Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 210 J'aime
  • 3 Commentaires

Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée

Chapitre 1

Un pacte secret avec la directrice

Divers
Avertissement :En commençant ma saga en août 2017, j’avais envisagé de concentrer les récits uniquement sur la période des vacances d’été. Mais, maintenant qu’Eva entame sa carrière d’institutrice, il était intéressant de rajouter un tome, couvrant l’année scolaire 1973/1974, dont Bob serait évidemment absent. Ce tome fera le pont entre les étés 73 et 74 (5 ou 6 chapitres, voire un peu plus si l’inspiration est au rendez-vous).Après des vacances riches en expériences sexuelles, c’est une Eva dévergondée qui se rend à une convocation de la direction de son école, la veille de la prérentrée des enseignants.
000000000000000


Lundi 28 août. Je m’apprête à me rendre à la convocation de l’école. Comme il fait assez chaud, je n’ai pas hésité à mettre la minijupe de toile kaki qui me plaît tant bien que je l’ai depuis quatre ans. Vraiment courte et de surcroît, un peu moulante, elle couvre à peine plus du tiers des cuisses quand je suis debout. Au-dessus, je porte un chemisier de coton, jaune à manches courtes, légèrement moulant. Sexy, juste ce qu’il faut pour charmer.
Après un trajet de 15 minutes en bus, j’arrive à l’école vers 10 h. Je me rends au bureau où je suis reçue par une femme d’une quarantaine d’années, la directrice. Je n’aurai donc pas à faire mon numéro de charme. L’entretien dure environ trois quarts d’heure, le temps des formalités et d’un petit entretien sur le fonctionnement de l’établissement. Puis je prends congé tandis qu’elle me donne rendez-vous pour la prérentrée demain, mardi à 8 h.
Alors que je me dirige vers la sortie, je suis interpellée :
— S’il vous plaît, Mademoiselle ! Vous pouvez attendre un petit moment ?
Je me retourne. C’est la directrice qui vient à ma rencontre.
— Vous avez oublié de me dire quelque chose ?
Elle observe ma tenue. Je m’attends à un petit sermon.
— Mademoiselle, je sais bien que la mode est à la minijupe, mais la vôtre est à la limite de la décence. Quand vous étiez assise...
Elle sourit avant de reprendre : « Remarquez que je ne vous oblige à rien ; vous vous habillez comme vous voulez puisqu’il n’y a pas de règlement à ce sujet. Mais comme vous allez faire la classe à des enfants de huit ans, une jupe ou une robe plus longue serait préférable ! »
Et comme visiblement, je fais la moue, elle me suggère, amusée :
— Si ça vous gêne tant que ça, amenez une blouse à la bonne longueur que vous mettrez avant d’entrer en classe !
Je la remercie puis nous nous séparons. Il est 11 h pile.
Assise dans le bus, je souris en regardant ma minijupe. Ainsi retroussée sur mes cuisses, c’est effectivement à la limite de la décence. Aussi, quand un voyageur monte à l’arrêt suivant, les mate, je suis tentée de lui lancer : « Alors, je t’excite avec ma tenue indécente ? »
Rentrée à la maison vers 11 h 40, je me change puis réchauffe mon repas. Après le déjeuner, je vais me reposer. Jana et mes parents reviennent du travail peu après 14 h. Après un moment de repos, mes parents vont au jardin de l’autre côté de la voie ferrée. Jana est restée avec moi et j’en profite pour la mettre au courant de mon désir :
— Jana, je voudrais une blouse pour l’école parce que ma directrice estime que faire la classe à des enfants de huit ans, en minijupe, n’est pas recommandé. — Et en plus, tu t’es présentée avec la minijupe kaki ! Tu voulais te faire remarquer ? Elle voudrait que tu mettes une blouse par-dessus, c’est bien ça ? Il te la faut pour quand ? — Eh bien, vendredi, c’est la rentrée des élèves. Jusque là, j’irai comme ça. — Tu vas exciter tous les mecs qui seront là... à moins que ce soit ce que tu cherches ! Pour ta blouse, je ne sais pas si j’aurais le temps de la fabriquer, mais je dois en avoir une en réserve dans mon vestiaire à l’usine. — Merci, tu es un amour, petite sœur !
Mardi 29 août. Vers 7 h 50, j’entre dans la cour de l’école et me dirige vers le préau où se tient un petit groupe. La directrice vient à ma rencontre :
— Bonjour, Mademoiselle ! avec un sourire entendu, voyant ma tenue. Puis elle annonce à l’intention des autres :— Notre nouvelle collègue, Eva Ukazová ! Elle sort de l’université et c’est son premier poste. Vous lui ferez bon accueil.
Ils me regardent tous et je devine aussi les regards masculins sur mes jambes. Au total, nous sommes onze : dix enseignants, plus la directrice. Soit six femmes et cinq hommes. Je remarque très vite une jeune fille de mon âge qui me sourit spontanément. Je décide de l’approcher :
— Voilà, c’est ma première année, comme vous le savez. Et vous ? — J’y suis depuis trois ans... j’ai un peu plus de vingt- cinq ans. Je m’appelle Lenka.
Elle me semble de bonne compagnie. Physiquement, elle est plutôt jolie, assez grande blonde, légèrement enveloppée mais sans plus.
— Si je peux vous être utile, n’hésitez pas à me demander des renseignements ! me lance-t-elle tandis que nous entrons dans la salle des enseignants.

La réunion, commencée avec les présentations, se poursuit par la répartition des postes, les matières enseignées... Bref, tout ce qui intéresse le fonctionnement d’une école. Nous ne quittons pas la salle de toute la matinée.
A la fin des travaux vers midi, on nous offre une collation. Et vers 12 h 30, nous nous séparons. Reprise demain à 8 h. Je repère Lenka en train de discuter avec la directrice. Quand elle s’apprête à sortir, je la rejoins :
— Lenka ? Je peux vous parler ? J’ai quelque chose à vous demander.
Elle se retourne : « Ah, c’est vous, Eva... que désirez- vous savoir ? » J’ai assez de temps, mon bus ne part qu’à 13 h 30. Allons sur le banc de la petite place, là-bas ! » répond-elle.
Le banc a une assise un peu incurvée, et ma minijupe se retrousse plus haut que jamais.
— Pas très indiqué de porter une jupe aussi courte pour venir à l’école ! Ça ne vous gêne pas qu’on puisse apercevoir votre culotte ?
Le mot est lâché, et nous sourions toutes les deux.
— Hier, j’ai été convoquée pour un premier contact et j’avais mis cette tenue. Je me disais que ça pourrait faire de l’effet. Mais, après l’entretien, la directrice m’a fait savoir que pour faire la classe, une tenue plus décente était nécessaire. Mais devant ma réticence, elle a accepté que je porte simplement une blouse par-dessus, pendant les cours. — Elle vous a dit ça ? Vraiment étonnant... quand je suis arrivée ici, elle venait d’être nommée directrice. Je portais une tenue du même genre que la vôtre et elle m’a clairement fait savoir que je devais porter une tenue décente pour venir à l’école. Et elle ne m’a jamais proposé de porter une blouse !
Elle marque un bref silence : « Elle est très compétente comme directrice, mais comme personne, elle a des comportements ambigus avec certaines femmes. Peut-être que vous lui... comment dire... plaisez ? »
Puis sans attendre ma réponse, elle se lève : « On y va ? La station de bus est à 500 mètres et il est l’heure ».Nous nous séparons à la station, prenant des bus différents. Je me souviens alors des propos de Lenka. La directrice attirée par les femmes ? Pourtant, elle est mariée, avec une fille en plus.

Mercredi 30 août. 7 h 50. Je rentre dans la cour de l’école. Je vois les collègues là-bas, sous le préau. Au même moment, la directrice sort de son bureau et vient à ma rencontre :
— Bonjour Eva !
Elle jette un coup d’œil à ma jupe : « Vous aimez être comme ça, n’est-ce pas ? Je commence à avoir quelques échos sur votre tenue. Aujourd’hui, les activités seront plus physiques. Vous voyez le petit camion, là-bas ? Il contient tout le matériel scolaire : livres, cahiers et autres. Il faudra le ventiler dans les classes. Le travail devra être terminé à midi. »

Le chauffeur ouvre la porte arrière de la camionnette. Des centaines de petits colis nous attendent. Il faut une bonne heure pour la vider. Après quoi, ouverture et répartition, puis ventilation dans les classes.
— Mademoiselle Ukazová, voici votre classe ! me dit la directrice en ouvrant la porte. J’entre, suivie des collègues portant des lots de livres et de cahiers. Je me sens un peu perdue dans cette agitation mais je fais de mon mieux. Et puis l’attitude si bienveillante de la directrice à mon égard me rassure.

Il n’est pas loin de midi quand tout est, à peu près, en place. Demain, ce sera le temps de s’occuper des détails, de vérifier que rien ne manque, afin que tout soit fin prêt pour la rentrée officielle. Pendant que nous prenons le petit repas qui nous est proposé, Lenka, assise à côté de moi, me glisse malicieusement :
— Avec votre jupe, vous devriez surveiller vos mouvements ! J’ai entendu quelques réflexions, coquines, vous vous en doutez, sur la couleur de la culotte de la petite nouvelle...
Je suis un peu confuse, mais comme je vois que Lenka ne prend pas cela au sérieux, je me dis : « Rien de grave, alors ! »
Jeudi 31 août. Je commence à prendre mes marques. C’est la journée réservée aux derniers réglages, aux ultimes contrôles. Le travail est plus léger et tout est terminé vers 11 h. Les quelques collègues qui ont la possibilité de rentrer chez eux immédiatement le font. Nous sommes cinq à devoir attendre notre bus. La directrice nous invite à boire un verre chez elle.
— Et la photo de la petite nouvelle ? dit l’un des hommes, jeune, un peu enrobé, avec un appareil photo à la main.— J’oubliais ! Venez donc, Mademoiselle. La photo assise à votre bureau ! Demain, il y en aura une autre plus traditionnelle avec les élèves.
Nous entrons donc dans ce qui sera ma classe et je vais m’asseoir à ma place. Je me souviens du propos de Lenka, la veille. Je souris au moment de m’asseoir : ce bureau n’est pas fermé devant ! Un aimable piège ? Tant pis, j’y vais. Le photographe de service, un certain Jaroslav, prend une demi-douzaine de photos. Quand nous les regarderons, une semaine plus tard, tout le monde aura la preuve que, ce jour-là, je portais une culotte blanche.
Après la séance photo, nous nous rendons au domicile de la directrice le temps de boire un verre avant de rentrer à la maison. Je peux prendre un bus plus tôt, à 12 h 30. En même temps que Lenka. Tous sont déjà partis et elle-même s’apprête à le faire. Je vais me lever quand la directrice me souffle :
— Restez, je vous prie ! S’il le faut, je vous ramènerais en voiture.
Je me sens gênée vis-à-vis de Lenka. Mais c’est ma directrice. Lenka, qui, en partant, a un petit sourire aux lèvres. Imagine-t-elle des choses ou sait-elle ce qui va se passer ?
— Vous savez, je suis seule en ce moment. Mon mari est chauffeur routier, donc souvent absent. Et ma fille s’apprête à entrer à l’université d’Olomouc, là où vous avez étudié. Elle est allée voir sa tante qui habite la même ville.
Puis, après un bref silence :
— Je vous invite à déjeuner ! Ça vous convient ?
Je suis prise de court :
— Le déjeuner m’attend chez moi... — Allons, je vous invite au restaurant ! Près d’ici, à une dizaine de kilomètres, à Vyškov. Un instant, je vais me changer.
Quand elle réapparaît dix minutes plus tard, je suis stupéfaite. Ma directrice porte une robe à la limite de la décence ! Une jolie robe, tout de même, bleu ciel, avec des manches courtes, mais aussi mini que la mienne, ce qui met en valeur ses jolies jambes.Elle lit dans mon regard :
— Je sais... je vous ai fait la leçon... très gentiment, n’est-ce pas ? Et puis, nous ne sommes pas à l’école. On y va ? Je ne voudrais pas vous retenir trop longtemps.
Un quart d’heure de voiture et nous arrivons au restaurant dans la petite ville de Vyškov. Il n’est pas loin de 13 h. Comme il fait très beau, ma directrice tente de convaincre le serveur de nous installer en terrasse. La vue de nos jambes généreusement dénudées, un billet glissé discrètement et le tour est joué.
Alors que nous buvons une limonade, elle me lance :
— Et si on se tutoyait ? Vous allez le faire avec vos collègues, pourquoi pas avec moi ? En dehors de l’école, bien sûr ! Là, on reprendrait le vouvoiement.
Comme son attitude m’étonne, elle ajoute :
— Vous m’êtes très sympathique... et jolie, en plus ! Pourquoi ne pas devenir des amies ? Et peut-être plus...
Se rendant compte qu’elle a parlé un peu vite, elle se reprend :
— Je voulais dire des amies intimes, bien sûr !
Le reste du repas, nous papotons de choses et d’autres. Parfois, nos genoux se frôlent, mais comme nous sommes assises face à face, je n’y prête pas attention. Alors que nous prenons le café tout en fumant une cigarette, je me décide :
— D’accord pour le tutoiement ! Mon prénom est connu, c’est Eva ; et vous... heu... toi ?
Ma petite bévue l’amuse :
— Moi, c’est Božena, comme la romancière Božena NÄ›mcová ! Un prénom un peu ancien, mais je l’aime bien. Mon père a été professeur de littérature...
Puis elle enchaîne :
— Et toi, Eva, tu as voulu être institutrice ? J’ai vu ton dossier, ça devrait bien se passer. — En fait, j’aurais voulu être actrice de théâtre, mais pour mon père, ce n’est pas un métier. Alors, il a décidé pour moi... Comment faire autrement ? — En fait, à ton attitude, ça se voit. Depuis que je t’observe, tu me donnes l’impression de jouer un rôle : celui d’une séductrice ; cette façon d’exhiber ses jambes si naturellement... Tu aimes les tenues sexy, n’est-ce pas ?
Je sens que Božena désire m’avoir comme amie intime, en plus de sa bienveillance qui fait déjà un peu jaser, d’après Lenka.
— C’est vrai que j’aime montrer mes jambes mais d’après ce que je vois, toi aussi, n’est-ce-pas ? dis-je, malicieusement.— Hum ! Je ne peux pas dire le contraire ! La façon dont le garçon matait nos cuisses... Sûr que ça devait lui faire de l’effet !
Toujours le jeu de la séduction...
— Il est 13 h 50... on va faire un petit tour au parc ? Tu n’habites pas loin d’ici, n’est-ce pas ?
Elle n’est pas pressée et à vrai dire, moi non plus :
— A neuf kilomètres, pour être précise, lui dis-je.

Dix minutes de marche et nous voilà à l’entrée du parc. Nous nous dirigeons vers la gauche pour prendre l’allée, bordée d’arbres de chaque côté. A l’abri du soleil, c’est bien plus agréable. Nous marchons lentement, en silence. Božena le rompt :
— Tu as vingt-trois ans, je crois ? — Presque ! Je les aurais le trois novembre !
« Ah ! J’espère que nous pourrons fêter ton anniversaire ! Et peux-tu deviner mon âge, s’il te plaît ?"
— Je ne sais pas vraiment, la première fois, lundi dernier, je me suis dit : « Elle doit avoir une quarantaine d’années.
Mais quand je te vois, là, je dirais trente-cinq, trente-six, pas plus ! » « Je suis flattée, tu es vraiment gentille. En fait, j’ai eu quarante –deux ans en juillet ! »
— Eh bien, tu ne les fais pas du tout ! dis-je, en toute sincérité.

Affectueusement, Božena prend ma main dans la sienne. Je n’ose rien dire et nous atteignons ainsi le bout de l’allée à l’autre extrémité du parc.
— Comme deux amies que nous sommes, il est vrai ! dit-elle avec ferveur pour expliquer son geste. Sans doute, mais elle tient ma main bien serrée. Et comme je ne voudrais pas la blesser en gardant ma main molle, je serre la sienne à mon tour.
Mon geste paraît l’avoir émue. Elle me regarde :
— Tu es vraiment gentille, Eva. Je peux dire que tu m’as plu dès que je t’ai vue. Je ressens quelque chose pour toi !
Je suis éberluée. Si je m’attendais à ça ! Ma directrice me fait ce qui ressemble fort à une déclaration d’amour ! Elle parait secouée par son propre aveu si bien que je la retrouve contre moi, la tête posée sur mon épaule.
— C’est difficile à expliquer, mais je ressens une attirance sexuelle pour toi. Tu ne le sais sans doute pas mais je suis lesbienne. Et j’ai dû cacher mon état en me mariant avec un homme et en ayant une fille avec lui. Toi, je ne pense pas que tu le sois mais j’ai l’intuition que tu es bisexuelle. Mon désir est de pouvoir être ce que je suis, le temps d’une année scolaire. Rattraper le temps perdu, essayer de réaliser mes fantasmes. Coquine comme tu dois l’être, tu ferais une superbe partenaire !
Je reste un moment silencieuse, puis :
— Božena, nous avons dix-neuf ans d’écart... — Douze, avec l’âge de mon corps ! s’empresse-t-elle de rectifier.

Je reprends :
— Cet été, j’ai eu quelques aventures avec des filles et une jeune femme. Une expérience... je ne sais pas si je suis bisexuelle mais j’ai trouvé cela vraiment... excitant. Božena, j’accepte d’être ta partenaire mais avec ta position, il faudra faire attention. Avec tout ce que tu désires faire avec moi, nos rencontres devront être soigneusement préparées, n’est-ce pas ?
Elle relève la tête :
— J’en suis consciente, tu sais. En échange, je tâcherais de couvrir tes frasques... sexuelles. Une dévergondée comme toi !
Elle sourit.

Puis nous reprenons notre promenade en tournant à droite pour l’allée qui longe le mur et aussi bordée d’arbres. En ce début d’après-midi de semaine, le parc est désert. Dans un geste spontané, je surprends agréablement Božena en l’enlaçant. Et nous allons ainsi jusqu’au bout de l’allée du mur.
— Quelle heure est-il ? me souffle-t-elle comme si elle craignait d’être entendue.— 14 h 30... nous avons un peu de temps. Si je rentre à 15 h ou même 15 h 30, c’est suffisant.
Puis comme si elle ne pouvait plus attendre, elle m’embrasse, d’abord tendrement, puis avec fougue. Je laisse sa langue envahir ma bouche. Elle se serre contre moi. Notre baiser est interminable. Puis elle s’écarte de moi pour me dire :
— Depuis le temps, j’en mourrais d’envie !
Avant un second baiser, où nos langues se mêlent :
— J’adore ta façon d’embrasser ! chuchote-t-elle.

Je sens ses mains caresser mon dos, mes hanches, mes fesses, avant de s’arrêter à la lisière de ma minijupe :
— Tu aimes, n’est-ce pas ? nous sommes là, les yeux dans les yeux, tandis que ses mains se faufilent sous ma jupe.— J’en avais tant envie !
Je sens ses mains sur ma culotte.
— Tu veux bien, chérie ?
Ses mains la tirent vers le bas... Elle veut me la retirer. Je me sens dans un drôle d’état, pour tout dire, proche de l’excitation. Je lui dis en souriant :
— Fais-le, ça me plaît aussi !
La culotte glisse sur mes chevilles et je la ramasse. Božena s’en amuse :
— De toute façon, nous l’avons vue quand tu étais assise à ton bureau. Sans compter que Jaroslav l’a prise en photo, ce coquin ! Il t’a repérée et va certainement tourner autour de toi jusqu’à ce que... pas besoin de t’en dire plus, hein ?
Maintenant, elle me caresse les cuisses, puis ses mains repassant sous ma minijupe, elle me caresse le bas-ventre, puis ses doigts effleurent ma vulve.
— Caresse-moi aussi ! J’en ai envie !
Les doigts de Božena titillent les lèvres de ma vulve, puis sans prévenir, elle glisse un doigt entre elles. Je tressaille tandis que mes mains se glissent sous sa robe, caressant ses fesses. Puis je m’enhardis en passant mes doigts sur l’entrejambe, devinant la forme de sa vulve à travers sa culotte. Elle se met à respirer plus fort.

Des bruits, puis des voix. Au fond de l’, nous voyons apparaître un petit groupe. Il est à une cinquantaine de mètres de nous. Nous rectifions notre tenue, ma culotte va dans mon petit sac que j’avais posé sur le sol. Nous regagnons la sortie, main dans la main, l’air complice. 15 h est à peine passée quand nous regagnons la voiture. Dix minutes après, nous entrons dans le bourg où j’habite.
Je suggère à Božena de se garer près de la station de bus située à 500 mètres de la maison.
— On s’embrasse ?
Je sais le genre de baiser qu’elle désire. Il ne faudrait pas qu’on nous voit... Nous attendons quelques minutes le temps qu’un autobus démarre et que les voyageurs se dispersent. Je sens la langue chaude de Božena envahir ma bouche, tandis que sa main gauche se glisse entre mes cuisses que j’ouvre, abandonnant mon nid d’amour à ses doigts impatients. Je commence à gémir sous ses caresses. Puis elle s’interrompt, se redresse, s’arrange un peu :
— J’aurais tant aimé te faire jouir....
Puis, alors que je descends de la voiture :
— J’ai très envie de toi, tu sais !
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live