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L'étudiante sodomisée.

Chapitre 6

Pizzaïolo, pizza au lit.

Avec plusieurs hommes
La routine s’installa à trois comme elle s’était installée à deux. J’attendais toujours mon gang bang avec les gars du sex-shop et j’espérais revoir Dimitri et connaître sa meuf pour essayer un plan à plusieurs nanas.
Je n’avais pourtant pas à me plaindre. Les deux garçons étaient assidus et il n’était pas un jour sans que je me fasse prendre par l’un ou l’autre et le plus souvent les deux. J’avais l’habitude désormais de me balader nue dans l’appart et les gars en firent bientôt autant. Chacun filait mettre un survêtement quand on sonnait à l’improviste.
J’aimais cette situation où le désir des garçons était visible dès qu’il les envahissait. La bite tendue était alors en libre service... et une fois par mois, je prenais exclusivement dans le cul.
Mais ce dont je me rendais compte c’est que j’avais un besoin de nouveauté. Je voulais des bites, toujours des bites, mais pas forcément les mêmes. Certes, j’aurais pu avoir facilement mon lot de manches à couilles rien qu’avec les lourdingues qui fréquentent le bus, minets en baskets ou fausses racailles en débardeurs et casquettes, les occasions ne manquèrent pas et j’aurais pu balancer plus d’un porc.
Mais je ne voulais en rien déroger à la règle que je m’étais fixée: je ne laisserai aucun homme décider. C’est moi qui irais vers eux. A ce compte là pourtant, mon tableau de chasse n’avançait guère... et même pas du tout.
L’automne pourtant déjà avançait et par un pluvieux dimanche après-midi nous vint l’idée suivante destinée à varier mon ordinaire.
Nous avions forniqué pendant plus de trois quarts d’heure et, comme il arrivait parfois quand nous n’avions pas trop de boulot, nous prolongions dans le lit en regardant des films sur PC.
Tout en visionnant, on continuait les petits bisous, les petites caresses ; je tripotais les sexes mous, les garçons me titillaient les tétons ou le clitoris presque machinalement. Nous pouvions attendre ainsi qu’ils se reposent jusqu’à la prochaine érection. J’aimais bien ces moments où mon excitation ne déclinait pas et j’adorais voir la leur remonter. De plus, le second tour de baise était souvent plus long. Les gars, les couilles déjà délestées, étaient plus résistants au second tour.
L’heure du dîner approchait.
— Dis Anna ?— Hmmm ?— Tu aimes le sperme sur ta pizza ?
Je compris immédiatement l’idée qui avait germé dans le cerveau de ce cochon de Léon.
— Sûrement.— On commande ?— Clair.
Nous arrêtâmes notre choix, mais, finalement, comme nous n’avions pas les mêmes goûts, Issan eut le temps de réfléchir un peu plus et intervint.
— T’as validé la commande ?— Non, mais j’allais le faire.— Ben attends !— Pourquoi ? T’as une autre idée ?— Comme on prend pas les mêmes pizzas, on n’est pas obligé de les prendre au même endroit !— Ni au même moment, m’empressai-je d’ajouter !— Héhé... fit Léon.
Quand les garçons furent en état de rebander et la première commande passée, nous mîmes en place un petit stratagème.
La chambre d’Issan est la première dans le couloir. Je me mis en levrette sur son lit, tête tournée vers la porte qui bien sûr allait rester grande ouverte.
Le premier livreur sonna.
Léon, torse nu, sexe bien tendu dans son slip, alla ouvrir.
— Entre, merci. Attends, je vais chercher la monnaie.
Le tutoiement nous indiquait un homme jeune, apte à remplir sa mission. Léon passa dans le couloir et je me mis à gémir comme une folle.Il ne fallut pas longtemps pour que le gars s’approche discrètement dans le couloir. Dès qu’il m’aperçut et qu’il se rendit compte qu’il était vu, il se recula gêné.
— Approche, approche, fit la voix de mon cousin qui revenait alors.
Il fallut presque aller chercher le mec.
— T’as bien deux minutes...— Vite fait répondit l’autre qui enleva sa parka rouge et ouvrit sa braguette.
La queue était normale et je l’aidais à décalotter en la prenant en main avant de l’avaler.Issan me bourrait toujours.
— Tu veux la mettre ?
Pour toute réponse, le gars fouilla dans sa poche et sortit une capote.
— Tu es prêt à tout !— Il arrive qu’on livre des femmes seules...— Ça doit retarder vos livraisons.— Oui... mais là, j’n’en ai pas d’autres... Il est encore assez tôt. Quand c’est comme ça, on demande à un collègue de le faire et on lui donne l’adresse pour la prochaine fois.— Donc, si on recommande, c’est un de tes potes qui viendra.— Non... je reviendrai. J’ai pas à me faire remplacer là. J’espère juste que l’on ne m’appellera pas.— Tu pourrais dire à tes potes de venir ?— Là, maintenant ?— Non, mais plus tard. Vous êtes combien ?— Dans le circuit on est trois, plus le patron qui nous laisse faire à condition qu’on lui donne les bonnes adresses.— Donc tu n’en es pas à ton coup d’essai.— Non, mais à quatre c’est une première... souvent le gars est avec sa copine, parfois c’est des femmes célibataires ou vieilles ou les deux à la fois.
Le mec me baisa vite. C’était fait en moins de dix minutes.
Avant qu’il parte, je lui demandais :
— Ils sont bien tes potes ?— Comment ça ? Physiquement ?— Oui.— Ouais, bof, ça va.— Bien membrés ?— J’sais pas. Jamais vu.— Tu peux leur dire de venir ?— Aux deux autres ?— Oui.— OK, mais quand ?— Quand ils peuvent. Ils sonnent et disent qu’ils apportent la sauce pour la pizza.— Ça marche. Tu veux le patron aussi ?— Il est comment ?— La cinquantaine, grand et gros, mais je pense que c’est un bon gros coup... enfin à l’écouter. Il parle que de cul. Par contre, il est au four ce soir...
Il peut venir vers onze heures, minuit, je pense.
Je lui dis.
Et il partit. Nous commandâmes la deuxième pizza dans une autre enseigne. Le stratagème fonctionna à nouveau. C’était un rebeu chaud comme la braise à qui il fallut fournir le préservatif. Lui c’était sa première fois. Il me prit en missionnaire. Sa queue pulsait bien et il était en sueur.
Sa capote fut pleine de jus en un instant. Ces livreurs de pizza étaient décidément trop pressés. Il partit en nous faisant promettre de ne rien dire à son chef.
Une fois ma pizza passée au micro-ondes, je vidais les deux présos sur ce plat délicieux et mangeai ma part de bon appétit sous le regard amusé des convives dégustant la leur, beaucoup plus sèche.
Une fois rassasiés, nous reprîmes notre plan à trois en espérant d’autres coups de sonnette.
Mais ils ne vinrent pas, du moins pas tout de suite. Léon et Issan eurent le temps de finir. Ils éjaculèrent presque simultanément dans ma chatte où chacun avait engagé sa bite, bien serrée contre l’autre dans ma boîte à bonheur.
Léon avait du travail. Issan resta avec moi.
— Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Tu attends les autres gars ?— Problème ! Vont-ils venir ?— Ouais... incertain... Ecoute, j’ai rien à glander. On se mate un film au cas où.— Ouais... on se fait un porno ?— Bien ça... On va rester dans le thème.— Tu seras d’attaque ?— Là franchement, tu m’as vidé les couilles. Je pense pas être capable de rebander avant ma gaule du matin...— Pas grave, tu regarderas.
Nous installâmes l’ordi au pied de mon lit. Je m’ y allongeai sur le ventre pendant qu’Issan s’assit à même le sol, le dos contre le sommier.
Sur l’écran, une brune à gros seins était entrée par mégarde dans des pissotières pleines de blacks. Ils avaient librement interprété sa démarche et elle était en train de se faire défoncer brutalement par tous les trous la veinarde. Elle en était déjà à plusieurs giclées quand l’interphone de notre logis fit entendre son bruit strident.
Issan se leva, y alla, répondit.
— C’est un gars qui livre la sauce pour la pizza, me lança-t-il.
Puis j’attendis le temps nécessaire pour que mon nouveau compagnon de jeu gravisse l’escalier.
— Salut, c’est bien ici...— Viens, elle est par là ! dit Issan qui coupa notre nouvel invité.
Le mec était replet et boutonneux, ce qui lui donnait un air d’adolescent, surtout qu’il avait une tête juvénile.
— T’as quel âge ?— 21 et toi ?— T’as une carte professionnelle ?— C’est utile ?— Indispensable. On te connaît pas.— Ben si je viens, c’est que mon collègue m’a prévenu. J’suis dans la combine dit-il, sûr de lui, en se déshabillant.— N’empêche, on aurait pu te refiler l’unif et t’as peut-être rien à voir avec la boîte.— OK, OK, regarde.
Il avait effectivement une carte professionnelle qui attestait son âge.
Ce n’était clairement pas une beauté. Il était grassouillet, avec des chairs molles et des bourrelets, et les genoux cagneux. Il était couvert de boutons et de croûtes... Et il avait une bite courte, mais très épaisse et les prunes remontées presque au point de presque disparaître dans sa touffe d’un brun profond.
Sa petite quéquette était tendue à mort.
Il grimpa sur le lit.
— Putain, t’es canon toi... D’habitude, on me laisse que les vieilles ou les moches.
Assez peu ragoûtée et regrettant presque d’avoir organisé cette soirée "porte-ouverte", j’écartai les cuisses pour en finir rapidement.Il s’y jeta tête la première et se mit à me dévorer goulûment l’abricot.
L’animal n’était pas puceau de la langue... ni manchot. Ses gros doigts vinrent s’acharner à me pincer les tétons et il le fit de façon suffisamment experte pour que je sois toujours sur le fil très ténu qui sépare la douleur du plaisir. Sous l’effet de cet hommage simultané à ma chatte et à mes nichons, je ne tardai pas à remuer le bassin en signe de contentement.
Il se mit à genoux et m’invita à poser mes jambes sur ses épaules. Le cul ainsi surélevé, je profitai toujours de son examen génico lingual. C’était surprenant, dans le bon sens du terme.
Ses mains se promenaient sur mon corps et étaient magiques. Les gros doigts boudinés savaient comment me caresser, me palper me pincer, me masser. Ce gars était un surdoué de la paluche, sur mon ventre, dans mon dos, sur mes seins ou mes fesses, ses mains étaient un auxiliaire précieux de sa langue.
Je jouis dans sa gueule comme jamais, à tel point que je lui passai l’envie de boire pour la fin de la soirée.
— Putain, qu’est-ce que tu gicles !
Je ne répondis rien, surprise par ce déversement inédit de cyprine.
— C’est vrai ça, ajouta Issan qui s’était détourné de l’écran. Tu n’as jamais pissé autant.— J’en conviens.
Le livreur était ravi.
— Quand on a une petite bite... vous voyez, je suis lucide... faut trouver d’autres trucs avec les filles. Mais j’vais quand même essayer de te faire sentir ma queue.
Il me retourna pour m’enfiler le fion.
— Il paraît que tu prends dans le cul ?— Vas-y.
Mais il faut le reconnaître, je ne sentis pas grand-chose. La trique, malgré son épaisseur, était trop courte pour que je m’éclate. Elle restait au niveau de la rondelle et n’allait pas plus loin. Le gars pourtant kiffait à en croire ses râles et, surtout, la violence de ses mouvements. Lourd, il me propulsait en avant sans oublier toujours de jouer de ses dix doigts. Au final, ce n’était pas désagréable.
Son téléphone sonna et il demanda à Issan de le lui tendre.
— C’est mon pote... Il va pas venir... Il y a aussi un message du patron. Il demande si c’est toujours open ?— Oui, dis-lui. Bien monté ton boss ?— Je sais pas. Jamais vu. Je lui réponds.
C’était la première fois qu’on textotait au-dessus de mon dos tout en me bourrant.
— Il demande si je peux lui envoyer une photo.— OK si on voit pas mon visage. Tiens, Issan, tu nous prends.— J’aimerais bien te prendre, mais je suis tout mou !— LOL !
La séance photo dut exciter notre mâle, car il se cramponna solidement à mes hanches, à m’en faire mal, se pencha en arrière et jouit en gémissant.

Je sentis le jus ruisseler abondamment dans ma raie du cul.
Le type se recula, ramassa le plus de sperme possible pour me le faire bouffer.
— Tiens, tu galocheras le patron avec ça... mais tu lui dis pas que je t’ai dit de le faire.— C’est quoi ton idée ?— Rien... Une ’tite vengeance...— OK.
Le gars était à peine rhabillé et débarbouillé que le patron sonna. Ils se croisèrent sur le seuil.
A suivre.
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