Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 164 J'aime
  • 2 Commentaires

Étudiant chez l'habitant

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Ceci est ma première histoirequi devrait comprendre plusieurs chapitresd’intensités érotiques progressivesEn souhaitant qu’elle vous plaira!
Chapitre 1: l’initiation
Je m’appelle Jérémy, j’ai 19 ans, Breton d’origine, je suis actuellement étudiant en BTS dans une petite ville du sud-ouest de la France. Mes parents qui ont peu de moyens financiers n’ont pu me louer un logement individuel et ne m’ont trouvé qu’à mon grand désarroi, une chambre meublée chez l’habitant. Le couple qui me loge est composé de :
-Danielle, 52 ans, petite femme au foyer au physique menu, aux épaules fines et aux hanches légèrement prononcées. Elle est souriante et d’un naturel avenant. Elle loue la chambre de sa fille pour combler le vide laissée par celle-ci lors de son départ pour l’Angleterre (elle y poursuit un cursus en commerce international).
-Jean-Paul, 54 ans, trapu, ventre limite bedonnant, moustache taillée et grisonnante, il est d’un tempérament plutôt bourru. Son travail l’oblige souvent à des déplacements sur plusieurs jours et une présence supplémentaire à son domicile pendant ses absences le rassure pour la sécurité de sa femme.
Leur logement est une grande maison à étage (là où se trouve ma chambre et ma salle de bains) et comporte également un garage en sous-sol. N’ayant que les clefs du sous-sol, j’y emprunte un escalier qui passe par le palier du rez-de-chaussée avant d’atteindre mon espace à l’étage.
A la veille des vacances de printemps il m’est arrivé une aventure à peine croyable. Je venais de louper mon train pour rentrer chez mes parents et les guichets étaient fermés. J’étais bon pour revenir le lendemain me prendre un nouveau billet. Pendant le trajet en bus pour rentrer à ma chambre j’ai informé par téléphone mes parents de mon contretemps.
Arrivé face à la maison, je remarque de la lumière dans le salon de mes logeurs puis dans le garage je m’aperçois de l’absence du véhicule de J-Paul. Arrivé sur le palier je m’apprêtais à gravir les marches de l’étage quand, surprise, j’entre-aperçois dans l’embrasure de la porte du salon Danielle assise nue sur son sofa en train de tricoter.
J’avais monté 2 – 3 marches dans l’escalier lorsque sa voix m’interpellât :
-Jérémy, c’est toi ?
-Euh oui, lui répondis-je embarrassé, j’ai loupé mon train, je repars demain excusez-moi pour le dérangement, je …
-Il n’y a pas de soucis, mon grand, l’important c’est que je sois au courant !
J’allais poursuivre ma progression dans l’escalier quand elle m’apostropha de nouveau :
-Jérémy, puisque tu es là, tu penseras à me descendre ton chèque en paiement du loyer de ce mois. Tu as oublié, tu te rappelles ?
-Euh, oui d’accord je descends dans 15 min si vous voulez. Et je termine à vive allure les quelques mètres me séparant de la porte de ma chambre.
Prenant mon temps pour souffler et me remémorer la situation je fais le point : j’ai surpris ma logeuse nue en bas et je dois lui apporter mon loyer ! Je me rassure en me disant qu’elle va profiter des 15 min pour enfiler un vêtement afin de ne pas perdre la face devant moi !
Au bout de 20 min je redescends lentement les marches pour arriver près de la porte du salon. Je toque à la porte.
-Entre, Jérémy, n’aies pas peur voyons !
Et merde, elle a pas bougé ! Elle est là, nue, tranquillement assise les jambes croisées, ses lunettes de vue perchées sur le bout de son nez, affairée sur son tricot rose, ses petits seins légèrement tombants se balançant imperceptiblement aux rythmes de ses aiguilles…
-Oh, pardon, je repasserai, excusez-moi, lui dis-je, prêt à retourner sur mes talons.
-Mais attends, où tu vas ? Il y a un problème ?
Devant mon embarras et le rouge qui commençaient à teinter mes joues, elle poursuivit :
-C’est de me voir nue qui te met dans cet état ? Il ne faut pas voyons. C’est naturel ! Il m’arrive souvent de me mettre nue lorsque je suis seule à la maison. Tu sais, J-Paul et moi avons toujours pratiqués le naturisme ! Y’a pas de mal tu sais, c’est même très agréable !
Devant ma réaction figée, elle continue :
-Tu ne t’es jamais mis nu toi aussi ?
-Euh si,……., quand je me couche ! Et, euh, …,je me suis déjà baigné …..nu dans la piscine de mes parents un jour où j’étais seul…
-Ben tu vois y’a pas de mal, c’était bien ?
-Oui répondis-je en baissant les yeux.
-T’es tout gêné ! Faut pas je t’assures, c’est quand même pas la 1ère fois que tu vois une fille nue quand même ?
Ben si justement, je n’ai jamais vu de fille nue ailleurs que dans les magazines de cul ! La seule femme que j’ai réellement vue nue c’est ma mère et c’est quand j’étais tout gamin qu’elle se lavait encore devant moi ! Mais ça je n’ose pas lui dire !Devant mon silence, elle enchaine :
-Pourquoi n’essaierais-tu pas avec moi ? Ça te décoincerait un peu tu verrais… Allez, vas-y, déshabilles-toi, allez, hop ! Dépêches toi, allez !
Je suis écarlate. Elle se lève de son fauteuil, je vois alors sa chatte au pubis bien fourni de poil brun mais aux lèvres quant à elles épilées. Je distingue clairement la fente verticale de son sexe. Arrivée devant moi, elle me prend le chèque des doigts et retourne s’assoir dans la même position qu’auparavant. Et là elle m’assène l’argument imparable :
-Et puis d’abord, maintenant que tu m’as vu nue, à moi de te voir. On sera quittes comme ça !
Ne savant plus quoi répondre, j’entreprends d’ôter mes vêtements un à un et en peu de temps je me retrouve debout en caleçon devant elle. Devant mon hésitation à enlever mon dernier rempart elle me demande ce qu’il y a et benoitement je lui réponds que j’ai peur d’avoir une érection car je sens mon membre se tendre légèrement.
— Mais c’est tout naturel, t’inquiètes donc pas pour ça ; va ! J’en ai vu d’autres… et tu sais, je prendrais même ça pour un compliment!
Je fais rapidement descendre mon caleçon et joins mes mains sur mon sexe en signe de pudeur. Elle se lève alors vers moi prends mes mains dans les siennes et les écartes de mon entrejambe afin de pouvoir admirer ma nudité ainsi exposée.
— C’est mieux comme ça tu trouves pas ? Tu vois c’était pas si difficile finalement ! Et puis elle devait être un peu à l’étroit toute serrée dans ton caleçon ! Regarde, elle lève un peu la tête, dit-elle en désignant mon membre semi gonflé, elle se sent beaucoup mieux comme ça c’est sûr! Elle est vraiment mignonne, la cacher aurait été dommage ! Allez viens on va prendre un café dans la cuisine.
Je la suis dans la pièce voisine, cela me permet d’en profiter pour la reluquer en douce. Danielle porte bien sa cinquantaine, sa taille est dessinée, ses hanches marquées et ses fesses, malgré le fait qu’elles ne semblent plus trop fermes, sont potelées et charnues. Son naturel et l’aisance avec laquelle elle se déplace nue lui donne un certain charmes et la rend plutôt attirante de mon point de vue.
Pour mettre à l’aise, elle est très forte, tout en préparant le café elle discute de tout et de rien avec moi tout en interrompant le fil de la conversation par des petits commentaires du genre : « Ça va ? Tu te sens mieux ? Oh regarde ça y est popaul regarde de nouveau le sol ! » Cette façon décomplexée de parler me plait beaucoup et m’aide grandement à accepter la situation. C’est vrai qu’autant la sensation d’être nu m’avait troublé tout à l’heure que maintenant cela me gêne beaucoup moins, je commence à m’habituer.
— Au fait, tu as prévenu tes parents de ton retard ?
Je lui explique que oui et que j’irais acheter mon billet de retour demain matin.
— Et que dirais-tu si tu restais ces 2 semaines ici, tu pourrais poursuivre l’expérience de vivre nu. Je pense que tu commences à apprécier.
C’est vrai que l’idée parait alléchante et la découverte du naturisme est excitante. Je lui réponds cependant que ce n’est pas ce que j’avais dit à mes parents lorsque je les ai prévenu de mon retard d’arrivée.
— T’inquiètes je m’en occupe, donnes moi leur numéro.
J’assiste alors à une scène un peu surréaliste : je suis à poil avec ma logeuse et celle-ci est au téléphone avec mes parents. Elle leur explique qu’elle aurait besoin de mes services pour de menus travaux et que cela la dépannerait bien si je restais avec elle durant ses 15 jours.Après leur avoir indiqué qu’elle déduirait ces 2 semaines du prochain loyer elle raccrocha satisfaite et avec un grand sourire aux lèvres déclara :
— Voilà, c’est fait ! Bienvenue dans la vie naturiste ! Eh, c’est qu’il est déjà l’heure de préparer le dîner allez, bouge tes fesses, aide-moi !
Diffuse en direct !
Regarder son live