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Un étrange journal intime

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Vendredi 29 août : première soirée où je suis tranquille ! Elles sont sorties toute la nuit. Mais revenons à la première soirée passée en la terrifiante compagnie de mes deux voisines un peu spéciales. Le lendemain (lundi 24 août), je me réveillai, sanglé à un lit, comme un patient violent dans un hôpital psychiatrique. Une douleur persistante se répandait dans mon cul. Les salopes n’y étaient pas allées de mainmorte. Je comprenais, maintenant, que la sodomie n’était pas forcément une partie de plaisir et je réalisai, surtout, pourquoi la plupart des filles ne souhaitaient pas que cela s’éternise. On m’avait fait le cul pendant près de trois heures et j’avais l’intime conviction que je marcherais de travers pendant quelques jours.
Je suis resté des heures à contempler le plafond. L’appartement semblait vide. J’ai, un instant, essayé de m’extirper du lit, mais la mission était impossible, alors je me suis résigné à attendre que quelqu’un vienne. Cela s’est produit en fin de journée, Sophia a toqué à ma porte avant d’entrer, comme un être civilisé qui ne m’aurait pas violé la veille avec une queue de la taille d’un barreau de chaise ! Je voulais l’étrangler ! Qu’elle crève, cette pute !
Elle avança dans la chambre, entièrement nue. J’étais saucissonné au plumard, les bras le long du corps, prisonnier des sangles. Elle grimpa sur le lit et s’assit sur ma tête en écrasant sa vulve sur mes lèvres.
— « Lèche-moi ! », m’ordonna-t-elle, télépathiquement.— « Non ! Tu n’as qu’à me tuer ! Je m’en cogne ! »— « Bouffe-moi la chatte ou avec Vanessa, on va s’occuper de ton cul ! »
Cet argument pesa dans la balance et je me mis à aspirer ses grosses lèvres. Hier, j’avais rêvé de lui bouffer la moule et maintenant, que je l’avais de force dans la bouche, je ne voulais plus. Elle dégoulinait tellement que les effluves de son entrejambe me mirent en grande forme.
— « Monsieur bande. Qui te l’a autorisé ? », dit-elle, en empoignant mes bourses. « Je pourrai te broyer les couilles, mais comme tu me broutes bien, je vais être clémente et peut-être que je te sucerai, si vraiment tu es doué ! »
Je me contentai d’émettre un grognement et lapai de plus belle sa fente qui ruisselait de ses fluides sur mes lèvres. J’avais, évidemment, envie qu’elle me fasse une pipe. Je n’attendais même que cela. Elle n’en fit rien et se contenta d’écraser son cul sur ma tête, jusqu’à ce qu’elle explose de plaisir. Puis, elle quitta la chambre comme elle était venue, laissant la place à Vanessa qui vint aussi écraser son intimité sur mon visage.
En début de soirée, elles me détachèrent et me laissèrent prendre une douche. Quand je fus propre, je fus surpris de constater qu’un plat de pates avait été préparé en mon honneur. J’étais certes un prisonnier, mais un prisonnier qu’on nourrissait. Cela me contenta sur l’instant, mais si j’avais su la soirée qui m’attendait, j’aurais probablement fait voler leur assiette.Elles me regardèrent avaler les pâtes, sans prendre la peine de mâcher. J’avais une dalle terrible et j’aurais bien englouti une autre assiette avant qu’elles ne me conduisent au salon pour me chevaucher toute la nuit !
Ce soir-là, j’ai joui plus de dix fois. Je ne pensais pas que cela soit possible, mais la peur du destin qu’elles me réservaient si je n’assurais pas, a permis que je puise dans des ressources dont j’ignorais l’existence.
Samedi 30 août : aujourd’hui, elles ne sont pas là ! Je les ai entendues parler hier quand elles sont rentrées à l’aube. Elles doivent se rendre à Marseille et m’ont laissé une baguette de pain et une boite de pâté pour seule compagnie, enfermé dans ma chambre. L’avantage, c’est que je vais pouvoir raconter pas mal de chose. Le problème, c’est que je crois que ma fin est proche ! Je les entends dans mes rêves ! Elles me parlent sans cesse, envahissent mon esprit et me racontent des choses affreuses sous leur diabolique apparence ! Quand je me réveille, je ne suis même plus reposé ! Et le soir, elles m’épuisent avec les coïts interminables que je dois endurer, sans même avoir le droit de reprendre mon souffle. Mais essayons de respecter la chronologie afin que celui ou celle qui trouvera mon journal (j’espère sincèrement que quelqu’un y mettra la main dessus) comprenne ce qu’il m’est arrivé et fasse en sorte de le remettre aux autorités compétentes qui, je l’espère ardemment, attraperont ces deux garces !
Je passai la soirée du lundi, nu, les mains attachées dans le dos, assis sur une chaise. Vanessa et Sophia restèrent un moment à contempler mon sexe flaccide quand la voix de l’ukrainienne résonna dans mon crâne :
— « Il va falloir que tu fasses mieux que ça ! Fais dresser ton petit soldat ou je t’écrase les couilles ! », beugla-t-elle, en me menaçant avec son talon aiguille droit.— « Tes menaces n’aident pas beaucoup ! Ce n’est pas comme ça que je vais bander ! », répondis-je, en la défiant du regard.— « Tu veux, peut-être, que le gros gode visite encore ton petit trou ? », hurla-t-elle, à voix haute.
À cet instant, ses yeux devinrent à nouveau noirs et inexpressifs. Cela me glaça le sang et mon corps tout entier fut parcouru de frissons. Elle se tourna alors vers Vanessa, son regard ayant retrouvé une apparence normale :
— « Monsieur a besoin d’être excité et moi je voudrais bien que tu me godes. Ça te plairait, petit cochon, de voir Vanessa écarter ma chatte avec le gode qu’on a utilisé pour ton cul ? », m’interrogea-t-elle, en me fixant de ses yeux pales. « Imagine cette couleur noire qui contrasterait avec ma peau claire, s’insinuant dans mon ventre, lentement, pour que ma moule épouse sa forme. Ensuite, je pourrais le sortir de mon entrejambe et lécher mes sécrétions. À moins que tu ne veuilles les goûter ? »
Je ne répondis rien, mais ma verge le fit à ma place. Rien que le roulement du r sur le mot « Monsieur » avait produit ses effets. Ma queue se leva et, avant qu’elle ait fini de se durcir complètement, Vanessa s’y planta après avoir arraché le string sous sa mini-jupe de cuir rouge. Elle me chevaucha sur la chaise une dizaine de minutes avant de laisser la place à Sophia qui, pendant ce temps-là, nous observait en caressant son gros clitoris. Vanessa me baisait violement, ses fesses venaient se fracasser sur mes cuisses, comme les vagues sur les falaises, lors de tempêtes. Parfois ma queue sortait de son vagin et elle la replongeait dans la chaleur de son intimité, s’empalant jusqu’à la garde en accélérant le rythme.
Quand ce fut au tour de Sophia de venir me chevaucher, je fus soulagé de voir que mes deux geôlières s’accordaient un peu de temps entre elles. Elles se dévorèrent du regard avec l’ardeur et l’intensité de complices amantes, avant de s’embrasser en se tripotant les seins et les fesses. Pendant ce temps, je pouvais récupérer et faire diminuer mon excitation car, il n’aurait pas fallu longtemps de chevauchée infernale pour que mon serpent crache son venin. Puis, Vanessa se mit à genou entre les jambes de Sophia et passa quelques minutes à déguster ses grosses lèvres et son bouton d’amour. Sophia se cambrait sous les coups de langue et à un moment, je crus qu’elle allait défaillir de plaisir.
Quand elle s’assit sur moi, sa chatte était trempée et sa cyprine descendait jusqu’à mes cuisses qui en étaient colmatées. Je n’avais jamais vu une fille mouiller autant et je dois avouer que cela me plut beaucoup. Mon pénis glissait en elle comme un piston dans un moteur et son ronron me fit comprendre qu’elle était dans le même état que moi. Sa chatte se liquéfiait et ma verge coulissait en elle. Ma bouche chercha à téter sa poitrine et, une fois que mes lèvres encerclèrent un de ses tétons, elle écrasa ses globes contre mon visage. Je lui bouffais littéralement le sein en faisant remuer rapidement ma langue contre ses parties molles, celles sur lesquelles la langue glisse. Vanessa avait sorti un plug anal qu’elle venait d’insérer dans l’anus de sa coloc qui soupira de plaisir quand celui-ci fut bien en place. En très peu de temps elle hurla sa jouissance, ce qui précipita mon éjaculation. Ce lundi soir, j’ignorais qu’il m’en restait encore neuf !
Je vous épargnerai les neuf autres qui eurent aussi lieu sur la chaise à laquelle j’étais ligoté. La seule chose que je dirai, c’est que lorsqu’elles me traînèrent au lit, j’étais éreinté. Mes bourses et mon sexe étaient douloureux et les six heures que j’avais passé, attaché, m’avaient, aussi, meurtri les poignets. Je m’endormis vite et le lendemain, je restai sanglé à mon lit, jusqu’en début d’après-midi.
J’eus encore le droit ou plutôt le devoir, de leur faire un cunni. Cependant, je fus soulagé qu’elles ne jouent pas avec mon pénis. En revanche, elles me laissèrent prisonnier dans ce lit et quittèrent l’appartement pour le restant de la journée. Je passai donc ce long moment à cogiter. Il fallait que je trouve un moyen de m’échapper. Elles étaient folles et, en plus, elles me terrifiaient, même si je dois avouer que beaucoup d’excitation naissait de ses interminables parties de jambes en l’air. De l’excitation, mais aussi de la peur et je me doutais bien que plus je serai leur prisonnier, plus la peur viendra, petit à petit, remplacer l’excitation.
Dès leur retour, elles me détachèrent et j’eus droit à une pizza qu’elles avaient ramenée. Ce soir-là, en allant aux toilettes, je découvris un cahier (sur lequel je vous écris en ce moment même) caché sous une pile de magazine. Il ne me fallut pas longtemps pour trouver un stylo dans le même lieu que je mis à la poche après avoir plier le cahier et l’avoir dissimulé dans mon pantalon. De nouveau dans la cuisine, je leur demandai l’autorisation d’aller chercher un mouchoir que j’avais laissé sous l’oreiller. Je me dépêchai de cacher mes trouvailles sous le matelas et revins dans la cuisine pour manger la pizza. En cinq minutes, elle était descendue au fond de mon estomac et Sophia m’intima l’ordre de me « mettre à poil » !
À contre cœur, je me déshabillai, prêt à affronter une nouvelle soirée éprouvante. Qu’allaient-elles me mijoter ce coup-ci ? Mon imagination ressassait en permanence des choses horribles qu’elles me faisaient subir et, lorsque Sophia s’agenouilla face à moi, je crus, l’espace d’un instant, qu’elle allait m’arracher le sexe, mais elle n’en fit rien. Elle le lécha délicatement avec beaucoup de tendresse, prenant le temps d’explorer chaque partie avec sa langue humide. Je n’y comprenais plus rien ! Pourquoi autant de douceur par rapport à ce j’avais du endurer les autres fois ? De toute façon la fellation était tellement agréable que mon esprit se mit au repos et tout mon corps se contenta d’apprécier la divine caresse. Après avoir lustré mon phallus de sa salive, elle demanda à Vanessa de la rejoindre et ensemble, elles me firent la meilleure pipe de ma vie ! Je pus même exploser dans la gorge de Sophia !
— « Je vois que ton asticot faiblit ! Je vais le ranimer avec ma bouche. Je veux moi aussi goûter à ton foutre ! », proposa Vanessa.Ça y est ! Ça recommence ! Me dis-je intérieurement, espérant qu’elles ne se mettent pas en colère quand je ne pourrai plus avoir d’érection.
Mais Vanessa aspirait déjà mon sexe au fond de sa gorge qui ne tarda pas à recouvrer sa forme. Elle me pompa, sous le regard de Sophia qui s’enfonçait trois doigts dans sa fente, jusqu’à ce que je me déverse dans son gosier. Puis l’ukrainienne déclara :
— « J’en veux encore ! Gicle dans ma gorge ! »— « Une petite pause s’impose ! », fis-je remarquer, en essayant de sourire.— « Pas de pause ! Sac à merde. Quand je te demande quelque chose tu t’exécutes, sinon… ! »— « Sinon quoi ? », répondis-je, les yeux brillants de défi.— « Je crois que tu n’as pas bien compris, mon coco ! Sinon, dans le meilleur des cas pour toi c’est la sodo avec le gros gode noir. Tu t’en souviens ?
Effectivement mon rectum tuméfié s’en rappelait !
— « Et sinon quoi d’autre ? », fis-je en faisant un peu trop le malin.— « Sinon, j’arrache ton macaroni et je te le fais bouffer ! Tu comprends ce que je te dis ? Alors maintenant, soit tu bandes, soit je la coupe ! »
J’en avais vraiment marre d’être le pantin de ces deux connes infernales (car ou, elles ont quelque chose à voir avec les enfers) et je me mis en colère :
— « Mais vous me voulez quoi, à la fin ? Vous me faites chier avec vos conneries ! Vous n’avez qu’à me tuer ! Je vous emmerde ! J’en ai plein le cul de votre jeu ! Je ne joue plus ! », hurlai-je.
Je m’apprêtai à récupérer mes affaires pour me rhabiller et quitter cette prison quand la voix de Sophia pénétra une nouvelle fois mon esprit :
— « Pour qui te prends-tu vulgaire insecte? Les ordres tu vas les exécuter, et tout de suite ! »— « Va te faire foutre ! », lui répondis-je, en utilisant aussi la télépathie.
J’étais sur le point de sortir du salon pour me diriger vers la porte d’entrée quand Sophia bondit sur moi. Elle ne devait pas peser plus de cinquante cinq kilos et pourtant elle réussit à me mettre à terre (moi qui en pèse plus de quatre vingt !), J’essayai de me relever, mais impossible d’arriver à la désarçonner ! J’avais l’impression qu’un catcheur m’était tombé dessus ! Evidemment, ses yeux étaient à nouveau noirs comme la mort et il me sembla même voir des dents acérées dans sa bouche.
J’étais effrayé par le côté paranormal de la situation qui faisait à nouveau surface, vexé de me faire lyncher par une fille et, humilié quand elles m’attachèrent les poignets aux pieds de la table basse du salon. Elles me punirent en me sodomisant avec leur gigantesque gode et me sucèrent à tour de rôle. J’ai dû jouir trois ou quatre fois dans leur bouche et une fois du cul (ce qui m’a laissé un profond sentiment de honte !).
Etrangement, elles me laissèrent libre ce soir-là dans ma chambre, sans m’attacher au lit. Une fois qu’elles furent endormies (du moins je l’espérais), je pris le cahier sous le lit et me mis à raconter cette étrange épisode de la fin de ma vie. Car oui, je pense que mes jours sont comptés ! Je ne vois pas comment je pourrais m’en sortir !
Le lendemain, mercredi, j’étais libre, enfin libre est un mot assez relatif. Disons que je n’étais pas attaché à ce putain de lit et que je pouvais coucher dans ce cahier, ce qui m’était arrivé. Je me mis donc à la tâche, alternant entre écriture et hurlements, espérant que quelqu’un m’entende. Mais en tant que mélomane, qui aime que la musique soit forte, j’avais constaté que les murs de la chambre étaient insonorisés. Je m’époumonais donc, en vain, une partie de la journée, tout en écrivant quand mes ravisseuses rentrèrent. Je dissimulai le cahier et fis semblant de dormir quand elles décidèrent de me rendre visite.
Le tarif n’avait pas changé ! Elles s’assirent sur mon visage, l’une après l’autre et je dus lécher leur entrejambe jusqu’à ce qu’elles atteignent le septième ciel. Cela ne m’excitait même plus ! Elles m’avaient tellement fait mal la vieille, avec leur godemiché, que je n’avais qu’une seule envie : les étrangler jusqu’à ce que leurs yeux jaillissent de leurs orbites.
Pas de changement pour la suite ! Un repas de merde ! Après les pates et la pizza, voilà les cordons bleus, avec des pommes de terre en forme de lettres, celles dont raffolent les enfants. Un seul repas par jour et en plus c’est dégueulasse, pensai-je. Néanmoins, j’avalais tout ce qu’il y avait dans mon assiette et je dois dire que je me suis régalé. Il n’y avait plus que ça d’agréable : la bouffe ! Vu le peu qu’on me proposait à manger, même si cela n’était pas terrible, je dévorais avec un plaisir non dissimulé.
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