Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 131 J'aime
  • 3 Commentaires

L'étudiante sodomisée.

Chapitre 5

Deux nouveaux venus.

Avec plusieurs hommes
Je regardai par Le Judas ! Ouf ! Le beau mâle. Un grand blond frisé avec les muscles développés et la chemisette, peut-être un peu petite, tendue a tiré sur les boutons.
J’ouvris.
Le mec eut un court instant de sidération, devint pourpre et balbutia :
— Oh, excusez-moi, je crois que je me suis trompé d’étage.— Tu es le pote d’Issan ?— Oui.— Tu es au bon étage... entre ! On était en train de baiser.
Je le tirai par la main, refermai vivement la porte.
— Je suis Annabelle, la nouvelle coloc.— Moi, c’est Dimitri ! dit-il, comme dans un rêve.— Je sais. Tu aimes la baise Dimitri ?
Nous étions déjà arrivés à la chambre où Issan avait remis son slip. Léon en revanche se tenait encore sur le lit en se branlant. Il se leva, visiblement surpris que j’introduise Dimitri sur-le-champ de bataille.
— Salut, dit Issan qui ne savait plus où se foutre.— Salut, dit Léon qui paraissait, lui, plus contrarié, ayant sans doute peur de voir notre petit jeu s’arrêter là.— J’vous dérange, je vois.— Pas du tout, répondis-je, tu vas te joindre à nous...— Me joindre à vous ? Je peux pas... j’ai une copine... s’excusa-t-il.— Appelle-la ! Deux filles et trois gars, ça le fait.
— Ah, non... non, c’est pas trop son truc le partage.— C’est pas grave, viens quand même, elle en saura rien.
Je m’appuyai contre lui et lui mis la main au paquet. Il bandait. J’étais contente de mon petit effet.
Il se recula.
— Nan, mais vraiment, je peux pas.
J’augmentai ma pression puis lui roulait une pelle. J’arrêtai un court instant.
— Mets ta main sur ma chatte... elle est bien mouillée.
Je saisis sa main pour la guider entre mes jambes. Il laissa faire.
Je me remis à le palocher. Il commençait à triturer mon clito.
— Tu as déjà sodomisé ta copine ?— Non, non... pourquoi ?— Parce que j’ai envie que tu me prennes dans le cul.
Alors, je me mis à défaire sa chemise. Quand tous les boutons furent enlevés, je le laissai achever et m’intéressai à la braguette.
Un bonheur n’est jamais complet. Si son corps était tel que je les aime, athlétique et bien proportionné, sa bite, en revanche, était plutôt petite au regard des deux autres types qui étaient dans la pièce et qui étaient calibrés de 18 à 20. Pour autant, elle était dure et le gland était joliment dessiné.

J’entrepris de la sucer.
Les deux autres gars rappliquèrent. Issan avait de nouveau enlevé son slip et me présentait sa queue pour que je lui rende les mêmes honneurs qu’à celle de son pote.
Puis je m’allongeai à nouveau sur le plumard.
— Bouffe-moi la chatte Dimitri.
Il se jeta dessus comme un affamé. Issan continuait de se faire sucer pendant que Léon me malaxait les nichons.Ils s’organisèrent tacitement pour me prendre en tournante. Quand son tour revint, Dimitri me pénétra sauvagement. Lui, visiblement, n’était pas puceau. Il savait y faire et son ardeur compensait avantageusement les proportions moyennes de sa queue.
Je les laissai s’amuser ainsi pendant quelques tours. Les gars se stimulaient, commentaient, me complimentaient et, bien sûr, m’insultaient comme il se doit dans ce genre de circonstance.
Quand approcha Dimitri, je me mis à quatre pattes.
— Là c’est clair, Dimitri. Elle la veut dans le cul.— Vrai ?
Je me tournai vers lui.
— Enfonce-la-moi jusqu’aux couilles.
Il ne se fit pas prier, mais le fit délicatement. J’étais tellement excitée qu’il n’eut même pas besoin de remettre du gel. Il faut dire que j’avais déjà bien été préparée avant.
Là encore, je pus juger de sa maestria. Il me besognait avec ardeur, ses coups de queue étaient divins. Il les assénait sans se presser, mais en y mettant toute la puissance de son corps. Sa force était telle que je dus m’allonger complètement. Complètement couché sur moi, sa bite toujours entre mes fesses, il me labourait de son soc sans fatiguer.
Je pus ainsi me faire un bilan comparatif des bites et de l’usage que l’on en fait. Ce garçon me confirmait que tout n’est point affaire de taille, tant s’en faut ! Mais qu’il y peut y avoir, vigueur, rigidité et savoir-faire. Dimitri n’en manquait pas. Et visiblement, il aimait ça. Frustré sans doute de ne pas pouvoir sodomiser sa copine, il se rattrapait avec moi avec une délectation qui lui rappelait des ébats plus anciens comme il nous le confirma par la suite dans les propos qui accompagnèrent ses coups de zob.
Je pus aussi constater qu’une verge de trop grande taille peut être un handicap dans la chatte alors qu’elle meurtrit moins le cul. En revanche, une bite de petite taille est moins agréable dans l’anus qu’une grosse, même si elle passe bien dans le vagin pour peu que le mec qui est vissé dessus sache la piloter correctement.
Pour lors, les garçons avaient trouvé leur rythme et je passais un agréable moment, expérimentant les orgasmes à répétition. Plus ils s’enchaînaient, plus je me déchaînais.
— Gueule moins ! Tu vas ameuter tout le quartier.— S’il y a des bonnes bites dans le quartier, je m’en fous ! Que le quartier vienne !— Y a qu’un moyen de la faire taire ! Ouvre ta bouche !
Évidemment, je fus prise en sandwich, comme au sex-shop ! Quel pied de sentir un mec de chaque côté et d’avoir une bonne sucette à l’anis dans la bouche.
— Laissez-moi le cul, laissez-moi lui péter son petit cul, implora Dimitri.
Il fut exhaussé. Il continuait toujours à me troncher avec vigueur et semblait communiquer sa force à mon cousin sur lequel j’étais emboîtée.Moins expert, Issan découilla le premier. Mais, bien briffé par les deux autres boute-en-train, il maîtrisa quand même la situation au point de me laisser le temps de le prendre entre mes seins où il déversa abondamment son jus de burnes.
Naturellement, Léon en prit plein sur la tronche vu que j’étais en train de le chevaucher. Il ne parut pas s’en émouvoir.
— Dites les gars ? Vous voulez pas me prendre ensemble dans le même trou ?— Oh si ! cool !
Aussitôt dit, aussitôt Fait. Je n’eus pas à me déplacer beaucoup pour que Léon passe de ma chatte à mon cul d’où Dimitri s’était retiré le temps de la manœuvre.
— Oh putain que c’est bon ! Elle encaisse vachement bien la bite ta cousine !— C’est bon hein ?— Tu parles, je kiffe putain, je kiffe ! Le pieeeeeed.....
Cependant, cette compression des deux bites bien serrées dans mon cul pourtant archidilaté excita les garçons. Léon, qui contrôlait moins la situation, céda le premier.
— Faut que je me retire là, je vais juter !
Nous le laissâmes donc se mettre debout et le sperme vint bientôt dégouliner sur mon cou et mes nichons.
— J’vais jouir dans son cul, j’vais jouir dans son cul bordel ! éructa l’autre peu après.— Non, sur mes seins sur mes seins, j’veux voir ton tir.
Mais il était trop tard. Il se crispa, me plaqua sur le matelas, se bloqua et je sentis sa queue pulser en moi à chaque tir de foutre.
Il resta un moment sur moi à reprendre son souffle. Nos peaux collaient l’une à l’autre. Puis il se retira.
— Putain ! J’vais être en retard... faut que j’aille me doucher.— Vas-y.
Je restai avec les deux autres garçons, étendus jambes ouvertes et bite flaccide. Je m’immisçai jusqu’au zob noir pour y déposer de petits bisous. Puis remarquant que Léon avait du sperme sur sa barbe récente, je vins tout prendre.
— T’as encore du sperme sur la barbe !— Du sperme ?— Celui d’Issan.— C’est vrai que tu m’as juté dessus gros porc.— C’est pas toi que je visais...
Ayant tout récolté, je revins jouer avec les sexes mous.
— C’est... c’est dingue... dit Issan.— Quoi ?— Ben... tout ça... je débarque... je perds ma virginité et je baise avec mes meilleurs potes...— En même temps qu’eux tu veux dire ?— Ouais... ouais... vous faites cela souvent ?— Des plans à trois ?— Mais non ! L’amour je veux dire.— Oui, presque tous les jours et le plus souvent plusieurs fois par jour...— Plusieurs fois... dit-il, songeur. On pourra recommencer ?— Dès que tu es d’attaque.— Pas aujourd’hui. Je suis vraiment crevé. Faut que j’aille me coucher. Dimitri a fini sa douche, j’y vais aussi.
Dimitri survint en effet. Il s’essuya et remit se vêtements en silence.
— Bon ben j’y vais. J’vais être à la bourre.— Ça va pas tellement te changer !— Lol !

Je le raccompagnai à la porte.
— Vous direz rien à Juliette.— Elle s’appelle Juliette ?— Vous direz rien ?— Tu devrais la convaincre de se joindre à nous.— La connaissant comme je la connais, c’est mort. Donc silence hein ?— Oui, mais à condition que tu reviennes... tu es un excellent baiseur.— Ouais, Ouais... on verra.
Quand je refermai la porte, mon cousin était derrière moi. Il m’attrapa les seins, se plaqua contre moi.
Ma cousine, ma cousine, ma délicieuse cousine... j’aime te seins, ton p’tit cul, si seulement je pouvais déjà rebander... Putain c’est trop cool, on va être à deux pour te sauter...
Je le laissai déblatérer sans faire attention à ce qu’il disait en pensant qu’il me faudrait peut-être connaître la fameuse Juliette. Un plan à deux nanas pouvait me plaire et je me faisais fort de la convaincre.
A suivre.
Diffuse en direct !
Regarder son live