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Etudiant(e) corrigé(e)

Chapitre 2

SM / Fétichisme
La rencontre.
Après plusieurs semaines à échanger des messages chauds, ainsi que de multiples insertions pendant mes cours, nous avons décidé de nous rencontrer sur Paris
Le rendez vous était fixé aux Halles. Une fois en face de lui, j’ai rencontré un homme aux cheveux bruns, courts, à la corpulence moyenne mais assez musclée. Il avait les yeux vert foncés, un petit bouc discret, plutôt une belle gueule malgré le fait que je n’ai jamais eu d’attirance gay en dehors de mes fantasmes. Plutôt grand, il devait faire 1m82, je paraissais un peu gringalet avec mon mètre 75 et ma frêle silhouette. Silhouette qu’il détailla avec forte attention. J’avais mis pour l’occasion un jean qui moulait assez bien mon petit cul pour qu’il puisse bien en distinguer les contours. Je semblais lui convenir. On échangea les banalités et on s’est assis à l’extérieur d’un café en sirotant une bière.
« Tu as ce que j’ai demandé? »me dit-il« Oui, je n’aurais pas voulu faillir des notre 1er rendez vous ».En effet il m’avait demandé pour na pas dire ordonner de mettre mon cher rosebud. « Bien ramène toi, je vais contrôler tout ça ».
« Quoi ?! Mais nous sommes en pleine rue et en plein jour! »« Ne t’inquiète pas je ne vais pas te mettre nu comme un vers, je vais juste tâter, viens ici ». Son désagrément se perçu implicitement, ainsi je me rapprochai de lui en regardant autour de moi pour voir si personne de la terrasse ou des passants ne me regardais. Il mima de mettre quelque chose dans la poche arrière de mon jean mais je senti une main inquisitrice tâter et appuyer malignement sur le plug. Je devins rouge sous l’effet de la honte et qu’on puisse me voir, peut être même me reconnaitre.
Je repris ma chaise et vu son sourire satisfait.
« Bien, je suis très content de toi, tu vraiment une petite très docile »Il bu un peu tout en continuant de me fixer et de me détailler.
« Alors ma petite, pourquoi as-tu acceptée? »
«  Et bien, j’ai toujours eu le fantasme d’être baisé par un homme, voir d’être soumis à lui. D’être soumis en général en fait. »
« Oui j’ai vu ca, tu te prêtes volontiers à te faire toucher le cul par un inconnu en plein centre de Paris, tu va te mettre des plugs dans le cul en plein comme une salope d’étudiante alors que rien ne t’y oblige, et je suis même sur que tu bandes et que tu mouilles ton petit cul rien qu’à l’idée de le faire ou de devoir le faire une nouvelle fois, je me trompe? ».
Il avait raison, je pouvais très bien en pas obéir mais une chose inconcevable fait que je me sens obliger de le faire. Et l’excitation et toujours présente. Rien que d’avoir entendu ses paroles, j’ai la queue tout dure.
« Bon je vois que ton silence en dit long, veux tu continuer ce petit jeu avec moi? »J’aurais pu dire non, partir et faire comme si de rien n’était…
« Oui j’adore ça! » dis-je en souriant mais avec un certaines craintes.
« Très bien je suis très content. Bon nous allons définir notre relation. Maintenant tu m’appelleras maitre mais je crois que tu le savais déjà. Tu devras exécuter tout ce que je te demanderais de faire par messages. Je te demanderais des photos pour preuves. Certes tu peux me roulez dans la farine, mais je pense que tu ne le feras pas vu comment tu es déjà. Mais si j l’apprend, cela te retombera dessus un jour ou l’autre. Avant toutes choses malgré tout, je veux que tu me fixes les grandes limites que tu t’imposes.Niveau pratique, au quotidien etc. dis mois ce que tu veux que je ne fasse pas avec toi ».
« Et bien déjà, je ne veux pas d’uro et de tout ces trucs, c’est beaucoup trop hard pour moi. Sinon le week end je demande à être libre de messages et d’obligations car je suis chez mes parents et mes possibilités sont limitées. Sinon je pense que j’accepte à peu près tout. Si une autre idée me revient, pourriez vous la prendre en compte? »
« Oui ne t’en fait pas, je respecte les limites de chacun. A moi maintenant. Je veux que tu me dises ou est ta chambre universitaire. Nous conviendrons les rendez vous a domicile. Je fais ça chez toi car je suis marié et que ma maison n’est pas tout le temps libre d’accès. Ensuite, je t’ai amené des affaires. Tu devras les porters quand je le voudrais, et faires des photos avec également. Tu trouveras la dedans un gode, un bâillon, des menottes, une perruque ainsi que diverses affaires féminines. »
Je fis un sourire. Je me travestissais de temps en temps. J’adorais mettre de temps en temps de la lingerie fine, celle qui sublime le corps, les strings qui embellisse le cul, les portes jarretelles et les bas de nylon qui caresse sensuellement la peau. Mais cela avait toujours été que pour moi. J’appréhendais la vision qu’il aurait de moi et surtout celle que j’aurais de moi également en me transformant ainsi.
« Oui tu as bien entendu, je veux que tu sois une petite lopette, une bonne putain rien qu’à moi. Et ce soir quand tu rentreras chez toi tu mettras la webcam et tu seras habillé en pute tout en me parlant. Dorénavant, étant un petit trav à moi, je m’adresserais toujours à toi au féminin».
« Oui maitre »
« Tu chausses du combien? »
« Heuuuu, 42, pourquoi? »
« Ne pose pas de questions d’accords? » dit il sur un ton doux mais sec.
« Pardon maître. »
« Bien! On va fixer ma première visite, dis moi quand tu es libre en semaine? »
« Et bien tous les soirs de la semaine et le jeudi toute la journée »
« Très bien, dans ce cas je viendrais jeudi matin a 7h. Ne met pas de réveil, c’est moi qui t’appelleras »
Pour une première séance, j’allait avoir la tête dans le cul, dans les deux sens du termes….
Nous finissons les bières et nous nous levons.
« Parfait. Bon et bien on se dit à ce soir ma salope! Ah! Et n’ouvre pas le sac jusqu’à ce que je te le demande ». Il termina sur cette phrase avec un grand sourire de satisfaction d’avoir enfin trouvé une petite chienne à bourrer, à punir, à abuser.
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