Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 206 J'aime
  • 11 Commentaires

D'étudiant serviable à gigolo pour dames

Chapitre 2

Hétéro
Voici le chapitre 2, en espérant qu’il vous plaise autant. N’hésitez pas à me le dire en votant ou commentant. 
Je suis rentré chez moi un peu perdu, ce moment avait une telle source de plaisir. Cette somme non négligeable me donnait encore plus envie de recommencer. Même sans argent, je voulais recommencer. Mireille m’avait payé, à mes yeux, je n’avais pas à la rappeler et devais attendre ses instructions. Elle n’était pas trop nouvelle technologie et finit par m’appeler dans la soirée pour convenir de se revoir à l’heure habituelle chez elle.  Non sans qu’elle se soit enquit de ma volonté de recommencer. La réponse était évidente, mais je contenais mon enthousiasme. Il fallait donc attendre une semaine. Après avoir gouté à ce fruit pas si défendu, ma patience était déjà mise à rude épreuve le lendemain matin. Toute la journée, mon esprit était occupé par ce moment, faisant des recherches sur comment s’occuper de femmes plus âgées, ce qu’elles aimaient, leurs fragilités... Plus je me renseignai, plus l’excitation montait. En arrivant ainsi chez Claudine pour notre éternelle leçon, j’avais des idées lubriques que je gardais du mieux que je pouvais. Mais je ne pouvais m’empêcher de la regarder, première fois que je la voyais en robe. Elle semblait plus apprêtée que d’habitude : un brin de maquillage, une robe longue très sage, découvrant un peu ses épaules. 
J’étais ainsi assis à côté d’elle depuis quelques minutes et elle paraissait un peu entreprenante : sa jambe touchant souvent la mienne, me faisait de petites blagues puis me prenait la main en riant. Je ne voulais rien faire, de crainte de mal interpréter ses signaux. Pourtant, ils devenaient de plus en plus clairs. Sa main avait ainsi relevé un peu de sa robe, me dévoilant une jambe gainée. Il y avait ainsi quelque chose d’attendrissant dans ses mouvements, donnant l’impression de flirter comme une jeune fille timide. Ou bien était-ce pour faire passer le message ? 
Sous prétexte d’un bug, elle se leva pour aller chercher de l’eau, me demandant de réparer l’ordinateur. Quelques instants après, mon téléphone sonnait, Claudine qui m’appelait.Intrigué, j’ai bien évidemment décroché. — Mireille m’a raconté pour hier— ...— Que vous lui donniez des cours très particuliers— Oui comme à vous. Mais vous le savez, c’est elle qui nous a mis en contact— Non, je parle d’après. J’aimerais la même chose si vous voulez bien. — Euh— Si vous êtes prêt à le faire, je vous attends dans ma chambre. Sinon, vous pouvez juste claquer la porte en partant, prenez la petite enveloppe. Et elle raccroche. 
Ces quelques mots avaient suffi à me convaincre. J’en mourrai d’envie. Et je me suis dirigé d’un pas décidé vers sa chambre, un sourire victorieux aux lèvres. La porte était entrouverte, dans la pénombre, seule une lumière tamisée l’éclairait. Claudine m’attendait dans son lit, un drap la recouvrait, ne laissant voir que sa tête. Elle était intimidée, je l’étais aussi, sans pour autant le montrer. Son air timide lui donnait cette impression d’une jeune femme sur le point de perdre sa virginité. 
N’étant pas expert dans l’art d’être gigolo, je me suis juste mis en tête que c’était ma copine et ainsi tout naturellement, je l’ai embrassée, glissant ma main dans ses cheveux gris défaits. Mon baiser dû la surprendre, ses lèvres restant scellées au début avant de s’ouvrir pour qu’une langue timide en sorte et se mélange à la mienne. Elle embrassait bien avec une grande douceur. Comme si elle était habituée à embrasser, mais étonnamment restait un peu timide. 
Elle prit la parole après une minute ou deux de baisers langoureux, elle retira son visage. — Je ne suis pas habituée, que dois-je faire ? Dois-je vous dire ce que je veux ? Nous nous regardions comme deux adolescents timides, sur le point d’exploser de rire. Aucun de nous n’étions expert en la matière. — Dites-moi ce que vous voulez que je vous fasse ou faites-le moi comprendre et je vous obéirai Claudine. Laissons nos corps nous guider. 
Je ne voulais pas donner l’impression de faire ça pour l’argent. Surtout que je ne le faisais pas pour cela. 
Son grand sourire me fit chaud au cœur. D’un geste doux, elle saisit mes cheveux avant de m’adresser un baiser avant d’appuyer sur ma tête pour me faire comprendre de descendre près de son intimité. Un brin curieux, je soulevai le drap pour la découvrir enfin. Une belle nuisette satinée jusqu’en dessous des genoux, des bas noirs. Sa poitrine se voyait par transparence, et semblait très douce, les tétons très clairs et larges. 
Elle ferma les yeux, toujours cette impression de grande pudeur de sa part, pendant que les miens grands ouverts profitent de la vision et la découvre comme un objet de désir. Sa main se glisse sous l’oreiller et en retire un bandeau qu’elle se noue sur les yeux. "Je n’assume pas trop avec votre âge" me dit-elle. Pour vous représenter la scène à ce moment, je suis allongé à côté d’elle, tête contre tête, torse nu, en boxer, sa main caresse par moment mon dos. 
Avec douceur, je retire sa première bretelle de nuisette, puis la deuxième, sa peau est plus froide que la mienne. Nous frissonnons tous les deux. Lentement, je la fais glisser, révélant sa poitrine, ses tétons sont en effet très clairs et larges sur des seins opulents, un peu tombants et pourtant sexy. Un petit soupir au moment où je les saisis et commence à jouer avec, elle apprécie et marmonne de petits hmm avant de reprendre la lente descente de sa nuisette jusqu’à la lisière de sa culotte.
C’est une culotte qui remonte un peu, noire, opaque avec des bordures en dentelles. Lorsque je glisse mes doigts dessous, Claudine se mordille la lèvre, je suis un peu stressé, cela sera la première fois que je touche et vois le sexe d’une femme de cet âge. Mireille ne me l’avait pas laissé voir, et je ne l’avais pas touchée à cet endroit. Y aller doucement me permet de garder mon calme alors que cela semble avoir l’effet inverse sur elle qui semble aller au devant de mes doigts. Les premiers poils se font sentir, longs, peu nombreux, elle n’est pas épilée je pense, mais doit avoir une pilosité limitée. Ma tête n’y est pas collée, pourtant je sens de douces odeurs, féminines, un peu de fleurs, elle a dû y mettre une goutte de parfum. 
La descente se poursuit pour arriver à son sexe, sans le voir, je le devine sous mes doigts, de grosses lèvres ouvertes, un clitoris étonnamment long et un sexe bien humide. Juste lui effleurer le clitoris la fait crier d’une force qui me surprend même que j’en retire ma main de surprise. D’elle-même, elle saisit ma main pour la remettre dessus pendant que son autre tâtonne cherchant mon boxer.Pour lui faciliter la tâche, je m’allonge dans l’autre sens, mon sexe proche de sa bouche, le sien proche de la mienne. La culotte roule sur ses cuisses, m’offrant enfin la vision de ce fruit plus si défendu. Ce sexe ouvert est magnifique, son clitoris est le plus gros que j’ai vu jusqu’à présent alors que je l’ai à peine caressé. 
Son nectar est divin, ma bouche l’explore de partout, ma langue caressant son clitoris, rentrant dans ses chaires. Pendant que ses deux mains s’affairent sur mon sexe, le caressant avec l’une, l’autre massant mes couilles. Elle laisse libre cours à ses gémissements, gémissements plus forts lorsque je gémis aussi. M’encourageant à gémir de plus en plus. Lorsqu’elle m’attire le bassin au-dessus de sa bouche, je comprends facilement qu’un plaisir divin va arriver. Un petit baiser sur mon gland pour commencer avant que sa bouche ne se ferme dessus mon bassin allant à sa rencontre.  Dans cette position, je peux aller assez loin, et elle semble aimer cela tout autant que moi. Je donne le rythme, lent, régulier, à califourchon sur elle, mes doigts jouant avec son clitoris. Pendant plusieurs minutes, nous restons ainsi, ma sève montant, je préfère me retirer, et m’allonger à côté d’elle visage contre visage. Nous brillons de nos jus, salive, souriants.
C’est à ce moment qu’elle retire son foulard des yeux, ils sont brillants, pleins de fougues : "baisez-moi, fort".Des frissons parcourent mon dos avec ces mots crus. Ses jambes sont dans le vide, écartées, prête à être prise. Je ne me fais pas prier et y vais de grands coups de reins, puissants. La scène, déjà indescente le devient encore plus. Son corps bouge de partout, j’en aurai presque honte, mais ses cris ne m’encouragent pas à arrêter, au contraire.Et lorsque j’explose en elle, les jets et mes derniers mouvements la font, elle aussi, exploser dans de grands râles.
Trempé de sueur, elle aussi, Claudine est partie prendre une douche rapide avant que je la remplace. À ma sortie, elle était allongée lascivement dans un peignoir de soie, vision érotique d’une femme qui malgré son âge arrive à garder un vrai charme.  Un clin d’œil malicieux en me tendant l’enveloppe et me voici dehors, un peu fatigué, mais o combien comblé. Je m’endors assez vite et le lendemain, je constate non sans surprise que mon répondeur est bien rempli. 
La suite au prochain chapitre. En espérant que cela vous ait plu. Si c’est le cas n’hésitez pas à me le dire et à voter 
Diffuse en direct !
Regarder son live