Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 3 Commentaires

Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée

Chapitre 5

Un plan à trois si attendu

Lesbienne
Ce vendredi 15 juin 1974 est celui d’une formidable opportunité. Mes parents travaillent l’après-midi et donc Jana aussi, puisqu’ils sont dans le même service. Mais celle-ci s’en est trouvée dispensée, devant se rendre à une visite médicale du travail à Prostejov. Quant à Bozena, elle tient à m’amener faire un tour chez sa sœur, à Prostejov, donc. Avec sans doute l’idée de renouveler l’expérience faite lors de mon anniversaire.En entrant dans la ville, des travaux sur la chaussée nous obligent à faire un détour qui nous fait passer devant la gare. Alors que nous patientons à un feu rouge, Bozena me voit agiter la main. Elle s’adresse à moi :
— Tu as vu quelqu’un, on dirait ?— Bozena, je viens d’apercevoir ma sœur ! Je savais qu’elle se trouvait ici pour une visite médicale ...— Descends donc la retrouver. Je vais chercher un endroit pour me garer !
Jana est toute surprise de me voir :
— Qu’est-ce que tu fais ici ? — Je suis venue en voiture avec Bozena. On doit aller chez sa sœur, mais j’ai l’impression qu’elle va changer d’avis !
Elle a un petit air amusé :
— Depuis le temps que tu me parles de cette Bozena ! Maintenant qu’elle a trouvé l’occasion de me voir ... C’est vrai que tu n’as pas fait beaucoup d’efforts jusque là pour organiser une rencontre. Tu as peur qu’elle s’entiche de moi ? Tu crois que je vais lui plaire, comme ça ?
Sacrée Jana ! Elle me chambre. Elle est vêtue d’une minirobe beige très courte ; le bas orné de franges rend l’ensemble à peine « décent ».
Bozena nous rejoint, sur ces entrefaites :
— J’ai trouvé une place sur un parking à 300 mètres d’ici ...
Puis s’adressant à Jana :
— Je suis heureuse de faire votre connaissance ! Depuis le temps qu’ Eva me parle de vous ...
J’ai la vague impression que Bozena la dévore des yeux. Je me sens un peu gênée, mais je chasse vite cette impression. Je dois me faire des idées, voilà tout.Jana regarde sa montre :
— Désolé, mais je dois prendre mon train dans vingt minutes ...— Ah ! Mais il n’en est pas question ! Je ramène Eva et donc je vous ramène aussi en voiture ! Si nous allions plutôt boire un verre dans un bar ? Histoire de faire connaissance.
Nous nous installons à la terrasse d’un café en face de la gare.
Bozena s’est assise entre nous deux. Tout en parlant avec Jana, elle laisse traîner son regard sur ses cuisses (que la minijupe dévoile largement) et sur le décolleté en pointe de sa robe. Après tout, je lui ai bien dit que ma sœur avait de plus gros seins que moi, n’est-ce pas ?
— Vous êtes vraiment jolie, Jana ! Excusez-moi d’être si directe !
La voilà en train de faire une cour, pas vraiment discrète, à ma sœur ! Bon, depuis le temps qu’elle désirait la rencontrer, elle en profite, c’est sûr. D’autant plus que j’ai vite remarqué que Jana n’est pas indifférente à l’opération de charme de Bozena. Puis cette dernière se lève :
— Excusez-moi, les filles, je reviens dans un instant.
Nous la voyons entrer dans l’établissement :
— Dis donc, Eva, elle ne se gêne pas ta copine ! On dirait qu’elle ... a envie de moi ! Que lui as-tu raconté ?
Elle n’est guère offusquée. Elle semble plutôt amusée et même intéressée. Comme je la vois dans de bonnes dispositions :
— Elle cherche une partie à trois : toi, moi et elle, bien sûr. Tout ça parce qu’elle m’a fait raconter des trucs qu’on fait ensemble, à la maison ... et elle aimerait bien qu’on les fasse devant elle ! Une voyeuse, quoi !— Un peu bizarre ta directrice ... En plus, j’ai bien vu qu’elle était intéressée par mes seins. Tu dois savoir pourquoi, non ?— Elle m’a dit plusieurs fois qu’elle adorerait avoir des seins comme les miens. Et quand j’ai ajouté que les tiens étaient encore un peu plus gros, elle a carrément flashé !— Hum ... ta Bozena commence à me plaire. C’est qu’ elle est mignonne, même si elle n’a pas de gros seins. On pourrait l’inviter à la maison ...
Jana s’est tu. Elle me regarde, le sourire aux lèvres. C’est vrai que les parents sont au travail jusqu’à 22 h. Ainsi, Bozena pourrait venir chez nous cet après-midi ... C’est à ce moment que Bozena réapparaît. Jana me lance :
— Tu veux que je la teste ?
Et prestement, elle défait le bouton du haut de sa mini-robe, laissant apparaître nettement le creux de ses seins, tandis qu’elle croise ses jambes, dénudant encore un peu plus ses cuisses. En se rasseyant, Bozena sourit :
— Vous avez chaud, Jana, semble-t-il.— Juste un peu ... Dites-moi, Bozena, ça vous plairait de terminer l’après-midi chez nous ? Juste nous trois ; mes parents travaillent jusqu’à 22 h. Si vous n’avez rien prévu d’autre, bien sûr.
Sacrée Jana ! C’est elle – même qui lance l’invitation. Je ne vois pas comment Bozena refuserait ce qu’elle attend !Bozena minaude un peu, juste pour la forme :
— Je ne voudrais pas vous déranger ... mais c’est volontiers que j’accepte.
Après avoir réglé les consommations, nous nous levons et nous marchons jusqu’à la voiture. Je monte à l’avant. Je porte toujours la petite minijupe kaki. Jana m’adresse un sourire complice, juste avant que nous démarrions. Il n’est pas loin de 16 h, lorsque nous abordons le parking proche de la station d’autobus. Je suggère à Bozena :
— Tu vas laisser ta voiture ici et nous finirons le chemin à pied. Ensuite, tu feras le tour pour entrer par la porte arrière du jardin. Ainsi, on ne saura pas que tu es avec nous.
Tandis que Bozena fait le tour du pâté de maisons, Jana et moi franchissons le portail d’entrée. Puis je me dirige vers la porte arrière du jardin pour l’ouvrir. Et voici Bozena qui arrive, tout sourire :
— Eh bien, c’est vraiment une opération discrétion ! Mais tu as raison, il vaut mieux que nous soyons prudentes.
Puis nous entrons avant de nous diriger vers la cuisine. Jana est là, en train de servir de la limonade :
— D’abord boire un peu, n’est-ce pas ?
Nous nous asseyons autour de la table. De temps à autre, au milieu d’une conversation banale sur notre maison, Jana m’adresse des petits sourires. Puis, elle se lève :
— Excusez-moi, je reviens dans un instant.
Dix minutes plus tard, elle réapparaît, vêtue d’un t-shirt bleu, juste assez long pour lui couvrir les fesses. Et il est visible, à voir le balancement de ses seins, qu’elle ne porte rien d’autre.
— J’aime bien me sentir à l’aise ! dit-elle en se rasseyant. Avant de rajouter à mon encontre :— Tu devrais faire comme moi, Eva. Après tout, ton amie est là pour nous voir faire des choses, je crois ...
Jana prend les choses en main et se montre provocante. Je regarde Bozena. Son attitude me suggère qu’elle apprécie son initiative.
— Bon, je vais me mettre à l’aise aussi ! dis-je, en me dirigeant vers ma chambre au premier étage.
Quand elle me voit revenir, Jana applaudit, faisant se retourner Bozena. Je suis toute nue. Je m’approche de Bozena :
— Cela te plaît de nous voir ainsi, n’est-ce pas ? Et si tu te mettais toute nue, ma chérie ? Après Jana te montrera ses seins qui te plaisent tant !
Bozena ne se fait pas prier et ses vêtements se retrouvent bien rangés sur une chaise. Puis Jana retire son t-shirt.
— Maintenant que nous sommes toutes nues, on se tutoie, oui ? C’est Jana qui continue de diriger et je la laisse faire, tout heureuse et excitée par la tournure des événements.— Aucun inconvénient, Jana ! Et tu as vraiment de beaux nichons, tu sais ... je l’avais dit à ta sœur en regardant une photo de toi.— Ta copine a un langage direct ... pour une directrice d’école, en plus ! Sinon, Bozena, tu es mignonne, toi aussi ... Tu as envie de toucher mes nichons, comme tu dis ? Ne te gêne pas !
Jana se plante devant elle et je vois Bozena tendre ses mains vers les grosses poires laiteuses que sont les seins de Jana. Elle les effleure du bout des doigts avant de la prendre en coupe et les soupeser.
— Jolies mamelles, Jana, vraiment jolies mamelles ! J’adorerai avoir les mêmes ... je peux ?
Elle avance ses lèvres pour sucer délicatement les tétons déjà dressés.
— Hmmm ! Bozena, surtout ne te gêne pas ... j’adore ça.
De les voir ainsi, debout, face à face, Bozena, légèrement penchée en avant, pour mieux sucer les tétons de Jana, m’émoustille terriblement. Je me lève et viens me coller contre le dos de Bozena, mes mains posées sur ses hanches :
— Alors, ma chérie, ils te plaisent les seins de ma sœur ? Tu sais, je ne suis pas jalouse ... tu peux faire ce que tu désires.
Tout en lui parlant à voix basse, je picore son cou de baisers, titillant, au passage, le creux de son oreille avec ma langue. Puis mes caresses buccales descendent le long de son échine, jusqu’à la naissance de ses fesses.
— Tu as un beau petit cul, ma chérie ... ces adorables melons, j’en suis folle !
Puis je fais glisser ma langue le long de sa raie :
— Humm ! Le berceau de ton petit trou, mon amour... tu ne sais pas à quel point j’ai envie de ton petit trou !
En même temps, j’entends la respiration haletante de Jana : le suçage de tétons commence à faire son effet. Cependant, Bozena s’empresse de me répondre :
— Oh oui, ma chérie ! Vas-y ! Tu sais que ça m’excite aussi, n’est-ce pas ?
Comme j’écarte les globes fessiers à deux mains, je comprends que Jana a cessé d’être passive, en entendant Bozena :
— Hum ! Oui, tripote-moi la chatte avec tes doigts, Jana ! Comme c’est bon d’être avec vous deux ... je suis toute à vous mes chéries !
Je sens Bozena s’abandonner à nos caresses. Maintenant, j’ai sous les yeux son adorable rosette et je passe et repasse amoureusement ma langue dessus.
— Tu aimes, ma chérie, quand je lèche ta jolie petite rondelle ? Et tu aimes sentir les doigts de Jana dans ta chatte ?— Vous allez me rendre folle, vous deux ! Je n’arrive même plus à sucer les seins de Jana !
Il faut dire que de son côté, Jana ramone la chatte de Bozena avec trois doigts. Les bruits caractéristiques en témoignent. Bozena a un frémissement quand elle sent la pointe de ma langue chercher à s’insinuer dans son cratère d’amour. Instinctivement, elle remue son bassin.
— Tu veux que je t’encule, chérie ? Mes doigts dans ton trou d’amour !
Les mots, volontairement crus, ont un effet immédiat :
— Humm ! Vas-y, mon amour ! Vas-y ! Je veux sentir tes doigts dans mon trou !
Je la sens se crisper quand mon index s’enfonce dans son conduit chaud et déjà humide d’excitation. Elle gémit de plaisir. Jana commente :
— C’est une belle vicieuse, ta copine ! Les institutrices sont toutes comme ça ? Hmm ! Elle ne va pas tarder à jouir, j’ai les doigts pleins de sa mouille !
Je glisse un deuxième doigt dans l’anus de Bozena, puis je les fais coulisser. De l’autre côté, Jana lui fourrage le vagin à quatre doigts. Elle est là, debout, les jambes écartées, à onduler du bassin d’avant en arrière, pour mieux accueillir ces doigts féminins qui sont en train de l’amener aux portes de la jouissance. Elle râle, elle gémit, elle halète. Le tout entrecoupé de mots syncopés :
— Hum ! Encore ! Encore ! Vos doigts... J’adore ! Oui ! Oui ! Je vais jouir ! Je vais jouir ... Je vais ... jouir !
Un gloussement presque bestial, la bave aux commissures des lèvres, son ventre se contracte, de la cyprine crémeuse suinte des lèvres de sa vulve. Bozena vient de jouir.
Elle reprend ses esprits, tout en s’appuyant avec les mains sur la table :
— Oh ! Vous m’avez donné un de ces plaisirs ! Je ne me souviens pas avoir joui comme ça ...
Puis regardant Jana avec admiration :
— Quelles belles mamelles, tu as ! ... De si belles poires d’amour ! Viens donc que je dévore tes beaux fruits !
Et comme Jana s’approche, elle la saisit aux hanches, puis passe sa langue sur ses seins, léchant les tétons au passage :
— Dis donc, Eva, ta copine est en train de devenir folle de moi, on dirait !— Hum ! Je peux dire que je suis folle de toi aussi ... en fait folle de vous deux ! Vous m’excitez tellement que je n’arrive plus à maîtriser mes pulsions !— Eh bien, qui aurait cru cela ! Tu es devenue amoureuse de nous deux ?
Je me sens un peu surprise de la réaction de Bozena. Tandis qu’elle lèche avec application les seins de Jana, cette dernière lui lance :
— Hummm ! J’ai une folle envie de t’embrasser, Bozena !
Celle-ci se redresse aussitôt, s’accouple avec Jana, et toutes deux s’embrassent fougueusement. Leur langue fourrage la bouche de l’autre, tandis que les mains de Jana pétrissent les fesses de Bozena. Le spectacle qu’elles m’offrent m’excite tant que je commence à me doigter la vulve.Puis Bozena frotte son bas-ventre contre celui de Jana :
— Tu aimes que je te caresse la chatte comme ça ?
Et comme elle tourne la tête vers moi :
— Mais ma chérie se masturbe ! Tu n’es pas jalouse de me voir avec ta sœur, on dirait. Vous êtes de sacrées dévergondées, vous deux !
Puis, abandonnant la bouche de Jana, ses lèvres glissent sur ses seins, puis sur son ventre. Et Bozena se retrouve à genoux, le visage sur la vulve de Jana.
— Tu as aussi un joli con, ma puce ... Excuse-moi d’être crue, mais quand je parle comme ça à ta sœur, il faut voir comment ça l’excite. Alors, je suppose que ça doit être la même chose pour toi.
Bozena picore de baisers les lèvres de la vulve, avant de passer sa langue dessus :
— Dis donc, elle a aussi de grosses lèvres, ma puce ! Il y a de quoi lécher. Ton joli minou qui n’a pas de poils ...
Je la vois écarter les lèvres avec ses doigts pour y enfoncer la pointe de sa langue. Jana, la bouche entrouverte, commence à ressentir les bienfaits de ce léchage. Au bout d’un moment, elle se recule légèrement pour enfoncer deux doigts dans la vulve de Jana.
Bozena, qui n’oublie cependant pas ma présence, me voit alors toujours en train de me masturber :
— Allons, approche-toi, ma chérie ! Ne reste pas seule à te faire plaisir dans ton coin !
Elle agite sa main gauche :
— Viens donc, chérie, j’ai des doigts libres pour ton joli con !
Je viens donc me placer à la droite de Jana et aussitôt Bozena glisse deux doigts dans ma chatte, tout en poursuivant le ramonage de celle de Jana avec son autre main.
— Hum ! Avoir les deux sœurs côte à côte ! Vous aimez sentir mes doigts dans vos cons, n’est-ce pas, mes chéries ?
Jana commence à gémir de plaisir. Elle est adossée à la table et ondule des hanches.
— Ta sœur est bien excitée, on dirait, Eva. Vous m’avez fait jouir toutes les deux ; maintenant, j’aimerais vous voir faire des choses ensemble ... tu sais que je suis aussi voyeuse, chérie.
Bozena retire ses doigts de nos chattes. Jana sourit :
— Alors, comme ça, tu lui as dit ce qu’on faisait et maintenant elle veut voir ?— C’est bien ça, Jana ... Ici ? dis-je à Bozena. — Plutôt dans la chambre de l’une ou l’autre. Ce sera plus confortable pour vous, n’est-ce pas ?— Alors, montons au premier ; les chambres sont en haut.— Petite chambre identique pour chacune de vous ... on va dans la tienne, Eva, si tu veux bien !
Jana s’assoit sur le bord du lit et Bozena sur la chaise de mon bureau, tandis que je reste debout.
— Allez-y, mes chéries ! Je vous regarde !
Je fais un signe à Jana qui se lève tandis que je m’allonge sur le dos. Puis elle vient s’accroupir sur mon visage, posant sa chatte presque sur mes lèvres. Je place mes mains sur ses cuisses et passe ma langue sur les lèvres de sa chatte. Elles sont luisantes de cyprine. Le léchage et le doigtage de Bozena avaient commencé à faire leur effet.
— Sacrées coquines ! La lécher dans cette position !
Par moments, Jana se penche légèrement en avant et frotte sa vulve sur mes lèvres. Bozena contemple le spectacle des cheveux blonds de Jana ondulant sur ses épaules et de ses seins ballottant au rythme de ses mouvements. Ma langue passe et repasse sur sa vulve, excitant au passage son clitoris. Puis je me recule légèrement afin que ma langue se retrouve sur son petit trou que je titille avec délice. Jana m’offre ensuite, elle-même, l’accès à son petit trou.
Les gémissements de Jana se font entendre de plus en plus fréquemment, jusqu’à devenir une plainte lancinante. Je mets plus d’ardeur à lécher les deux orifices qu’elle m’offre.
Pour plaire à Bozena, j’interromps brièvement mon intense léchage, pour susurrer des mots crus à l’intention de ma sœur, qui finit par se laisser emporter par le jeu !
— Jana, tu aimes que je te lèche le con ... que je lèche ton petit trou ?— Hummm ! Ouiii ! J’adore ça ! Mange-moi le con ! Déguste mon abricot brûlant ! Lèche-moi le cul ! Je deviens folle de plaisir !
Bozena nous regarde, de plus en plus excitée, puis, n’y tenant plus, elle se lève et vient se placer à plat ventre sur le lit, sa tête posée sur ma chatte. Et c’est lorsque je sens sa langue s’exciter sur ma vulve et mon clitoris, que je l’entends me dire :
— Vous êtes de belles cochonnes ! Je n’ai pas pu résister ! Mais tu vas faire jouir ta sœur à fond, j’en ai très envie.
Bozena joue avec ma vulve, la léchant et la doigtant, mais elle regarde fréquemment le visage de Jana. C’est qu’elle est transfigurée par le plaisir que je lui donne : yeux mi-clos, bouche entrouverte, avec filet de bave à la commissure des lèvres, gémissements lancinants. Et comme Bozena commence sérieusement à m’exciter, par contre coup, j’en viens à lécher la chatte et le cul de Jana avec une véritable frénésie. Celle-ci gémit de plus en plus fort, et finit par couiner de plaisir et jouit, mouillant mon visage de sa cyprine qui s’écoule, à grosses gouttes de sa vulve.
— Hummm ! Que c’était bon ! J’ai adoré ! minaude Jana, tout en restant assise sur mon visage.— Dis donc Eva, je crois que ta sœur veut que tu remettes ça ! Reprends ton léchage, fais lui avoir un orgasme monumental !
Je ne sais pas si le désir de ma sœur est que je recommence, mais c’est bien celui de Bozena. Alors je reprends le léchage du con de Jana, tout luisant de sa mouille. Entre-temps, Bozena a changé de place ; elle s’est assise sur le bord du lit, mais tout près de ma tête. Elle peut voir ma langue s’activer sur l’entrejambe de Jana. Et elle ne se prive pas de titiller mon sexe avec sa main gauche, tandis que sa main droite tripote les fesses de ma sœur.
— Je vous adore toutes les deux ! Excitantes à souhait !
Et elle se lance dans des caresses acrobatiques, suçant le téton gauche de Jana, tout en nous tripotant avec ses mains.
Cela fait un bon moment que Jana est quasiment assise sur mon visage et que je lape son abricot. Des gouttes de cyprine perlent à nouveau entre les lèvres de sa vulve. Je les lèche avec gourmandise. Pendant ce temps, Bozena profite de la situation et glisse un doigt entre les fesses de Jana, à la recherche de sa rosette, avant d’enfoncer son index dans le petit trou. Puis elle procède à un ramonage en règle du cul de Jana.
Une langue qui lui léchouille le con et le clitoris, un doigt qui lui fourrage le trou du cul et Jana sent renaître l’excitation. La voilà qui gémit à nouveau :
— Hummm ! Encore ! Encore ! Ne vous arrêtez pas ! Oh ! Que c’est bon, cette langue, ce doigt !
Elle en bave de plaisir. C’est sûr, elle va jouir encore. Peut-être un quart d’heure que sa sœur lui lèche la moule, et agace son clitoris. Et puis ce doigt qui vrille son petit trou ...
— Continue ! Continue ! Jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme !
C’est la voix de Bozena qui m’encourage à poursuivre. Sous mes coups de langue, le clitoris de Jana est gonflé et très sensible. Et comme je poursuis mon léchage, Jana se sent envahie par un plaisir irrépressible, qui va crescendo. Elle ondule des hanches, tout en gémissant de plus en plus fort.
— Oh ! Oh ! Arrêtez ! J’en peux plus ! J’en peux plus !
Jana supplie presque, tandis que ma langue et le doigt de Bozena poursuivent leur infernal manège. Puis elle a comme un hoquet, son ventre se creuse, tandis qu’elle éructe des gloussements.
— Oh ... Oh ... parvient-elle a murmuré, tandis que je reçois, en plein visage, un jet de cyprine expulsé par sa vulve.
Elle reste ainsi un moment avant de murmurer :
— Mon Dieu, quel orgasme ! J’ai joui comme une folle ! Pour que ça gicle comme ça ...
Elle sourit en voyant mon visage tout mouillé de sa cyprine.
— Il n’y en a pas sur le lit ! constate-t-elle en se remettant précautionneusement, debout. Quant à moi, je me relève doucement et m’assois sur le bord du lit.— Vous êtes de belles dévergondées ! Quel spectacle vous m’avez offert !— Et ça t’excite encore, on dirait ! dis-je, en voyant Bozena, assise sur le bord de mon bureau, en train de se titiller son clitoris avec deux doigts. Je la regarde dans les yeux :— Chérie, si tu nettoyais la mouille de Jana sur mon visage ... avec ta langue ?
Elle sourit :
— Sacrée coquine ! Bien sûr que je vais le faire, mon amour !
Puis, comme je la vois poursuivre sa masturbation :
— Jana peut s’en charger ... elle a des doigts de fée pour ça ! Et puis ce sera une façon de te remercier pour le forage de son cul ...
Bozena se lève, s’approche de mon visage et y passe amoureusement sa langue, récoltant une cyprine encore huileuse. Je la sens frémir quand Jana, glissant sa main entre ses cuisses ouvertes, se met à lui triturer sa chatte et son clitoris.Tant bien que mal, elle parvient à nettoyer mon visage avec sa langue. C’est qu’elle n’arrête pas de se dandiner, tant elle est excitée par les doigts habiles de Jana.
— Vous êtes de vraies bêtes de sexe ... avec vous, je suis vraiment comblée ! Je t’en prie, Jana, tu peux arrêter un peu ?
Tandis que Jana va s’asseoir sur le lit, j’ouvre le tiroir de mon bureau, et glissant ma main jusqu’au fond de celui-ci, j’en sors un étui en carton. Surprise de Jana :
— Mais ... on dirait le vibromasseur ! Bob te l’a laissé ?— À vrai dire je ne sais pas s’il l’a laissé ou oublié, volontairement peut-être. Mais je l’ai trouvé il y a deux semaines, environ, dissimulé derrière des livres de ma bibliothèque !
Bozena regarde avec intérêt l’objet de couleur rose, en plastique relativement souple, garni de petites aspérités sur sa longueur.
— Tu vois, Bozena, c’est comme une grosse bite ! En plus, grâce à un petit moteur, ça vibre. Tu veux essayer ?
Comme elle semble hésiter, Jana me le prend des mains :
— Regarde comment ça fonctionne.
Jana écarte les jambes, puis appuie l’embout arrondi contre les lèvres de sa vulve et pousse doucement avec ses deux mains. Quand elle a rentré environ la moitié des 20 centimètres de l’engin, elle ouvre l’interrupteur placé à l’arrière. Une vibration sourde se fait entendre.
— Hum ! C’est toujours aussi bon ce truc ! Les vibrations, c’est le top ! En plus, tu le fais entrer et sortir, comme ça ... comme une vraie bite, quoi ! Essaie donc, Bozena !
Jana ressort le vibromasseur de sa chatte. Il est déjà recouvert d’une pellicule gluante.
— Cela glissera mieux ... Ecarte tes jambes, prends-le à deux mains et enfonce-le dans ton joli petit con ! susurre-t-elle à l’adresse de Bozena.
Le vibromasseur s’enfonce entre les lèvres de sa chatte, puis Jana ouvre l’interrupteur. Bozena frissonne visiblement de plaisir.
— Mieux que la bite de mon mari ! nous avoue-t-elle.— Enfonce-le un peu plus ... tu veux que je le manipule ? Ce sera plus simple pour toi.
Je saisis l’embout du vibromasseur et imprime des allers-retours dans sa chatte.
— C’est vraiment bon ... Comme une grosse bite bien dure ! Même si je préfère vos doigts et vos langues, mes chéries !
Elle est aux anges. Nous la regardons haleter de plaisir avec ce gros vibromasseur fiché dans sa vulve. Elle se met à rouler des hanches.
— Elle est en train de prendre son pied ! Eva, accélère les va-et-vient si ça l’excite autant !
Puis je vois Jana commencer à se caresser les seins, tout en regardant Bozena dans les yeux. Serait-ce reparti pour un nouveau tour ? Non, car Bozena me fait signe de retirer l’engin. Il est tout gluant de mouille ...
— Tu veux essayer dans le cul ? Juste pour voir l’effet que ça fait ...
Elle me regarde, un peu gênée :
— Dans le cul ... ? Tu crois que ça rentre ?— Bien sûr, mais là, on n’ira pas loin... je pose le bout sur ta rosette et j’appuie un peu avant de mettre en marche. Pas plus ! Cela te va ?
Bozena appuie son torse sur le bureau, ses jambes écartées reposant au sol. Je glisse le vibromasseur entre ses fesses et le pose sur les bords de son petit trou. J’appuie dessus puis lance le moteur.
— Oh ! Que c’est excitant ! Hmm ! C’est comme c’est bon !
On sent Bozena littéralement vibrer de plaisir. Cette excitation anale, un plaisir inconnu jusque là, pour elle.
— Humm ! C’est encore meilleur dans le cul que dans la chatte !
Elle miaule littéralement de plaisir. De plus, Jana s’est approché d’elle et lui tripote les seins. Et cela dure deux bonnes minutes avant que je retire le vibromasseur et que Bozena se redresse, laissant une petite auréole sur le coin du bureau, marque de son excitation.
— C’est absolument délicieux, mais il ne faudrait pas oublier l’heure !— Il est un peu plus de 6 h ! Ça ira ? lui dis-je.
Elle acquiesce. Nous redescendons à la cuisine. Bozena va se débarbouiller un peu dans la salle de bain, avant de se rhabiller. Et nous faisons de même.
— Bozena, nous allons te raccompagner ! Nous sortirons par la porte arrière et emprunterons le chemin des jardins.
Et quand nous parvenons au bout du chemin :
— Voilà, maintenant, tu prends la rue à gauche et au bout, tu tournes à droite. Là, tu verras le parking où est garée ta voiture !— J’ai envie de vous embrasser mes chéries ! Vous m’avez donné tant de plaisir !
Elle embrasse d’abord ma sœur. Un baiser passionné, tandis que je la vois glisser sa main sous la mini-robe de Jana :
— Mais tu n’as pas de culotte, ma chérie !
J’imagine la main de Bozena passant et repassant sur l’abricot de Jana, gorgé de désir ... Puis j’ai droit aussi à un baiser sulfureux avec langue fourrée en prime, et bien sûr, main qui se faufile sous ma minijupe :
— Et toi aussi tu as « oublié » ta culotte ! Je sens ses doigts fiévreux caresser les lèvres de ma vulve ...— N’oublie pas la fête de fin d’année scolaire, ma chérie ! Tu sais ce que nous avons prévu.
Puis, se tournant vers Jana :
— Je trouverai un moyen de t’inviter à cette fête, toi aussi ! Tu es aussi excitante que ta sœur. Puis elle se rajuste et s’éloigne, tout en nous faisant des signes de la main.

A suivre ...
Diffuse en direct !
Regarder son live