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L'étudiante sodomisée.

Chapitre 3

Qautre gars pour me casser les fesses.

Hétéro
La caisse était tenue par un quinquagénaire bedonnant, à la face rubiconde et sympathique. Son nombril dépassait de son T-shirt trop court.

— ’Soir— Bonsoir Monsieur.— Une pièce d’identité s’il vous plaît. Dit-il gentiment.— Pourquoi ?— C’est interdit aux mineurs.— Mais je suis majeure...— Il ne suffit pas d’avoir des yeux à faire péter les braguettes et un soutien-gorge plein à craquer à faire bander un cimetière pour le prouver ma jolie Mademoiselle.
Je sortis mes papiers.
— Et le jeune homme ?— Moi aussi...— Il ne suffit pas d’avoir du poil au menton et à la bite...— Voilà, voilà, fit Léon, un peu vexé de faire moins que son âge. Il faut dire qu’il était "un homme "depuis la veille...— Merci. Bonne visite, les jeunes et amusez-vous bien, ah si j’avais votre âge ! Conclut-il en laissant traîner sur moi un regard concupiscent.— Merci.
Nous essayâmes de trouver le rayon des gels, tout en satisfaisant notre curiosité pour cette maison paradisiaque. Je flânai avec délice dans la boutique.
Il n’y avait que deux clients dans ce lieu féerique. Ils se trouvaient tous deux le long du même rayonnage, l’un regardant les films pornos et l’autre des BD. Moi, j’étais pour lors attirée par les étagères auxquelles ils tournaient le dos et qui étaient chargées de godemichets de toutes tailles et de toutes couleurs, plus ou moins réalistes et sophistiqués. J’avais décidément passé l’âge de jouer à la poupée mais mon émerveillement était intact et je parcourus ce rayon de "jouets" avec la même envie et le même désir que ceux que j’éprouvais pour les objets plus innocents que je convoitais naguère.
Quand nous étions entrés dans le rayon, les deux types nous avaient regardés. On ne pouvait pas imaginer plus fort contraste.

Celui qui regardait les CD aurait pu être le frère du caissier, plus jeune sans doute, mais quand même largement quadragénaire au juger, avec un visage plus pâle, mais tout aussi ventripotent. Il portait lui aussi un t-shirt trop court qui laissait deviner le bas de son ventre couvert de poils. Il était en pantalon de survêt.
C’était aussi la tenue de l’autre qui, lui, avait rougi en nous voyant, mais on trouble s’était vite dissipé quand il avait eu l’assurance de ne pas être reconnu sans doute. Il portait une casquette censée probablement le dissimuler, avait remonté le col d’un improbable blouson et portait un débardeur dessous. Il se laissait pousser une maigre moustache blonde et une barbe tout aussi rare vraisemblablement pour essayer de masquer sa juvénilité. On l’aurait cru sûrement plus jeune qu’il n’était, n’eût été sa présence dans la boutique. Il était maigre et dégingandé, exactement le type de gars que je n’aime pas à cause du manque de force et de puissance qui ressort de leur faible carrure.
J’étais moi-même en survêt sans rien dessous pour pouvoir me foutre à poil très vite à notre retour. J’avais un sweat-shirt à capuche sans rien dessous non plus.
— Ce n’est pas souvent qu’il vient des femmes ici, surtout si belles et si jeunes, dit le gros en me saluant avec d’un sourire carnassier
Le blondinet nous regardait à la dérobée. L’autre s’approcha.
— Je peux vous conseiller ?— Vous êtes du magasin ?— Non, non, client seulement, mais habitué, et je connais certains articles qui peuvent plaire aux dames, même si on regrette qu’une aussi jolie personne n’ait pas recours à des instruments plus, naturels, dit-il en portant ostensiblement la main à son survêt au point d’en mouler sa bite.— On a ce qu’il nous faut, répliqua Léon, un peu vivement.— C’est votre petite amie sans doute ?— Non, ma cousine.— Et vous emmenez votre cousine dans un endroit pareil, vous faites donc son initiation. Un chaperon du sexe...— En quelque sorte, répondis-je.— Dans ce cas, si vous cherchez une deuxième bite, et je ne doute pas que la vôtre soit fort prisée de Mademoiselle, donc dis-je, si vous cherchez une deuxième queue pour faire l’éducation de cette si jolie personne, je peux vous épargner un achat...
Et là-dessus, il sortit sa queue sans la moindre gêne.
Elle était plus courte que celle de mon Léon mais si tendue qu’elle remontait à toucher le ventre. Les boules étaient remontées et recouvertes de poils.
— Mais faut pas vous gêner ! Dit mon cousin alors que j’éclatai de rire.
Le jeune gars regardait la scène en louchant, sans lâcher le bouquin qu’il était en train de consulter en rayon.Je ne pus m’empêcher de tendre la main vers ce sexe.
— Anna ! Tu fais quoi ?— On n’est pas mariés mon gros lapin...— Mais tu le connais pas...— On peut apprendre très vite, répondit le type.
Je commençai à le branler.
— C’est trop vous demander de me montrer vos nichons ?
Je tournai la tête vers l’entrée où se trouvait la caisse en donnant un coup de menton qui se voulait interrogateur.
— Lui, il en a vu d’autres. C’est pas rare que certains aficionados consomment sur place.
Je retirai donc mon sweat.
Le mec siffla.
— Putain la paire de loches ! Tu m’étonnes qu’il se tape sa cousine.
Tandis que je le branlai il se mit à me palper le sein.
L’autre type, le plus jeune, s’était rapproché discrètement.
— Et elle suce cette jeune branleuse ?— Comme une déesse ! Répondit Léon qui ouvrait sa braguette.
Je me baissai donc pour avaler le petit zob qui n’attendait que ça.
— Tu fais quoi ? Cria Léon. Tu connais pas ce type. C’est ma bite que tu dois sucer.
— T’inquiète, je suis clean, affirma le client.— Qu’est-ce qui me le prouve ?— Je te laisse ma carte d’identité, s’il y a un problème tu portes plainte !— Tu parles, si elle chope la chtouille, ça nous fera une belle jambe.
Nous discutâmes un moment et je finis par accepter de le sucer mais sous capote ce qui n’était pas très agréable.
— Moi, j’suis clean dit le jeune mec qui ne parvenait pas à cacher la formidable érection qui tendait son pantalon comme une toile de tente.— Ben, rien ne nous le prouve non plus, dit mon cousin.
Je fis néanmoins signe au mec de s’avancer. Lorsqu’il baissa son froc, une énorme tige circoncise en sortit en se balançant.
— Putain, quel teubar ! S’exclama le gros mec ! Jamais vu une tringle aussi grosse ! Et pourtant j’ai des potes bien montés. Elle mesure combien cette merveille ?— J’sais pas, j’ai pas mesuré !— T’as pas mesuré ! Mon œil, tous les mecs mesurent leur queue. Oh Lucien ! Cria le gros type, amène ton mètre. T’as un client qui réclame de la capote XXL.
Le type s’approcha.
— Voilà René, mais à vue de nez c’est du 23 – 24. Tiens, approche que je te montre comment faire gamin.
Le jeune étalon s’exécuta et se colla au dit Lucien qui sortit sa bite, droite comme un i.
— Tiens, tu fais comme ça, du gland jusqu’à la base du pubis, tu vois, 13 centimètres et un peu plus. A toi.
Le gars mesura son vit.
— Tiens, un peu plus de 23 qu’est-ce que je disais ?— Je peux me joindre à vous ? Demanda le bien membré.
Il n’attendit pas la réponse et présenta sa queue.
— On se fait sucer avec une capote René ?— La petite demoiselle ne croit pas qu’on soit clean...— René ! Mais c’est le mec le plus réglo que je connaisse, dit Lucien, quant à moi, c’est clean de chez clean, dans ma situation, je peux pas me permettre ou c’est la mort du commerce. On tient à sa réputation.
Il ne m’en fallut pas plus pour débarrasser le mec de sa capote et lécher son zob découvert.
Le caissier approcha donc sa bite, lui aussi. Elle était courte mais très épaisse. Je pouvais l’avaler tout entière comme celle de René. J’allais moins loin avec celle de mon cousin, quant au monstre du jeune type, c’est tout juste si je pouvais dépasser le gland.
J’alternais, les uns après les autres.

— Putain quelle bonne suceuse ! S’exclama Lucien. Elle n’en est pas à son coup d’essai la petite salope !— Tu parles, je l’ai dépucelée hier soir...— Et réciproquement répondis-je en cessant de pomper le dard un court instant.— Vrai ? Hier ? Passe ta langue entre le gland et le prépuce pour voir, pas comme ça, mets la main, voilà, bon, c’est bon ça...
Ils faisaient cercle autour de moi et me pelotaient les seins. L’un d’eux passa derrière moi.
— Mets-toi à genoux cocotte...
Je cédai à la demande de René. Il me tâta le cul puis baissa mon survêt.
— Putain quel cul, quel beau cul !
Il glissa sa main entre mes jambes et me caressa la raie.
— Elle mouille, elle mouille...
Il termina de se foutre à poil, donnant un signal que tout le monde attendait, sauf le taulier, Lucien, qui resta habillé, mais le pantalon sur les chevilles, au cas où un client entrerait. Puis il se mit à me manger les fesses avant de glisser sa langue sur ma rondelle.
— Viens t’asseoir sur ma gueule que j’te bouffe les deux trous...
Je le fis et il se mit à me bouffer les orifices avec frénésie. Sa langue était agile, grosse mobile. Je jubilai.
Je suçai toujours les autres qui me tripotaient de toute part.
J’étais aux anges ! Hier encore j’étais pucelle, je n’avais jamais vu de bite en vrai et là, j’en avais quatre rien que pour moi.
— J’vais la monter...
Je le laissai passer, il se releva. A nouveau, je me mis à quatre pattes, il m’agrippa par les hanches et il m’enfila par-derrière. Les deux autres gars me tendaient leur sexe à sucer tandis que Léon, à genoux à côté de moi me pelotait les nichons d’une main et se masturbait de l’autre.
Le patron me déboîtait. Sa queue avait beau être courte, le gars était puissant et il me faisait du bien.
— Elle est pucelle du cul aussi ?— Oui...— Mais j’ai bien envie qu’on me sodomise. M’interrompis-je.— Y a qu’à demander.— J’veux que ce soit lui. Précisai-je en agrippant la grosse trique du jeune gars.— T’es folle cocotte. Il va te déchirer. Pour une première fois, faut y aller tout en douceur, pour pas avoir trop mal, après j’t’élargis, c’est important de pas louper la première fois pour avoir envie de recommencer, ma bite a la bonne taille. Continue de t’amuser avec les copains pendant que je te prépare suggéra René.
Je repris donc mes fellations pendant que René me bouffait le cul. Il reçut le renfort de Lucien qui me salivait le trou. Puis l’un d’eux mit du gel dans la raie de mon cul et m’introduisit un doigt, lentement d’ailleurs puis il l’enfonça de plus ne plus profondément, puis mis en deuxième. Il les agitait dans tous les sens. Je ne sentais aucune douleur mais je ne pouvais pas dire non plus que j’appréciais.
L’autre me faisait la même chose dans la chatte, ce qui était bien meilleur.
Puis il y eut un troisième doigt.
Là, ce fut plus dur. Enfin René mit sa bite contre mon trou. Il essaya d’enfoncer mais, même en s’y prenant doucement, il me fit mal.
— Ah la garce, elle est serrée. J’lui ai pourtant foutu trois doigts... ça devrait passer bordel !— Attends, on va te la chauffer autrement, tiens garçon, allonge-toi, et toi ma belle, plante-toi sur ce jonc gigantesque. A défaut de l’avoir tout de suite dans le cul, tu vas l’avoir dans la chatte et, vu le calibre, je te promets quand même un bon moment.
Les conseils que Lucien venaient de donner furent immédiatement suivis d’effet. Le jeune type, qui demanda qu’on l’appelle Elie, s’allongea et je m’empalai sur sa bite en me tournant vers lui.
L’engin était de belle taille et, bien que je fusse lubrifiée, je descendis progressivement sur le braquemart qui m’écartait les chairs. Mon vagin s’adapta lentement à la circonférence et à la longueur de l’objet. C’était délicieux. Quand je fus plus à l’aise, je me mis à danser comme une folle sur le pieu gigantesque. Je braillai comme une dingue et invitai ces messieurs à me faire subir les pires outrages. J’attrapai les bites, léchai les couilles, massai mes seins dans un complet désordre.
Quand je fus bien près de l’orgasme, René me prit par les épaules pour que je m’allonge sur le corps d’Elie qui jouait un peu du bassin pour bouger dans mon sexe. René remit son bout sur mon anus et poussa. J’étais trop chaude pour m’y opposer. La bite rentra dans un mélange de douleur et de plaisir.
— Ça y est, j’y suis et jusqu’aux couilles ! Elle est étroite la vache ! Surtout avec l’autre mandrin dans le fion. Tu la sens ma queue salope ?— Oh ouiiiii !
En fait, je sentais bien les deux. La sensation était extraordinaire. Prise en sandwich entre ces deux mecs, ce fut du délire ! René accéléra et bientôt je ne sentis plus que la chaleur de son vit, la douleur s’était évanouie. Sa cadence stimula Elie qui jouit en moi.
On me dégagea et désormais, je tendis ma croupe aux autres mâles. D’abord il y eut Lucien.
— Fais attention ma p’tite chérie, elle est plus courte mais plus épaisse. Tu vas la sentir passer.
Et je la sentis en effet, la déchirure, la chaleur, le plaisir...
— Ah bordel à queue, ça c’est du fion ! Elle est sacrément bonne.
Il me malmena de toute sa force. J’étais à genoux et j’avais du mal à me tenir sur mes bras tellement il me secouait. Quant à sucer les deux gars, c’était encore plus difficile. Quant à Elie, il se rhabilla, marmonna quelques mots d’au revoir et s’éclipsa sans rien demander de plus. Je ne sus pas réagir à temps. Sa queue avait été prodigieuse dans mon vagin et j’aurais dû lui demander son adresse. Il me serait sans doute difficile de retrouver un pieu pareil.
— A toi mon cousin ! Dis-je, reprenant le fil de l’action.
Et mon cousin m’enfila. Plus longue, sa bite entra cependant sans problème et je l’appréciai davantage. Je n’avais plus mal du tout.
Je restai donc avec mon cousin et les deux "quinquagénaires" qui se démenèrent dans tous mes trous, en tournante, jusqu’à ce que chacun éjacule, l’un dans le fion, ce fut René, les deux autres sur mes seins.
Après une toilette sommaire, Lucien nous offrit, en guise de remerciement, un gode magistral, un tube de gel et un CD avec toutes les positions du Kamasutra.
— Tu as du potentiel, cultive-le !— Avec Lucien, ajouta René, on réunit parfois quelques amis autour d’une belle femme, pas plus d’une dizaine, et de beaux calibres, bons baiseurs en tout cas. Ça te dirait de venir un dimanche après-midi, avec Léon s’il veut hein !— Carrément !— Tu me donnes ton 06 ?
Je préférai lui laisser celui de mon cousin ayant peur que mes parents ne fouillent dans mon iPhone quand je rentrerai à la maison.
Nous prîmes congé.
Sur le chemin du retour, Léon me dit.
— Putain qu’est-ce que tu nous fais faire ! J’étais puceau hier et je me retrouve dans un plan à quatre ce soir et bientôt dans un gang bang avec des inconnus.— C’est quoi un gang bang ?— Ben, t’es conne ou quoi ? C’est ce qu’il t’a proposé. Une fille, plusieurs mecs.— Ah ça s’appelle comme ça. Hmmmm ça va être bien, j’crois que je vais me plaire dans cette ville.— Oui, mais ça va devenir dur de travailler le soir avec toi...— Le soir et les week-ends !— Olala, t’es chaude, t’es chaude...— Dis que ça te déplaît !— Attends demain que je rebande et tu verras.
A suivre.
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