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L'étudiante sodomisée.

Chapitre 9

partouze encore

Avec plusieurs hommes
Je dois dire que c’est l’excitation du moment qui me poussa vers cette jeune fille dont je ne pouvais guère attendre que des satisfactions, pour moi, secondaires. Ce n’est pas que je dédaigne le frotti-frotta, mais j’étais venue pour me faire matraquer le cul. J’en avais d’ailleurs eu mon lot. Je n’étais pas mécontente et j’aurais même pu m’arrêter là, car j’étais sur les rotules. Mais la queue du black dans mes fesses était une perspective que je ne pouvais refuser. Du reste, le broute-minou qui s’amorçait allait me procurer un peu de repos.
Nous nous embrassâmes donc, d’abord, du bout des lèvres. Puis, mais sur les hanches et seins collés les uns contre les autres, de plus en plus hardiment jusqu’à mettre la langue.
Son mec s’était un peu approché pour voir.
— Putain ! Ça pue le sperme ici!
Dit-il.

Une voix, derrière lui, l’invita à ne pas s’en étonner, vu la foule présente et l’heure fort avancée.
Cette remarque fut-elle une prise de conscience pour Clarissa ? Toujours est-il qu’elle commença à me sucer le bout des seins puis à le lécher. Je me dis in petto qu’elle devait être comme moi, une tonne à foutre. Elle s’y prenait d’ailleurs très bien et nous étions de plus en plus à l’aise. Nos doigts désormais glissaient lentement sur nos raies respectives.
Elle se rapprocha de moi et me demanda, au creux de l’oreille s’ils m’avaient éjaculé partout.
— Partout?— Absolument partout.— Et c’était bien ?— J’ai adoré.

Il était temps de nous allonger et nous nous mîmes en 69, elle dessous.

Je sus rapidement à l’habileté de sa petite langue sur ma raie et sa dextérité à stimuler mon clitoris qu’elle n’en était pas, contrairement à ce qu’elle affirmait, à son coup d’essai en matière de gouinage.
Elle savait parfaitement quoi faire pour me stimuler et elle ne fut pas longue à raviver les feux que les mecs avaient mis en moi en qui s’assoupissaient. Mais elle y allait avec délicatesse, lentement sans brusquer, ce qui tranchait avec les garçons qui, tous, m’avaient dévoré la moule comme des morts de faim.
Quant à moi, je tentai de lui rendre la pareille et, assez maladroitement, j’essayais de reproduire ce qu’elle me faisait. Elle sembla apprécier, car, très vite elle se mit à tordre du cul.
Les mecs autour étaient au comble de l’excitation et les commentaires décrivaient fort bien ce que je ne pouvais pas voir comme ce que je voyais de près.
La fille avait la chatte poilue et bien noire, mais très entretenue. Pour la première fois, je goûtai à la cyprine, enfin autre que la mienne dont j’avais expérimenté les saveurs sur mes doigts où sur le gland de nombreux messieurs. Bien vite, cependant, j’en eus trop. La fille mouillait abondamment.L’exercice, au fond, n’était pas désagréable, mais je ne le pris que comme un accessoire. Cela n’avait rein de commun, avait une bonne grosse bite qui pulse au fond de la bouche comme un gros bonbon à la liqueur ou une part de gâteau plein de crème.Du coup, je ne m’interdis pas d’avoir recours à cette pratique pourvu qu’il y eût toujours au moins un garçon à participer, mais je sus que je ne rechercherais pas la compagnie exclusive d’une fille à cajoler.
J’ avais désormais le museau trempé et, quitte à le mouiller, je préférais sans comparaison possible qu’il le fût avec du sirop de corps d’homme, dont j’appréciais la texture plus épaisse et gluante, y compris quand le sperme s’accroche encore entre les dents et, comme une salive épaisse, colle au palais longtemps après encore. Je décidai donc de revenir à une météo moins humide, mais, à ce moment précis, un mec me rentra dans le cul.
Ainsi, la fille continua à me lécher l’abricot alternativement avec les pompons du garçon qui me besognait avec ardeur. Quant au copain de Clarissa, il vint la pénétrer, me permettant de ne plus la lécher. De temps à autre, il sortait sa pine et me la tendait, puis la remettait dans le trou.

Le grand black qu’ils avaient recruté voulut sa part et demanda à ce que l’on interchangea.
Je me retrouvai donc sur le dos, Clarissa qui suintait comme une cataracte au-dessus et le grand black m’enfila.
Il était gros, mais manquait de raideur. Il fallait sans cesse le branler ou le sucer pour que son chibre durcisse, mais à ce moment-là, il était particulièrement voluptueux.
Malgré les minutes qui filaient, l’ambiance très festive maintenait les yeux éveillés et les queues au garde à vous.
Bien sûr, la suite n’est pas difficile à deviner. Bourrées de tous les côtés, dans toutes les positions, nous ne fûmes pas surprises par l’averse de foutre qui tomba sur nous, par ondées éparses et moins fournies que lorsque j’étais seule.
Bien sûr, il ne fut pas question de se purger les burnes autrement que sur les seins, sur la raie, dans la bouche ou dans le con.
Dès qu’un mec avait pissé son jus, sur l’une d’entre nous, l’autre devait bien sûr tout lécher et nous mutualisons ensuite par un baiser appuyé et c’était encore plus facile, bien évidemment, quand le gars nous avait juté directement dans la bouche. S’il avait joui dans le con, nous nous mettions en soixante-neuf puis nous nous roulions une galoche fougueuse.
La fille aimait ça et moi aussi. C’étaient mes premières pelles au jus, car, si un garçon accepte de bon gré qu’on le suce, lui lèche la rondelle ou les couilles, la bouche pleine de sperme, aucun en revanche ne se laisse embrasser avec sa propre semence, encore moins celle d’un pote.

Clarissa me glissa que certains bis n’y répugnaient pas et je me promis d’en dégotter un prochainement, car j’affectionnais particulièrement cet échange.
Les étalons, rendus plus endurants par leur première décharge, mettaient cependant du temps à se vider les couilles et la soirée commençait à se prolonger au-delà du raisonnable. La fatigue gagnait et je devenais de plus en plus comme une poupée gonflable, encaissant les coups de queues sans rien dire, les bras de plus en plus ankylosés par la pratique des masturbations et la mâchoire presque hors d’état de s’ouvrir même pour les plus petits calibres. Ma partenaire, heureusement, résistait mieux, mais il faut dire qu’elle avait commencé bien après moi.
Vint le moment où le grand black voulut éjaculer. Il se mit debout pour qu’à genoux, la bouche ouverte, je puisse accueillir tout son jus. Au moment de l’orgasme, sa grosse bite, cette fois bien raide, le gland luisant, était superbe. Et puis il juta, abondamment. Le premier jet fut puissant. Une longue charge de sperme s’écrasa de mon nez jusqu’au front, et le reste s’écoula directement dans ma bouche ou sur mes lèvres et mon menton. Les autres gars qui faisaient encore cercle autour de nous parce qu’ils n’avaient toujours pas déchargé ne purent s’empêcher de souligner la performance en sifflant, applaudissant ou commentant, ce qui eut pour effet de rameuter quelques autres qui vinrent voir ce qu’il se passait.
— C’est Stanley qui a les couilles pleines. Il a pissé plus d’un demi-litre!
Tout en faisant la part de l’exagération, tout le monde comprit bien qu’il était hors norme.

Je ne pus que subir la fin du gang bang. Les derniers gars qui m’utilisèrent n’eurent guère qu’une poupée de chiffon entre les mains. Je fis la sourde oreille à deux ou trois types qui me prièrent d’attendre que je fusse prête pour encaisser une troisième fois leur sexe.
Après une douche rapide, nous prîmes congé de la compagnie ou de ce qu’il en restait, car quelques queutards étaient repartis dans leurs foyers dès le deuxième coup tiré.
Je m’endormis dans la voiture et me laissai porter jusqu’à mon lit où je m’effondrai jusqu’au dimanche après-midi.
A suivre
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