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Étudiant chez l'habitant

Chapitre 8

Orgie / Partouze
Chapitre 8: « Apéro-surprise »
Jean-Paul arriva sur les coups de 18H00. Il nous trouva à profiter des derniers rayons du soleil sur les chaises longues de la terrasse.
— Tiens, comment ça va ma Lolo ? Toujours aussi coquette à ce que je vois ! Dit-il lorsqu’elle se releva pour lui faire la bise.
— Comme tu vois, ils sont toujours bien à leur place, mon Paulo !
Ils faisaient bien évidement référence aux deux anneaux qui ornaient sa vulve. Quand elle s’approcha de lui pour le biser, il tendit la main à son entrecuisse et son geste suggéra qu’il avait rapidement tâté la fente de son invité.
— Et toujours aussi chaude dis-moi ! Dit-il en sentant son doigt.
— Oh, mais quel cochon celui-là ! Rit Laurence en lui giflant amicalement la verge. Et d’ailleurs, comment ça se fait qu’elle n’est toujours pas montée celle-là ! Tu deviens vieux mon pauvre ! Y’a pas si longtemps il suffisait juste que tu renifles ma culotte pour te retrouver au garde-à-vous ! Haha, pas vrai Dani ?
— Haha, et même qu’on avait toutes les peines du monde à la faire retomber, hahaha ! Deux femmes ne lui faisaient pas peur ! Mais là, oui, ça doit être ça, il est trop vieux !
Voir les deux amies taquiner ainsi Jean-Paul me fit sourire. Il existait une belle complicité entre ces trois-là. Mathilde et moi étions heureux de la partager avec eux.
— Bon, bon, c’est bon, vous avez fini ? C’est parce qu’il fait soif quand même ! Qu’est-ce que je vous sers ?
— C’est-à-dire que ta femme nous avait promis une surprise, alors on attend…
— Une surprise ? Dit-il étonné en regardant sa femme. Lorsqu’il croisa son regard il sembla soudainement comprendre : Ah oui, ce genre de surprise ! Un spécial apéro ? C’est ça chérie ? Bougez-pas je vais chercher une bouteille !
Danielle était partie dans la cuisine quand il revint les bras chargé d’une bouteille mousseux et de coupes à champagne. Il nous servit les verres et appela sa compagne.

— J’ai pas fini ! lui répondit-elle. Demande à Lolo de commencer pour moi !
Jean-Paul s’approcha d’elle et lui demanda d’un ton comique :
— Ma très chère amie, s’il vous plaît ! Auriez-vous l’aimable obligeance de donner un peu de vigueur à ce membre que vous avez si méchamment moqué dernièrement ! C’est que voyez-vous, sa raideur est comment vous dire… hum… nécessaire à la poursuite des opérations…
— Alors là, c’est demandé si gentiment ! Déclara Laurence juste avant d’introduire le sexe mou dans sa bouche.
Mathilde regardait la verge de son père enfler dans la gorge accueillante. La connaissant, je me pris à penser qu’elle devait être un peu vexée de ne pas avoir été choisie pour cette tâche. Mais en même temps, elle était attentive à la technique de la créole. Celle-ci aspirait consciencieusement le nœud sur toute sa longueur en creusant les joues et en imprimant des allers-retours vigoureux de la tête. Elle n’utilisait pas ses mains, celles-ci étaient occupées à pincer ses tétons aux larges aréoles tandis qu’elle ouvrait et refermait les cuisses en cadence. Elle lâcha ses tétons pour soulever ses seins sous sa gorge et réalisa une jolie cravate de notaire à Jean-Paul qui commençait à souffler.
— Alors mon chéri, elle n’a pas perdu la main, la Lolo, t’as l’air heureux ! Dit Danielle en revenant de la cuisine, puis s’adressant à sa fille :
— Hein, qu’il a meilleur mine le zizi de ton père ! Tu ne trouves pas Mathilde?
— Oh si, carrément, j’peux l’sucer ?
— Tatata, non mademoiselle… Vous, vous regardez.
Tout en parlant Danielle s’était allongée sur le dos sur la table basse et avait pris ses cuisses de ses mains relevant ses jambes en position bien écartée.
— C’est quand tu veux mon chéri ! Laurence si tu veux bien ?  
A regrets, Laurence stoppa sa fellation et Jean-Paul prit place entre les cuisses de son épouse.
— Vas-y, enfonces-la moi mon amour ! Défonces-la moi qu’elle jute bien !
Les paroles crues de Danielle revenaient, nous savions tous ce que cela voulait dire. Son langage fleuri ne tarda pas à remplir la pièce si bien que nous ne pouvions même pas échanger quelques mots. Laurence avait glissé sa main sous les fesses de l’homme et lui caressait les bourses pendant qu’il besognait violemment sa femme. Au bout de quelques minutes, il se cambra soudainement, pénétra son sexe au plus profond de l’antre de sa femme et ne bougea plus. Après un temps, il se retira doucement. Sur sa hampe s’étalait le résultat de leur coït : un mélange de leurs deux substances. L’ouverture de la vulve de Danielle brillait. Jean-Paul, après s’être relevé, était allé dans la cuisine et revint avec un plat sur lequel était disposé une vingtaine de knakis tièdes.
— C’est presque prêt ! Dit Danielle en souriant.
— Humm, dites-moi, mais c’est que ça devient de plus en plus intéressant tout ça! Remarqua Laurence.
J’étais interloqué. Et encore plus lorsque je vis Jean-Paul enfourner une à une les saucisses dans la moule humide de sa femme. Celle-ci commentait disant qu’elles étaient bien chaudes, qu’il fallait bien la remplir, qu’il y avait de la place… Son mari venait d’introduire la dernière saucisse et imprimait des allers retours dans le sexe béant. Même si cela lui arrachait des petites plaintes, Danielle accompagnait le mouvement par des balancements du bassin. Les saucisses luisaient de fluides.
— Voilà, c’est prêt ! Vous pouvez vous servir maintenant ! Déclara Jean-Paul.
— Bon appétit ! Lança Danielle
Laurence fut la première a retirer sa saucisse de la chatte de son amie, suivi de près par Mathilde et son père. Ils me regardaient, attendant que je me serve moi aussi...
Après une hésitation, j’attrapai le bout d’une et la fit coulisser lentement hors du sexe de Danielle.
Nous étions tous les trois, une saucisse à la main, un verre dans l’autre, assis autour du « réceptacle » à apéritif de Danielle. Nous admirions sa chatte écartée par la charcuterie  dégoulinante de jus.
— Mmmh, c’est gouteux ! lança Laurence après avoir croqué un bout.
Mathilde avait préféré lécher la sienne avant de l’engloutir tandis que son père mordait à pleine dent dans la chair. Je restai là, à regarder ma saucisse luisante puis me résolut à gouter cet amuse-gueule d’un genre nouveau. Sans être exceptionnel, le goût n’en était pas moins désagréable. L’excitation de la situation devait y jouer pour beaucoup car à l’imitation de mes compagnons je me surpris à me resservir…
Mathilde jouait à retirer et remettre une saucisse dans le minou de sa mère. Puis, comme cette dernière n’en avait pas encore mangé elle lui amena à la bouche. Après avoir avalé sa bouchée, Danielle demanda :
— Alors ça vous plait ?
— Oh Maman, c’est déééliiicieux ! Il fallait toujours que sa fille en rajoute !
— Oui, c’est bon, même Jérémy à l’air d’aimer, regardez comme il se resserre, c’est au moins sa quatrième ! S’écria Laurence.
— C’est qu’il aime ça, la saucisse, ma parole ! reprit Danielle. Qu’est-ce que tu dirais d’en goûter une autre variété, mon garçon. Chéri, tu veux bien lui faire goûter ta saucisse s’il te plaît ?
Je n’aimais pas la tournure que prenaient la conversation mais cela allait beaucoup trop vite pour moi et ils ne me laissèrent pas le temps de réagir!
— Oh oui, Papa fais lui sucer ton saucisson ! T’inquiètes-pas je vais t’aider ! me souffla Mathilde en se rapprochant de moi. Jean-Paul s’était déjà levé et posté devant moi. Son sexe mollasson se trouvait à hauteur de mon visage. Mathilde le souleva délicatement de la main droite pour le porter au niveau de mes lèvres.
— Tu n’as plus qu’à ouvrir la bouche, ça viendra tout seul…
De la main gauche elle commençait à me caresser la tige. Je cédais sous leurs encouragements : d’ailleurs, après avoir mangé des saucisses assaisonnées au sperme et à la cyprine, rien ne pouvait plus me rebuter ! J’ouvris la bouche pour recevoir le gland violet du maître de maison. Une fois en contact sur ma langue je refermai les lèvres et attendis.
— Suces-le comme une sucette ! m’expliqua la jeune fille qui imprimait de légers mouvements sur la hampe. 
Je sentais le gland de Jean-Paul se gorger et durcir sous l’action de ma bouche. Mon sexe se tendait également. Mathilde nous branlait en rythme. Une fois le sexe de son père bien redressé, elle le ressorti de ma bouche pour l’engouffrer dans la sienne. Elle le pompa énergiquement et me le représenta pour que j’en fasse de même. Je suçais le sexe d’un homme et je dois dire que je prenais goût à partager cette bite avec Mathilde.
Nous jouions à qui enfoncerait le plus loin le sexe dans sa bouche, cela nous faisait pas mal baver. Mathilde à même faillit s’étouffer ! Mais cela ne l’arrêta pas ! Quand elle sentit son père au bord de l’explosion elle remit le membre dans ma bouche et masturba vigoureusement sa verge. Jean-Paul, sans prévenir éjacula, dans ma bouche. Je senti le  liquide chaud et légèrement amer se répandre sur ma langue et, avant même de me poser la question de ce que je devais faire, Mathilde se jeta sur moi, me renversa et m’embrassa à pleine bouche.
C’était merveilleux, notre premier baiser ! Nos langues se mêlaient dans le sperme de son géniteur, c’était doux, onctueux, un peu gluant! Mon érection était à son summum. Toujours en m’embrassant, Mathilde, à califourchon sur moi, se saisit de ma verge et la guida vers son puits d’amour. Elle s’empala directement sur mon membre. Sa chatte était moelleuse, c’était un bonheur de sentir enfin son vagin se contracter sur mon bâton de chair. Ses petits seins effleuraient mon torse en cadence, j’étais dans un rêve !
— Qu’ils sont mignons, les amoureux !
— Eh ben ! Ils en ont mis du temps ! C’est-y-pas vrai que c’est timide à cet âge-là ! Pourtant on n’avait pas l’impression!
Les taquineries des autres ne nous atteignaient pas, nous profitions de l’instant. Mathilde prenait plaisir, elle était belle.
Laurence avait profité de notre fellation pour finir les saucisses.
— Bon, ben puisqu’il ne reste plus de saucisses de disponible, il ne me reste plus qu’à lécher le plat ! Tu permets ma Dani ?
— Vas-y ma chérie fais-toi plaisir, nettoies-moi bien tout ça ! Lustre moi bien la chatte ma cochonne !
Agenouillée entre les cuisses de son amie elle lui lapait la vulve comme un chat affamé. Danielle l’exhortait à appuyer plus fortement.
— Ah, régales-toi ma petite chienne adorée… Fais plaisir à ta maitresse, vas-y bouffes-là, la bonne chatte à ta Dani… Tu l’aimes, hein… Bois, bois tout mon jus ! Mmh…
Jean-Paul s’était assis dans un fauteuil et profitait du spectacle. Son regard allait du cul rebondit de Laurence à celui plus menu de sa fille. Il semblait cependant largement plus intéressé par le coulissement régulier du minou de sa fille sur ma bite. En lui jetant quelques regards je le surpris caressant mollement son membre flasque les yeux fixés sur les fesses de Mathilde. Ma jouissance n’allait pas tarder. Je décidai de lui agrémenter encore plus la vision et empoignai les fesses de ma compagne pour les écarter au maximum. J’en profitai également pour la pistonner violemment ce qui lui arracha quelques cris de plaisir. Jean-Paul avait désormais une vue bien dégagée sur le petit œillet de sa fille et son regard pétillait.
Sauter la fille sous les yeux du père m’excitai tellement que je ne pus me retenir plus longtemps et je déchargeai à l’intérieur de Mathilde. Elle s’écroula sur moi, un large sourire illuminant son visage.
— Je t’aime ! Me souffla-t-elle.
— Moi aussi, je t’aime ! Dis-je en l’embrassant.
Elle resta un moment empalée sur moi, laissant mon sexe ramollir dans sa chaleur. Je lui caressai doucement les fesses, nous voulions faire durer encore un peu le moment où nous nous détacherions.
— Quel joli couple font-ils ! Dit Laurence en s’essuyant la bouche. Ils sont tout mimi et bien coquins aussi ! J’y pense les jeunes, ça vous dirait pas de passer quelques jours chez moi ? Je suis toute seule et ça égayerait mes journées ! Je suis sûr qu’on trouvera à bien s’amuser tous les trois ! Qu’est-ce que vous en pensez ?
— Pourquoi pas ! Répondit Mathilde après m’avoir interrogé du regard.
— C’est comme vous voulez les jeunes ! Vous pouvez partir ce soir et samedi prochain nous viendrons vous recherchez ! On fait comme ça ?
Mathilde et moi allions monter à l’étage préparer nos affaires quand Laurence nous arrêta.
— Tututu ! Vous n’avez rien besoin d’emmener, vous venez comme ça !
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