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Eveil de l'aurore

Chapitre 1

Inceste
Eveil de l’aurore.Chapitre1

23 juin 2020. Gare de Nîmes, fin d’Après-midi.
Je m’apprêtais à recevoir le trésor de ma vie, ma tendre enfant.
A la suite de nombreux conflits avec sa mère, qui avait fait le vide entre notre progéniture et moi-même et après notre divorce, il y a une quinzaine d’années, mon droit de visite avait été quelque peu limité : je la voyais sporadiquement. Mon ex-épouse avait capté 80% de notre patrimoine commun, suffisamment conséquent pour assurer à cette fillette éducation, gîte et couvert, et bien sûr le confortable train de vie de sa mère... Fort heureusement, presque ruiné après ce douloureux accord financier, j’avais pu sauvegarder mon avenir et empêcher toutes les manœuvres de celle-ci, en faisant préciser noir sur blanc qu’il était strictement interdit de remettre en cause les revers de fortune ultérieurs, qu’ils soient dans un sens ou dans l’autre.
Prétextant qu’à 14 ans, notre fille avait des besoins supplémentaires et ayant appris que j’avais obtenu une grosse commande confortablement rémunérée, elle avait bien tenté à nouveau de me spolier, mais la tentative ayant été bloquée par les tribunaux, cette harpie avait carrément coupé les ponts et empêché de revoir ma fille, même virtuellement. Depuis quatre ans, je n’avais donc pu avoir aucun contact avec ma crevette.
Je fus donc tout heureux qu’au tournant de sa majorité, ladite crevette impose son droit de décider de sa vie. A l’insu de sa tyrannique mère, elle avait difficilement réussi à reprendre contact avec moi par l’intermédiaire de sa plus proche amie, et j’étais sur ce quai de gare, prêt à l’accueillir. Le TGV en provenance des froides terres lilloises venait d’arriver et je scrutais anxieusement les jeunes filles qui en descendaient... sans reconnaître ma puce. Au départ du train, après que la dernière voyageuse se soit éloignée, je restai abattu quelques secondes, lorsqu’une petite tape sur mon épaule me fit sursauter.Je fis vivement volte-face : elle était là.
Même après quatre ans, je la reconnus immédiatement. Sa chevelure de feu était irremplaçable.Ma princesse était une vraie rousse. Pas un roux foncé maussade, ni un roux d’une clarté fade, mais un roux orange intense, flashy, qui donnait à sa tignasse l’allure flamboyante d’un bouquet de fils de cuivre dénudés.Depuis sa plus tendre enfance, ce feuillage incandescent avait toujours rehaussé la finesse de son visage clair parsemé de quelques taches de rousseur. L’éclat de son regard, enchâssé de pétillantes perles d’un vif vert émeraude parachevait le tout.
La petite fille était devenue une petite femme d’une splendeur absolue.
Elle avait revêtu une longue robe d’été bleu roi lui arrivant aux chevilles, dont le décolleté en forme de V laissait entrevoir l’espace entre ses seins. D’après le peu que je voyais, ils tutoyaient la pesanteur avec un rare mépris.Elle me sourit.— Coucou.— Je ne t’ai pas vue !! Tu n’étais pas dans ce train.— Non, j’ai changé de train au départ de Lille et je suis arrivée à Lyon avec trois heures d’avance. J’ai donc pu prendre un autre TGV. Je suis là depuis deux bonnes heures.— Et pourquoi ne m’as-tu pas appelé ?— Parce que j’ai oublié de mettre ton numéro de téléphone dans le mien. Et je n’arrive pas à avoir de réseau pour contacter Chloé. Bonjour Papa !— Bonjour, ma belle, quel bonheur de te revoir après tant d’années;— Moi aussi papa, j’en rêve depuis quatre ans. Tu m’as tellement manqué depuis tout ce temps,— Ta mère nous a fait beaucoup de mal à tous les deux, on dirait. Tu n’as pas trop chaud ? lui demandais-je en changeant de sujet.— Si !!!Il fait une chaleur terrible ici. Et c’était encore pire dans le train. La climatisation a lâché. Même en robe, je cuisais.— Oui et difficile d’enlever quoi que ce soit.— Euhh, un moment, j’étais tellement collée que j’ai enlevé tout ce que j’avais en dessous. Et c’était tellement agréable de ressentir tous les petits courants d’air, m’avoua-t-elle accompagnée d’un teint de coquelicot.
La spontanéité de cet aveu très intime qu’elle me donnait en partage, la sensation d’interdit qu’elle semblait ressentir et l’image mentale de cette jeune beauté, exposée sans entraves sous l’opacité de son léger vêtement, provoquèrent l’emballement de mon système sanguin. Je m’empourprais en retour et ma verge eut une réaction pas très morale à l’évocation de la nudité de ma descendance. J’espérais qu’elle ne remarque pas la vigueur de ma masculinité.
— Il doit bien y avoir ici dix degrés de plus qu’à Villeneuve-d’Ascq !!!— Trente et un degré aujourd’hui, tu es dans le Suuuuuuud, lui dis-je en imitant Galabru.— Ah, tu me fais un remake de Bienvenue chez les Chtis, sauce provençale, éclata-t-elle d’ un rire de cristal.— On est pas en Provence ici, mais dans les Cévennes... ou presque.
Le temps de ce petit dialogue, nous étions arrivés sur le parking. Mon érection ne se calmait pas vraiment. Je mis sa valisette dans la Kadjar.
— C’est joli, ce rouge vif. J’adore. Woooow, quel téléobjectif !!!— Hein, quoi ? m’écriais-je avec un début de panique.— Le zoom de ton appareil photo dans le coffre, il est monstrueux !! C’est quoi comme appareil ?
J’ai pas que ça de monstrueux, me dis-je in petto... mais soulagé qu’elle ne parle pas de cette autre monstruosité qui tressautait un peu trop, heureusement plaquée par mon boxer.
— J’aime bien faire des photos d’animaux. Il y a plein de coins déserts dans les Cévennes et avec un peu de patience, on peut les photographier dans leur élément. C’est un canon EOS1, du matériel de professionnel.— Ah tu es devenu photographe ?— Pas professionnel. Mais j’adore ça.

— Tu n’as pas pris grand-chose, lui fis-je remarquer.— Je n’ai pris que le strict nécessaire pour quelques jours... Et même, j’ai pris ce que j’ai pu prendre. Je ferai plusieurs lessives. Cette évasion, je la prépare en cachette de maman depuis six mois, avec l’aide de Chloé. A cette heure-ci, maman croit encore que je suis chez elle. — On lui doit une fière chandelle à cette Chloé, ça va être le branle-bas de combat chez ta mère quand elle le saura...— M’en fous. Depuis 2 mois, je suis majeure maintenant. Je l’emmerde. J’ai même commencé à prendre la pilule au cas où!! Mais c’est vrai que je n’ai pu emmener que peu de choses, quelques vêtements, mon vieil ordi portable, mon téléphone.
— Si tu veux, repose-toi, il y a presque une heure et demie de route.
Elle prenait la pilule. "Gloups" fit mon esprit torturé qui gambergea en roulant.
Elle resta assoupie le temps du trajet. Après avoir passé le centre d’Anduze, nous arrivâmes devant le portail de ma propriété.— Voilà, tu reconnais l’endroit, je suppose. — Oui, me répondit-elle, la gorge nouée. Je n’ai même pas pu dire au revoir à Papi et Mamie quand ils sont morts l’an dernier... Maman m’a complètement enfermée... j’ai toujours adoré venir ici quand j’étais petite, même si me perdais dans cette immense maison...
— Maintenant, je l’habite.— Tu as hérité de tout ?— Oui, ils m’avaient déjà donné une bonne partie de la bastide, et à leur décès, j’ai récupéré le reste. Avec ce qu’ils laissaient en assurance-vie et liquidités diverses, j’ai largement pu payer toute la succession. Tu es ici chez toi.
Elle sortit de la voiture et j’ouvris le coffre pour récupérer sa valise.
— Vraiment rien, là-dedans, dès demain, nous irons faire les boutiques à Nîmes. Tu as un crédit illimité, ma chérie.Sa bouche dessina un petit rond... sexuellement évocateur. Mon esprit divagua un quart de seconde vers une envie que la moralité réprouvait.
— C’est la première fois depuis des années que je t’entends me dire« ma chérie » ; je t’aime mon papounet !!!
Et là, d’un coup, elle se précipita dans mes bras, enfouissant son visage dans ceux-ci, me serrant comme jamais et me donnant un bisou dans le cou. Quatre ans de frustration se déversaient en bloc. Je l’enlaçai et mes doigts vagabondèrent dans le bas de son dos. En plaquant ma main à la naissance de sa raie fessière, je pus effectivement constater l’absence totale du moindre élastique. Elle n’avait vraiment pas gardé le moindre sous-vêtement...
Nous restâmes collés trois bonnes minutes, goûtant la puissance de cette fusion, mais cette confirmation, la chaleur de ses seins écrasés contre ma propre poitrine, et mes doigts collés aux abords de ses globes fessiers provoquèrent un regain de vigueur : mon érection se manifesta de nouveau et je dus abréger cette sensualité perverse pour ne pas l’effrayer.
— Choisis ta chambre. La mienne est au second étage au fond du couloir à droite de l’escalier.
— Je peux prendre la grande chambre avec le balcon qui donne sur la piscine ?— Il y a toujours une piscine hein ? Elle a toujours une salle de bain ? — Oui. La même grande piscine. Pour la chambre, toilettes, salle de bain privative avec douche, baignoire, etc. Même un dressing. Je l’occupais avec ta mère avant notre mariage. — Ah non, on l’oublie celle-là, tu t’occupes que de moi maintenant !
La dualité de son propos, qu’elle n’avait pas dû percevoir, refit vaciller mes idées...
— Il est déjà 19h, tu veux que je te prépare quelque chose à manger ?— Euh une bricole s’il te plaît. Je n’ai pas trop faim.— Salade de tomates, haricots verts avec des œufs durs ça te va ? Si tu veux prendre une douche, j’en ai pour quinze minutes.— Non, ça ira, je la prendrai après, m’assura-t-elle en enlevant ses sandales. Qu’est-ce c’est bien d’être pieds nus !!!
Pendant que je préparais le repas, elle continua à babiller sur tout et n’importe quoi, puis celui-ci fini, elle m’exprima sa fatigue.
— Je suis crevée, je vais aller au lit. Au fait, il y a internet ici, vous avez la fibre optique ?— Non pas encore, l’an prochain, je crois, mais l’ADSL marche très bien, voilà le code du wifi ;— Non, tu as mis mon prénom ? Et ma date de naissance...Elle sanglota, émue aux larmes.— chuuuut, fis-je en pressant sa poitrine contre moi... il fallait bien que je tu aies déjà un peu de présence ici.— Merci, merci, merci. J’y vais murmura-t-elle : bonne nuit Papa.
Après s’être déshabillée, elle prit sa douche puis se glissa nue dans la fraîcheur de ses draps.La jeune fille reprit enfin le petit post-it contenant le code wifi.
— Aurore170402, lut-elle sur le petit papier que je lui avais donné.

à suivre...
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