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Eva

Chapitre 11

Avec plusieurs hommes
*** Partie 11 ***Devenir une prostituée
Quand ma mère revint, elle ne posa aucune question, ignorant tout du drame qui s’était joué dans la matinée: mon propre père m’avait sodomisée sur le sol, comme une vulgaire traînée! D’après lui, il me punissait de mon comportement de ces derniers mois: je m’étais laissée baiser par mes profs puis par une bande de potes à mes profs. Il avait une étrange notion du mot punition, puisque sa façon de me punir, c’était me tringler sauvagement. Une punition sexuelle, en quelque sorte! Mais ce qui me choqua le plus en dehors du fait que mon père avait abusé de moi, alors que c’était incestueux, interdit et illégal, c’était le plaisir, quoiqu’un peu faible, que j’y avais pris. J’avais aimé la grosse bite de mon père. Et c’était cela qui m’effrayait le plus…Lors du repas, mon père ne fit aucune remarque, il ne jetait même aucun regard, me considérant comme la dernière des sous merdes. Nous allâmes nous coucher sans discussion. Pas une seule fois dans la journée, hormis le moment fatidique, mon père ne me reparla de notre baise.Le lendemain, j’avais cours. J’avais déjà séché la veille, à cause de mon père. Je ne pouvais pas me permettre de rater une nouvelle journée. Déjà pour ma réputation de glandeuse, ensuite parce que Patrick et Bernard se poseraient des questions.Je pris ma douche du matin, et me rendis dans ma chambre pour choisir mes vêtements. Je poussais un cri de surprise arrivée dans ma chambre: mon père m’attendait. Je voulus cacher mes parties intimes devant lui, car j’étais nue. Mais il fit un geste dédaigneux et me dis:— Fermes la porte, je ne veux pas que ta mère nous entende.J’obéis, puis m’approchais de lui. Il m’expliqua alors deux ou trois choses:— Bon, on va définir les termes de notre nouvelle relation, Eva. Je sais que tu couches avec tes profs pour baiser. Je vais associer le profit à l’utilité: je voudrais que tu leur demandes de te payer pour tes services.— Quoi?Je n’en revenais pas: mon père me demandait de me prostituer!— Tu veux que je joue la pute?— Tu baises déjà pour augmenter tes notes, tu joues déjà la pute depuis le début de l’année, et tu n’as pas eu besoin de moi pour commencer!— Oui, mais bon…— L’argent gagné serait un investissement! Et puis, je n’aime pas l’idée que des profs profitent de ma fille pour la toucher gratuitement!Je voulus le frapper: et toi, qu’avais-tu fait de moi, la veille, hein?— Mouais…— Ok, je vais changer de ton: tu vas jouer la pute, et c’est un ordre. Sinon, je serais obligé de sévir. Est-ce clair?Préférant éviter le conflit direct avec mon père, je hochais la tête en signe d’acceptation. Mais je lui posai une nouvelle question:— Euh… combien je demande?— Pour que tes profs puissent te sauter?— Oui.— On va commencer doucement, tu leur gratteras une cinquantaine d’euros chacun. On verra par la suite.— Ok.
— Oublies pas de t’habiller comme la pute que tu es!— Oui, papa.Il sortit de ma chambre, en me mettant une claque sur les fesses au passage. Je me sentais nulle et honteuse, mais je n’avais guère le choix.J’attrapais un petit string noir et l’enfilais. Puis j’optais pour une mini robe très courte qui s’arrêtait en dessous des fesses. Très moulante, évidemment: il fallait que je mette en avant mes formes avantageuses.Je partis en cours ainsi accoutrée, sous le regard approbateur, pervers et satisfait de mon père.Je me rendis comme à mon habitude au collège: à pied et sous les regards outrés des bourgeoises ou intéressés des passants masculins.La journée au collège passa plutôt rapidement. Mes copines étaient de plus en plus curieuses de mes tenues toutes plus provocantes les unes que les autres, mais j’éludais toutes les questions qu’elles pouvaient me poser: comment pouvais-je leur dire que nos profs de maths et de sport me sautaient souvent pour remonter ma moyenne, que mon chien me violait souvent et que mon père m’avait puni sexuellement la veille? J’étais passée maîtresse dans l’art de me faire tringler comme une salope en manque.En plein milieu de la journée, pendant le cours de mon prof de maths, celui-ci me chuchota à l’oreille lors d’une correction d’exercice:— Viens me voir à la fin de l’heure.Une fois la sonnerie du collège retentissant, je me dirigeais vers mon prof, et nous attendîmes patiemment que le dernier retardataire quitte la salle. Là, mon prof me demanda :— Pourquoi tu n’étais pas là, hier?— Raison personnelle.— Ton père a découvert la vidéo, hein?Je me doutais bien que c’était Patrick qui avait envoyé la vidéo à mon père.— Exact.— Tu as été punie?— Oui.— Héhé. Bien fait pour toi! Retrouves moi à la fin de tes cours, dans le bâtiment B. Je serai là avec Bernard. Ne me déçois pas.Il quitta la salle de cours en pinçant un de mes tétons.À 17h, après tous les cours terminés, je me dirigeais vers le bâtiment que mon prof de maths m’avait indiqué. Une fois dans le hall, je vis mes deux profs, qui m’attendaient près d’une salle. Ils me demandèrent d’y entrer, puis refermèrent derrière eux en prenant soin de verrouiller.Ils me placèrent au centre de la salle et firent quelques commentaires:— Wouah, elle met de ces tenues, cette salope!— Ouais, c’est clair.Je pris la parole, souhaitant mettre clairement certaines choses au point avant de passer à l’acte.— Avant toute chose, je dois vous dire quelque chose.— Que t’es une salope et que t’as envie de nos bites? demanda ironiquement Bernard.— Mon père sait ce que vous me faites et sait aussi qui vous êtes.— Et alors?— Il veut dorénavant que vous allongiez la monnaie pour continuer à faire ce que vous me faites.Les deux hommes se regardèrent puis sourirent.— Alors comme ça, ton père apprend que tu te fais tringler par tes profs et tout ce qu’il trouve à dire, c’est que tu dois nous faire payer? Ton père est un gros salaud!— Ouais, mais juste pour avoir appris ça aujourd’hui, je suis prêt à dépenser, dit Patrick.— Tu veux dépenser pour baiser cette truie? s’écria Bernard.— Oui. Son père peut tout balancer aux flics, et avec la vidéo, je suis grillé. Je te rappelle que cette salope est mineure.— Bon, bon, admit Bernard, combien tu prends?— 50 euros chacun, donc 100 en tout, répondis-je.— Ca va, c’est pas trop cher pour la façon dont on te baise! s’exclama Patrick. C’est bon, on te donnera tout ça, à la fin. Maintenant, il est temps que tu fasses ce que tu sais faire de mieux au monde, sale pute!Enfin mis d’accord sur les termes de notre contrat, je m’agenouillais, et entrepris de dégrafer le pantalon de mes deux profs. Je sortis les deux bites, puis commençais à les branler vigoureusement.— Au prix où on te paye, désormais, tu pourrais nous pomper le dard un peu plus vite que ça!J’ouvris la bouche et engloutis la première bite qui passait sous le nez. Ce fut celle de Patrick, et pressé, il commença son mouvement de va-et-vient dans ma gorge. Avec ce que j’avais subi la veille avec mon papa, le sexe de Patrick, bien que long et épais, semblait ridicule. Je le pompais quelques secondes, puis passais à son collègue, qui me laissa faire. Les moments où je suçais moi-même mon amant, sans que l’on me viole ma bouche, était rare et j’en profitai pour qu’on ne me casse pas la mâchoire.Les pipes durèrent quelques minutes, durant lesquelles je me régalais de pouvoir prendre en bouche et donner le ton moi-même de jolies bites bien foutues. Mais les deux hommes voulaient aller plus loin et commençaient à s’impatienter.J’enlevais ma mini robe et mon string. Bernard s’assit sur une chaise, et me fit signe de le rejoindre. Je m’apprêtais à le chevaucher, mais il me fit faire une rotation à 180° et, dos à lui, me fit m’empaler le cul sur sa bite. Je poussais un petit cri de douleur, mais la souffrance ne resta pas éternellement. Le cul rempli, mon amant s’agita pour mieux me pénétrer. Patrick approcha de moi, et attrapa mes chevilles. Il les écarta, menaçant de me faire tomber. Bernard me soutint et m’empêcha de tomber. Ce qui m’embrocha davantage sur son sexe.Mon prof de maths attrapa son sexe d’une main et le frotta contre ma vulve. Puis il s’enfonça doucement en moi, me donnant l’occasion de goûter de nouveau à une double pénétration.Les deux hommes s’activèrent férocement en moi, me prenant les deux trous sans commune mesure. Bernard me donnait de puissants coups de bite quand il le pouvait: sa position n’était pas idéale. Patrick me labourait la chatte tranquillement, me faisant gémir de plaisir.— T’aimes ça, salope, plusieurs mecs qui te prennent par tous les trous?— Oh oui, j’aime, baisez moi!La position n’était pas courante chez moi et j’en profitais un maximum, écartant encore plus les jambes pour ressentir davantage de sensations. Il n’y avait pas à polémiquer: Patrick et Bernard faisaient dans les 20cm. C’était vraiment la taille idéale pour une bite: pas trop de douleur et beaucoup de sensations! Pas comme mon Tyran ou mon père, qui étaient démesurés et violents.Ils me baisaient franchement et puissamment, et j’eus mon premier orgasme de la semaine. Ils s’en rendirent évidemment compte et redoublèrent de fougue et d’insultes envers ma personne. Ils me pénétrèrent ainsi durant quelques minutes, puis Patrick se retira, avant que Bernard ne me demande de me relever. Une nouvelle séance de fellation débuta, et dura peu de temps. Juste histoire de baver un peu sur les bites de mes amants.— Ah, ma jolie, on va encore te baiser un moment! s’exclama Patrick.— En double, parce que t’as l’air d’adorer ça, ma cochonne! ajouta Bernard.Bernard s’installa de nouveau sur la même chaise, mais il me demanda de me tourner face à lui cette fois.— Assieds toi sur ma bite, salope! me souffla-t-il.— Oui, monsieur.J’obéis et ma chatte fut empalée sur son sexe imposant. Je me mis alors à sauter moi-même son chibre pour me faire jouir seule. Les deux hommes s’étonnèrent et m’insultèrent:— Ha! ha, elles adorent vraiment nos bites!— Regardes la, elle saute toute seule sur ma bite!— On va lui en donner encore!Patrick, dans mon dos, m’attrapa par les hanches. Il positionna son gourdin sur mon anus et poussa, m’enculant pour la énième fois de ma vie.Prise en sandwich dans une position que je connaissais davantage, mes habitudes revinrent: je me laissais aller à des petits gémissements de bonheur, troublée seulement par les quelques sursauts de douleur provoqués par Patrick et son gros sexe qui cartonnait mon anus, ou encore par les petits pincements de tétons que m’exécutaient Bernard, juste sous moi.Les deux hommes s’activaient durement en moi, mon anus et ma chatte étaient bien limés. Ils étaient doués et je me sentais salope jusqu’au bout des doigts avec cette position. Leurs mains m’entourant me faisaient sentir chienne et soumise, et c’était ce que j’étais devenu avec le temps.Leurs coups de bites augmentaient avec le temps et j’en prenais pour mon grade. Mes seins, mon dos, mes cuisses et mes fesses étaient régulièrement caressés ou pincés. Je jouissais régulièrement et j’en redemandais:— Allez-y, prenez-moi par tous les trous! Je suis votre pute, baisez-moi!Et eux répondaient tout aussi vulgairement:— T’as raison, t’es une sale pute qu’on va sauter!— On va te limer tes trous! Bonne chienne, va!Je fus dominée durant quelques minutes encore, puis les deux hommes finirent par cesser de me troncher comme des mâles en rut. Bernard, cependant, laissa son sexe en moi, puis me souleva dans les airs. Ce n’était pas la première fois que mes amants voulaient me pénétrer ainsi, alors je me laissais faire. Je m’accrochais fermement à mon prof de sport, mes seins pesants rebondissant sur son torse.Bernard attendit que son compère prenne place. Patrick vint soutenir mes fesses et frotta son sexe contre mon anus. Il s’enfonça avec une facilité déconcertante dans mon cul ouvert.Prise dans les airs, je me laissai aller à jouir comme une folle, sous les coups de bites de mes amants en rut. Ils me soulevaient davantage qu’ils me baisaient, mais c’était plaisant tout de même. Leurs deux mandrins me labouraient les trous rapidement et puissamment. Je devais ressembler à une bonne salope en manque entre leurs mains viriles et expertes. Mes seins gigotaient sur le torse de Bernard et il avait l’air satisfait de cela. Ils me traitaient de tous les noms:— T’es vraiment une nymphomane, Eva!— Ouais, t’aimes nos bites, hein?— Oui, je suis une nympho qui adore vos bites! Défoncez-moi! leur criai-je.Ils accélérèrent leur mouvement, puis au bout de quelques minutes, me lâchèrent et me firent agenouiller.Patrick me présenta son sexe. Croyant que je devais le pomper, j’ouvris la bouche et voulus gober son mandrin. Mais il dit:— Garde la bouche ouverte, ma jolie.J’obéis, et mon prof de maths commença à s’astiquer rapidement. Il ne lui fallut guère longtemps pour venir.Tout en visant soigneusement ma bouche, en collant presque son gland face à mes lèvres, il éjacula dans ma bouche de longs filets de foutre chaud. Il se vida bien les couilles, en prenant grand soin de ne pas se vider ailleurs que dans ma bouche.Lorsqu’il eut fini, il recula de quelques pas et m’ordonna:— N’avale pas, surtout!Je gardais alors la bouche ouverte, le sperme de mon amant en bouche. Le goût était amer, mais ne me dérangeait pas. Je préférais l’avoir en bouche plutôt que sur le visage.Je vis Patrick fouiner dans son sac, tandis que Bernard vint prendre sa place. Il se branla en face de ma bouche, et lâcha la sauce dedans également. Le foutre de Bernard partit rejoindre celui de son collège et je sentis une quantité correcte de sperme dans ma bouche. Ils avaient tous les deux biens visés et je n’avais reçu aucune goutte de liquide masculin ailleurs qu’en bouche.Patrick s’approcha de nouveau de moi, un film plastique à la main. Il me dit:— N’avale pas. Mais referme légèrement la bouche, laisse-la entrouverte.Je suivis ses ordres. Il me colla le film plastique sur les lèvres, empêchant ainsi au foutre de sortir de ma bouche. Je ne pouvais également plus parler.Bernard tendit un couteau de poche à son collègue qui l’approcha de mon visage. Je paniquais, mais Patrick me rassura:— On va pas te faire de mal, cesse juste de bouger.Il fit un tout petit trou dans le film plastique, ma bouche toujours entrouverte. Là, il sortit une paille de son sac et l’enfila dans le petit trou du film plastique. Je pus la prendre en bouche elle aussi.Bernard approcha un petit gobelet en plastique et visa l’autre extrémité de la paille dans le gobelet. Patrick m’indiqua ensuite:— Tu peux recracher le foutre dans le gobelet, avec ta paille.Je me penchais et grâce à ma langue, recrachais le foutre chaud de ma bouche, auquel se mêlait beaucoup de bave, dans le gobelet, un mince filet de sperme coulant lentement dans la paille puis dans le gobelet. Lorsque la totalité du sperme que j’avais en bouche atterrit dans le gobelet, Bernard me retira le film plastique et la paille. Patrick prit le verre et le versa sur mon visage, désormais recouvert d’une grosse quantité de bave et de foutre. Je fis la moue: pour une fois que j’avais cru échapper à l’humiliation faciale…Ils rirent, puis se rhabillèrent, me laissant agenouillée, nue et aveuglée sur le sol. Je les entendis déverrouiller la salle et m’abandonner en me lançant un:— À la prochaine, sale pute!Je paniquais: je n’avais pas d’affaire, j’étais venue en touriste aujourd’hui. Pas le choix: je pris ma mini robe, la cherchant à tâtons dans la salle. Je m’essuyais le visage plein de bave et de sperme avec elle. Une fois les yeux ouvert, je vis les dégâts: ma mini robe était parsemée de bave et de foutre, clairement visible. Je cherchais mon string, mais remarquais que mes profs l’avaient volé. Ils avaient également laissé un billet de 100 euros, comme promis. Je dus remettre ma robe sans sous-vêtements et tachée.Je me dépêchais de rentrer chez moi, penaude.Quand je revins à l’appartement, mon père était déjà rentré et remarquait ma tenue et mon état:— Ha bah, putain, ils t’ont mis la dose, même ta robe est pleine de foutre! Salope, vas! T’as le pognon?Je lui tendis l’argent et filais sous la douche, honteuse.
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