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L'étudiante sodomisée.

Chapitre 4

Colocatrois

Hétéro
Les jours suivants installèrent une certaine routine. Si j’avais eu de la chance au démarrage, il devenait plus difficile de lever du mec. Ce n’est pas qu’il y eût désert autour de moi, au contraire. Plusieurs gars papillonnaient près de soutien-gorge, à la fac, dans le bus ou le métro, ou encore ailleurs. Il faut dire que je savais mettre mon décolleté en valeur. Sans doute quelques-uns auraient pu être de mon goût, mais c’était surtout ce qu’ils avaient dans la culotte qui m’intéressait et il m’était impossible d’en faire l’inventaire qu’au jugé, grossièrement, au travers de l’étoffe de leurs pantalons plus ou moins moule-bites.
De plus, au risque de me répéter encore une fois, je tenais à garder mes activités secrètes. J’attendais donc le gang bang promis par le gars du sex-shop tout en profitant de mon cousin qui devenait de plus en plus accro au cul. Il ne me laissait plus prendre l’initiative et quand il avait envie de niquer, il me le faisait savoir, par exemple en frappant à ma porte et, lorsque je disais d’entrer, il ne laissait apercevoir que son nœud. Son tempérament s’en trouvait changé. Il avait dû prendre sacrément confiance en lui le tricard, et sa timidité ne semblait plus qu’un souvenir. Il témoignait d’une alacrité que je ne lui avais jamais connue.
D’ailleurs, je vivais le plus clair du temps à poil, ce qui lui permettait de me doigter ou de me prendre à sa guise, quand l’envie lui prenait. On forniquait presque tous les jours et parfois, plusieurs fois dans la journée, notamment le dimanche.
Un soir pourtant, après m’avoir fécondée, il me dit avec un regret dans la voix:
— C’était hyperbon... mais hélas ! Fini de s’amuser !— Ah bon ? Et pourquoi donc ? Tu deviens ascète ?— Dis pas de connerie ! non, non... mais Issan arrive demain.— Tant mieux au contraire ! Tu vas pas te formaliser si je couche avec lui... ou si on baise à trois... T’as bien aimé au sex-shop...— C’est clair... D’ailleurs, je ne sais pas ce qu’ils attendent pour leur partouze les mecs... on devrait les relancer... Bref... Mais pour Issan, je ne sais pas s’il est partant... je connais rien de sa libido.— Il est gay ton coloc ?— Non, enfin je crois pas... À vrai dire... j’en sais vraiment rien je te dis ! rien. On n’a jamais parlé de cul ensemble. Jamais.— Sans dec ?— Juré.— Deux mecs qui vivent sous le même toit et qui ne parlent pas de cul ? Ça existe ?— J’t’assure... je te rappelle, j’étais puceau avant toi et je me mâtai des films de boules... mais avec Issan, on n’a jamais parlé que de boulot ou de banalités. Jamais plan branle ou nanas...
Je réfléchis un moment.
— S’il a une bite et qu’il aime les femmes, demain soir, on baise.— Tu veux ?— Ça va pas te gêner de me prendre avec lui ? Si ?
— J’sais pas, c’est particulier... Après, s’il y prend goût comme moi... Comment on va lui en parler ?— T’occupe ! Je m’en charge.
Issan Dlatij-Kitrikatoova arriva le lendemain en soirée.
C’était un Africain noir comme l’ébène, très grand et très mince. Ce n’était pas spécialement le genre de marmule que j’escomptais. J’étais déçue au premier abord. Moi qui espérais un mâle bien baraqué ! Mais, bon, on verrait ce qu’il y avait dans le slip.
Léon fit les présentations. Issan n’était pas surpris de me voir là, car mon cousin l’avait averti par mail de ma présence.
Les retrouvailles furent chaleureuses entre les deux colocs. Ils s’aimaient bien, parlèrent études, reprises des cours, jeux vidéos, etc. pendant l’apéro et le repas. J’intervins assez peu dans la conversation, mais répondis aux questions de mon nouveau coloc quant à mes études et autres choses du quotidien. Il ne paraissait pas perturbé de devoir partager la coloc avec une fille.
Arrivé au dessert, je passais à l’attaque en le questionnant discrètement, d’abord sur sa famille, puis je lui demandais s’il avait une petite amie. Il n’en avait pas.
— Ça t’intéresse pas les filles ?
Il éclata de rire !
— Si... mais j’ai pas trouvé... pas le temps... les études, tout ça.— Même pas chez toi ?— Oh non, quand on commence à sortir avec une fille dans mon pays, les familles parlent mariage tout de suite... je suis pas pressé.— Et t’es encore puceau ?
Là, il faillit s’étrangler toujours en riant. Un rire qui cachait bien souvent une forme de gêne.
— Dis donc, elle est directe ta cousine...— Oui, répondit Léon, te formalise pas.— Alors t’es puceau ?— Bah, j’ai bien eu quelques flirts dans des soirées ici...— Mais tu n’as jamais trempé ta trique ?
Il éclata de rire à nouveau.
— Ça devient gênant là...— T’es puceau, avoue.— Bon ben, on va peut-être débarrasser... essaya-t-il de botter en touche.— Tu sais ? repris-je. Léon ne l’est plus que depuis quinze jours. Alors y a pas de honte...
Issan regarda mon cousin d’un air interrogateur.
— C’est vrai ?— Oui...— Ah... et tu racontes cela à ta cousine ?— J’étais pucelle aussi il y a quinze jours.
Il nous regarda l’un après l’autre, interloqué, en s’interdisant sans doute de faire l’association d’idées qui lui venait à l’esprit. Il secouait doucement la tête en disant non, non, non, non et en rigolant.

Je secouais la tête aussi en sens affirmatif.
— Non, non, non, je vous crois pas... tu me bizutes là Léon, Ah, ah, ah.— Non regarde !
Et je roulais une pelle à mon cousin qui n’opposa aucune résistance.
— Tu vois !
Il rigolait de plus belle.
— C’est pas possible, pas possible...— Pourquoi, chez vous personne ne nique sa cousine ?— Si, bien sûr, ça arrive... mais pas vous...— Tu as vu...— Un baiser, ça se simule... C’est comme au cinéma... C’est pas comme...— Comme quoi ?— Comme le reste.
Je m’approchais de mon cousin à le toucher.
— Caresse-moi mon gros.
Lentement, Léon mit ses mains sur mes jambes, remonta sous la jupe et commença à me doigter sous l’œil ébahi de l’Africain qui continuait à rire.
— T’as une coque... c’est truqué !
J’enlevai mon chemisier, puis baissai ma jupe. Issan put ainsi voir, à peine cachée par la finesse de la dentelle, la main qui s’agitait sur ma toison et le majeur, ainsi que l’index disparaître dans la fente.
Puis je me penchai. Tout en regardant Issan, qui demeurait assis, de la façon la plus provocante possible, je défis la braguette. Puis je titillai le gland de mon cousin avec la langue.
Issan était estomaqué. Il nous fixait, interdit, la mâchoire grande ouverte, les yeux écarquillés.D’un geste, je lui fis signe d’approcher, mais il demeura immobile, pétrifié.
— Allez Issan, viens quoi, elle est super bonne.
Décidément, il avait bien évolué le cousin depuis une quinzaine.
Issan sembla sortir de sa torpeur, secoua la tête incrédule et se leva lentement, mais il n’avança pas.
— Allez balourd, come on ! Elle prend par tous les trous.— Mais, c’est c’est... c’est quoi ? C’est ta cousine, ta copine ?— C’est ma cousine et un bon plan cul... elle va nous vider les couilles man, approche.
Alors il se décida. Il y avait une belle bosse sous son jean.
Je défis le ceinturon et les boutons. Fort heureusement, nous l’avions dissuadé de se doucher à son arrivée en attaquant directement par l’apéro. Il était encore marqué par la chaleur du voyage. Il s’en dégageait une magnifique et puissante odeur d’homme qui augmentait à mesure que je me rapprochais de son sexe.
Je sortis le pénis pendant qu’Issan commençait à déboutonner sa chemise.
La queue était magnifique dans son écrin de poils denses et très foncés. Elle était légèrement courbée et le gland se détachait nettement. Je le pris dans ma bouche.
— Ooooooh ! fit le garçon.
Derrière moi, Léon se déshabillait entièrement. Quand il fut nu, il s’agenouilla, se colla à moi et me caressa le sexe et les seins.Issan ne cessait de gémir : "Oooooh, oooooh..." et murmurait des trucs incompréhensibles dans sa langue.
— Tu vois mon gars, c’est bon hein ?— Oui, oui, c’est bon... c’est super bon.
Je léchai le gland, la hampe, les couilles en m’enivrant de son parfum de mâle.
— Tu sais à qui il me fait penser dit Léon ?— Au blondinet du sex-shop ?— Tout juste.— Ah bon ? Moi j’vous fais penser à un blondinet. C’est la première fois qu’on me dit ça !— Ouais. Même gabarit. Grand mince, avec une grosse queue...— Une bonne queue, précisai-je.
Les gars continuèrent à s’occuper de moi pendant quelques minutes. Issan devenait de plus en plus entreprenant et ses mains se promenaient sur mon visage et il se penchait pour atteindre mes gros boops que Léon libéra en se consacrant tout à fait à mon vagin et à ma rondelle.
— Allez, on va sur un pieu... dit mon cousin, en me donnant une grande claque sur le cul en signe de départ.
Nous prîmes la direction de sa chambre. Il me poussa sur le lit.
— Ecarte tes cuisses et suce mes boules, ordonna-t-il en se mettant à quatre pattes au-dessus de ma tête.
Ma langue se promena sur les testicules, qu’il épilait bien soigneusement désormais. Depuis le matin qu’ils marinaient dans le boxer, il s’en dégageait un attrait olfactif irrésistible. Je m’en délectai et, pendant ce temps, Léon faisait la visite du propriétaire.Il s’était penché au-dessus de moi et écartai les grandes lèvres.
— Regarde Issan, regarde la chatte... T’as d’jà vu une vulve d’aussi près ? C’est pas beau ça mon pote ? T’as vu comme le clito est gonflé... Elle attend l’homme mon gars, elle attend l’homme...
Puis il inséra deux doigts dans mon con.
— Putain, t’as vu comme elle mouille... Allez, fous tes doigts ! Vas-y...
Je sentis les doigts du nouveau colocataire entrer dans mon trou pendant que mon cousin continuait à me chatouiller le clito.
— Vas-y bordel, fais pas ton timide... allez, plus vite... voilà... t’as vu comme elle se tortille... Elle aime.
De fait, tout en continuant de me régaler des joyeuses familiales, je ne boudais pas le plaisir que je ressentais dans le bas-ventre.
— Allez, snife, snife tes doigts... ça sent bon la chatte, hein... Ça t’excite p’tit vicelard... Bouffe-lui la chatte maintenant.
Et le débutant posa sa bouche sur mon sexe, toujours en suivant les recommandations de mon cousin qui venait de se décaler un peu et avait guidé sa bite vers ma bouche. Je suçotai le gland mouillé.
— Aspire l’abricot, remue ta langue, vas-y... enfonce là dans le trou... n’aie pas peur, c’est pas toxique.
Issan s’était désormais allongé entre mes jambes et tendait ses bras vers mes seins qu’il pétrissait avec force.Léon se dégagea un peu pour venir me rouler des pelles. Entre deux galoches, il commentait.
— T’es belle comme ça... T’aimes qu’il te bouffe la chatte... tu veux qu’il te pince les tétons ?
Comme je répondis positivement, je sentis les doigts du black se resserrer sur mes seins, en capturer le bout et, quand il l’eut fait, il me les tritura à m’en faire mal... mal compensé par ma chatte en feu dégoulinante de cyprine et de salive qui me procurait un bonheur intense.
— Tiens, pousse-toi bonhomme, j’vais te montrer... mets-toi sur le côté qu’elle te suce pendant ce temps là. Ecarte tes cuisses Anna... Oooooh putain, c’est booooonnnn...
C’était effectivement génial que de sentir cette queue bien raide m’enfiler.
— T’as vu, t’as vu ma bite dans sa chatte, tiens, tu fais comme ça, là, putain... tu la ramones jusqu’à fond, là... t’as vu ? J’enfile tout mon zob dans sa grosse chatte, jusqu’aux couilles. T’as envie de la fendre aussi hein...— Grave...— Ça va être ton tour.
Et là-dessus, il se retira. Je crus que c’était pour donner la place à son pote, mais pas encore.
— Arrondis ton cul chéri... ramène tes jambes... ouais comme ça... T’as vu, la moule et trou du cul en même temps... penche-toi et bouffe-moi-le...— Le cul aussi ?— Ouais gros ! Le cul aussi... Faut qu’il glisse parce qu’on va se la fourrer dans tous les trous je t’ai dit. Allez dilate-moi ça... j’attrape le gel.
Issan se mit donc en devoir de me lécher l’anus, un peu timidement d’abord. Je lui fis comprendre par les mouvements du corps qu’il devait parcourir tout l’entrejambe, de la raie du cul à celle de la chatte. Il ne fut pas longtemps à capter.
— Anna... je trouve pas le gel !— Dans ma chambre ou la salle de bain... Tu l’as mis où la dernière fois ?— Je cherche.
Il revint peu après avec le tube dans une main pendant que, de l’autre, il s’enduisait déjà le zboub.
— Tiens, pousse-toi !
Quand Issan eut libéré mon cul, Léon me graissa la rondelle, tout en décrivant ce qu’il faisait, comme s’il était le commandant Cousteau du déduit, puis il me pénétra.
— Même avec du gel, faut y aller lentement. C’est plus étroit et elle est un peu douillette de ce côté-là... bon, c’est mieux quand tu prends par-derrière... Tu te mets à quatre pattes pour que je lui montre.— Je crois qu’il a compris quand même là... A lui le tour ! Allez viens, t’attends que ça.
Beau joueur, mon cousin s’écarta. Je m’allongeai et ouvris les cuisses. Issan se coucha sur moi.
— Vas-y molo... c’est ta première fois, profite mon pote ! conseilla Léon tout en se pignolant.
Issan s’appliqua et j’en fus fort satisfaite. Sa bonne queue faisait merveille. Léon mâtait en silence pendant que l’autre coulissait en moi, tout en me bouffant tantôt les seins, tantôt la bouche.Mes doigts courraient sur son corps trop maigre à mon goût, mais, ses fesses, en revanche, offraient une parfaite rondeur. Léon lui en fit d’ailleurs la remarque.
— T’as un beau p’tit cul toi dis donc... et tu le remues bien... Allez, change un peu de position mec ! Tu vas pas rester allongé tout le temps comme ça. - Prends-la en levrette, c’est super kiffant.
Je présentais donc ma croupe au jeune gaillard toujours bien raide.
— Tu la lui mets dans la chatte d’abord et après dans le cul... perds pas le contrôle... va pas juter tout de suite...— D’autant que j’aimerais bien voir comment tu jutes, ajoutai-je.
Les deux gars se mirent donc à me limer en cadence, qui dans la chatte qui dans la bouche. Mais Issan commença à s’emballer.
— Retire-toi, retire-toi... retiens-toi !
Il était temps ! Il allait jouir. Il prit donc quelques minutes de repos pendant lesquelles mon cousin m’enconna.
— Tu peux reprendre ?— Ouais, je crois que c’est bon !— Bon ça ! Allez, tu la lui mets dans le cul maintenant. Tu vas doucement hein, sans ça, tu vas remonter dans les tours et tu vas te vider les couilles dedans. Je me suis fait avoir au début, mais maintenant... self-control !— C’est vrai que tu es devenu vachement plus endurant, confirmai-je.
La bite entra violemment, car Issan ne prit pas la peine de se contenir, pensant peut-être qu’elle allait pénétrer comme dans le vagin. Il m’arracha un cri de douleur auquel il ne prit pas garde et commença ses lents va-et-vient.
— C’est bon... serré hein ? T’aimes aussi ? Tu préfères quoi ?— Putain... tout est bon... c’est trop puiss...
Il n’avait pas fini sa phrase qu’un violent coup de sonnette retentit (elle est très forte) nous plongeant tous les trois dans l’immobilisme.
— C’est qui ? Vous attendez quelqu’un ? questionnai-je ! Au bout de quelques secondes.— Dimitri ! J’ai oublié Dimitri ! répondit Issan. Putain quel con ! Faut dire aussi que vous m’avez tourné la tête !— C’est qui ?— C’est un pote. J’avais des affaires à lui rendre et je lui ai dit de passer à la va-vite ce soir... Je pouvais pas prévoir...
Il y eut un autre coup de sonnette, plus long. On sentait une certaine impatience.
— Il aime les plans à trois ton pote ? dis-je en me levant et en me dirigeant vers le couloir la chatte tout humide.
A suivre.
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