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Evasion victorienne

Chapitre 1

Hétéro
Samedi, 21h48.
Je sentais la douceur de la serviette de bain sous mes fesses, contrastant avec la corde qui liait à présent chacune de mes jambes à la table de massage. Comment diable mettais-je retrouver là ? Sous le bandeau qui recouvrait mes yeux, j’essayai de me rappeler le déroulement de l’après-midi ainsi que celui des derniers jours...
Mercredi, 12h34.
D’habitude bondée, la salle de restauration était étrangement calme. La sonnerie de mon téléphone me fit sursauter. Le site de rencontre sur lequel j’étais inscrite depuis quelques jours me signalait un nouveau message, Johnny3819 me trouvait fort charmante et avait hâte de faire ma connaissance. Un rapide tour sur son profil m’apprit qu’il avait l’âge de mes parents et une calvitie prononcée. Ses photos, au nombre de quatre, reflétaient uniquement son niveau social, apparemment élevé. Je répondis gentiment à son message, repoussant ses avances. Mon déjeuner reprit son cours normalement.
Samedi, 14h12.
Une heure que je roulais sur mon vélo, et une deuxième crevaison finit d’achever ma motivation. La première avait eu lieu 20 minutes auparavant et avait consommé la seule chambre à air de rechange que j’avais emmenée. Il me restait environs 15km pour rentrer chez moi, soit trois bonnes heures à pied à pousser mon vélo.
Samedi, 14h34.
Une voiture noire s’arrêta sur le bas côté à une dizaine de mètres devant moi. Un homme d’une quarantaine d’année en sortit. Crane rasé, assez baraqué, tee-shirt ajusté, lunettes de soleil et montre de marque, il était la première personne à s’arrêter pour me proposer un coup de main. Il me proposa de me ramener chez moi ou de me déposer chez un marchand de cycle, selon ce que je préférais. Une demie heure plus tard, nous déchargions mon vélo de son coffre en bas de mon immeuble.
« Encore merci de m’avoir aidée, vous êtes le seul à vous être arrêté ! Lui dis-je avec un sourire. — Que diriez-vous d’accepter de dîner avec moi, disons ce soir, pour me remercier ? Me demanda-t-il .»
Et nous y voilà, la contre-partie à son aide ! Il m’avait tirée d’un mauvais pas, mais cet homme avait quasiment le double de mon âge. Devant mon hésitation, il ajouta :« Allez Margaux, vous n’allez pas me repousser deux fois en une semaine ».
Comment connaissait-il mon prénom ? Je ne lui avais pas donné, puis comment ça « deux fois en une semaine » ? Puis d’un coup, tout devint clair, il était le fameux Johnny quelque chose qui m’avait envoyé ce message totalement bateau mercredi. Il comprit que je l’avais resitué. Les photos du site de rencontre ne lui rendait pas hommage, je devais le reconnaître.
« Margaux, c’est un pseudo, je m’appelle Gabrielle.— Enchantée Gabrielle, moi c’est Greg, me répondit-il en me tendant une main que je saisit après avoir ôter mes gants de vélo.— Oh je suis déçue, ce Johnny m’avait tellement envoûtée, plaisantai-je.— 19h30, je passe vous chercher ici, ordonna-t-il sans avoir lâché ma main.— C’est trop bête, j’ai poney à cette heure-là ! Me défilai-je.— Alors je serais votre étalon, proposa-t-il. » La ténacité est une chose que j’apprécie, je décidai donc de lui laisser une chance. Le rendez-vous était pris.
Samedi, 19h30.
Il attendait devant ma porte dans le couloir, j’ouvris et le découvris en costard, un bouquet à la main. « Des fleurs, carrément ? C’est pas un peu trop ? Demandai-je.— On n’en fait jamais assez pour une belle femme, me répondit-il en me tendant le bouquet qui était, il faut l’avouer, magnifique. »
Je le fis entrer chez moi, le temps de mettre les fleurs dans l’eau. Ma robe rouge m’arrivait au dessus du genou et mettait mes formes en valeur. J’aime allumer les hommes, leur faire croire qu’ils peuvent m’avoir, et être seule maître du jeu.
Alors que je posais le vase dans l’évier pour le remplir d’eau, il se colla derrière moi, posa ses mains de chaque coté de mes hanches pour m’empêcher de partir. « Cette robe vous va vraiment à ravir, glissa-t-il à mon oreille, elle me donne envie de faire des choses pas très sages. » Je sentis sa main se poser sur ma hanche ainsi que son sexe grossir contre mes fesses. « Je paris que tu adores ça, allumer des hommes, les mener par le bout du nez » compléta-t-il avant de poser un baiser dans ma nuque. Je ne disais rien, ses gestes ne me laissaient pas insensible, et ce passage au tutoiement ne me dérangeait guère.
« Oh pardon, je dérange ! » Mon colocataire venait de débarquer dans la cuisine. « T’inquiète, c’est cool Matth, on y allait ! » Lui répondis-je en souriant.
Greg s’était écarté de moi et 5min plus tard, il tenait la portière passager ouverte pour que je monte dans sa voiture. Durant le trajet, sa main s’égarait sur mes cuisses quand la route le permettait. Il ne m’avait pas dit notre destination, et je fus surprise de le voir s’arrêter devant une maison de style victorien après avoir franchi un portail. « Où sommes-nous ? Questionnai-je intriguée— Chez moi, les restaurants m’ennuient, alors je fais venir le restaurant à moi, me répondit-il en me tendant la main. »
Je la saisit,et il me guida à l’intérieur où une table dressée nous attendait. Il me sortait le grand jeu, chandelle et champagne. Un serveur nous apporta des amuse-bouches, et le repas commença. Les plats s’enchaînaient, et la discussion était conviviale, je décida de commencer à m’amuser un peu. Je retira mon pied de ma chaussure, et lui caressa la jambe sous la table. Je me débrouilla aussi pour que ma robe dévoila un peu plus mon décolleté.
Lorsque le dessert arriva, je monta mon pied jusqu’à mon érection, semant un trouble dans son regard. Il remercia le serveur et le congédia, avant de manger son dessert en m’ignorant. À la fin du repas, ayant une passion pour l’architecture, je demanda si je pouvais visiter la maison.
Il me montra chaque pièce, et lorsque je découvris une table de massage, il me proposa un massage des jambes pour récompenser ma séance de vélo de l’après-midi. Il voulait jouer, nous allions nous amuser. Je quitta mes chaussures pendant qu’il étalait une serviette de bain sur la table, puis je me mis dos à lui pour faire glisser mes bas lentement jusqu’au bas de mes jambes, me penchant de manière provocante pour mettre en valeur mes fesses. Je grimpa ensuite sur la table et il commença son œuvre. Une pure merveille. Quelques minutes après, il me proposa de me masser aussi le dos. Cela incluait que j’enlève totalement ma robe. Je me retrouva en string, une serviette sur mes fesses. Ses mains faisaient un travail très agréable, et devenait de plus en plus aventureuses.
Il les fit glisser sur les côtés de mon dos, effleurant le bord de mes seins. Je me redressa très légèrement pour lui faire comprendre qu’il pouvait. Il comprit le message et glissa ses mains jusque sur mes seins, tout en m’embrassant dans le cou. Un mec qui avait le double de mon âge me pelotait et ce n’était pas pour me déplaire. Il joua avec mes tétons, les pinça, les faisant rouler entre ses doigts. Ma respiration était plus forte, signe que j’aimais ce qu’il me faisait.
Il me murmura à l’oreille : « Me fais-tu confiance ? » La phrase était lourde de sens. Lui faisais-je confiance ? Je le connaissais depuis quelques heures à peine, mais j’avais envie de découvrir de nouvelles choses. « Je suis là pour m’amuser » sembla lui convenir comme réponse. Il m’abandonna une seconde et revint avec un foulard pour me bander les yeux.
D’une voix autoritaire, il me fit me retourner sur la table. Il fit glisser mon string en dentelle noire le long de mes jambes, me découvrant entièrement nue pour la première fois. « Magnifique » fût le seul mot qui lui échappa.
Le bruit d’un tiroir qui s’ouvre, que préparait-il ? La table était modulable et il en sépara le bas en deux plateau, m’écartant les jambes. Il avait maintenant la pleine vue sur mes lèvres humides. Sa main se balada sur mon épaule, mon sein, mon ventre, contourna mon sexe pour glisser sur ma jambe. Le contact de la corde me surpris dans un premier temps, puis le glissement de celle-ci sur ma peau pendant qu’il m’attachait, se révéla très excitant.
Il m’attacha les deux jambes à la table, séparément évidemment. Ses mains reprirent le massage, passant de plus en plus près de mon sexe mais sans jamais le toucher. Mes seins étaient dressés de désir. Je bouillais intérieurement, j’avais envie qu’il me prenne, qu’il me baise sauvagement. Il le sentait et en profitait. « Tout va bien mademoiselle ? Me demanda-t-il alors qu’il posait sa main sur mon téton.— Très bien, merci. » Ceci fût la seule réponse possible.
Il pinça mon deuxième téton, déclenchant une vague de plaisir qui inonda un peu plus mon sexe. « Maintenant, je vais te baiser comme jamais. Je vais jouer avec toi, comme tu as joué à m’allumer toute la soirée. » Ses mots n’annonçaient qu’une suite agréable d’événements. Il continua « Tu vas découvrir qu’un homme de quarante ans a bien plus de ressources qu’un gamin de vingt ans. Mais d’abord, tu vas m’attendre ici sans bouger. »
Il m’abandonna seule sur la table. Un moment qui me permis de me remémorer mon parcours jusqu’ici. Plusieurs bruits me parvinrent, je ne parvins à identifier que celui d’un emballage de préservatif. Il me pénétra d’un coup, jusqu’à la garde, me faisant crier de surprise et de plaisir. Il resta sans bouger quelques minutes puis se retira en entier avant de revenir me baiser en profondeur. Ses râles de plaisir me parvenait et se mêlaient aux miens.
Il posa son pouce sur mon clitoris et joua avec lui. J’avais de plus en plus chaud, la tension ne cessait de monter et avec un tel traitement, je me tiendrai pas longtemps. Avec sa main libre, il attrapa un objet posait contre mon flanc. Un bruit électrique me signala la mise en marche de cette chose. Il posa la tête rebondie de l’hitachi contre mon sein et je reconnu immédiatement ce doux contact vibrant. Il balada ensuite la tête de l’appareil sur tout mon corps, tout en continuant à me baiser à grands coups de reins.
« As-tu été assez sage pour mériter ta récompense ? » C’était à l’évidence une question rhétorique. « Je n’en suis pas sûr, après tout, tu m’a refoulé mercredi dernier. Nous allons donc te punir avant. » Il se retira et coupa le contact du hitachi. Me punir ? Je me sentais d’un coup moins à l’aise. Il attrapa mes seins, pinça les tétons fort, puis arrêta d’un coup. Le contraste entre le pincement et l’arrêt subite de celui-ci me fit crier.
« Mais on dirait que tu aimes ça en plus » commenta-t-il. Il recommença une nouvelle fois, encore plus fort en tirant sur mes tétons pour tendre mes seins. Cette découverte était très agréable et affola mon sexe une nouvelle fois.
Soudain, une claque frappa mon sexe. Je fus surprise de découvrir que la douleur était faible vis-à-vis du plaisir ressenti. « Et ça, tu aimes ? » me demanda-t-il en recommençant une nouvelle fois. Mon cri répondit pour moi. Et une nouvelle claque atterrit sur ma vulve. Elle était maintenant rouge, gonflée et avide de désir. Il me pénétra à nouveau, repris le hitachi pour le coller à mon clitoris.
L’effet était délicieux, et lorsque qu’il augmenta la puissance de vibration de la baguette magique, mon orgasme me transporta dans une autre dimension. Mes cris déclenchèrent les siens.
Il se retira, et m’embrassa à pleine bouche pour la première fois de la soirée. Il me détacha, et après une douche rapide, me raccompagna chez moi sans mot. Au moment de se quitter, il me colla à lui une main sur mes fesses et me dit :  « Mercredi, même heure, je passerai te chercher, je ne veux pas de sous-vêtements sous ta robe, et amène un test VIH, j’ai horreur des capotes. » Il relâcha son étreinte avec une fessée, déposa un baiser sur ma joue et repris sa voiture.
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