Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 81 J'aime
  • 0 Commentaire

Eva

Chapitre 6

Zoophilie
*** Partie 6 ***Tyran
Deux semaines passèrent et l’hiver approchait à grands pas. Le froid était plus présent, mais je me devais tout de même de porter des vêtements affriolants. Durant ces deux semaines en effet, mes profs de maths et de sport ne cessèrent de me baiser, souvent séparément mais parfois en même temps, réitérant avec la double-pénétration, que je commençais à trouver excitante. J’étais littéralement à leur merci, ils faisaient de moi ce dont ils voulaient. Ils me prenaient où ils voulaient, quand ils voulaient et comme ils voulaient. Du moins, tant que nous restions tous dans le secret: il ne fallait pas que notre relation s’ébruite ou soit découverte, sinon, tout le monde aurait des ennuis.Ils étaient tous les deux dominateurs et adoraient me le faire savoir en me tringlant sauvagement et en m’humiliant comme une nymphomane peut l’être. Je commençais à m’habituer à ces baises récurrentes et je ne pouvais bientôt plus m’en passer. J’aimais le sexe, et ces deux hommes, mon prof de maths particulièrement, me l’avaient fait découvrir.Seulement voilà: c’étaient les vacances. Il n’y avait pas de cours. Mes profs partaient tous deux en vacances loin d’ici, avec leurs familles respectives. Aucun d’eux ne me contacterait durant ces jours de repos.Et après une semaine (sur les deux de vacances), l’envie de sexe revint rapidement. Seulement, je ne pouvais rien faire. Je n’avais envie de coucher qu’avec l’un d’entre eux, et avec personne d’autres, encore moins un de mes camarades de mon âge.Mes vacances de Noël se déroulèrent normalement. De la famille vint passer le réveillon avec nous. Je vis mes grands-parents ainsi que quelques oncles, tantes, cousins et cousines. Cela me fit oublier la monotonie des cours (heureusement éclairés par mes profs).Trois jours après Noël, lors d’une journée grisâtre, presque neigeuse, mes parents sortirent de l’appartement pour aller faire des courses. Je m’ennuyais fermement, et les cadeaux offerts par ma famille ne m’occupèrent pas vraiment. L’après-midi allait être longue. Je décidais donc de faire plaisir à ma mère en nettoyant un peu l’appartement.Mes parents, un peu idiots, avaient poussé le volume du chauffage à son maximum, ce qui provoquait une chaleur assez importante dans l’appartement. Je n’avais donc pas la moindre gêne ni réticence à faire le ménage dans une tenue légère: un long et vieux T-shirt appartenant à mon papa qui m’arrivait jusqu’aux cuisses, et… c’est tout. Pas de sous-vêtement. Quel intérêt, seule chez moi sans mes parents?Le seul être vivant présent dans l’appartement à part moi, c’était Tyran. Tyran, c’était mon chien. Un gros rottweiler imposant. Par gros, j’entendais bien bâti et solidement musclé, pas obèse ni plein de graisse. Pourquoi ce nom? Parce qu’il était infernal ave ses congénères et les traitait avec méchanceté et agression. Mais il était en revanche adorable avec les humains. Il comprenait le rapport maître/esclave: les humains étaient ses maîtres et c’était clair dans sa tête. Je l’aimais beaucoup, j’adorais lui faire des câlins quand j’étais un poil plus jeune. Maintenant, je commençais à passer l’âge. Mais mon amour pour lui ne s’était jamais envolé. Fort heureusement pour nous d’ailleurs, car un rottweiler était réputé dangereux et agressif. Mais Tyran démontrait chaque jour le contraire.Cette journée-là, ma vision de mon chien allait se métamorphoser à jamais.J’avais passé une bonne partie de l’après-midi à nettoyer et récurer la maison. Un travail de femme, répétait souvent mon macho de père. Donner un coup de main à ma mère, qui plus est lorsqu’elle est absente et qu’elle ne le sait pas, lui fera une excellente surprise.Seulement vêtue du T-shirt, j’avais lavé par terre, plier le linge, fait la vaisselle… Il faut dire également que j’étais plutôt en manque ces derniers temps, et j’étais régulièrement excitée en pensant à mon prof de maths ou de sport.J’étais en train de dépoussiérer la table basse du salon, baissée. Tyran arriva dans le salon, et aboya. Je me tournai vers lui et lui souris:— Qu’y a-t-il, mon toutou?Sa langue pendouillait sur le côté. Je le trouvais comique. Je détournais le regard et me replongeais sur mon activité de nettoyage. Je ne fis pas attention que mes fesses bougeaient de droite à gauche, suivant le mouvement de mes mains qui dépoussiéraient la table basse.Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis une immense masse s’effondrer sur mon dos. Ce fut à peine si je réussis à me maintenir à quatre pattes.Tyran avait presque sauté sur mon dos. Ses pattes avant étaient posées sur mes épaules, et je pouvais sentir son ventre poilu sur mon dos. Il était lourd.— Tyran, que fais-tu? m’exclamai-je, inquiète.J’essayais de me dégager mais j’étais bien trop faible, face à lui. J’eus terriblement peur quand je sentis quelque chose effleurer mes fesses et mes cuisses. Un long membre. Je compris instantanément: Tyran essayait de me pénétrer, me croyant une femelle à lui!J’entrepris alors de me débattre fortement, mais le chien grogna. Je sentais sa bave couler sur mon cou: sa gueule en était trop proche. La situation était dangereuse.Son sexe était dur, et tapait sans atteindre ma chatte. Il donnait des coups de boutoirs comme s’il voulait m’enfiler.Tyran grogna davantage. J’étais paniquée, je ne savais pas quoi faire. Ce fut pire quand, passablement énervé de pouvoir obtenir sa femelle, il m’agrippa le cou avec sa gueule et ses crocs. Paralysée par la peur et l’approche de la mort (sa morsure m’aurait coupé la tête), je ne bougeais plus un membre.Maintenant immobilisée, je lui étais disponible. Mon chien sentit que je ne résisterais plus. Son sexe finit par arriver à atteindre ma chatte. Lorsque celui ci fut placé devant, il donna trois coups de boutoirs et sa bite atterrit au fond de mon vagin.
Je fus enfin enfilée par mon foutu clebs. J’hurlais de douleur. Sa bite était un monstre, mais sa fougue l’était davantage. J’avais à peine eu le temps d’encaisser le choc de son gourdin dans ma chatte qu’il se mit en mouvement pour me labourer sauvagement.Tyran me baisait come un fou. Il m’écrasait douloureusement, son poids dépassant le mien. Sa mâchoire menaçait toujours de me briser la nuque, sa bave coulant légèrement sur mon cou. Son sexe, que dis-je, sa barre de fer, s’activait à toute vitesse dans mon vagin, me tringlant comme jamais. C’était horrible, j’avais l’impression qu’on m’ouvrait le ventre en deux. Et pire: c’était un chien, un animal, qui était responsable de cela.Soumise à mon chien, je ne pensais à rien d’autre que d’éviter de souffrir. Il était tellement vif que je croyais qu’il allait m’éclater la chatte. Il était clair que mon Tyran était doté d’une grosse bite. Gâté par la nature, le clébard…Au début, j’eus franchement mal. Mais avec les minutes qui passaient, la douleur finit par se retirer petit à petit, pour laisser place à un plaisir insoupçonné qui surgissait effroyablement vite. Je m’aperçus avec surprise que je commençais à gémir de plaisir sous ses violents coups de pine. Tyran avait voulu faire de moi sa femelle, sous un coup de chaud, et il y était parvenu. Maintenant, j’étais sous lui et il me baisait comme mes profs ne l’avaient jamais fait. Son sexe était très imposant et ramonait parfaitement bien mon vagin, malgré la douleur qu’il pouvait me faire endurer.D’ailleurs, Tyran, loin d’être un chien idiot, sentit que j’étais de moins en moins acharnée à lutter contre ce viol canin. Il me lâcha la nuque, libérant mon cou. Je sentis ma peur me quitter, pour ne ressentir plus que le sexe qui me démontait, centimètre carré par centimètre carré, la chatte. Le plaisir augmentait en flèche. Seul ce mandrin qui me besognait comptait, à présent.Soudain, je sentis Tyran donner un coup plus fort et une douleur envahit mon vagin. Je compris qu’il avait réussi à passer sa boule. Désormais, il ne bougeait plus. Bien ancré dans ma chatte, Tyran attendait. Puis d’un coup, sa bite éclata en flot de sperme. Il me remplissait la chatte de son foutre canin. Son liquide épais et chaud envahissait mon vagin et mon utérus, le remplissant entièrement. Tyran se farcissait sa femelle… Le liquide chaud dans mes entrailles me fit jouir comme une folle, et j’eus mon tout premier orgasme animal. J’éprouvai tellement de plaisir que j’en oubliai même mon nom et le lieu où je me trouvais.Au bout de quelques minutes, quand le bout de Tyran diminua en taille, il se retira de mon sexe et quitta mon dos. Je m’effondrais sur le sol, épuisée, endolorie, et heureuse. Je me retournais sur le dos, et fixais mon chien. J’eus un hoquet de surprise.Son sexe, encore bandé, devait mesurer dans les 25cm au bas mot. Un véritable gourdin de chair! Mon regard descendit vers ma chatte: un épais liquide blanc en sortait. Il m’avait tellement remplie qu’il n’y avait pas assez de place dans ma chatte pour contenir tout ce foutre. Il y en avait tellement! Je n’avais jamais vu autant de sperme de ma vie, même quand mes deux profs se réunissaient pour me baiser ensemble.Tyran était allé s’installer dans le coin du salon et se léchait le sexe pour le nettoyer. Il commençait enfin à débander.Consciente du bordel créé par cet acte, je me levais, un peu ankylosée d’une telle baise, et fonçais sous la douche me nettoyer de ces souillures.Une fois propre, je me rendis de nouveau dans le salon. Tyran s’était endormi sur le canapé. J’entrepris de nettoyer toutes les traces de mon viol, notamment la flaque de foutre que mon idiot de chien avait provoquée autour de mon bassin.Puis je m’enfermais dans ma chambre, le cœur battant la chamade, réfléchissant tout ce qui venait de se passer. Mon chien, Tyran, venait de me violer sauvagement dans le salon, alors qu’il était probablement en rut, et moi, en manque de sexe. Vu son poids et ma taille, il n’avait eu aucun mal à faire de moi sa femelle. Sa chienne, plus précisément. J’aurais pu être abattue… Mais voilà, j’avais pris plaisir à ce viol et j’avais même eus un orgasme, chose qui arrivait rarement avec mes amants humains. Si on m’avait parlé de zoophilie avant ce moment, j’aurais trouvé cela sale et dégoûtant. Mais maintenant, j’avais une toute autre vision de la chose. Pour être honnête, je n’avais qu’une envie, c’était de recommencer!Mes parents débarquèrent à ce stade de réflexion et je les rejoignis pour les aider à ranger les courses. Ma mère fut heureuse de mon nettoyage en règle de l’appartement. Nous passâmes la fin d’après-midi en famille, mais seul Tyran occupait mes pensées. Tyran et son énorme mandrin. Tyran dormit tout le reste de la journée. Il leva une oreille seulement pour manger. Il me jeta à peine un regard, et je le pris plutôt mal, après ce qu’il m’avait fait, ce salop!Le soir, mes parents décidèrent d’aller au restaurant sans moi, en amoureux.À peine furent-ils partis que je sortis Tyran de son sommeil. Je me mis directement à poil et dandinais du cul devant lui. J’étais tellement excitée par la situation que je mouillais comme une folle.Tyran, réveillé, sentait que la femelle qu’il avait montée tout à l’heure était disponible une nouvelle fois. J’eus le souffle coupé quand il m’écrasa de tout son poids pour la seconde fois de la journée. Cette fois-ci, j’attrapais son énorme mandrin de ma main, et le dirigeais vers ma chatte. Il ne lui fallut que quelques secondes pour m’enfiler et me labourer comme dans l’après-midi.C’était vraiment incroyable, cette force et cette fougue qu’il avait pour me démonter le vagin. Rien à voir avec un humain, clairement! Son énorme sexe me ramonait parfaitement la chatte, sous tous les angles et chaque centimètre carré passait à la casseroleIl m’enserrait le ventre et le buste avec ses pattes, me montrant clairement que je lui appartenais et que je devais me soumettre à lui. J’étais sa chienne, son animal, et il me le faisait savoir.Il me faisait enchaîner orgasme sur orgasme, je fondais littéralement de bonheur et de plaisir. J’en venais à lui crier de me sauter plus profondément!— Baise ta maîtresse zoophile!Il ne pouvait pas me comprendre, mais peu importait! J’aimais me faire dominer par mon Tyran.Le temps n’avait plus grande importance, entre ses pattes. Je ne savais pas depuis combien de temps il me labourait les entrailles.Et puis soudainement, il m’enfila sa boule dans la chatte, me faisant rendre encore plus chienne. Bien bloquée à l’intérieur de mon vagin, le mandrin de mon amant canin se mit alors à cracher une tonne de sperme au fond de mon utérus. Il m’avait déjà remplie comme une chienne précédemment, et il recommençait. Incroyable la quantité de foutre que ce chien pouvait emmagasiner et me léguer…Une fois pleine, et sa boule et son sexe ramolli, il se retira de moi, et je pus m’asseoir sur le sol. Je passai mes mains dans la mare de foutre qui commençait à prendre forme à cause de ma chatte ouverte. Je goûtai à son sperme: ce n’était pas mauvais.Je me levai et repris une douche, satisfaite sexuellement.Satisfaire surtout d’avoir découvert une nouvelle forme de sexualité très hard…
Diffuse en direct !
Regarder son live