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Eux

Chapitre 2

Pour eux la découverte

Inceste
Le lendemain, vers 6h30, Nini étant partie au travail, je prenais mon déjeuner, Lindsay est sortie de sa chambre et mon étonnement a été double ; il est très rare de la voir se lever quand ils sont ici avant 10h et surtout par sa tenue. Tout au long de leur séjour à la maison, nous l’avons toujours vue soit en survêtement, soit en pantalon ; jamais en jupe et encore moins en sous-vêtement. Alors que ce matin, j’avais la surprise de la découvrir en nuisette courte et très transparente. C’est la première fois que je peux découvrir son corps ; à savoir de beaux seins, ronds, assez volumineux (au moins 95b) avec des aréoles brunâtres et des pointes qui tendent le fin tissu, un beau corps, assez dodu, et un minou, manifestement totalement rasé. Il n’a pas fallu longtemps pour que mon sexe pointe sous mon short mais je n’ai rien fait pour le cacher.Son bonjour a été plus un baiser sur la joue, baiser que j’ai rendu, mais pour moi, beaucoup plus sur le coin de ses lèvres, sans qu’elle bronche. Et là surprise complète quand elle a commencé à me parler.
— Hier soir, Florian m’a avoué qu’il aimerait me voir avec un autre homme mais aussi que tu avais admiré mes formes visibles sous ma robe ; puisqu’il a envie d’être cocu, j’ai envie que tu me prennes, ici, et si j’en crois la bosse, cela ne doit pas te déplaire, alors je suis à toi.
Avant que j’aie pu réagir, elle s’est collée contre moi, frottant son minou contre mon gourdin. Le canapé nous a accueillis et sans hésitation, mes doigts lui ont fouillé la chatte, déjà pleine de cyprine ; mais ce n’était pas ce qu’elle souhaitait
— Vas-y, prends-moi, baise-moi, fais-moi jouir ; j’ai envie de ta queue dans mon ventre
Le short est tombé et lui mettant les jambes sur mes épaules, je l’ai pourfendue, ma tige pénétrant son antre béant ; sous la poussée, elle a poussé un petit cri, de plaisir ou de douleur mais pour moi cela n’a pas d’importance, elle veut être baisée, elle va l’être d’autant plus que rapidement elle gémit sous les coups de bites, mes couilles s’écrasant sur son fessier. Lui arrachant sa nuisette, je lui pétris les seins. ; ses tétons, tendus, rougissent sous mes doigts et alors qu’elle s’accroche à mon bassin, sa première jouissance éclate, bruyante ; tant pis si elle réveille Florian, elle voulait le faire cocu, c’est maintenant le cas. Afin de ne pas jouir trop vite, je me retire de son ventre et mes lèvres se posent sur son bourgeon ; à ce contact, elle se cabre, offrant sa chatte à ma langue qui la fouille, buvant sa cyprine ; soudain, c’est un flot qui m’asperge ; c’est la première fois que cela m’arrive : une femme fontaine ; elle semble elle aussi surprise et elle veut s’excuser ; lui replantant ma queue dans son vagin, je l’embrasse goulûment, la pistonnant vigoureusement.
— Oh oui, continue, baise-moi fort, fait moi jouir, c’est bon hum encore.
Puis sentant ma tige grossir, je veux me retirer pour jouir sur elle, mais elle me retient.
— Non reste, féconde-moi, jute en moi que Florian puisse découvrir que je t’ai appartenu
C’est à ce moment que je le découvre, la tige à la main, nous observant silencieusement ; j’en profite pour les provoquer tous les deux, car elle ne l’a pas encore vu « vas-y dis-moi que tu jouis avec ma queue dans ton ventre, dis-moi que tu aimes te faire baiser ; dis-moi que tu veux que je te féconde !Elle se cambre, s’enfonçant encore plus si c’était possible mon engin, qui bute sur sa matrice :
— Oh oui j’aime que tu me baises, il est cocu et tu vas me remplir de ta semence, féconde-moi, fais de moi ta femelle oh je jouis
En effet la pièce se remplit de ses cris et pour moi c’en est trop : à grands jets, arc-bouté sur son ventre, je me libère, l’ensemençant. Quand elle se redresse, les secrétions s’écoulant sur ses cuisses, elle le découvre ; moment difficile car elle comprend qu’il a assisté ; il n’a pas bougé et j’en profite « tu voulais être cocu, tu l’es, mais tu vas l’être encore et cette fois tu seras aux premières loges car je vais la prendre devant toi, mais dans ton lit, sans que tu interviennes. Sans attendre je la prends par la main et passant devant lui, elle lui donne un baiser « tu as ce que tu voulais, regarde bien, je vais m’offrir à lui, totalement, il va pouvoir faire ce qu’il veut de moi.
— Je n’ai pas totalement débandé, la mettant à genoux sur le lit, je lui tends ma queue, encore couverte de notre plaisir— Sans hésiter, le regardant fixement, elle me gobe la queue, me triturant les burnes, titillant mon sillon ; je suis surpris de sa fougue et de ses envies ; manifestement elle aime cela et elle le prouve, car sous ses doux préliminaires, elle me fait rebander. Me plaquant sur le lit, elle me chevauche et se plante sur la colonne dressée et se penchant, elle m’embrasse avant de commencer une chevauchée qui la fera jouir plusieurs fois. Pour moi, pas de problème car ayant déjà juté, je peux tenir longtemps et je veux en profiter encore plus ; la faisant mettre à genoux sur le lit, je la pénètre, tout en dilatant son petit trou, qui surprise s’ouvre assez vite.— A nouveau, elle le regarde et lui dit ; « il me possède et je vais lui offrir ce que tu n’as jamais eu
Plaquant sa tête sur le lit, elle se prend les deux lobes et les écarte, dévoilant une jolie rosette ; retirant de la semence de sa chatte, je lui graisse le cul, enfonçant un peu plus à chaque fois mes doigts ; puis sans l’en avertir, je pose mon gland sur sa rondelle et sans m’arrêter, je m’enfonce dans le petit temple, sans que cela soit très difficile pour elle. Manifestement, elle a déjà goûté à la sodomie car à part au moment où l’anneau cède, elle ne se plaint pas bien au contraire, m’encourageant, m’offrant son sanctuaire à une possession complète. Ses doigts ont investi sa chatte et elle se branle, gémissant, râlant sous la poussée de son plaisir, et quand enfin, l’ayant pilonné un long moment, je me répands en elle, elle ne se retient pas et un long cri témoigne de sa jouissance.Lui aussi vient de jouir, ses jets s’écrasent dans sa main, et il nous observe, un sourire aux lèvres : il semble apprécier la situation ; je décide de les laisser seuls, mais auparavant, j’embrasse fougueusement la miss, lui fourrant la bouche de ma langue ; elle ne se dérobe pas, bien au contraire, et c’est un long baiser qui nous unit. Après mon départ, je les ai entendus converser, discrètement, avant que de nouveaux cris de jouissance résonnent dans la chambre. Si la joute a été courte (phénomène courant chez les hommes candaulistes, qui jouissent très vite après avoir vu leur femme se faire prendre) elle concrétisait manifestement l’évolution de leurs relations et cautionnait l’acceptation de Florian.A suivre
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