", comme une petite fille survivant dans les rides causées par les années.Lilianne réchauffe les feuilletés, rapidement une odeur chargée de souvenirs d’ enfance envahit la cuisine.
— Sers-toi un verre de rosé ma chérie, j’ ai pris celui qui te plait tant. dis la mère en se servant un martini.
Isabelle, tout en s’ exécutant, observe sa maman vêtue simplement d’ une longue chemise, une des préférée de son père que Lilianne avait gardé.Elle se surprend à regarder les jambes et les pieds nus de Lilianne, sur le sol en damier, comme jamais auparavant.Comme si elle redécouvrait sa mère.S’ ensuit un flot de conversations tournant autour du travail, des amis, de la famille.Le rosé coule à flot, Lilianne enchaîne joints et cigarettes.Isabelle vient à douter que la conversation d’ hier ait eu lieu.Finalement la conversation glisse sur Emma.
Pour la première fois depuis le début de la soirée, le silence s’ installe.
— Mon coeur, au sujet d’ hier... Il faut qu’ on en parle. Dis Lilianne en ouvrant une deuxième bouteille de rosé.
Isabelle à conscience de sa personnalité bipolaire, elle sent que la facette liée à sa mère est là.Le vin aidant, elle répond:
— Oui, j’ ai besoin d’ en parler maman. Il s’ est passé quelque chose hier...
— Je ne t’ ai pas choquée ma chérie? interrompt Lilianne en remplissant le verre de sa fille.
Leurs yeux se croisent, s’ attardent.
— non... Si!
Isabelle boit une longue gorgée.
— Je ne sais pas, c’ est tellement étrange, mes désirs, toi qui accueille tout ça avec tant de désinvolture!
L’ ivresse est là, libératrice.
— Tu veux que je te dise, je suis excitée, excitée par ma soeur, excité par tout ça, en parler comme ça, avec toi, c’ est dingue! C’ est complètement barré!
Lilianne tente de parler, mais sa fille continue comme un barrage balayé.
— Tu veux que je te dise! Voilà! Je me suis branlée après mon appel, je me suis masturbée en pensantà Emma, j’ ai fait comme tu m’ as dis! Merde , c’ est qu’ un fantasme, et j’ ai joui, j’ ai joui comme jamais! S’ écrit Isa.
Isabelle veut se resservir un verre de vin, sa mère se lève et repose la bouteille.Elle s’ assoit à côté d’ emma et l’ enlace tendrement.
— Calme-toi ma chérie, calme-toi.
Comme d’ habitude la douce voix de sa mère agit comme un baume apaisant.Isabelle se laisse aller dans les bras réconfortants. Elle susurre:
— J’ ai aimé ça maman... J’ ai vraiment aimé ça.
-Je sais mon coeur, ça va, tout va bien.
Elles restent de longues minutes, dans les bras l’ une de l’ autre.Le visage d’ Isabelle "coule" doucement le long du cou, des épaules... Des seins.
— Attend mon coeur, tu as trop bu.
Lilianne à l’ impression de vivre un rêve, l’ excitation de voir sa fille déclamer ainsi ses désirs acceptés pourrait presque la faire jouir, sans même se toucher.Elle repousse délicatement les lèvres de sa fille qui essayait de s’ emparer de son sein gauche largement découvert par la chemise trop large.
— Viens, ce soir tu dors dans mon lit, je prendrais le canapé.
Lilianne prend sa fille par la main et l’ emmène dans la chambre.
— Attend maman , je veux encore parler! S’ exclame Iabelle d’ une voix embrumée.
-Demain ma chérie, là tu va faire un gros dodo!
— Bon, ok... mais tu me déshabille avant de me mettre au lit! Répond sa fille dans un rire excessif.
Lilianne ne répond pas, son sexe oui. Des pensées incensées la submerge.Parcourir le corps de sa fille de baisers, humer la chair jusque dans sa plus profonde intimité.
Elle fait s’ asseoir Isabelle sur le lit, enlève le chemisier, dégrafe le soutien-gorge.Son souffle s’ arrête devant les seins libérés de sa fille.Isabelle, les yeux engloutis par l’ ivresse, regarde sa mère opérer. Elle est parcourue de vagues de plaisirs inconnus.Lorsque Lilianne fait descendre le pantalon et une partie du string de sa fille, la terre sembles’ arrêter!L’ envie de fondre entre les cuisses d’ Isa menace toute raison.
— Maman... je t’ aime. murmure Isabelle, les yeux clos.
— Moi aussi amour!
Lilianne ne sait plus où elle en est, l’ instinct maternel et sexuel se battent pour influencer sa décision.Elle extrait difficilement le pantalon des jambes agitées, et les mains tremblantes, le string.L’ odeur du sexe d’ Isabelle exalte ses sens.
Elle observe sa fille, entièrement nue, offerte.
Finalement, elle couche Isa entre les draps riches de ses effluves. Embrasse sa fille à la commissure des lèvres, le regard plein d’ amour.
Isabelle s’ endort déjà.
— Bonne nuit ma chérie. Dis doucement Lilianne en sortant de la chambre.
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