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Eve

Chapitre 2

Inceste
Eve2
Le lendemain, j’ai fait la grasse matinée et, alors que je finissais de me raser, on sonna à la porte. J’enfilais rapidement un peignoir pour aller ouvrir la porte. C’était Eve. C’était la première fois qu’elle venait seule chez moi.« Où est mon fiston ? »« Voilà, hier soir, quand tu, euh … Quand vous êtes parti, il voulait aller chez son copain Christophe. On s’est disputé et il est resté à la maison devant son ordinateur. Je suis allée me coucher et me suis relevée dans la nuit. Il était en train de faire des poses obscènes devant sa webcam. Il semblait très excité ! Je n’ai rien dit et suis allée me coucher, contrariée par ce que je venais de voir. Ce matin, il est parti rapidement passer la journée chez son pote ‘pour se détendre’ m’a-t-il dit ! ».
« Viens, entre, tu es la bienvenue Eve, veux-tu un café ? »« Oui, je vais le préparer »Elle marchait devant moi et, en la voyant de dos, avait la silhouette gracile malgré sa grossesse. Elle avait mis un soutien gorge et je voyais la marque d’un string sous sa robe tendue. Elle avait mis des bas et des souliers à talons qui la faisaient se cambrer davantage.Houah ! Quelle jolie fille !
De nouveau, je me sentais coupable et commençais :« A propos d’hier … »« J’ai beaucoup aimé la douceur de tes mains ! ». Elle me tutoyais et m’avait coupé toute velléité de m’excuser pour mon comportement de la veille où je l’avais peloté au nez de son mari. Elle versait l’eau lentement dans la cafetière quand je me suis mis derrière elle pour lui embrasser le cou. Elle trembla un peu et pencha la tête, en retirant ses cheveux, pour que je puisse mieux accéder à sa peau douce.Je lui tenait les épaules et déposais mille bises alors qu’elle s’affairait à mettre le café dans le filtre, à prendre des tasses, etc.
Elle avait pris appui avec les mains sur le plan de travail et regardait le café passer alors que je lui suçotais l’oreille. J’étais alors très collé à elle et ne devait pas ignorer ce qu’elle sentait sur ses fesses. Quand j’ai mis mes mains sur sa taille pour la serrer plus, elle se recula accentuant la pression de mon sexe sur elle, mais aussi pour se dégager de mon emprise. « Allons boire le café » me dit-elle.Je l’ai suivie jusqu’au salon en matant ses belles fesses qui roulaient. J’avais la queue au garde à vous et tentais d’ajuster mon peignoir pour que ça ne soit pas trop visible. Je me suis assis près d’elle, elle me fixait dans les yeux en sirotant sa tasse et de plus en plus souvent regardait ma bosse. « C’est moi qui te mets dans cet état ? » Demanda-t-elle, de façon espiègle.« Euh… Oui ! On peut dire ça ! »« Je peux toucher ? »Sans attendre ma réponse, elle avait glissé sa main sous mon peignoir et m’avait enserré la hampe. Elle continuait à boire son café tout en exerçant des manipulations pour éprouver la dureté et les dimensions de mon sexe.
« Je peux le voir ? »J’ouvris grand mon vêtement et elle, reposa sa tasse vide sur la table et posa sa tête sur mon torse, tout en me maintenant le sexe. Ces doigts d’une jeune femme, fût elle ma belle fille, qui me pétrissaient, m’envoyaient des décharges électriques dans le dos et mon cœur battait à tout rompre. J’avais oublié ces délicieuses sensations !Je me sentais bête, aussi, timidement j’ai posé une main sur son ventre. Le galbe était parfait. Ma main parcourait des cercles centrés sur son nombril. J’effleurai maintenant son pubis et ses seins. Elle avait commencé à me branler et mon membre était gonflé au maximum. De l’autre main je lui caressais le dos, le bras, la taille et ce que je pouvais de ses fesses.
« Tu veux y goûter ? » Demandais-je.« Je ne sais pas, je n’ai jamais voulu faire ça avant ! »« Essaies, tu ouvre les lèvres et tu le mets dans ta bouche, je te donnerai des conseils »« D’accord, j’ai envie de connaître plein de choses depuis que je suis enceinte ! »« Ce sont les hormones ! »
Elle s’est penchée et sans hésiter elle avait mon gland en bouche.« Fais tourner ta langue, aspire, enfonce le plus possible, mordille … ». Je lui indiquais un tas de conseils et elle prit rapidement l’initiative en me caressant les testicules jusqu’à la raie des fesses, tout en me pompant merveilleusement bien.Je sentais ma semence monter, aussi je lui ai repoussé la tête et me suis fini à la main. Mon sperme a littéralement explosé, j’en ai reçu sur le visage ce qui ne m’était pas arrivé depuis ma jeunesse. Elle cessa de me caresser pour recueillir une goutte sur ma joue. Elle goûta du bout de la langue et me mis son doigt entre les lèvres en souriant. Machinalement, je l’ai sucé, bien que je n’appréciais pas particulièrement ça. Mais, ce jour là, je pris un nouveau plaisir en suçant ses doigts.J’ai voulu l’embrasser, mais elle s’est reculée et s’est levée pour aller chercher un torchon dans la cuisine. J’admirais ses fesses quand elle est partie et son ventre quand elle est revenue.Elle a mis sa tête sur mon épaule et m’a soigneusement enlevé le sperme qui maculait mon torse. « Je peux rester un peu aujourd’hui ? Je n’ai pas envie d’être seule ! »« Mais bien sûr, Eve, ça me fait très plaisir d’être avec toi »Elle venait de me sucer de façon divine, je n’avais pas envie qu’elle reparte.Toutefois, je ne comprenais pas pourquoi elle s’échappait quand je voulais l’embrasser. Je la serrais contre moi, tachant de lui donner beaucoup de tendresse. Furtivement, elle me fit une bise sur la joue et se nicha à nouveau contre moi. Je sentais le sperme séché et lui fit part de mon souhait d’aller m’habiller. « D’accord, mais au minimum ! » Dit-elle en rigolant.Après m’être débarbouillé, je suis revenu vêtu uniquement d’un short. Comme je n’avais pas de slip, mon sexe dépassait un peu entre mes jambes en marchant.« Tu ne veux pas enlever ta robe ? »« Si tu veux, Patrick ! »Nos relations devenaient très intimes, comme si nous étions amants de longue date.Elle quitta sa robe et resta avec son soutien-gorge gonflé, son string qui lui moulait bien la raie et laissait déborder ses poils pubiens, ses bas auto fixant et ses souliers. « Patrick, assieds toi, je vais faire un peu de ménage »« Mais non, Eve, je le ferai plus tard ! »« J’insiste ! »Elle avait pris un balai et me tournait le dos. Ses fesses ondulaient de façon provocante. De temps en temps, elle se mettait de profil et me souriait. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de son corps qui ondulait. Je me suis levé pour la tenir dans mes bras. Je la bisais du cou aux seins et elle se laissa faire. J’ai dégrafé son soutien-gorge et lui ai ôté. Ses tétons bruns étaient une invitation que je ne sus refuser. Je les ai léchés, mordillés et ça lui plaisait. Elle avait les yeux fermés et j’en ai profité pour coller ma bouche à la sienne. Je lui tenais la tête sans la forcer. Ma langue est entrée pour rejoindre la sienne et elle accepta mon baiser, plutôt bien d’ailleurs !Elle a mis ses bras autour de mon cou et m’attira pour prolonger notre union dans ce long baiser amoureux.Mes mains allaient partout, sur ses fesses sur son ventre, entre ses seins, sur sa vulve, le long de ses belles jambes. Le toucher de sa peau était fantastique. Elle me glissa à l’oreille :« Tu sais, Patrick, j’ai beaucoup aimé hier soir ! Je crois que je n’avais jamais joui ainsi depuis longtemps »« Et c’était quand ? »« Euh …, c’était avec ma copine Carole. On s’était caressé et léché le clitoris mutuellement »« Humm, tu aimerais que je te fasse pareil ? »« Mais enfin Patrick ! »« Aucun homme ne t’a fait ça ? Et Benjamin ? »« Benjamin ne me touche jamais, j’ai eu plus de contact avec toi depuis hier, qu’avec lui depuis notre mariage. C’est aussi pour me venger que j’ai tant apprécié que tu me touches hier, juste devant lui, ça m’excitait ! »J’avais ma main qui courait entre ses jambes qu’elle avait écartées et je lui caressais du pubis à la raie à travers son string.Je l’ai prise par la main pour la faire asseoir et me suis positionné entre ses jambes. Une fois le string écarté, je pouvais accéder à sa belle chatte. Et je l’ai léchée du mieux que je pouvais. Ses jambes bien écartées me permettaient d’accéder facilement à son vagin. J’y mettais des coups de langue au plus profond possible, puis retournais lentement vers son clitoris. Elle soupirait beaucoup ! Brusquement, elle saisit son sac à main et prit son téléphone. Son mouvement m’avait interrompu dans mon léchage. Elle appuya sur ma tête pour m’encourager à continuer et pianota sur son portable, J’avais glissé un doigt et le faisait aller en elle tout en suçotant son bouton. Elle dit à son correspondant :« Coucou mon chéri, comment ça se passe ? » Elle appelait Benjamin certainement occupé par ailleurs. Elle parlait à mon fils alors que je lui broutais la chatte.Elle avait deux de mes doigts en elle et balançait son bassin pour être bien pénétrée.« Moi, je suis en train de faire du ménage, j’ai chaud ! » Dit-elle ! Tu parles ! J’avais deux doigts enfoncés profondément dans son vagin.Et de m’appuyer plus sur la tête pour que je la suce mieux.« A ce soir chéri, amuse toi bien ! »Elle narguait son cocu de mari en se faisant lécher par son beau-père. Et moi, j’acceptais cette situation. Cette femme, certes jeune, qui pouvait être ma fille, m’ensorcelait totalement.
Sa liqueur glissait dans ma bouche, quand après avoir retiré mes doigts, je remis ma langue au plus profond. De mon majeur mouillé, je touchais sa rosette, mais elle eut une contraction et un mouvement de refus en me repoussant la main.J’ai alors soulevé ses jambes pour mieux lui lécher la chatte mais surtout son petit trou.En quelques secondes, elle s’avoua vaincue et me laissa faire rouler ma langue sur son anus.J’étais gêné par son string, aussi lui enlevais-je, en le faisant rouler le long de ses belles jambes gainées. J’ai repris le léchage de son petit trou et elle aimait beaucoup. J’ai tenté à nouveau une pénétration anale et elle se crispa sans retirer ma main. « Détends toi, tu vas aimer. Même Carole ne t’avait pas fait ça, n’est-ce pas ? »Elle ne répondit pas et me laissa manœuvrer. J’humidifiais mon doigt au maximum avant de la pénétrer toujours d’avantage. Si bien que je pus aller de plus en plus loin malgré ses grimaces de douleur. D’une main, je lui caressais le ventre et les seins, de l’autre je la sodomisais lentement et de la bouche je suçotais son clitoris. Elle se contractait pour jouir en silence. Ses jambes serrées sur ma tête m’étouffaient presque.Quand elle eut fini de jouir, j’ai retiré mon doigt lentement. Il était un peu taché, j’ai saisis le torchon pour l’essuyer ainsi que pour me nettoyer le visage qui était trempé de mouille. Je l’ai rejointe pour l’embrasser suite à quoi, elle me dit :« Ouah ! C’était bien ! Mieux qu’avec Carole » Rigola-t-elle.« Tu sais, Eve, Tu peux, euh .., t’exprimer librement. Personne ne peut entendre si tu fais du bruit lors de ton plaisir ! »« Merci, Patrick ! Tu sais, avec mes parents, c’était pas facile quand Carole et moi … »
Elle est restée sans culotte pour préparer le repas et moi je crois que ma bandaison ne m’a pas quittée. J’adorais ses formes, c’était une si belle femme. Alors qu’elle lavait la salade dans l’évier, je me suis collé à elle pour lui faire de tendres bisous dans le cou et mon sexe était collé sur sa raie. Elle s’en saisit et le calla entre ses jambes. Je lui pelotais les seins alors qu’elle se frottait le clitoris sur mon membre rigide. Dans le mouvement, mon gland se trouva à l’entrée de son vagin. Je mourrais d’envie de la prendre. Elle força le destin en dirigeant elle-même sa pénétration. Elle soupirait alors que je glissais dans son fourreau. « Humm, C’est bon ! »« J’ai envie de toi ma chérie! »« Ouiii, prends moi ! Je veux que ta grosse bite me déchire ! »Elle n’avait plus de retenue et moi non plus. Je me sentais serré par son étui et y allais à grands coups de reins. Je lui frappais les fesses, lui griffais les seins, pinçais ses tétons. Nous étions fous de sexe et d’amour l’un pour l’autre.J’ai joui juste avant elle et ce fut délicieux. Elle s’est retournée pour m’embrasser passionnément et me dit :« Je t’aime Patrick ! »« Moi aussi, je t’aime ! Tu peux venir quand tu le peux, toutefois restons prudents ! »
Aie ! Moi aussi j’aimais cette femme, mais elle portait mon petit enfant. C’était la femme de mon fils ! Comment allais-je gérer ça ?
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