Vendredi 3 novembre 1973Dernier jour de classe de la semaine. Et c’est aussi mon anniversaire. Bozena est, bien sûr, au courant depuis un bon moment. Et elle s’est mise en tête d’organiser ça : « L’anniversaire de sa chérie ! » Je la laisse agir à sa guise. Cela lui plaît tellement. Lundi dernier, elle m’a déjà prévenue : Vendredi, nous fêterons ton anniversaire ! Cela se passera à Prostejov, là où tu es née, d’ailleurs. Nous serons chez ma sur qui nous prête sa maison. Elle sera absente et nous serons donc entre nous ! Prévois de rentrer plus tard chez toi ! Et nous voici en ce vendredi tant attendu. Le beau temps est de la partie, même s’il est très frais. Une fois la classe terminée et les formalités habituelles faites, nous nous préparons au départ. Alors que Bozena s’apprête à sortir la voiture du garage, elle me dit, en souriant : Pour le déjeuner, ne t’inquiète pas, chérie, ma sur nous a préparé quelque chose et moi- même j’apporte ça (elle me désigne un panier en osier sur la banquette arrière). Puis elle me regarde et prend un petit air coquin : Tu as bien apporté ta minijupe, comme prévu, n’est-ce pas ? Alors, si tu la mettais maintenant ? Tu es tellement sexy avec ! Je mettrais le chauffage de la voiture à fond, s’il le faut ! Je lui souris, prends mon sac et retourne dans la maison pour me changer. Quand j’en ressors, je sens le regard de Bozena sur mes cuisses largement dénudées. Je te plais comme ça, chérie ? lui dis-je, avec le même sourire coquin. Quand nous nous garons devant la maison de sa sur, il est près de deux heures de l’après- midi. Nous rentrerons vers cinq heures et demie. De quoi nous permettre de faire tout tranquillement ! Puis nous entrons. Bozena a pris le panier en osier et moi, mon sac. Nous nous dirigeons d’abord vers la cuisine. Sur la gazinière, un potage et une goulache sont là, prêts à être réchauffés. De son panier, Bozena en sort un gâteau : Ce sera pour tout à l’heure ! En attendant, nous allons déjeuner. Tu dois avoir faim, n’est-ce pas ? ... Au fait, ma sur m’a dit que je pouvais monter le chauffage, si je voulais ...
Je la vois se diriger vers une sorte de grand placard. Et quand elle revient : Le temps de déjeuner et il fera plus chaud... bien plus chaud. Ses yeux brillent, et moi je me sens gagnée par l’excitation. Nous serons alors toutes nues ... Tout au long du déjeuner que nous prenons au séjour, Bozena me lance des regards appuyés. Je te plais, n’est-ce pas ? Toi aussi tu me plais ... pour ne pas dire que tu m’excites ! lui dis-je avec fougue. Je vois Bozena rosir de plaisir. Puis, une fois le café bu et la table desservie, elle me dit, sur le ton de la confidence : Je vais à la cuisine, chercher le gâteau que j’ai apporté pour ton anniversaire. Quand je serai de retour ici, je veux te voir toute nue ! Je me lève donc et entreprends de me dévêtir. Et quand Bozena apparaît, portant dans ses mains un plat sur lequel est posé un joli petit gâteau, je m’apprête à déposer ma culotte sur le bord du canapé. Tu es magnifique, chérie ! me lance-t-elle, avec un regard énamouré. Je jette un coup d’il sur le gâteau : Juste pour nous deux ? Cela fait beaucoup, non ? Et en plus, il y a la bouteille de mousseux ! dis-je en la voyant revenir avec une bouteille et deux verres. Qui sait ? Peut-être que nous aurons de la visite ? Et ainsi nous n’aurons pas de restes ! Elle rit, tout en s’apprêtant à couper le gâteau. On entend alors un grincement : c’est celui, caractéristique, du portail qu’on ouvre. Bozena donne un coup d’il à l’horloge : 3 h. Qui peut bien venir à cette heure ? Ma sur revient ce soir, mais pas avant sept ou huit heures ! Elle est allée, avec son mari et son fils, rendre visite à ses beaux-parents. Je m’approche de la fenêtre qui donne sur l’allée menant au portail d’entrée : Hé ! Que fais-tu ? On va te voir et ... Ignorant l’avertissement de Bozena, je regarde en direction de l’intrus qui se rapproche : un jeune homme poussant un vélo. Puis il s’arrête, comme tétanisé. Je suis entrée dans son champ de vision. Il doit se demander qui est cette jeune fille qui lui offre à voir sa nudité, si naturellement. Puis Bozena s’approche à son tour : Mais ... c’est mon neveu ... le fils de ma sur, quoi ! Que fait-il ici ? Bozena semble nerveuse. Elle entrouvre la fenêtre et parlemente avec lui. Je n’ai pas bougé de place et je vois bien que le neveu l’écoute distraitement, occupé qu’il est à me mater sans retenue ! Je sens Bozena tout à la fois agacée et amusée : Tu n’as pas honte de te montrer à lui comme ça ? Il va s’imaginer des choses ... Puis, plus sereine : Avec les beaux-parents, ils sont allés visiter une foire, à 30 kilomètres d’ici. En participant à une tombola, mon neveu a gagné un vélo ! Et comme ils étaient déjà cinq dans la voiture et qu’on ne savait pas où le mettre, il l’a tout simplement enfourché et l’a ramené ici ! Puis je vois le neveu poser le vélo tout neuf contre le mur et s’approcher de l’entrée : Tu restes comme ça ? Je sens Bozena devenir fébrile. Elle semble plus excitée que gênée par la situation qui s’amorce. En tout cas, elle ne tente rien pour me persuader de me rhabiller ! Le jeune homme pousse la porte et entre dans le séjour. Je me suis assise sur le canapé. Pavel, tu nous fais la surprise ? Ta mère m’avait dit que vous ne rentriez pas avant sept heures ! Il l’écoute, mais son regard est littéralement rivé sur mon corps. Alors, jamais vu d’institutrice toute nue ? lui dis-je, volontairement effrontée. La situation est plutôt surréaliste. Debout près de la table, Bozena observe la scène, attendant visiblement la suite. Son côté mateuse refait surface.Je me caresse les seins, puis je glisse la main droite entre les cuisses, tout en le regardant. Alors, ça t’excite ? Mes nichons te plaisent ? Tu veux que je me masturbe ? Ses yeux brillent d’envie, mais il jette de fréquents coups d’il en direction de sa tante. « Trop beau pour être vrai ... » doit-il se dire. Tu attends l’autorisation de ta tante ? Tu m’as l’air d’être bien majeur, non ? Me voilà prise d’un doute. Si ça te rassure, Eva, il a fêté ses dix- neuf ans, il y a juste deux semaines ! Puis, d’un signe de tête, elle lui donne le feu vert. Il s’approche de moi et tend ses mains vers les trésors que je lui offre. Il ne sait plus par où commencer. Je frémis quand ses mains palpent mes seins, les tripotent. Il devient nerveux et il est certain qu’il doit bander dur. Je regarde Bozena : elle semble fascinée par le spectacle. Il n’y a plus de directrice, simplement une tante excitée de voir son neveu peut-être en passe de se faire déniaiser par une de ses subordonnées. Avec l’impression dérangeante qu’elle me fait faire, ce qu’elle-même n’ose ou se refuse de faire. Maintenant, les mains de Pavel courent sur mon corps : les seins, le ventre, le dos, les cuisses. C’est sûr qu’il bande ... Je n’y tiens plus et ma main droite se pose sur sa braguette. Et comme il me fait toujours face, debout, je le fais asseoir à côté de moi, tandis que ma main droite palpe sa braguette. Un bâton de chair bien dur se trouve là. Je te fais bander, hein ? Je masse son sexe à travers son pantalon. Tourné vers moi, il glisse sa main entre mes cuisses, que j’écarte sans hésiter. Sors ta bite ! Après tu pourras fourrer tes doigts dans ma chatte ... Il ouvre sa braguette et extirpe son bâton de chair qui se tient bien droit. Tu as une belle bite, Pavel ! dis-je avec un air gourmand, tandis que j’empoigne celle-ci à pleine main et commence à la masturber doucement. En même temps, il replace sa main entre mes cuisses écartées et me tripote la chatte. C’est la première fois que tu touches un sexe de femme ? Heu ... non, à vrai dire ... mais là, c’est si joli ... si excitant ... je ... Regarde comme il est mignon, ton neveu, Bozena ! Il est tellement excité qu’il ne sait plus s’exprimer ! Puis j’ajoute, tout de go : Mets-toi à poil ! Je suis sûre que ta tante n’y trouvera rien à redire, de voir son neveu tout nu ! Je regarde à nouveau Bozena ; mon initiative doit sûrement l’exciter, même si elle n’en laisse rien paraître. Maintenant, je teste Bozena. Je fais lever Pavel et lui demande de regarder sa tante. En même temps, je le branle. Rien qu’à voir le visage de Bozena, j’acquiers la certitude que je fais ce qu’elle voudrait faire, tant elle semble fascinée par cette bite décalottée que j’astique avec une lenteur calculée. Cela te plaît que je branle ton neveu, n’est-ce pas ? Et même que ça t’excite ... peut-être que tu aimerais être à ma place ? Je sens bien que je pousse le bouchon de plus en plus loin, mais je mise sur la relation torride que nous entretenons depuis deux mois pour lui faire révéler ces turpitudes sexuelles qui l’assaillent certainement. Puis j’ajoute : Après tout, c’est bien toi qui désires voir ma sur, n’est-ce pas ? Et que tu as très envie de nous voir faire des « choses » ensemble. En attendant, je vois bien que tu aimes me voir avec ton neveu, me voir lui faire une bonne branlette ... en attendant plus ! Justement, je continue de le branler et très vite, il ne peut plus se retenir et gicle un épais foutre, en partie sur ma main, tandis que le reste va se perdre sur le linoléum qui recouvre le sol. Alors, ça t’a plu ? Je t’ai bien branlé ? Maintenant si tu me faisais la même chose ? J’en ai très envie, tu sais ! En disant cela, je saisis la main de Pavel et la pose sur ma chatte. Enfonce tes doigts dedans ! Ne te gêne surtout pas devant ta tante ! Pavel ne se fait pas prier et enfonce deux doigts dans ma chatte. Nous sommes tous les deux debout, face à Bozena, restée assise. Hmm ! Bien ... Bien ! Et fais des allers-retours... Pendant qu’il me masturbe, mon regard va de Bozena au sexe de Pavel. Hmm ! Pas si novice que ça, on dirait ... et en plus ce petit cochon rebande ! Regarde-le donc, Bozena ! Elle ne doit plus reconnaître « son » Eva qui se lâche ainsi et qui la provoque en plus. Je sens naître l’excitation malgré cela et même à cause de la maladresse de Pavel. Pourquoi tu ne te mets pas toute nue aussi ? Après tout, quand je te présenterai ma sur, tu n’hésiteras pas à le faire, n’est-ce pas ? Je sens Bozena désemparée. Elle lutte contre elle-même. Enfin, elle se lève. Oh ! Et puis zut ! Et elle commence à se dévêtir. Elle a franchi le pas, mais tente de poser des bornes : J’espère que personne d’autre n’en saura rien ... Il faut que cela reste entre nous ... Tu imagines si ça venait à se savoir ! Elle est presque suppliante. Nous garderons le silence, c’est promis ! Pavel et moi l’avons dit en même temps. Une fois nue, Bozena s’approche. Nous sommes debout, et Pavel me ramone la chatte avec deux doigts. Elle vient se placer derrière moi. Je sens ses lèvres dans mon cou, tandis que ses mains prennent mes seins en coupe : Tu es belle, chérie, j’adore tes jolies mamelles ! Puis elle ajoute : Tu aimes que Pavel te branle, n’est-ce pas ? En même temps, j’ai peur de ce que je fais là, mais ça m’excite tellement que je ne peux pas résister... Justement, il nous regarde, alors que nous sommes collées l’une à l’autre : Vous ... aimez faire ça entre vous ? Ses deux doigts qui fouillent ma chatte commencent à produire leur effet et je suis de plus en plus émoustillée ; mais je lui réponds aussi sec : Bien sûr qu’on aime ! Pourquoi ça te dérange ? Tu n’as jamais vu deux femmes se tripoter comme ça, hein ? Oh, non ! Ça ne me dérange pas du tout ... au contraire ! Et sa bite raide est là pour nous assurer du plaisir qu’il prend à nous regarder. D’autant plus que je gémis de plaisir sous ses doigts ... sans compter Bozena qui s’amuse à me triturer les tétons entre ses doigts. Bozena qui se lâche peu à peu ... elle qui voulait le secret sur notre complicité amoureuse ... sans doute le neveu doit-il figurer sur sa liste de fantasmes. Maintenant, elle frotte son sexe contre mes fesses, sans cesser d’agacer mes tétons avec ses doigts, tandis que Pavel me ramone la chatte. Je mouille, et le fait de sentir ses doigts s’enduire de cyprine l’excite encore plus et il accélère le mouvement. Je suis tellement mouillée que cela produit un clapotis. Je gémis, je glousse, je tends mon ventre vers ses doigts pour mieux les sentir dans mon con. Mon bas-ventre se contracte et dans un râle, je jouis, lâchant un petit jet de cyprine sur les doigts de Pavel. Tu as aimé, ma chérie ? Il t’a bien fait jouir ? Bozena me chuchote à l’oreille, tout en jouant avec mes seins. Pavel observe ses doigts enduits de ma cyprine, et me regardant, il vient spontanément les glisser dans ma bouche. Je les lèche avec application, tandis que Bozena murmure : Si tu te faisais enculer ... par mon neveu ? Tout de suite et devant moi ! Je sais que tu adores que je te lèche ou que je doigte ton petit trou ... Mais j’ai très envie de voir, par moi-même, comment tu réagis avec une bite qui te ramone le cul. Tu veux bien, ma petite pute ? Elle me parle ainsi, toujours collée à mon dos, sa bouche près de mon oreille, ses mains sur mes seins. Sa voix chaude ... et ses propos crus font renaître mon excitation. Ta petite pute d’Eva est d’accord, Bozena chérie ! Puis, me retournant pour lui faire face, je lui donne un baiser passionné où nos langues se mêlent. Je dévore ses lèvres, tandis que mes mains lui pétrissent ses fesses. Pavel nous regarde avec gourmandise, alors que sa queue se redresse. J’adore vous voir vous tripoter comme ça ... Je n’imaginais pas ma tante ainsi ! dit-il, avec un sourire en coin. L’idée que l’arrivée du neveu n’est pas si inopinée que ça commence à germer. Mais je n’ai pas le temps de m’y attarder : Dis, ma tante, elle a un beau cul ta copine ... c’est pour ça que tu veux que je l’encule ? Pavel profite de la situation, sans vergogne. Il doit me trouver « facile ». C’est bien ça ... tu la prends par derrière ... et elle va me bouffer la chatte en même temps ... n’est-ce pas, chérie ? Elle me prête à son neveu, en quelque sorte. Quelle vicieuse ! Et en plus, leurs attitudes qui frisent l’ambiguïté ... Mais voilà que Bozena me fait pencher en avant, tandis que Pavel me saisit aux hanches. Prends ton pied, ma chérie, puisqu’il paraît que tu aimes les grosses queues !Et en même temps, tu vas bien lécher le minou de ta Bozena adorée ! Et elle me saisit la tête entre ses mains pour coller mon visage sur sa chatte. Puis je sens un doigt s’introduire dans mon anus, suivi par un deuxième : Hum ... ma tante ... Il me semble bien souple le petit trou de ta copine ! Et elle mouille déjà, la cochonne ! Voyons, surveille ton langage, Pavel ! Et dois-je croire que tu t’y connais un peu ? Je suis entre leurs mains et déjà tout excitée de jouir de cette façon. Puis je sens sa bite toute raidie glisser entre mes fesses et se positionner à l’entrée de l’anus. Les mains de Pavel se cramponnent à mes hanches et il pousse, il pousse. Puis je sens son gros dard s’enfoncer peu à peu dans mon anus. C’est un peu douloureux, mais, comme je mouille déjà, ça va. C’est un régal de l’enculer ! Je lui ai mis toute ma bite ! Pavel jubile, tandis qu’il se prépare à me ramoner. Je sens sa queue aller et venir dans le conduit anal. Quant à moi, j’ai la vulve de Bozena presque sur ma langue et je la lèche avec toute la passion dont je suis capable. Cette fois-ci, je sens la bite de Pavel coulisser dans mon anus. Pavel qui déballe ses propos vulgaires : Alors, tu t’appelles Eva ? Tu dois être une belle salope pour que ma tante te fasse faire ce qu’elle veut ... et son fantasme, c’était que je t’encule devant elle, qu’elle voit comment tu jouis avec une grosse bite dans le cul ! En même temps, il me ramone sèchement et j’ai du mal à me concentrer sur le léchage de la moule de Bozena. Putain ... elle mouille, la salope ! Ça t’excite les grosses bites, hein ? Dis-le que ça t’excite ! J’ai du mal à me concentrer. Je sens que Bozena commence elle aussi à mouiller. J’imagine que le spectacle que j’offre doit l’émoustiller. Alors, j’en rajoute : Oh ouiii ! J’aime sentir une grosse bite dans mon cul. J’adore me faire ramoner le petit trou ! J’adore me faire enculer ... ! Maintenant, Pavel me pistonne comme un possédé, si bien que mon visage est le plus souvent plaqué sur la chatte de Bozena. Je sens mes nichons ballotter, tandis qu’une excitation irrépressible m’envahir : Hmmm ! Ouiii ! Comme c’est bon ! Encore ! Encore ! Je sens la cyprine couler sur mes cuisses. Ce ramonage intense me rend folle. Je couine, je crie, je gémis, je glousse. Pavel balance de vrais coups de boutoir et mon corps en est tout secoué. Salope ! Pute ! Tiens mon foutre ! Oh que c’est bon ! Que c’est bon ! Et je sens son foutre se déverser dans mon trou. Puis il reste un moment comme ça avant de se retirer. Bozena me maintient penchée en avant, puis : Je veux voir comment est ton petit trou après ça, mon amour ! Elle vient se placer devant mes fesses : Mmm ! Je peux y entrer facilement deux doigts, ma chérie ! Et je sens deux de ses doigts s’enfoncer dans le trou béant qu’est devenu, l’espace d’un moment, mon anus. Puis je me redresse : Eh bien ! Qu’est-ce que j’ai pris ! J’aurais besoin d’une bonne douche, après ça ... Bozena me sourit : C’est possible ! Viens donc ma chérie ! Nous laissons là, Pavel, visiblement satisfaite de sa « prestation » et nous nous dirigeons vers la salle de bain. Bozena me montre le fonctionnement de la douche. Puis je commence à me laver, tandis qu’elle papote tout en me regardant : C’est fou comme tu as facilement excité mon neveu ... Il faut dire qu’avec les formes de ton corps. Et puis jamais j’aurais pensé qu’il puisse t’insulter comme ça. Mais je sais que les mots crus ont le don de t’exciter encore plus, n’est-ce pas ? Mais que fais-tu chérie ? Comme je me frotte le corps avec une éponge savonneuse, j’en viens à insister particulièrement sur ma vulve, écartant même les jambes pour que ça soit plus efficace. Tu te masturbes, mon amour ? C’est pour plaire à ta Bozena ? Tu es une belle coquine ! Tiens, je vais faire la même chose ! Elle se place face à moi, en s’adossant contre le lavabo. Puis elle caresse sa vulve avant d’y enfoncer deux doigts, pour se ramoner gentiment le vagin : On va essayer de jouir en même temps, ma chérie ! La voyant faire ainsi, je laisse tomber l’éponge pour me pénétrer le vagin avec deux doigts. Et il ne faut pas longtemps pour que les premiers gémissements se fassent entendre. Je regarde Bozena : elle a maintenant les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, tandis que ses doigts s’agitent frénétiquement dans son vagin. De la voir agir ainsi m’excite au plus haut point. Alors, je sors de la douche et viens me coller contre son corps. Elle interrompt aussitôt sa masturbation pour m’embrasser passionnément, un baiser de feu, profond, où nos langues se mêlent. Puis je frotte ma chatte contre la sienne. Je t’adore, Bozena ! Tu es si excitante, toi aussi ! Tu me rends folle ! Je sens ses mains pétrir mes fesses : Eva, tu as un joli cul ! J’adore tes fesses ... et tes jolies mamelles aussi ! Et elle se met à me sucer les tétons, à les aspirer, à les mordiller, provoquant un surcroît d’excitation. Et moi j’aime ton ventre, tes cuisses ... Bozena ... j’ai très envie aussi de coucher avec toi ... toute une nuit ... pour le plaisir ... notre plaisir. Bozena m’embrasse à nouveau, un baiser incendiaire, interminable ; elle semble ne plus pouvoir contrôler ses sens. Pavel va se demander ce que nous faisons ... dis-je, tentant de revenir à la réalité. Bozena me sourit : Ne t’inquiète pas pour si peu ! elle regarde vers la porte - ce petit cochon est juste là, à nous mater tout en se branlant, en plus ! De toute façon, il est dans la confidence, n’est-ce pas ? C’est vrai ! J’avais oublié ... Peut-être avez-vous quelques petits secrets entre vous ? Je commence à entrevoir une nouvelle facette de Bozena. Irréprochable au travail, mais une vie privée plutôt mouvementée. Souvent côtoyant la ligne jaune, parfois la franchissant.Elle me sourit : Tu n’as pas besoin de savoir cela. Profite du moment présent, sans te poser de question. Il se branle en nous regardant ? Et alors ? Je suis sûre que ça t’excite de te faire mater ! Elle n’a pas tort. De savoir que Pavel se trouve là, juste derrière la porte m’émoustille. Une idée malsaine jaillit, irrépressible : Tu n’as jamais eu l’occasion de ... de masturber Pavel ? Il a une si belle queue ... Eva ! C’est toi qui fais ce genre de proposition ? Il est vrai que ce que vous faites, ta sur et toi... Je m’attendais à des propos indignés ... même pas. Elle doit penser : « Eva est une sacrée dévergondée ! » Un moment d’hésitation : T’as envie que je le fasse, hein ? Tu l’as déjà branlé, alors pourquoi je ne le ferais pas aussi ? Elle ouvre la porte en grand. Pavel est là, la bite toujours dressée, attendant quelque chose, car il a évidemment tout entendu ! Bozena l’invite à s’approcher et, sans trop hésiter, elle pose sa main droite sur sa queue, avant de l’enserrer entre ses doigts. Puis elle se met à masturber, lentement, son neveu. Alors, ça te plaît, chérie ? me dit-elle en me regardant dans les yeux. Avant d’ajouter : Je crois que c’est la première fois que je fais ça ! dit-elle, d’une manière sibylline. Pavel est aux anges, sa queue est toute congestionnée. Ils sont maintenant face à face et je remarque que Bozena fuit le regard de Pavel, les yeux baissés vers ce qu’elle fait. Je passe ma main sur sa chatte, puis lui titille le clitoris. Tu n’imaginais pas faire cela, mon amour... branler ton neveu pendant que ta chérie joue avec ton clitoris ... Lequel clitoris durcit et gonfle entre mes doigts. Bozena réagit en accélérant le rythme de masturbation. Elle est excitée et commence à mouiller. Sa main malmène le pénis de Pavel, tout près de jouir. Ce dernier, la respiration saccadée, gémit de plaisir. J’essaie de rouler le clitoris de Bozena entre mes doigts, puis tout se précipite : un petit jet de sperme jaillit, maculant la main de Bozena, tandis que je sens une cyprine crémeuse sur mes doigts. Tous les deux ont joui. Nous restons ainsi un instant à reprendre nos esprits. Bon, je crois qu’on va devoir reprendre une douche ! lance Bozena avec un sourire pincé. Mais, cette fois, nous la prenons à tour de rôle, rapidement, avant de nous retrouver dans le séjour. Et nous nous rhabillons dans la foulée. Nous sommes ici pour fêter ton anniversaire, ne l’oublions pas ! Bozena découpe le gâteau et en dépose une bonne part dans une assiette à dessert qu’elle nous tend ensuite. Pavel se charge de déboucher la bouteille de mousseux et nous trinquons à mon anniversaire. Bozena ne s’en fait servir qu’un doigt ... c’est elle qui va conduire, après tout. En même temps, nous parlons de tout et de rien, comme si ce qui avait précédé ne s’était jamais produit. Même si je m’amuse du manège de Pavel, qui mate chaque fois qu’il le peut, mes cuisses que ma minijupe dévoile généreusement. Bozena jette un il à l’horloge : Bientôt 5 heures ... nous allons devoir rentrer, n’est-ce pas, chérie ? Et puis arrête d’exciter ce pauvre Pavel ! Si tu crois que je n’ai pas vu ton manège ... bon, c’est un peu de ma faute aussi, puisque j’ai voulu que tu mettes cette mini ! Puis, nous faisons la vaisselle, avant de tout ranger. Après quoi, nous sortons de la maison, suivi de Pavel. Et il est quasiment 5 h 30 quand nous démarrons. Peu après 6 h, Bozena s’arrête, comme d’habitude, sur le parking qui jouxte la gare routière. Tu as été divine, ma chérie ! me dit-elle, toute joyeuse. Ah ! Ces jolies cuisses qui excitaient tant mon neveu ! Et joignant le geste à la parole, elle les caresse avec passion. Puis elle glisse sa main gauche entre mes cuisses : Je suis folle de toi ! susurre-t-elle, avant de m’embrasser passionnément. Mais l’arrivée d’un autobus interrompt nos ébats. Un peu contrariée, Bozena se redresse. Elle m’adresse un sourire complice, puis m’ouvre la portière. Alors, à lundi, chérie ! A lundi, mon amour ! lui ai-je lancé, tout en lui envoyant un baiser, du bout des doigts.