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Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée

Chapitre 3

Journal de mes amours avec Bozena (2)

Lesbienne
Samedi 28 avril 1974Cette fois, nous n’avions rien prévu. C’est le hasard qui s’est chargé de nous réunir. Voici comment c’est arrivé.Quinze jours plus tôt, à fin de la classe, Bozena me fait savoir que, dans le cadre d’une compétition régionale de natation, en milieu scolaire, à Olomouc, elle a été désignée comme accompagnatrice d’un groupe d’élèves s’y rendant en autocar. Elle ajoute qu’on l’a autorisée à choisir une personne supplémentaire pour l’aider, si elle estime que c’est nécessaire. Et, naturellement, elle a pensé à moi !
— Tu sais bien comment ça se passe. Si je demande un volontaire, je ne trouve personne. Et puis, une fois sur place, nous serons tranquilles ! Nous encadrons les enfants pendant le transport et pendant le repas. Le reste du temps, nous serons libres puisque nous ne sommes pas concernées par la compétition.
Elle m’a regardée avec un sourire en coin :
— Prévois un maillot de bain et un t-shirt long. D’abord pour être à l’aise et se baigner au cas où ce serait possible !
Et voilà comment ce 28 avril à 8 h du matin, je me trouve dans cet autocar en compagnie de Bozena et d’une trentaine d’enfants et de jeunes adolescents.
L’autocar arrive à Olomouc vers 9 h. Les compétitions débutant à 10 h, nous devons être présentes jusqu’à cette heure-là, afin de pouvoir répondre aux éventuelles sollicitations des organisateurs. A 10 h, nous voilà libres jusqu’à 12 h 30, l’heure du repas. Nous ne pouvons pas sortir en ville, mais un buffet offre de quoi boire et manger sur le pouce.
— Tu as apporté un maillot et un t-shirt, j’espère ? — Bien sûr, Bozena !
Et je lui montre mon petit sac de sport.
— Parfait ! Allons donc nous changer !
Et on se dirige vers les rangées de cabines.
J’entre dans l’une d’elles, tandis que Bozena prend celle d’à côté. J’ai choisi un maillot deux pièces " moyen", parmi ceux que j’ai. Pas trop petit, mais pas trop couvrant non plus : de quoi plaire à Bozena, quand elle me verra avec ce deux pièces bicolore, blanc et noir. Quand je sors de la cabine, elle m’attend déjà ; elle a revêtu un maillot deux pièces très classique avec une culotte genre short et un soutien-gorge couvrant.
Quand elle me voit :
— Eh bien ! Tu vas faire des ravages avec ça, ma chérie ! Tu n’as pas honte ?
dit-elle en riant.
— Ne te plains pas ! J’aurais pu mettre le bikini ... mais absolument importable ici !— Tu as un bikini ? J’aimerais bien en avoir un, aussi.
Puis Bozena me prend par la main et m’entraîne vers le petit bassin, situé dans une salle à part. Les deux autres bassins sont réservés à la compétition.
— C’est pour ceux qui ne savent pas nager, non ? Ça ne doit pas dépasser un mètre de profondeur !— Allons, viens ! –me répond Bozena- on m’a dit qu’on pouvait se baigner ici !
Nous entrons dans l’eau par un escalier :
— Hum ! Elle est bonne, presque chaude !
Bozena me regarde :
— Tu es très jolie comme ça, tu sais !
Elle me dit cela avec passion, tout en cherchant à m’embrasser sur la bouche.
— Attention ! Si ... On nous voyait ?
dis-je en regardant autour de moi.
— Justement, c’est excitant d’imaginer qu’on peut se faire surprendre ! C’est pour ça que j’ai pensé à toi, d’ailleurs. Un de mes fantasmes ... que tu peux m’aider à réaliser !
Nous sommes contre la paroi du bassin à l’endroit le plus profond.
— Laisse-toi faire, chérie !
Et j’ai droit à un baiser passionné, sa langue dans ma bouche :
— Je t’adore ! Je suis folle de toi !
Ce ton passionné ne me laisse pas indifférente, même si la crainte de se faire surprendre sommeille en moi. Je lui rends son baiser avec autant de fougue, tandis que je sens ses mains caresser mes fesses à travers le slip. Et j’en fais autant pour elle ...
Nous nous embrassons comme des folles, tout en nous tripotant les fesses. Je sens Bozena très excitée. Elle glisse sa main droite dans mon slip de bain, sur le devant. Ses doigts effleurent ma vulve. Elle me chuchote :
— Laisse-toi faire ! J’ai terriblement envie de te faire jouir !
Elle essaie de me masturber, sous l’eau. Je sens ses doigts franchir les lèvres de ma vulve. Elle fait des va-et-vient dans mon vagin et cela provoque des petits remous :
— Ça t’excite, ma chérie ? Dis-moi que ça t’excite !
Elle me regarde droit dans les yeux, tandis que ses doigts fouillent mon vagin. Malgré l’eau, je commence à ressentir les effets de sa masturbation. Je me laisse aller :
— Hum ! Oui ! Je peux te dire que ça m’excite !— Enlève ton slip de bain !
Sa main gauche agrippe mon slip, le tirant vers le bas. Bozena semble déchaînée, si bien que je cède à son caprice. Je lui montre mon slip que je tiens dans ma main droite :
— Tu vois, je suis gentille avec toi !
Je sens ses doigts libres de tout mouvement fouiller mon vagin avec frénésie. Malgré l’eau, je sens l’excitation monter. Puis, vicieusement, Bozena passe sa main gauche sur la raie de mes fesses à la recherche de mon petit trou. L’ayant repéré, elle y enfonce son index sans la moindre préparation, me faisant frissonner. Elle me regarde toujours dans les yeux, guettant le moment où je vais jouir :
— Ça t’excite, hein ? C’est bon de se faire branler dans l’eau, ma chérie !
La sensation est étrange. Le ramonage forcené de mon vagin couplé à un autre ramonage de mon petit trou par son index provoque des petits remous dans l’eau, mais n’empêche pas mon excitation de monter sans cesse. J’ai une sorte de hoquet. Mon ventre se crispe, et je glousse de plaisir, à la grande joie de Bozena qui m’embrasse passionnément.
— Tu as aimé, chérie ? J’adore te voir jouir !
Puis je remets mon slip et nous sortons du bassin. Bozena me prend spontanément la main, et nous faisons quelques pas :
— Nous avons passé de jolis moments ensemble, n’est-ce pas, Eva ? Tu es une belle amoureuse, tu sais ?
Puis elle me regarde intensément :
— Tu as envie de moi, n’est-ce pas ? Je t’ai bien excitée et maintenant, tes sens sont en feu. On va dans une cabine ?
Je la regarde puis l’entraîne dans ma cabine. Nous sommes à l’étroit, mais qu’importe. Bozena retire son maillot, et j’en fais autant. Elle se place debout, dos à la paroi, les jambes bien écartées, tandis que je me mets à genoux face à elle. Je passe ma langue sur les lèvres de sa vulve :
— Hum ! Chérie ! J’aime que tu me lèches le con ... et quand je vais jouir, je sais que tu vas lécher ma crème d’amour ! Vas-y, ma chérie, lèche le con de ta Bozena !
Elle a le don de me stimuler avec ces mots crus qu’elle emploie avec une telle facilité. Au début, je n’imaginais rien de tel venant d’elle. Aussi, j’écarte les lèvres de sa vulve pour y glisser la pointe de ma langue à l’intérieur. Il ne faut guère de temps pour entendre ses premiers gémissements. Puis, je passe la langue avec application sur son clitoris qui commence à durcir. Les gémissements de Bozena prennent de l’ampleur. Je m’interromps un bref instant pour voir ses yeux mi-clos :
— Je t’excite bien, ma chérie ?— Hummm ! C’est magnifique ! Tu lèches si bien ! Tu vas me rendre folle !
Je m’applique à bien appuyer ma langue sur et dans sa vulve, passant et repassant sans cesse sur son clitoris. Bozena se mord les lèvres pour ne pas gémir trop fort.
— Oh, que c’est bon, mon amour ! Ta langue sur mon con ... J’en peux plus, ma chérie ! J’en peux plus ...
Ses mains se posent sur ma nuque. Elle me plaque le visage contre sa vulve. Elle commence à mouiller, car j’ai le goût de sa cyprine sur ma langue. Puis, je glisse ma main droite entre la paroi et ses fesses. Bozena comprend vite et s’en écarte légèrement. Mes doigts glissent dans la raie de ses fesses, puis mon index s’enfonce dans son petit trou. Je la sens se raidir un peu. Puis tout en lapant sa vulve et son clitoris, je fais bouger mon doigt dans son anus. Bozena commence à se tortiller, à onduler des hanches, tandis que ses gémissements emplissent la cabine. Elle se laisse totalement aller, tandis que je lui prodigue du plaisir autant que je peux. Je lui doigte le cul, je lui lape sa moule avec délectation, tant et si bien qu’elle finit par émettre des couinements. Son ventre se contracte et elle jouit. Je recueille sa crème d’amour sur ma langue, léchant tout, avalant tout. Nous restons ainsi une bonne minute :
— C’était magnifique, ma chérie ! J’ai adoré ton léchage... Tu m’as fait bien jouir !
Puis nous remettons nos maillots, et enfilons le t-shirt par-dessus. Bozena regarde le mien : j’ai apporté le t-shirt bleu roi, le cadeau de Mirek. Il est fendu sur les côtés et couvre à peine plus que le slip de bain. Le sien est d’ailleurs d’une longueur identique et blanc.
— On va voir comment se passe la compétition ? Il ne faudrait pas que nous ayons l’air de nous en désintéresser !
Bozena me sourit et nous nous dirigeons vers les grands bassins.
En général, les accompagnatrices amènent de quoi lire et se font oublier durant la journée. Notre attitude étonne, mais nous sommes fort bien accueillies et matées, bien sûr ! Des petits malins viennent même nous demander –discrètement- si nous avons quelque chose sous notre t-shirt. Et nous ne résistons pas au petit jeu qui consiste à soulever le bas du t-shirt pour faire apparaître le slip de bain.
— Je ne sais pas si nous en faisons un peu trop – dis-je, en souriant à Bozena-, mais cela m’a donné une idée pour cet après- midi ... une idée coquine, bien sûr !— De quelle sorte, cette idée ? fait Bozena, intriguée.— Enlever nos maillots et ne garder que le t-shirt ! C’est excitant ... je l’ai déjà fait !— Hum ! On va très vite se rendre compte que nous sommes nues dessous ... surtout avec les seins. Mais je suis d’accord pour le faire ! Même s’il faudra faire attention en marchant ...
Le reste de la matinée se passe en bavardage. Puis nous nous rhabillons, car nous devons assurer la surveillance du repas des participants. Et quand les compétitions reprennent, vers 14 h, nous avons deux petites heures devant nous.
Retour aux cabines, déshabillage complet avant d’enfiler le t-shirt et de sortir. Bozena se fait attendre un peu, mais finit par sortir :
— Tu crois que c’est bien prudent ? On ne peut même pas s’asseoir ... trop dangereux ! dit-elle en pouffant de rire. Mais qu’est-ce que tu fais ?
Je glisse une main sous son maxi t-shirt au niveau de ses fesses et la fais remonter jusqu’à son cou. Que de la peau nue.
— Je contrôle, ma chérie ! mais tu peux en faire autant, tu sais !
Bozena glisse sa main, mais sur le devant. Je sens ses doigts sur ma vulve, mon nombril et mes seins, nus, bien sûr.
— Parfait, ma chérie ! Que faisons-nous maintenant ?— Nous allons nous promener un peu, comme ça, pour voir l’effet que ça fait.
Nous marchons un peu au hasard, autour du petit bassin (inoccupé), vers les douches, dans les couloirs. Nous nous asseyons sur un banc pour voir. Difficile de cacher le sexe et si l’on croise les jambes, ce sont les fesses qui sont visibles ! Ce qui nous amuse beaucoup à vrai dire.
— Tu es vraiment jolie, mon amour !
Et sans prévenir, Bozena me colle un baiser brûlant tout en m’enlaçant et en me caressant les seins à travers le t-shirt.
— Et si on nous avait surprises ? dis-je, pour essayer de la retenir un peu.
Mais, à vrai dire, je suis tout aussi excitée qu’elle.
— Bozena, nous ne sommes pas raisonnables, n’est-ce pas ?
Elle me regarde, un grand sourire aux lèvres :
— Sans doute, ma chérie ! Mais l’important est que cela nous fasse plaisir ! Allons dans un vestiaire, nous serons mieux !
Au milieu d’un couloir, un vestiaire collectif avec des patères le long du mur et des vêtements divers accrochés çà et là, Bozena m’entraîne au fond de la pièce et nous nous asseyons sur le banc. Elle m’enlace aussitôt, m’embrassant à pleine bouche, tout en y fourrant sa langue :
— Je t’adore ... enlève ton t-shirt ! Je te veux toute nue !
Nous sommes excitées et finissons par nous retrouver nues toutes deux. Bozena embrasse mes seins, les lèche, suce les tétons, les mordille :
— Tes beaux seins ... tes jolies mamelles !... Je voudrais tant passer une nuit d’amour au lit avec toi ...
Par moments, j’ai l’impression qu’elle délire un peu. Mais ses propos semblent sincères. Alors, je lui chuchote :
— Tu voudrais coucher avec moi ?
Elle me regarde, les yeux brillants :
— Oui, coucher avec toi ... et faire tout ce que l’on a envie !
Puis sa bouche repart à l’assaut de mes seins, avant de glisser vers mon ventre.
— Tu n’as pas peur qu’on nous surprenne ?— Je m’en moque, je suis folle de ton corps !— Bozena, je vais te montrer quelque chose.
Je me lève et la fais lever aussi. Puis je me colle contre elle, face à face, et nous commençons à nous frotter, sexe contre sexe. Les mains bien plaquées sur les fesses de l’autre, nous entamons un frotti-frotta endiablé avec l’idée fixe de nous exciter mutuellement et de jouir ensemble.
— Hum ! Eva, c’est bon de sentir ton con se frotter contre le mien ! C’est très excitant ! Et de voir tes mamelles ... Tu dois penser que je suis folle, n’est-ce pas ?
Puis, elle fourre sa langue dans ma bouche, me donnant un baiser torride, que je lui rends aussitôt.
— Je sens que tu commences à être excitée, chérie !
lui dis-je, alors que sa respiration s’accélère. Et puis de sentir mes mains sur ses fesses ... l’envie folle de revisiter son petit trou. Elle le sent, et, d’instinct, ses doigts se glissent dans la raie de mes fesses. Il ne faut guère de temps pour nous doigter le cul, tandis que le frottement de nos deux cons s’accélère. Nous gémissons, nous haletons, sans nous soucier du reste. Puis Bozena me glisse à l’oreille :
— Je suis ta pute ... tu es ma pute ... tu vas me faire jouir ... ma petite pute ...
Ces mots murmurés à l’oreille provoquent un pic d’excitation et, dans un gloussement, je jouis, en même temps que Bozena. Quand je m’écarte d’elle, sa chatte est mouillée de ma cyprine, laquelle dégouline sur mes cuisses.
Bozena me regarde avec tendresse :
— Je vois que ça marche, les mots crus, ma chérie ! Ça décuple ton excitation !
Puis nous remettons notre t-shirt et sortons du vestiaire. Bozena m’entraîne vers les cabines :
— Allons chercher une serviette et prenons une douche, veux-tu ?
Ce que nous faisons et nous nous retrouvons dans les douches des femmes. Bozena, toujours amoureuse, veut que nous prenions la douche ensemble. Et nous passons un agréable moment à nous savonner mutuellement.
— Maintenant que nous sommes bien propres, on pourrait aller boire un verre au buffet de la piscine ?
Bozena me regarde, visiblement amusée :
— Et ... comme ça, bien sûr !— Évidemment, comme ça ! Il suffit de faire attention ! Je lui souris.
Elle passe par sa cabine prendre un peu d’argent et nous nous dirigeons vers le buffet qui est situé sur une sorte de mezzanine accessible par un escalier droit. Nous avons vu deux ou trois quidams traîner dans les environs. Peut-être ont-ils eu l’occasion de se rincer l’œil...
Une fois arrivées au buffet, nous prenons une boisson au comptoir et repérons une table libre. Nous nous asseyons sur la banquette, côte à côte. Je me penche vers Bozena :
— Attention, chérie, tu montres ta jolie petite chatte !— Et, toi aussi, mon amour, on voit ton joli con !
Et nous rions de bon cœur. Nous surprenons le regard d’un homme d’un certain âge. De là où il se trouve, il voit bien nos cuisses, mais pas nos sexes, même s’il peut imaginer qu’ils soient visibles. Puis Bozena me murmure à l’oreille :
— J’ai bien l’impression qu’il est en train de se masturber. On fait quoi ?— Hum ! Au moment de partir, on se lève chacune son tour de son côté, face à lui. On lui offrira la vue de ce qu’il désire !
Un court instant, notre « admirateur » a eu la vision de la chatte de Bozena, puis celle de mon con. Peut-être a-t-il juté à ce moment-là ...
Puis nous sommes retournées aux cabines pour nous rhabiller. Il était presque 16h. Ensuite, nous avons assisté à la petite cérémonie de clôture de la compétition, puis repris l’autocar. Nous sommes arrivées chez Bozena vers 17 h 30. Puis elle m’a ramenée chez moi, en voiture.

Vendredi 8 juinDepuis quelques jours, la chaleur est bien présente. L’été est en avance. Aussi, une fois le déjeuner terminé, Bozena me propose une promenade en forêt, pas loin d’ici.
— On pourrait y aller à pied, mais cela fait 4 kilomètres. Et nous n’avons pas trop de temps. Nous prendrons donc la voiture.
Elle regarde mes vêtements posés sur une chaise : une petite minijupe, celle de ma première rentrée, ainsi qu’un chemisier.
— C’est bête ... J’aurais dû te demander d’apporter un t-shirt et un short. Une tenue idéale avec ce si beau temps.
Puis elle se ravise :
— Attends ! J’ai ce qu’il faut : t-shirts, débardeurs, shorts ... Et nous avons, à peu près, la même taille.
Bozena se dirige vers sa chambre. Elle en ressort dix minutes plus tard avec un short et un débardeur.
— Tiens, j’ai trouvé ça. Tu peux l’essayer...
Je suis nue, comme chaque fois où je suis invitée chez elle. J’enfile le débardeur sur la peau nue. Il me va plutôt bien. Il est vert avec un décolleté arrondi. Ajusté, certes, mais pas plus qu’il ne faut. On devine bien les tétons qui pointent. Bozena sourit :
— Tu es mignonne comme ça, chérie ! Pas besoin de soutien-gorge !
Et comme j’enfile aussitôt le short, je renchéris :
— Et pas besoin de culotte, non plus, n’est-ce pas ? Hum ! Le short n’est pas vraiment à ma taille, par contre ; il me serre un peu, mais ça va.
Bozena tourne autour de moi :
— Bon, ça moule bien tes fesses et comme il est échancré sur les côtés, ça les dévoile un peu, mais ce que tu as l’air sexy ! Prends tes affaires, ainsi je te ramènerai directement chez toi.
Il est un peu plus de 14 h 30 quand nous partons. Il ne faut guère plus de cinq minutes pour atteindre le parking qui jouxte la forêt. Bozena porte un petit sac :
— J’ai apporté de qui boire ... Avec cette chaleur.
Nous prenons le sentier qui s’enfonce dans le bois. Bozena me prend par la taille :
— J’ai fait comme toi ... je n’ai rien dessous mon t-shirt et mon short.
Ses yeux brillent :
— Dans un kilomètre, nous atteindrons le bout de la forêt et là il y a un petit étang. A cette heure, nous devrions être tranquilles.
Vingt minutes plus tard, nous atteignons l’étang, une grosse flaque d’eau d’un demi-hectare. Bozena m’entraîne sous un saule pleureur :
— Avec toute cette végétation, nous serons à l’abri ! Viens donc !
Elle pose son sac sur le sol, puis, sans façon, entreprend de se dévêtir. Le jeu me plaît et tout aussi vite, je me retrouve nue, comme elle.
— C’est comme le paradis terrestre ! me dit-elle, tout en admirant mes seins. Aussitôt, je prends ses mains et les pose dessus :— Amuse-toi, ma chérie, mes seins sont à toi, mon corps est à toi !
Elle pose un regard énamouré sur moi :
— Mon corps est aussi à toi, mon amour ! dit-elle, avec fièvre en se collant contre moi.
Nous échangeons de langoureux baisers, tandis que nous nous tripotons les fesses avec fièvre :
— Tu as un joli cul, ma chérie ! dis-je à Bozena entre deux baisers.— Et toi, donc ! Quels jolis melons tu as ! Penchant que nous marchions, je regardais ta belle croupe... le short la mettait si bien en valeur ...
Puis elle se penche sur mes seins :
— J’aurais toujours ce souvenir fou de tes ravissantes mamelles !
Elle les couvre de baisers appuyés, puis se met à téter les bouts, goulûment, comme si elle cherchait à en tirer quelque chose. Cette succion effrénée commence à m’exciter et ma main droite quitte ses fesses pour se glisser entre nos ventres.
— Tu veux visiter le con de ta Bozena chérie ? me dit-elle, en s’écartant un peu.
Deux doigts s’enfoncent dans sa chatte. Je lui murmure :
— J’adore ton con ... j’adore t’exciter ... j’adore te faire mouiller.
Bozena me regarde. Elle sent mes doigts lui fouiller sa vulve. Elle commence à vibrer :
— Tu es une adorable amoureuse, ma chérie ... dis-moi des petits mots crus. J’adore faire l’amour avec toi dans la nature ...
Elle me chuchote presque :
— Ça m’excite comme une folle !
Je commence à l’être aussi et je rentre dans son jeu :
— Tu aimes te faire masturber par ta petite pute ? Tu sais qu’il se murmure à l’école que « Eva serait la petite pute de Bozena » ? Mais je m’en moque. Je te donne tout le plaisir que je peux. Et ça me plaît d’être ici, toute nue, avec toi. Laisse-moi lécher ton joli con d’amour !
Je me mets genoux dans l’herbe et commence à lécher la moule déjà baveuse de Bozena. Elle me caresse les cheveux tandis que j’enfonce la pointe de ma langue dans sa grotte d’amour.
— Hummm... ! J’adore, ma chérie ... Que c’est bon ... et ... et si tu me doigtais le petit trou, ce serait encore meilleur !
Très vite, mon index droit lui titille les bords de son cratère, avant de s’y enfoncer complètement. Bozena commence à gémir doucement :
— Que c’est bon, ce que tu me fais ... sentir ta langue dans mon con ... ton doigt dans mon cul ... moi aussi je veux être ta pute ...
Puis je fais écarter les cuisses de Bozena pour mieux lui lécher l’entrejambe. Elle se laisse faire avec délice. Quand la pointe de ma langue passe sur son petit trou, je la sens frémir :
— Oh oui ! Lèche-moi le cul, mon amour ! Je sais que tu adores ça ... eh bien moi aussi ! Ta langue chaude sur mon trou du cul ... je deviens cochonne avec toi !
Je sens Bozena de plus en plus excitée. D’autant plus que mes doigts se sont remis à fouiller son vagin avec frénésie. Je dois avouer que ses mots crus m’excitent et que je me lâche de plus en plus.
— Allonge-toi sur le dos et écarte bien les jambes, chérie !
Je me suis relevée et j’ai lancé cet ordre à Bozena, qui s’exécute sans tarder.
— Que veux-tu faire mon amour ?— Essayer un 69, chérie ! On se lèche mutuellement le con ... On se donne du plaisir en même temps.
Bozena est là, étendue dans l’herbe, sur le dos, les cuisses bien ouvertes. Je m’allonge sur elle, tête-bêche. Je me retrouve avec sa vulve à quelques centimètres de mes lèvres. De son côté, Bozena a ma chatte quasiment posée sur sa bouche. Puis je lèche avec délice cette vulve frémissante ; en même temps, je sens la langue chaude de Bozena passer et repasser sur la mienne, tandis que ses mains palpent mes fesses avec gourmandise. Je veux aussi lui procurer un petit plus en passant une main sous sa cuisse pour parvenir à titiller son petit trou.
— Cela te plaît, ma chérie ?— Oh ouiiii ! Et j’aime quand tu joues avec mon petit trou !— Tu es une petite cochonne... Tu me l’as prouvé plusieurs fois !— Toi aussi, tu es une petite cochonne, Eva chérie ! Tu aimes ma façon de lécher ton con ?— Hummm ! Oui ! Je mouille déjà, n’est-ce pas ?— Ça oui ! J’ai déjà des gouttes sur ma figure !
Puis Bozena se met à me lécher avec vigueur. Elle titille mon clitoris avec sa langue. Je commence à défaillir de plaisir et j’ai du mal à me concentrer sur le léchage de sa vulve. Alors je lui doigte le cul avec ferveur. Elle gémit. Puis je sens qu’elle essaie de me fourrer un doigt dans l’anus. Cela doit être un peu acrobatique, mais elle y parvient. Et tout en nous doigtant et nous léchant, on parvient à faire monter l’excitation. Je mouille de plus en plus.
— Hum ! Ta cyprine dégouline sur mon visage ! Je veux que tu jouisses, mon amour !
Je sens Bozena qui me lèche et qui me doigte autant qu’elle peut. Je me laisse aller. Elle le sent et accélère le rythme autant qu’elle peut. Je suis de plus en plus excitée, je gémis, je glousse. Mon ventre se contracte et je finis par jouir dans un ultime couinement.
— Oh, mon amour ! J’adore le goût de ta cyprine !
Je sens la langue de Bozena lécher ma chatte avec avidité. Puis je me relève lentement. C’est pour la voir heureuse de m’avoir fait jouir, le visage dégoulinant de ma cyprine. Elle me prend dans ses bras et nous échangeons un baiser torride où nos langues se mêlent. Puis je m’abaisse peu à peu jusqu’à me trouver à genoux devant elle ; je veux lui procurer le même plaisir. Je glisse la pointe de ma langue dans sa vulve, tandis que mes doigts jouent avec son petit trou. Il ne faut pas longtemps avant que son plaisir n’explose et qu’elle jouisse avec un petit couinement, tandis que je lèche avidement sa cyprine crémeuse qui s’écoule.
Puis je me relève. Bozena, toujours passionnée, m’enlace et s’ensuit un baiser incendiaire.
— Tu m’as donné un plaisir fou ! Je t’adore !— Tu ne sais pas combien tu m’excites, Bozena !
Nous sommes heureuses, mais nous avons chaud, très chaud même.
— Hum ! On pourrait se baigner dans l’étang, mais l’eau doit être froide !
Nous nous approchons de l’eau, qui est pour le moins fraîche. Nous nous contentons de nous frotter le corps avec nos mains mouillées. Puis nous buvons le contenu de la thermo. S’ensuit un petit moment de repos.
Puis Bozena consulte sa montre.
— Hé ! Il est 16 h 15 ... Il faut songer à rentrer, n’est-ce pas ?
Nous nous rhabillons, puis reprenons le sentier en sens inverse. Alors que nous approchons du parking, nous croisons un couple. Nous sourions de voir l’homme se retourner sur notre passage. Un beau souvenir pour lui que nos deux belles croupes qui ondulent à chaque pas. Une fois dans la voiture je remets mes vêtements. Et il est presque 17 heures quand Bozena me dépose à proximité de chez moi.

Fin du journal. A suivre...—
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