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Un étrange journal intime

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Mardi 26 août : Cela fait maintenant deux jours que je suis prisonnier ! Leur prisonnier ! Ce qui m’est arrivé est hallucinant ! Si quelqu’un m’avait raconté une telle histoire, je ne l’aurais évidemment pas crue. Mais, si quelqu’un trouve un jour ce cahier, je le prie de croire que tout ce qui est relaté ici est vrai. J’ai peur ! Terrorisé me semble plus approprié. Peut-être que je n’en ressortirais pas vivant ! Je les entends revenir, je dois cesser d’écrire et dissimuler mon journal.
Mercredi 27 août : je viens de m’apercevoir que ce que j’ai écrit précédemment est confus. Mais je suis moi même dans une confusion indescriptible ! Elles n’ont pas été tendres avec moi ! Je vais donc commencer par le début afin que le lecteur (et j’espère qu’il y en aura un) puisse réaliser ce qu’il m’est arrivé. Tout a commencé le dimanche 23 août. Ce jour restera à jamais gravé dans ma mémoire. Mais commençons par le début pour une fois que j’ai du temps. Je devrais être tranquille une bonne partie de la journée.
Je venais d’aménager dans mon nouvel appartement situé au troisième étage d’une vieille bâtisse en banlieue marseillaise. Mon salon était toujours encombré d’innombrables cartons que j’avais eu la flemme de déballer, et je les regardais, en caleçon, vautré sur le canapé. Quelle idée de déménager en plein moi d’août ? Pensai-je. A Marseille qui plus est !
La température avoisinait les quarante degrés et je passais mon temps en sous-vêtement dans mon salon, à ne rien faire, la tête collée dans un ventilateur qui commençait à montrer des signes de fatigue. Je transpirais à grosses goûtes, réfléchissant à ma vie d’antan. Je veux dire celle que je menais quelques mois auparavant dans ma campagne natale ! Un petit village, dans l’Aveyron. Là où j’avais rencontré mon plus grand amour qui m’avait quitté en juin. Pourquoi ? Cela n’a plus d’importance au moment où j’écris ces lignes.
Mes voisins étaient invisibles. Je ne croisais jamais personne quand je décidais d’aller me promener. Je n’entendais jamais de bruit, ni de musique et, à en juger par les prénoms sur les boites à lettres, je fus rapidement convaincu que mes voisins étaient âgés. Pourtant un samedi après-midi où je descendis faire quelques courses à l’épicerie du coin, je fus agréablement surpris, à mon retour, d’apercevoir deux charmantes demoiselles qui montaient les escaliers devant moi. Deux brunes aux fesses moulées dans un petit short en coton blanc pour celle qui avait les cheveux les plus longs et un short en jeans extrêmement court (probablement fabriqué maison, me dis-je) pour celle qui avait deux tresses dans les cheveux, un peu comme les indiennes dans les westerns.
Je les suivis à distance, mon regard rivé sur leur fessier qui se trémoussait. Elles avaient vraiment des culs appétissants et j’en salivais. Un instant je me concentrai même sur celle qui avait le short blanc en espérant déceler la ficelle d’un string en son centre. Les masturbations auxquelles je m’adonnais fréquemment commençaient à m’exaspérer et je voulais toucher une peau féminine. La caresser. La respirer. Je me voyais faire descendre leur short afin de voir ce qui se cachait dessous. J’imaginais deux strings fendant leurs fesses bronzées que je n’allais pas tarder à écarter pour voir ce qui se dissimulait encore plus en dessous.
Quand je les vis arpenter le palier du troisième étage (mon étage !), ma gorge se noua et mon cœur s’emporta comme celui d’un ado qui croiserait la fille dont il est secrètement amoureux dans une ruelle déserte. Ce sont peut-être mes voisines et je ne les ai jamais vues ! Dépêche-toi ! Va te présenter ! Sors-leur le grand jeu !
Mais je ne fis rien ! Je n’avais jamais été du genre à draguer les filles. Toutes celles que j’avais réussi à ramener dans mon lit, et parfois dans ma vie, n’avaient pas atterri là grâce à mes talents de séducteur ! En réalité, elles avaient fait tout le boulot ! Si on était dans mon lit, c’était parce qu’elle m’y avait traîné ! Et ce jour là je ne pus voir leur visage que je présageai magnifique car je me trouvais en contrebas quelques marchent avant d’arriver au troisième étage pour les voir entrer dans un appartement situé à deux pas de porte du mien. Du même côté.
Un peu déçu, je rentrai chez moi et allai me mettre sur mon canapé, après avoir retiré tous mes vêtements à l’exception de mon boxer. J’allumai le ventilateur sur la table basse et fus emporté par des pensées érotiques. Dans mon délire lubrique, je les avais accostées et les baratinais jusqu’à ce qu’elles me proposent de rentrer dans leur appartement. Et évidemment la suite s’annonçait chaude ! Elles se frottaient à moi comme des chiennes en chaleur et poussaient des gémissements de contentement alors qu’elles ne faisaient qu’effleurer mon corps avec la pointe de leur sein, par inadvertance. Très rapidement, une choisissait de faire un striptease, comme cela, sans raison apparente. La pensée s’encombre rarement de raison ou de logique surtout quand elle touche aux domaines du fantasme. J’étais en train de me faire cette réflexion et perdais petit à petit les images érotiques qui défilaient dans ma têtet quand quelqu’un frappa à ma porte. Cela me tira aussitôt de ma rêverie et je fus instantanément convaincu que c’était mes voisines !
Je me rhabillai et allai ouvrir la porte, mon cœur cognant très fort dans ma poitrine. Quand je vis la fille au short blanc devant mon pallier, ma respiration fut coupée nette, et cela dut se remarquer sur mon visage car il me sembla apercevoir un sourire en coin, dans la bouche de ma charmante voisine. Elle avait un visage fin, avec de grands yeux bleus qui éclairaient sa peau mate. Mon regard se posa brièvement sur sa poitrine et remarqua une poitrine de moyenne taille. Mais ce qu’il constata surtout, c’était qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Derrière le tissu de son haut blanc, ses tétons pointaient fièrement. Je ne m’attardai pas sur ce détail car je ne souhaitais pas passer pour un rustre dès notre première rencontre. Elle fut la première à parler.
- Bonjour, je suis votre voisine et avec ma coloc, on voulait vous inviter ce soir à prendre l’apéro ? - Avec plaisir, répondis-je gaiement. Je m’appelle Franck au fait. Et vous ? - Moi c’est Vanessa et ma coloc s’appelle Sophia. Alors à ce soir Franck. - A tout à l’heure. Que voulez-vous que j’apporte ?
- On peut se tutoyer non ? C’est plus sympathique. Proposa-t-elle - Pas de problème. - N’apporte surtout rien à boire ! Sophia est d’origine ukrainienne et nous avons de quoi saouler un régiment de polonais. - Entendu, répondis-je en riant. A ce soir…
Mais elle avait déjà tourné les talons et retournait dans son appartement, m’offrant une nouvelle fois en spectacle son cul splendide. Je fermai la porte et me réjouis à l’idée d’aller passer la soirée chez elles.
Comme vous l’avez deviné, je m’appelle Franck, je vais avoir trente cinq ans, mais souvent on m’en donne moins. Certainement à cause de mes tenues vestimentaires. Mon ex me reprochait souvent de me saper comme un adolescent (jeans ou pantalons amples, basket, jamais de chemises et des sweaters à capuches l’hiver.) Je suis grand (1m85), mince, brun, les cheveux courts (rasés) avec des yeux marrons verts (au moins mon cadavre pourra être facilement identifié !)
Je regardai rapidement l’heure et fus déçu de constater qu’il n’était que 15h40. Il me tardait de leur rendre visite. J’imaginais une soirée très agréable qui dérivait petit à petit sur une partie de jambe en l’air extrêmement osée. Mes deux voisines étaient de véritables salopes et je les voyais se tripoter les seins, se les lécher et se manger le con en soixante-neuf pendant que je les observais en m’astiquant le manche. Ensuite, elles me suceraient en même temps, chacune s’occupant d’un côté de mon pénis, leur langue s’effleurant de temps à autre. Ces pensées firent leur effet et ma verge se dressa. Je me levai et me dirigeai vers la salle de bain afin de prendre une douche pour me rafraichir.
La douche froide me fit du bien et je retournai dans mon salon pour constater qu’il était à peine 16h. Je ne savais pas quoi faire et choisis d’essayer de faire une petite sieste. J’approchai la table basse sur laquelle se trouvait mon ventilateur et m’allongeai sur le canapé en me ventilant de la tête aux pieds. Le sommeil fut long à venir mais quand il vint, il m’emporta jusqu’à 18h30 !
A mon réveil, je ne savais plus où j’habitais. Ma tête était lourde et cotonneuse et je décidai de retourner sous la douche pour me réveiller et me préparer pour rendre visite à mes voisines. Une fois sorti de la salle de bain, j’allai dans ma chambre pour m’habiller avec un jeans et un T-shirt blanc, retournai dans la salle de bain pour me brosser les dents avant de sortir de mon appartement pour aller prendre l’apéro.
J’allai frapper à leur porte quand je me souvins que j’avais dit à la fille qui m’avait invité que j’apporterais quelque chose. Je fis alors demi-tour et descendis les trois étages en courant pour me rendre aux fleuristes du coin. Un bouquet de fleurs ! Voilà qui n’était pas très original mais, d’après ma propre expérience, avait fait ses preuves. La fleuriste me proposa des fleurs, dont j’ai oublié le nom, qui symbolisaient l’amitié.
Je remontais aussi vite les marches jusqu’à la porte d’entrée de celles qui m’avaient demandé de venir prendre l’apéritif. Je toquai sur la porte deux fois, mon cœur remontait et heurtait ma gorge, et alors que je m’apprêtai à cogner une troisième fois, la porte s’ouvrit. La fille que je n’avais vu que de dos (reluqué, irait mieux, pensai-je en souriant intérieurement) resta plantée devant moi un long moment sans qu’aucun de nous deux n’ouvrît la bouche. Elle avait un visage angélique que ses yeux bleus pales faisaient resplendir. Et surtout ! Elle avait une poitrine pleine et ronde, sans le moindre soutien-gorge, qui gonflait son haut blanc laissant deviner ses tétons. Mon sexe tressauta dans mon pantalon et je fis de gros efforts pour éviter qu’il ne franchisse le cap suivant, surtout quand mes yeux s’attardèrent un instant sur sa mini jupe en jeans qui dissimulait à peine le galbe de ses fesses. Ce fut moi qui parlai (bredouillai conviendrait mieux, songeai-je) le premier :
- Bonsoir, je suis votre voisin d’à côté et vo… Ta colocataire m’a invité à prendre l’apéro.Voyant qu’elle ne répondait rien et se contentait de me détailler de la tête aux pieds, je rajoutai maladroitement : - Et donc euh… Me voilà ! Dis-je en souriant de toutes mes dents et en lui tendant les fleurs. - Entre donc, répliqua-t-elle en roulant le r avec un léger accent slave qui ne faisait qu’accentuer son charme naturel.
Elle prit le bouquet, se plaqua contre la porte pour me laisser passer mais l’espace offert était trop mince, et à mon passage, sa poitrine effleura mon bras droit. Puis elle me montra la direction à emprunter et me suivit au lieu de me conduire. Un petit couloir menait à une porte entrouverte qui donnait sur un grand salon composé d’un très vaste canapé en forme de U inversé (à droite de la porte) devant lequel une table basse en verre supportait déjà tout le matériel nécessaire à l’apéro. Vanessa était assise sur le canapé. Elle portait une robe bleue pale à bretelles qui s’arrêtait à mi cuisse dont le décolleté possédait trois boutons. Deux étaient détachés et dévoilaient le renflement d’une ferme poitrine. A mon arrivée, Vanessa se leva et me fit signe de m’asseoir dans un large fauteuil assorti au canapé qui se trouvait face à celui-ci. Je m’y installai pendant que Sophia s’assit à gauche de Vanessa. Mon regard se posa sur elle quand elle se mit sur le sofa et il me sembla remarquer qu’elle ne portait pas de culottes avant qu’elle ait eu le temps de croiser ses jambes ! A cet instant là, je dois l’avouer, je me sentais penaud et décontenancé. J’étais mal à l’aise ! Ces filles me rendaient nerveux et lorsque je levai les yeux et découvris la photo encadrée au-dessus du canapé, j’avais la gorge nouée par une grosse boule qui montait et descendait le long de ma trachée.
La photo noir et blanc était magnifique et les deux modèles qui occupaient le premier plan l’étaient encore plus. Vous avez certainement compris qui étaient les modèles de la photo. Je les avais en chair et en os face à moi ! Elles étaient au centre d’une clairière traversée par un petit cours d’eau et se tenaient la main, les pieds dans l’eau, entièrement nues ! Leur pubis lisse était baigné d’une douce lumière qui filtrait à travers la canopée. Leurs seins, fermes, posaient fièrement, les tétons turgescents et tendus. A l’arrière plan, un loup aux yeux luisants avait l’air de se diriger lentement vers les deux naïades. J’emmagasinais un maximum de détails en prenant soin à ne pas trop fixer la photographie, mais j’étais en même temps convaincu que mes voisines se rendaient compte que je les matais (sur la photo.) De toute façon, si elles ne souhaitaient pas être vues, elles auraient enlevé la photo, me dis-je pour me rassurer et m’autoriser à la scruter encore et encore. Vanessa me ramena à la réalité en me demandant ce que je voulais boire. Après un rapide coup d’œil aux bouteilles sur la table, je répondis :
- Une vodka. Ca fait longtemps que je n’en ai pas bu. Elle me versa une grosse rasade de vodka et en fit de même pour Sophia avant de se servir elle-même. Elles levèrent leur verre et le sifflèrent cul sec. Je les imitai en enfilant le mien d’un seul trait. À peine bu, Sophia saisit de nouveau la bouteille et remplit nos trois verres. Ce coup-ci nous trinquâmes avant de descendre la vodka. La fille de l’est s’empara à nouveau de la bouteille, remplit la moitié de nos verres quand Vanessa lui dit : - Vas-y doucement Sophia ! À ce rythme-là on sera bourré dans une demi-heure ! - Oui, Vanessa a raison. Je ne suis pas sûr que l’on puisse suivre le rythme soviétique, répondis-je en souriant. - Comme vous voudrez, dit-elle légèrement déçue avant de s’envoyer son verre au fond du gosier. - Tu fais quoi dans la vie ? Me demanda Vanessa. - Jusqu’à présent, j’étais pompier. Mais j’ai passé un concours en début d’année, que j’ai eu, et qui m’a conduit dans les Bouches-du-Rhône. Je devrais commencer à travailler le 15 septembre en tant que attaché territorial. Ne me demandez pas en quoi consiste ce job car je l’ignore. Je me suis présenté à ce concours par hasard. Et vous, que faites-vous ?Ce fut Sophia qui prit la première la parole : - Moi je suis étudiante en archéologie, s’exclame-t-elle en roulant le r du dernier mot de sa phrase. - Moi je suis modèle pour photographes. Je fais essentiellement du nu. - Dommage que je ne sois pas photographe, répliquai-je en souriant timidement. Je vois aussi que tu as réussi à convertir Sophia à la photo. - J’avais besoin d’argent, m’expliqua Sophia, et Vanessa m’a proposé de faire un shooting avec elle. Et je dois dire que le résultat m’a beaucoup plu ! Je voulais répondre « à moi aussi », mais m’abstins. - Tu es intéressé par la photo ? Voulut savoir Vanessa. - Je ne suis qu’un amateur. Mais avec des modèles comme vous, je pense que je deviendrais vite un grand passionné ! - Si tu veux je peux te montrer mon book, proposa Vanessa. - Avec joie ! Déclarai-je à me fendant d’un très large sourire.
Vanessa se leva, sortit du salon et ne revint que deux ou trois minutes plus tard. Pendant ce temps Sophia et moi échangèrent quelques banalités, alors que mon regard allait de la photo au-dessus du sofa, à la poitrine de l’ukrainienne qui me faisait beaucoup d’effet. Elle attrapa une nouvelle fois la bouteille de vodka et remplit nos verres. Je commençais à ressentir les effets de l’alcool et avais la tête lourde et cotonneuse. Au moment où je portais le verre à mes lèvres elle me proposa de venir s’asseoir à côté d’elle. Je ne me fis pas prier et allai poser mes fesses à côté des siennes. Lorsque je fus assis, Vanessa réapparut dans l’encadrement de la porte, un gros livre noir dans les mains. Elle vint s’asseoir aussi à côté de moi, de l’autre côté. J’étais au milieu de ces splendides créatures et, pour être franc je me sentais un petit peu mal à l’aise. Mais l’alcool aidant, cette sensation disparut rapidement.
L’album photo était très excitant et après avoir parcouru à peine un quart de celui-ci, mon sexe se raidit. Sur la plupart des photographies, Vanessa exhibait sa plastique de rêve soit dans des décors somptueux, soit dans des espaces naturels dont la beauté était magnifiée par la nudité du modèle adoptant maintes poses lascives et aguicheuses. La plupart étaient en noir et blanc et quelques-unes en couleurs. Il n’y avait aucune vulgarité dans les clichés qu’avait pris le photographe. On ne voyait que ses seins et ses fesses, et parfois, le sommet de son pubis lisse. Cependant les poses étaient toutes chargées d’une très grande synergie érotique qui commençait à exciter mes sens. Quand je sentis mon sexe commencer à se mouvoir, je décidai de poser l’album photo sur mes genoux afin de dissimuler mon érection naissante.
Mes deux voisines observaient les photos en même temps que moi, et leurs épaules frôlaient les miennes, tandis que de subtils parfums s’échappaient de leurs cheveux et de leur peau. A un moment donné je tombai sur un cliché sur lequel Vanessa, enduite d’une huile grasse qui faisait luire la totalité de son corps, s’exposait au soleil sur une plage, les jambes légèrement entrouvertes laissant deviner les lèvres génitales. Je ne sais pas pourquoi mais cette photographie m’excita et ma queue prit tout son volume, ce qui fit légèrement bouger le book de Vanessa. Elles s’en aperçurent et cela les fit rire. Je ne partageais évidemment pas les mêmes émotions et je sentis mon visage devenir chaud et rouge. Sophia brisa la glace :
- Ne t’inquiète pas, me rassura-t-elle. Tous les hommes qui ont vu les photos de Vanessa ont eu la trique. Le roulement du r sur e mot trique ne fit qu’accroitre mon excitation et je me contentai de répondre tout penaud : - Oui, mais c’est quand même gênant. - C’est peut-être gênant pour toi, dit Vanessa. Mais sache que cela est très flatteur pour moi !
Elles partirent alors dans un fou rire qui me contamina bien vite. Alors que nous étions tous les trois pliés de rire, Vanessa posa sa main sur mon épaule et Sophia posa la sienne sur mon genou. Mon épaule ne transmettait pas trop de sensations tactiles, mais mon genou… La main de l’ukrainienne était douce et chaude. Et surtout ! Elle se trouvait à peine à un ou deux centimètres de mon pénis. Je pris alors la décision de me lever et de me rendre aux toilettes, prétextant une très forte envie d’uriner.
Qu’elle ne fut pas ma surprise lorsque j’ouvris la porte des toilettes pour découvrir face à celle-ci un poster immense d’environ 1m 50 de hauteur pour 80 cm de large qui représentait Vanessa couchée en bout d’une longue table, jambes relevées et amplement écartées, au milieu desquelles la tête de Sophia mimait un cunnilingus. Celui-ci était peut-être même réel ! La photographie laissait planait le doute. Moi qui pensais calmer mes ardeurs dans les toilettes ! C’était foutu ! De nombreuses visions lubriques assaillirent mon esprit et il m’était très difficile d’en faire abstraction. Je m’assis sur les toilettes, tournant le dos au poster espérant que cela réfrénerait mon érection. Mais la tentation de regarder le poster était trop grande ! Bien vite, sans que mon cerveau ne le commande, mon cou pivota et mes yeux détaillèrent à nouveau la grande photo couleur. Sophia avait été photographiée de dos, à genoux, ses fesses fendues par un string bleu duquel débordaient d’épaisses lèvres génitales. Je la reconnus grâce à ses tresses indiennes et sa peau claire. Quant à Vanessa, elle était parfaitement reconnaissable puisque sa tête s’inclinait sur la droite et paraissait chercher l’objectif. Je contemplais un peu plus le poster et ressortis des toilettes encore plus excité que quand j’y étais entré.(à suivre.)
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