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Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée

Chapitre 2

Journal de mes amours avec Bozena (1)

Lesbienne
Lundi 4 septembre.J’ai mis une autre minijupe plus « convenable ». Mais j’ai pris ma blouse, Jana ayant pu m’en procurer une. Cette fois-ci, les cours commencent pour de bon, mais je me sens rassurée, mes collègues me conseillant volontiers. Après la classe, je dis à Lenka qui m’attend que je dois voir la directrice. Elle ne s’en formalise pas et s’éloigne. J’ai parfois le sentiment qu’elle se doute de quelque chose.J’entre dans le bureau :
— Cette fois, c’est Bozena qui te parle ! Je t’invite chez moi, pour un moment, comme nous l’avions prévu.
S’étant assurée qu’il n’y a plus personne, elle ferme le portail de l’école et nous nous rendons chez elle, tout près de là.
Une fois dans la maison, Bozena m’invite à m’asseoir à table, dans le séjour :
— Tu dois avoir faim, après toutes ces émotions, n’est-ce pas, Eva ? Mais je vois que tu t’en sors bien. Tout devrait bien se passer pour toi !
Elle met le couvert pour nous deux, va jeter un coup d’œil dans la cuisine, puis elle me lance :
— Tout sera prêt dans cinq minutes ! Je vais me changer.
Je la vois revenir : « se changer ... façon de parler, elle est presque nue... » me dis-je. Elle porte un simple t-shirt à manches courtes qui laisse voir sa culotte. Rien d’autre. Elle s’amuse de ma surprise :
— Tu sais ce qu’il y a entre nous, n’est-ce pas ? Alors, quoi de plus normal de voir mon corps ... D’ailleurs, tu vas faire la même chose, te dévêtir aussi ! Profitons de cet été qui se poursuit : je veux te voir nue, ma chérie !
Une invitation qui ressemble fort à un ordre. Alors, je me lève, fais glisser ma minijupe, puis je déboutonne mon chemisier. Une fois en sous-vêtements, je fais semblant d’hésiter pour voir. D’un geste, elle m’impose de continuer et je me retrouve nue face à elle :
— Tu es mignonne, tu sais ... pas trop mince ... et tes seins ... qu’ils sont jolis ! J’aimerais avoir les mêmes. »
Elle m’observe. Je sens son regard sur mes seins, mon ventre, mon sexe. Puis elle me fait tourner :

— Tu as de jolies fesses aussi !
Elle scrute mon corps, et ses commentaires me font une étrange impression : un mélange de gêne et d’excitation. Puis, elle se débarrasse de son t-shirt et de sa culotte :
— On est mieux comme ça, n’est-ce pas, chérie ? Alors, passons à table !
D’abord, nous restons plutôt silencieuses. Se retrouver à déjeuner complètement nues... Mais je me détends peu à peu et vers la fin du repas, je suis à l’aise. Bozena le remarque :
— Tu te sens mieux maintenant, n’est-ce pas ? Hier, tu sais que j’avais évoqué mes fantasmes. En voici déjà un : chaque fois que je t’inviterai chez moi, tu seras nue dès ton arrivée à ton départ. Je suis folle de ton corps !
Elle a dit cela sur un ton passionné. Son regard, ses yeux brillants ... Et cette vague impression qu’elle attend de moi que je devienne sa chose.
Après le café et une cigarette, je l’aide à débarrasser la table. Puis elle m’entraîne vers le canapé :
— Tu es belle ... J’ai très envie de toi ! Sens comme tu m’excites !
Elle prend ma main droite pour la poser sur son sexe. Il est encadré par un triangle de poils. Et tout cela est humide. Puis brusquement, elle prend ma bouche et je reçois un baiser langoureux, profond. Sa langue franchit mes lèvres. Un baiser torride et presque brutal où nos deux langues s’emmêlent.
— Je suis folle de tes seins ! Tes belles mamelles ! Tu permets que je les nomme ainsi ? Parce que c’est ma fantaisie, parce que c’est toi...
Sa bouche s’empare de mes tétons et les suce avec application. Elle les aspire. Je sens naître l’excitation. Puis sa main se glisse entre mes cuisses pour caresser ma vulve. Spontanément, je les écarte et elle enfonce deux doigts entre les lèvres de ma vulve.
— Je veux te faire jouir, ma chérie ! Jouir comme une folle ...
Elle me chuchote ces mots, tandis que ses deux doigts commencent à ramoner ma chatte. Puis sa bouche lâche mes seins, et c’est de nouveau un baiser sulfureux : elle me fourre sa langue dans ma bouche. Un baiser interminable, tandis qu’elle rentre trois doigts dans ma chatte, la fouillant avec vigueur. Je suis excitée, je mouille. Et le mouvement frénétique de ses doigts dans ma vulve provoque des bruits incongrus, comme des clapotis.
— Eh bien ! Pour mouiller, tu mouilles ! Ça dégouline, ma chérie !
Elle me dit cela, son visage à quelques centimètres du mien. Je l’entends à peine, le plaisir commence à me submerger. Je suis excitée, maintenant je gémis, je glousse. Mon ventre a comme des contractions. Bozena le sent, et c’est maintenant ses quatre doigts qui fourragent mon vagin. Elle est comme enragée. Une véritable frénésie. Le mouvement de ses doigts s’accélère. Maintenant, ce sont des plaintes lancinantes qui sortent de ma bouche. Puis j’ai une brutale contraction du ventre, un gloussement obscène, un râle ... Je viens de jouir.
— J’ai la main trempée ! Tu as lâché un petit jet ! Je suis heureuse de t’avoir fait autant jouir, ma chérie !
Bozena m’embrasse à nouveau, passionnément :
— Goûte, Eva chérie ! C’est de toi !
Elle me fourre ses doigts dans ma bouche ; ses doigts poisseux de ma cyprine. Je suce, je lèche avec gourmandise. Bozena est ravie :
— Tu es vraiment une belle dévergondée. Je t’adore !
Elle dit cela sur un ton passionné tandis que ses mains caressent avidement mon corps. Je me sens bien. Ma directrice est devenue mon amante.
Elle se lève du canapé :
— Viens, chérie ! Nous avons le temps, n’est-ce pas ? Alors, tu vas lécher le minou de ta directrice et la faire jouir aussi ! Mets-toi à genoux !
Bozena se place debout, dos à la table, tout en s’y appuyant avec les mains. Je m’agenouille devant elle, face à son minou, comme elle dit :
— Allons ! Lèche-moi bien ! Bouffe-moi le minou ! Fais-moi jouir !
Elle essaie de jouer la dominante, tandis que je suis censée être la soumise.
Je regarde sa vulve aux lèvres plutôt fines. Je commence à passer des coups de langue dessus, avant d’écarter les lèvres avec mes doigts, afin d’insérer ma langue à l’intérieur. Je sens Bozena tressaillir :
— Hmm ! Tu sais t’y prendre ! J’adore ça ! Continue, c’est un vrai délice !
Je pousse ma langue à l’intérieur autant que je peux. Puis, ayant bien repéré le clitoris, je passe des coups de langue bien appuyés dessus. Bozena commence à ressentir les effets de ce cunnilingus d’enfer : je la sens frissonner de plaisir, puis elle se met à gémir doucement. Je dois bien l’exciter, puisqu’à un moment, je sens ses mains appuyées sur ma nuque, plaquant ainsi mon visage contre sa chatte dans un geste impulsif. Un instant gênée, je reprends le léchage. Maintenant, les gémissements de Bozena enflent. En levant les yeux vers elle, je la vois les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Je veux lui procurer un maximum de jouissance. Je tente de glisser une main sur ses fesses :
— Que veux-tu faire ? -dit-elle- entre deux halètements.— Laisse-moi faire, et avance-toi un peu, ma chérie !
Conquise, elle se détache un peu de la table, tandis que je glisse un doigt de ma main droite dans la raie de ses fesses. Je finis par repérer son petit trou. D’abord, je tapote les bords. Pas facile quand je dois continuer le léchage. Puis j’enfonce un bout de l’index à l’intérieur. Je sens Bozena se contracter :
— Mais qu’est-ce que tu fais là ?

Bozena gémit ; elle doit sentir mon doigt remuer dans son anus. Je lèche de façon plus appuyée sa vulve et son clitoris, tandis que j’enfonce tout l’index dans son petit trou et commence à faire des allers-retours. Les gémissements de Bozena deviennent plaintifs. Elle se tortille, ondule des hanches, tellement excitée qu’elle ne se maîtrise plus. Maintenant, elle a une respiration haletante, rauque. Elle murmure des mots inintelligibles. Sa vulve sécrète une cyprine crémeuse que je lèche avidement. Puis je sens que son ventre se contracte. Elle a une sorte de hoquet. Elle glousse et je sens sa cyprine dégouliner sur mes lèvres. Bozena, ma directrice, a joui sous ma langue.
Elle reste un moment adossée à la table, se tenant appuyée avec les mains, le temps qu’elle reprenne ses esprits :
— C’est fou ce que tu m’as fait jouir ! J’ai adoré ... adoré ! Et d’avoir mis ton doigt dans mon ... petit trou ... je pensais que c’était sale ... et c’est terriblement excitant ! Tu connais plus de choses que moi ! Petite dévergondée !
Elle me sourit. Puis, me prenant dans ses bras, elle me donne un baiser fougueux, torride, un baiser qui a le goût de sa cyprine que j’ai léchée. Mais qu’elle accepte sans rechigner.
— Va te nettoyer dans la salle de bain et rhabille-toi ; je vais te ramener chez toi.
J’y vais et quand j’en ressors, habillée, elle me lance :
— Dommage, je te préfère vraiment toute nue !
Avant d’ajouter, dans un élan de passion :
— Je suis heureuse de t’avoir découverte. Tu vas vraiment pouvoir réaliser mes fantasmes. Je le sens, tu sais, chérie !
Dans son regard brillant, je sens le désir, l’envie que je sois le jouet, l’instrument de ses fantasmes, sans aucun doute pervers. Et sans me l’avouer, je ressens une certaine excitation.

Vendredi 22 septembre :Je sors de l’école et arrivée devant la maison de la directrice, j’ouvre discrètement le petit portail situé à l’arrière de la maison (elle m’a prêté une clé) et je me dissimule dans le jardin en l’attendant. Un jeu qui se répétera plusieurs fois tout au long de l’année scolaire.
— Allons, rentre vite ! Il fait frais, n’est-ce pas ?
Bozena passe devant moi et nous entrons dans sa maison. La première chose que je ressens, c’est une chaleur envahissante.
— Comme tu es mon invitée, je suis venue vers 10 h pour monter le chauffage !
Elle me sourit :
— Tu sais pourquoi n’est-ce pas ?
Je lui réponds par un sourire, tout en pensant : « Oh oui, je sais pourquoi ... »Elle va consulter le thermomètre :
— Presque 26° ! Ça ira, n’est-ce pas ? Alors, déshabille-toi, ma chérie !
Je me retrouve vite complètement nue, tout comme Bozena, d’ailleurs.
Elle met la table, puis nous nous asseyons pour déjeuner. Cette fois, notre bavardage ne cesse pas : nous sommes heureuses d’être ensemble. Je souris quand je remarque le regard de Bozena posé sur mes seins :
— Tu les aimes, n’est-ce pas ? Tu les trouves si beaux que ça ?— C’est sûr ! Et même, magnifiques, à mes yeux !
Elle semble subjuguée par mes seins. Aussi, je la taquine un peu :
— Tu es amoureuse de mes mamelles ? Tu les as appelées ainsi la dernière fois !
Sans dire un mot, elle se lève et vient déposer un fougueux baiser sur chacun de mes seins.
— Je les adore !
Elle a dit cela avec une évidente sincérité.
— Les tiens aussi sont beaux, Bozena chérie !
Elle se penche au-dessus de moi et je dépose des baisers sur ses seins.
Après le café et la cigarette, Bozena se dirige vers le fauteuil du salon et s’y assoit. Je m’apprête donc à m’asseoir dans l’autre, en face, quand elle me fait signe de venir sur ses genoux !
— Je suis peut-être un peu ... lourde, non ?— Ne dis donc pas de sottises ! Viens sur les genoux de ta chérie !
Je m’installe donc comme je peux, la tenant par le cou avec mon bras gauche. Puis, elle m’embrasse, me caresse les seins, le ventre :
— J’ai très envie que tu me parles de quelqu’un que tu connais bien : ta sœur.
Je souris intérieurement. J’imagine que notre conversation ne va pas se limiter à des banalités. Nous allons parler de choses intimes.
— As-tu une photo d’elle, ici ? Tu serais gentille de me la montrer.— Je dois avoir ça dans mon sac.
Je me lève et vais y chercher un étui garni de quelques photos :
— Voilà ! –dis-je, en me réinstallant sur ses genoux : il y en a deux de mes parents, une de moi, et deux de ma sœur.
Bozena ne s’attarde pas sur celles de mes parents, ni même de moi ... elle a l’original sur ses genoux. Elle prend les deux photos de Jana. Ces clichés, en couleur, ont été pris par Bob, cet été. On y voit Jana en mini-robe verte et sur l’autre, en maillot de bain. Bozena est intéressée :
— Elle est jolie, ta sœur, très jolie même ! Et elle a des seins aussi beaux que les tiens ... et peut-être plus gros ! J’aimerais faire sa connaissance ...
Elle a dit cela sur un ton neutre, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’elle a une idée en tête. Je décide de la tester :
— Tu sais, elle a sa vie et son travail ... et puis je ne peux pas lui demander de venir comme ça...
Je feins de m’embrouiller un peu dans mes propos, de façon à ce qu’elle en déduise, d’elle-même qu’il est possible de l’inviter.
— Elle est bien jolie, en tout cas ... je vous imagine bien, ensemble ...
Elle semble rêveuse. Puis, l’air de rien :
— Vous devez bien faire des choses toutes les deux, n’est-ce pas ? Sinon, tu ne serais pas une dévergondée ! Vous devez en faire des coquineries ! Deux sœurs incestueuses et bisexuelles, c’est mignon, non ?
Elle a dit le fond de sa pensée. Je lui réponds :
— Tu aimerais nous regarder faire l’amour, Jana et moi ? Encore un de tes fantasmes... inavouables, celui-ci.
Elle s’en amuse, révélant ainsi sa vraie nature :
— Hum ! Autant te dire que je suis une voyeuse, même si c’est moins courant chez une femme !— Et une belle vicieuse ! Je ne t’imaginais pas ainsi...
Je l’observe, un petit sourire aux lèvres :
— Une vicieuse et une dévergondée ... un couple explosif, n’est-ce pas ?— Oui, ma chérie ! Allons, raconte-moi votre dernier petit « jeu » !— Puisque tu y tiens ... C’était un samedi après- midi, juste avant la rentrée. Je jouais du piano, au premier étage, tandis que Jana était dans la cuisine. Quand je suis descendue, j’ai compris, au bruit, que Jana prenait une douche. Elle m’a aperçue, la porte n’étant pas fermée, et m’a invitée à entrer. Elle m’a demandé, sans façon, de lui savonner le dos. Puis elle s’est rincée. Je voyais bien qu’elle était excitée et donc qu’elle ne m’avait pas appelée pour rien. Ce qui s’est avéré quand elle m’a demandé, tout de go, de la masturber « jusqu’au bout », suivant ses mots. C’était risqué, car mes parents étaient dans le jardin de la maison. J’ai mis trois doigts dans sa chatte et j’y suis allée à fond. En même temps, je lui doigtais l’anus. Elle haletait, elle gémissait et a fini par jouir, bruyamment, au bout d’un bon moment ...— Eh bien, vous avez de jolis petits jeux, les deux sœurs ! Deux dévergondées, alors ...
J’ai l’impression que Bozena me voit d’un autre œil et que son désir de voir Jana est bien ancré maintenant.
Puis, tout en me caressant les seins :
— Moi aussi, je voudrais voir de près ton petit trou, ma chérie ... Je veux tout connaître de ton corps. Mets-toi à quatre pattes sur le tapis !
J’obéis. Puis elle se lève à son tour et vient s’agenouiller derrière moi. Je sens ses mains écarter mes fesses :
— Hum ! Voilà le petit trou de ma chérie !
Elle passe le bout du doigt dessus. Rien que ce geste déclenche un début d’excitation.
— Bozena chérie, lèche-moi le cul ... j’adore ça ! — Tu crois que je peux ? Je n’ai pas l’habitude ... je voulais juste le voir et le toucher ...— Attends ! On va changer de position.
Je me place contre la table puis je plaque mon torse sur la table, les jambes pendantes et les pieds au sol. Puis j’écarte les jambes autant que je peux. Bozena s’agenouille derrière moi sur un coussin. Son visage est à la même hauteur que mes fesses.
— Tu vois bien mon petit trou ?— Oui ! Je le vois très bien ... Tu veux que ...— Ouiii ! Vas-y chérie !
Bozena semble hésiter un bref instant, puis je sens sa langue mouillée qui lèche mon anus. C’est follement agréable :
— Mets la pointe de ta langue dans le trou comme si tu voulais la faire entrer dedans !
Elle le fait et ça devient carrément excitant au bout d’un moment :
— Humm ! J’adore ... C’est délicieux ! Ne t’arrête pas !
J’imagine la tête blonde de ma directrice collée à mes fesses, me léchant le cul avec application. Et ça m’excite :
— Ouiiiii ! Comme ça ! Tu le fais bien ! Continue ! J’adore !
Elle entend mes gémissements. Alors, elle s’applique encore plus. Et je pousse mes fesses contre cette langue chaude qui me titille le trou du cul. Je miaule de plaisir.
Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi ni combien de temps elle m’a léchée. Tout ce que je sais, c’est que, lorsque je me redresse, il y a une petite flaque de mouille sur le bord de la table.
— Je t’ai bien excitée, ma chérie ?— Oh ! Oui ! Ouiiii ! Mon amour !
Et j’ai pris Bozena dans mes bras et je lui donnais le baiser le plus fougueux que j’ai pu. Nos langues se sont mêlées, tout comme nos salives. Un baiser torride, interminable, tout en plaquant mon corps contre le sien.
Puis il faut songer à rentrer. Et comme à chaque fois, Bozena me voit, à regret, me rhabiller. Après quoi, elle me ramène en voiture, à la maison.

Vendredi 22 décembre 1973Dernier jour de classe avant les fêtes de fin d’année. Bozena m’a glissé un petit billet dès mon arrivée à l’école : « Viens me voir à mon bureau, après la classe ». Sans doute un changement. Depuis le début d’année scolaire, nous nous retrouvons chez elle, quasiment une fois par semaine. Quand j’entre dans son bureau, une douce chaleur m’envahit :
— Mon mari est rentré dans la matinée, vers 11 h. Ce n’était pas prévu. Un changement dans son emploi du temps. J’ai vite réfléchi et lui ai répondu que je serai en retard, ayant des obligations à remplir pour ce dernier jour.
Elle me regarde, les yeux brillants :
— J’ai trop envie de toi pour te laisser partir ainsi ! Et puis, tu le sens, j’ai monté le chauffage ...— Bozena, il ne faudrait pas prendre de risques inutiles ...
Elle sourit et fait un geste de dénégation de la main :
— Ne t’inquiète pas pour cela. J’ai même trouvé quelqu’un de confiance pour te ramener chez toi. Tu n’auras pas à prendre le bus.
Puis, elle se lève :
— Je vais vérifier si tout est en ordre et qu’il n’y a plus personne.
Bozena revient un quart d’heure plus tard :
— J’ai fermé le portail d’entrée. Nous sortirons par la porte de derrière.
Puis elle ferme les rideaux de la fenêtre et vient m’embrasser. Un baiser langoureux, avide.
— Déshabille-toi ! Je te veux complètement nue !
Ça claque comme un ordre. Comme nous sommes au mois de décembre et il y a belle lurette que j’ai délaissé la minijupe pour le pantalon plus chaud, je vais me placer face au radiateur, heureusement, il est grand et chauffe bien, et je retire mes vêtements un à un, jusqu’à me retrouver nue. Bozena m’enveloppe du regard, un regard d’amoureuse. Elle me sourit :
— Tu es toujours aussi jolie ! Assieds-toi sur le bureau, à côté de moi.
Elle est assise sur son fauteuil et moi sur le bureau, à sa droite, tout près d’elle. Elle me caresse les cuisses, puis les hanches :
— Viens en face de moi !
Je me déplace un peu, m’asseyant sur le sous-main, écartant mes jambes de façon à les faire reposer sur les accoudoirs du fauteuil. Puis, plaçant ses mains derrière mes genoux, Bozena m’attire un peu plus à elle. Et, s’avançant aussi de son côté, elle a son visage tout près de mon sexe. Elle se met à le lécher, avec application. Je sens cette langue chaude, mouillée qui passe et repasse sur ma chatte, sur mon clitoris et je ne tarde pas à ressentir les premières vagues de plaisir :
— Tu aimes ça, n’est-ce pas, ma chérie ?
Elle me sent frémir et veut lire sur mon visage le plaisir qu’elle me donne :
— Ton adorable petite chatte, ton joli minou, ton con si mignon !
Elle ne se retient plus. En léchant mon sexe, elle semble être en adoration devant une icône. Elle lui adresse des compliments, où poésie et verdeur de langage se mélangent. Bientôt, toutes les parties de mon corps, elle les désignera en termes crus, qui seraient choquants dans la bouche d’une femme, mais qui auront le don de m’exciter, pour son plus grand plaisir.
Bozena me lèche la vulve, tâchant d’appuyer sa langue à chaque passage. Maintenant, je suis très excitée, d’autant plus que Bozena écarte les lèvres de ma vulve pour y enfoncer la pointe de sa langue. Cela fait presque le même effet qu’un pénis. Je commence à avoir chaud. Dans le bureau, le silence n’est brisé que par le bruit de lapement provoqué par la langue de Bozena dans ma chatte passablement mouillée et par celui de mes halètements et mes gémissements que je ne peux plus contrôler :
— Laisse-toi aller, ma chérie ! Je veux te donner tout le plaisir possible !
Maintenant, l’excitation est telle que, d’instinct, j’appuie sa tête contre ma vulve :
— Humm ! Oui ! Oui ! Ne t’arrête pas ! Oh ! Que c’est bon ! Que c’est bon !
Bozena me lape frénétiquement la vulve et le clitoris. Puis, sa main gauche lâche ma cuisse pour se plaquer sous mes fesses. Je comprends ce qu’elle veut. Je sens son doigt glisser sur ma raie et toucher mon petit trou. Sans préliminaires, je sens son doigt s’enfoncer dans mon cul et je frissonne de plaisir. Je suis de plus en plus excitée, je gémis, je râle presque. Cette langue, ce doigt, tout cela me rend folle. Je sens la spirale du plaisir monter, irrépressible. Mon ventre se contracte et je jouis, bruyamment, dans un mélange de gloussements et de râles, inondant le sous-main du bureau de ma mouille.
— Eva ! J’adore ta façon de jouir ! Tu ne sais pas combien ça me plaît ni combien ça m’excite ! Et j’ai reçu encore un petit jet de mouille ...
Et comme je constate, un peu désolée, la petite flaque de cyprine qui s’étale sur le sous-main :
— Ne te fais pas de souci pour ça. J’aurais ainsi un superbe souvenir de tes jouissances !
Je regarde Bozena dans les yeux :
— Et toi, tu veux que je te donne aussi du plaisir, chérie ?
Elle me sourit, se lève, fait glisser son pantalon sur ses chevilles et baisse sa culotte :
— Viens, mon amour ! Mange-moi le minou !
Je la regarde, je lui souris :
— Bozena, je t’adore, mais je te voudrais toute nue, comme moi, s’il te plaît !
Elle semble un peu embarrassée, puis se déshabille lentement. Bientôt, nous voilà toutes les deux nues. Je me colle contre elle et nous échangeons un baiser de feu. Je fourrage sa bouche avec ma langue et elle en fait autant. Puis ma main droite s’insinue entre ses cuisses et je fourre deux doigts dans sa chatte :
— Tu aimes, Bozena ? Deux doigts dans ton joli con !— Hum ! Oui ! Fouille-moi bien le con avec tes doigts ! J’adore ça !
Elle est appuyée dos au mur, près du radiateur. Mes doigts fouaillent sa vulve, son vagin. En même temps, je la regarde dans les yeux ; je veux y lire l’expression de son plaisir. Elle écarte ses jambes. Trois doigts font des allers-retours rapides dans sa chatte et Bozena commence à sentir le plaisir monter. Puis je me penche pour lui téter les seins. J’aspire ses tétons, je passe ma langue sur les bouts. Quatre doigts s’enfoncent dans sa vulve ; elle doit être bien excitée, car je sens sa cyprine crémeuse sur mes doigts.
— Tu aimes mes quatre doigts dans ton con ?
Bozena gémit doucement. Elle est moins bruyante que moi :
— Oh ! Oui, mon amour ! J’aime sentir tes doigts dans mon con ! Tu m’excites tellement !
Elle gémit de plus en plus ; parfois, on dirait des miaulements. Puis j’écarte Bozena du mur, tout doucement, afin de lui glisser un doigt dans le cul. Elle tressaille, d’autant plus que je lui remue le doigt dedans. Maintenant, je m’excite toute seule. Je fourrage frénétiquement la vulve de Bozena qui s’imprègne de plus en plus de sa cyprine. Puis Bozena a comme un spasme, un hoquet. Son ventre se creuse, elle glousse, puis elle jouit. Je me mets à genoux face à elle, et je me mets à lécher cette cyprine crémeuse qui s’écoule de sa vulve.
— Tu es adorable, mon amour ! Tu aimes tant ma mouille que ça ?
Elle sourit, me caressant les cheveux, tandis que je lape les dernières gouttes :
— Tu vas me rendre folle, Eva ! Tu es une belle dévergondée, tu sais !
Puis je me relève et c’est à nouveau un baiser torride, interminable, où nos langues se mêlent.
— Toi alors ! Tu es vraiment amoureuse !
Bozena me sourit, heureuse d’avoir joui sous mes doigts.
Un coup d’œil à l’horloge :
— Eh ! Il est presque 14 h ! Je sais qu’on était bien ici, mais il faut y aller ma belle !
Elle me donne une claque sur les fesses, une claque amoureuse. Après quoi, nous nous nettoyons sommairement avec des mouchoirs en papier, avant de nous rhabiller. Puis Bozena passe un coup de fil et nous sortons, en catimini, par la porte arrière de l’école. Une voiture est là, qui attend. Je ne connais pas le chauffeur, mais Bozena me fait signe que je n’ai rien à craindre. Un quart d’heure plus tard, il me dépose à cent mètres de la maison.

A suivre...—
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