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L'étudiante sodomisée.

Chapitre 8

Partouze

Avec plusieurs hommes
Il ne me fut pas difficile de neutraliser le concierge, un quadragénaire divorcé dont je devinais qu’il était en manque de sexe à la façon qu’il avait de me regarder parfois à la dérobée.
Je découvris Monsieur Ben D’alair, notre moderne Pipelet, le lendemain dans le local à poubelles où je me rendis "fortuitement". Il m’annonça tout de go et en rougissant que le vioc avait dégueulé sa haine et s’était plaint de mon "tapage" dès potron-minet... minet que je lui fis rapidement découvrir. Il me mit sa petite quéquette, droit dans le cul, me sodomisa en deux minutes TTC, remonta son pantalon à la va-vite de crainte de se faire surprendre par un autre copropriétaire. Je lui promis d’aller le retrouver de temps à autre pour vider ses burnes bien pleines en nous y appliquant plus longuement.
Restait le vieux. Il me fallut monter un stratagème avec mes colocs pour le compromettre et lui clouer le bec.
L’occasion ne tarda pas à se présenter quand j’aperçus son abominable petite bonne femme, une vieille bourge coincée ratatinée comme une poire blette sous son chignon d’un autre âge, monter dans le bus sur le trottoir d’en face au moment où je descendais du mien.
J’en déduisis que son mari était seul. Je textotai rapidement à Issan dont je supposai qu’il se trouvait dans l’appart, ce qui était le cas, et lui demandai de me rejoindre dans l’escalier un peu au-dessus du deuxième étage et sonnai chez Monsieur Ballamou, cet atrabilaire qui m’empêchait de jouir tout mon soûl. Il était seul effectivement.
— Bonjour Monsieur... excusez-moi de vous déranger. Je venais vous prier de m’excuser pour le bruit...— Ah quand même !— J’aimerais m’excuser auprès de votre charmante épouse également.— Elle vient de sortir.— Me permettez-vous d’entrer pour que je lui griffonne un petit mot ?— Euh... un instant...
Le loup, ou la louve si l’on préfère, était dans la bergerie. Je me glissai rapidement entre lui et la porte pour l’empêcher de refermer à clef.
— Il fait chaud chez vous... Permettez que je me mette à l’aise.
Il ne faisait pas chaud du tout, mais il me fallait bien faire en sorte de ne garder que mon chemisier.J’avais pensé qu’on m’offrirait un café que je renverserais, mais rien ne vint, car il devait être pressé que je parte, et je dus passer au plan B, maculer moi-même mes fringues avec l’ancre de mon stylo.
— Oh ! Que je suis maladroite... Il faut que je le détache immédiatement... J’y tiens tellement...
— Mais... que... que... que... que faites-vous ? balbutia le vieux comme j’enlevai mon vêtement sous lequel je ne portais évidemment rien.— Je le détache. Cela ne durera qu’un instant.— Rhabillez-vous fornicatrice !— Pour forniquer, j’enlève ma culotte... Nous n’en sommes pas encore là !— Provoqueuse ! Sortez immédiatement !— Ils ne vous plaisent pas mes seins ?
J’étais déjà sur lui, qui reculait et se trouva coincé contre la cloison.
— Démon... arrière, arrière !
Je me mis à danser en le frôlant une sorte de danse orientale, de façon à faire bouger mes seins sous son nez.
— Déguerpissez... partez d’ici... gourgandine...— Ils ne te plaisent pas mes nichons mon canard ? T’aimes pas ça !
Il avait détourné la tête pour ne pas voir et mis ses mains en avant pour me repousser, mains qui, fatalement rencontrèrent ma poitrine. Il les écarta comme s’il venait de se brûler.
Je portai ma main à sa braguette. Miracle ! Il bandait.
— T’es tendu mon nounours. Y a longtemps que tu as bandé comme ça ?
Je m’agenouillai et baissai son froc pendant qu’il continuait à se défendre et m’insulter. Son sexe n’était pas trop mal pour son âge, mais il puait l’eau de Cologne. Le vieux gémit quand je le mis dans ma bouche avec beaucoup d’efforts, je dois le dire.
— Vade retro Satanas ! glapit-il mollement.— Elle est bonne ta queue ! lui répondis-je sans sincérité avant de me la renfiler tout au fond de la gorge.
Il n’arrêtait pas de se plaindre, de dire non, de me traiter de prostituée, de courtisane, enfin de tout ce qui lui passait par la tête. Mais il était vaincu.
Avisant une porte sur ma droite, je me relevai en rajustant son falzar pour qu’il ne se prenne pas les pieds dedans et l’emmenai vite fait vers l’endroit qui, comme je l’avais entrevu était le salon, et je le fis asseoir, tomber plutôt, dans un fauteuil pour reprendre ma fellation. Il continua de protester, mais ne fit pas un geste pour m’arrêter.
Je tirai mon portable de ma poche, appelait Issan qui entra discrètement et prit quelques photos, sans que l’homme, de trois quarts dos ne s’en rendit compte.
Il ne tarda pas à jouir abondamment dans ma bouche. Le sperme, ce n’est pas comme le vin, il ne se bonifie pas en vieillissant. Mais il ne s’affadit pas non plus.
Le vieillard était hagard, ridicule, le slip kangourou sur les chevilles, le bras ballant et la langue ouverte.
Issan m’avait envoyé les photos.
— T’as vu, on n’est pas mignons tous les deux ?
Il me regarda, éberlué.
— Allez-vous-en ! Je ne veux plus jamais avoir affaire à vous !— C’est dommage. On commençait à bien s’amuser !
Qu’on se rassure. Je n’avais nullement l’intention de me servir de ces photos en mode chantage. Cela ne fait pas partie des valeurs de la maison... Je ne les aurais jamais utilisées contre lui malgré le dégoût qu’il m’inspirait, mais il était bon qu’il soit persuadé du contraire.Il ne nous dérangea plus jamais et me fuyait dès qu’il me rencontrait, surtout si son laideron acariâtre l’accompagnait.
Nous n’abusâmes cependant pas de la situation et sans baiser moins, nous baisâmes plus discrètement. Heureusement, j’arrivais à contrôler un peu mon extase.
Nous n’eûmes jamais de retour du propriétaire, par contre Monsieur Ben D’alair me rechercha assidûment. De temps à autre, je fis dans le social et lui accordai une petite gâterie par-ci, un petit coup dans le cul par là. Pas plus. Trop rapide et pas assez membré à mon goût.
Ma réputation cependant gagna la gent masculine de la copropriété, au moins en partie. La plupart des mâles étant mariés, je n’eus que quelques offres dont je refusai les plus maladroites par une baffe dans la gueule en précisant que je couchai avec qui je voulais et que toute tentative déplacée ferait l’objet d’un signalement. On me traitait alors de salope et on fuyait la queue entre les pattes. N’empêche. Il faudrait peut-être déménager un jour. Quelques honnêtes pères de famille retinrent mon attention malgré tout, mais, toujours pressés ou à moitié peureux, ils ne firent jamais vraiment l’affaire. Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir.
Issan et Léon assuraient donc mon quotidien, mais je désirais évidemment varier les plaisirs.
Et puis enfin, René et Lucien me relancèrent ! Les affaires sérieuses commençaient.Il avait fallu du temps pour organiser la petite fête. On voulait que tous fussent disponibles un samedi en soirée. On m’en proposa trois en me laissant le choix dans la date comme on pense bien.
On devait débuter à vingt heures pétantes.
Le délai s’expliquait par la volonté de vérifier la compatibilité de chacun avec une saine pratique sans capotes, hygiène irréprochable.Je prétextai un week-end de retraite en communauté religieuse pour expliquer les silences de mon portable auprès de mes parents qui m’appelaient fréquemment.
Bien sûr, Léon et Issan seraient de la partie. Ils avaient même réussi à débaucher Dimitri qui, pour un soir avait pu se débarrasser de sa copine. Ils allaient faire baisser la moyenne d’âge.
Car, en effet, mes "actionnaires", comme j’appelais ceux dont j’allais vider les bourses, n’étaient pas des perdreaux de l’année. Le plus jeune avait passé 40 ans, mais on allait jusqu’à 70.
Et puis, on m’avait évidemment fait miroiter une réalité un peu différente. J’étais censée voir de la grosse bite et, certes il y en avait quelques-unes, mais le reste était du tout-venant, voire du petit calibre.
Comme j’en faisais discrètement la remarque à René, il me confessa un pieux mensonge.
— Ce n’est pas avec du vinaigre qu’on attire les mouches... et puis on a trois critères de choix plus que la taille du zob.— Ah bon ? Lesquels ?— Discrétion ! Tu peux les croiser demain dans un magasin, ils ne te reconnaîtront pas sauf si tu veux les reconnaître... mais c’est rarement le cas de ceux qui sont mariés.— OK... et ?— Endurance... Tu en as pour un très long moment ma jolie.— On verra.— Et ils ont tous très cochons. De vrais porcs ! Ils savent y faire. C’est pas du bitos à la petite semaine. C’est des gras qui aiment le cul, qui aiment jouir et faire jouir.
De fait, ils bandaient déjà quand j’étais entrée sous un tonnerre d’applaudissements et de propos grivois.
— Belle pouliche ! Beaux petits obus. Joli petit cul. J’ai hâte de me la mettre au bout, etc.
Comme je m’étonnais de l’absence de Lucien, on me rappela qu’il tenait boutique et qu’il nous rejoindrait dès la fermeture de son sex-shop.
Mais, déjà, j’étais entourée de gars et pelotée de partout. J’avais des mains au cul, sur les seins, des doigts dans la chatte et, bien sûr, on cherchait à m’embrasser. Et comme il m’était impossible d’embrasser tout le monde à la fois, on me mit sur une table où, jambes écartées, je pus offrir mes lèvres à celles des mâles qui me firent des bisous appuyés sur la vulve, certains avec leur langue. On discuta pour savoir si on préférait une moule épilée ou, comme la mienne, légèrement débroussaillée. On conclut que ma petite touffe, symétriquement dessinée était supérieure en termes d’excitation à la chatte sans poils. J’étais donc bien chaude déjà quand on me traîna vers un matelas et tout de suite on me mit à quatre pattes.
— Yannick, viens lui ouvrir le cul avec ta grosse trique. Elle est là pour la sodomie les gars, je vous le rappelle, allez-y ! Elle aime ! Dit René.
De fait, beaucoup de ces messieurs qui vivaient en couple avaient rarement l’opportunité conjugale de perforer l’analité, si je puis m’exprimer ainsi, de leurs épouses qui s’y refusaient. De sorte que, dès qu’ils en avaient l’occasion, ils ne se refusaient pas ce petit délice. René leur avait fait l’article en en exagérant, me dépeignant comme une entrouducutée quasi professionnelle qui n’attendait toujours qu’une bonne trique entre les fesses.
Trop occupée par la forêt de glands qui se pressaient devant ma bouche, je ne vis pas qui était l’homme en question, Yannick, un parmi les quinze. Il me repositionna en jouant avec mes jambes pour que je les écarte et les plie comme il lui convenait. Il me lécha abondamment la raie culière, insista sur la rondelle en essayant d’y introduire la langue au plus profond puis je sentis le gel froid au bout de ses doigts qui fouillèrent mon anus, un puis deux puis trois.
Enfin, son gland essaya de perforer mes chairs.
Bien que préparée et relativement accoutumée à la sodomie par mes deux bites domestiques, je ressentis la douleur et dus mettre un bras en arrière pour le freiner dans sa course.
Cela évidemment déchaîna les commentaires : "Ouais, c’est mieux quand c’est serré quand même. Ça va pas le rester longtemps. Elle encaisse bien l’enculade, vraiment... elle devrait pas la prendre plus facilement ? Non, heureusement, c’est mieux quand ça résiste un peu... On va bien lui en fourrer deux belles en même temps tout à l’heure... et dans la chatte... en double ! Oui, en triple même"...
Le dénommé Yannick s’adapta à ma résistance et fit attention à ne pas me faire souffrir. Sa bite était vraiment grosse, le record de la soirée, et je me demandais comment j’avais fait pour ne pas la remarquer plus tôt. Il savait y faire. Je fus bien obligée de cesser de masturber les hommes pour poser mes mains au sol et m’équilibrer. Parfois j’en libérais une pour branler la queue que j’avais en bouche, mais j’étais bien contrainte de faire ainsi pour encaisser les violents coups de queue.
J’entendis un gars lui demander si mon cul était meilleur que celui d’une telle et un autre faire la même question concernant sa propre épouse.
Les gars n’arrêtaient pas de s’en prendre à mes seins et bien sûr à ma vulve qui était libre.
Forcément, il y avait concurrence, donc le type laissa sa place, non sans m’avoir foutu sa bite dans la chatte un court moment.
Rapidement je ne sus plus qui me prenait l’un ou l’autre trou jusqu’à ce qu’un mec me retourne. Mes genoux lui en surent gré.
Le propos était clair. Me prendre en double, deux gars dans la moule puis un dans chaque trou.
La température montait et la sueur commençait à perler. Cela sentait l’homme, de plus en plus fort.
J’eus un premier orgasme que je ne pris pas soin de dissimuler. Ici on pouvait jouir sans entrave.
On essaya bien de me foutre en triple, mais sans grand succès. Toujours une des queues au moins s’échappait de son orifice et, devant ces tentatives infructueuses, les autres mecs trépignaient d’impatience. On se remit donc à des doubles classiques.
J’avoue que j’étais aux anges et que je stimulais mes compagnons de jeu comme je pouvais, même si la fatigue se fit assez vite sentir parce que je n’avais de répit que lorsque l’on me changeait de position, et que les mâles ne se retenaient pas. J’étais ouverte de partout, je mouillais comme une chienne et, à force de me graisser le cul pour faire passer tous les chibres qui, chacun, y avait fait plus d’un tour, cela glissait tout seul.
Moins habitués que leurs aînés, Léon et Issan furent les premiers à éjaculer. Dimitri était plus endurant. René avait été catégorique : aucune éjaculation autrement que sur le visage et sur les seins. J’étais autorisée à ouvrir la bouche pour capter tout le jus que je voulais, mais devais recracher immédiatement le tout dans une coupe et, ce qui me restait sur le corps était aussitôt dirigé à l’aide d’une spatule.
L’éjaculation de mes colocataires fut le signal pour quelques autres gars qui déchargèrent peu après, mais il restait encore une dizaine de gars à s’occuper de moi.
Il restait encore trois mecs à 23 h 00 qui donc bandaient depuis trois heures. Vive les pilules ! Il fallait que je les soulage et je le fis si bien qu’ils jouirent quasiment simultanément.
On proposa alors de me tendre la coupe de sperme, mais René refusa. On devait attendre Lucien.
On avait prévu une collation pendant laquelle on discuta. On demandait à mes garçons comment ils m’avaient connue, si on baisait souvent, etc.La plupart des hommes en profitaient, malgré leur sexe mou, pour me peloter ou me doigter. Certains demandaient un petit bisou ou une caresse sur le paquet. Puis revinrent les érections, mais les unes après les autres, chacun n’ayant pas la même capacité de récupération.
De tous les garçons que j’avais connus jusque-là et qui m’avaient plusieurs fois montée, assez peu nombreux finalement, seul Issan était capable de bander plusieurs fois par nuit. Son record s’établissait à quatre et il lui fallait à peu près une demi-heure entre la fin de la première éjaculation et le début de la deuxième érection. Après, c’était plus long. Ce n’était pas Victor Hugo, dont la réputation est plus que flatteuse sous ce rapport, mais c’était bien quand même.
J’en inférais que, compte tenu de leur âge, la majorité des queutards qui se trouvaient là me laisserait quitte au bout de deux fois. Pour lors, je tournai au rythme de trois à quatre en simultanée, une place étant occupée, dès qu’un gars découillait pour la deuxième fois. Je calculai cependant qu’il me faudrait facilement deux bonnes heures pour épuiser tout le monde. La nuit serait longue.
Mais le rythme était agréable, trois gars ensemble c’était suffisant pour tous les trous et les mains. A quatre, j’y arrivais encore, d’autant qu’ils étaient moins vivaces. On me prenait en missionnaire et d’autant plus volontiers que cela permettait au pineur de s’occuper de me seins et de m’embrasser aussi, comme si nous avions été dans plus d’intimité.
On tirait encore son coup au-dessus de mes tétons, en les visant au plus près, mais évidemment la dose se faisait moins forte.
J’étais vraiment heureuse de l’expérience. Je ne comptais plus mes orgasmes qui revenaient aussi facilement que la rosée le matin, pour la plus grande satisfaction de mes partenaires dont la virilité était flattée par mes expressions de joie.
Au fur et à mesure, je commençais à percevoir, chez certains, une sorte de spécialisation. Il y en avait qui étaient plus agiles de la langue et pour lesquels j’ouvrais grand mes jambes. Leurs caresses buccales sur ma vulve et dans le trou m’étaient toujours un bonheur. Je n’étais que gémissements et convulsions quand un petit gros à barbiche me lavait le trou. J’en arrêtais toute autre occupation, me caressant les tétons et me pinçant les lèvres.
D’autres avaient une dextérité avec les mains, quand leurs camarades excellaient à la levrette ou à la sodomie. Chacun ayant ses préférences, ce fut pour moi un florilège de sensations et de positions, qui pour être des plus usitées n’en étaient pas moins fort agréables.
On approchait des deux heures et demie du matin. J’étais trempée de sueur et, malgré les raclages que l’on opérait sur ma peau après chaque éjaculation, j’étais poisseuse de foutre. Il ne restait que quelques garçons en lice, la plupart ayant, comme je le pensais, capitulé après leur deuxième décharge. Mais, en bons mateurs, ils contemplaient les ardeurs des derniers participants. Personne encore ne s’était rhabillé. Quelques-uns peut-être, y étant aptes, attendaient un troisième service. Mais j’étais brisée. J’avais donc résolu qu’après les derniers types qui s’occupaient sur moi, je boirais le calice jusqu’à la lie et irais faire dodo.
C’est alors que Lucien arriva. Il avait dû faire la fermeture de sa boutique. Il n’était pas seul.
Peu avant de tirer son rideau en effet, trois personnes étaient entrées dans son magasin de cul en recherche d’accessoires pour continuer la nuit. Il s’agissait d’un jeune couple formé d’un grand garçon sec au poil noir très foncé qui, bien que rasé, laissait une trace sombre foncé sur ses joues et son menton. Sa copine était de type asiatique, petite et faussement timide. Elle s’accrochait derrière lui en souriant.
Ce couple avait fait la connaissance, dans un café, d’un black plus que trentenaire qui leur avait proposé ses services pour un plan à trois. Le jeune couple, curieux, avait accepté. On était passé chez Lucien pour acheter gel et huiles de massages. Devinant l’objectif du trio, Lucien leur avait proposé de nous rejoindre pour une soirée beaucoup plus chaude. Le black avait aussitôt accepté. Les deux autres avaient suivi.
J’avais arrêté de baiser au moment de leur arrivée, mais les trois mecs qui se relayaient pour me sauter alors restèrent près de moi, leur turgescence fièrement assumée.
Lucien fit les présentations et le black commença à se débloquer sans gène en louchant sur ma poitrine. Dès qu’il baissa son pantalon, on devina une très belle matraque sous le boxer.
Le petit couple, au milieu, était intimidé. Ils se seraient l’un contre l’autre ne sachant que faire en considérant tous les gars assis autour la queue à l’air.
René proposa un temps d’adaptation.
— Puisqu’on a deux femmes, qu’on en profite...
Tout le monde apparemment comprit où il voulait en venir, mais moi, il fallut qu’on m’explique.
On attendait tout simplement de nous voir nous gouiner, elle et moi.
— Je ne l’ai jamais fait. Dis-je.— Moi non plus, répondit plus bas Clarissa en rougissant et baissant légèrement la tête en se mordillant ensuite l’extrémité de son index droit.
Le grand black qui branlait désormais sa grosse bite, battit en arrière pour se trouver un siège, en disant que c’était trop chaud comme plan et hyper-cool. Les murmures d’approbation gagnèrent les rangs qui s’échauffaient à l’idée du spectacle.
La jeune fille regarda son copain qui haussa les épaules. Lucien vint le chercher et nous nous retrouvâmes toutes les deux au centre de la pièce entourée de vicieux qui nous incitaient à faire l’amour devant eux.
Je pris l’initiative, m’approchai de Clarissa et commençai à déboutonner son chemisier.
— Mets-lui la main entre les jambes, elle est déjà toute chaude.
Cette proposition, partie de je ne sais qui, fut relayée par les voix masculines unanimes. Et je sentis bientôt les petits doigts hésitant de Clarissa sur ma raie.
A suivre
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