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Eveil de l'aurore

Chapitre 3

comme dans un dessin animé

Inceste
Pendant qu’Aurore flirtait - ce qui me rendait vaguement jaloux- avec ce bienheureux Morphée, je repensais au commentaire de ma fille envers la mère de Zoltan, bien conscient qu’elle ne faisait que relater la bassesse d’esprit de mon ex-épouse.
Fils unique, j’avais moins d’un an quand ma cousine a débarqué dans notre vie pour le noël 1981. Âgée de dix-huit ans, Csillag était à l’époque une fille-mère qui avait amené avec elle son tout jeune fils Zoltan, issu d’une relation passagère. Celui-ci ayant à peine six mois de moins que moi, lui et moi avons grandi comme des frères, particulièrement complices et confidents de toutes nos expériences les plus intimes. Sans le sou, recueillie par Maman, sa tante maternelle, Csillag était une ravissante et voluptueuse blonde au physique de vamp qui aurait largement pu être top model avec son 1,85 m. Issue par son père de la minorité hongroise de Tchécoslovaquie, la toute jeune femme avait hérité des origines purement slovaques de sa mère une approche très nature de la vie.
Elle avait épousé assez rapidement un hobereau local qui avait sauté, dans tous les sens du terme, sur cette sublime et inespérée conquête pour un célibataire hyperendurci. Ayant fait fortune dans la culture de l’olive, ce riche propriétaire terrien et industriel cherchait à l’âge déjà bien rassis de cinquante-sept ans à transmettre son héritage et après leur union, il avait essayé en vain d’engrosser ma somptueuse parente qui s’était soumise sans broncher au devoir conjugal. Malheureusement le pauvre vieux garçon était stérile. D’après ce que racontait mes parents, encore fou amoureux mais trop dégouté par son infortune sexuelle, le vieux mari ne touchait plus guère ma cousine, la laissant reprendre une quasi-indépendance.En froid avec ses neveux et nièces, il avait même préféré faire bénéficier Zoltan d’une adoption plénière pour en faire son unique héritier. Particulièrement touchée par cet acte de générosité, Csillag s’était quant à elle pleinement investie dans la gestion de l’entreprise industrielle de son époux, se révélant d’ailleurs très douée dans les affaires.
Celle qui était devenue à mes yeux une grande sœur passait depuis la majeure partie de son temps libre dans notre propriété familiale où elle avait notamment très vite adopté les mœurs de mes parents, en évitant dès les beaux jours de porter un quelconque vêtement. Pour le plus grand plaisir visuel de Zoltan et moi-même.
Il y ainsi un peu plus de vingt ans, alors que je venais tout juste d’entamer ma relation avec Charlotte, celle-ci était partie mi-juillet en Italie, pour un de ses foutus chantiers archéologiques qui m’exaspéraient déjà. Mes parents exploraient les camps naturistes espagnols et Zoltan venait de partir finir l’été en Grèce. Embarqué pour Cythère, il avait rejoint un grand rassemblement entre scouts et jeunes catholiques européens. Il ne s’y ennuyait d’ailleurs pas, vu les confidences ultérieures de cet hypocrite petit cochon d’enfant de chœur qui jouait surtout au loup parmi les agnelles.
Très récemment veuve, Csillag semblait toujours seule, ce qui ne laissait pas de m’étonner vu sa beauté. Son anniversaire approchait. Elle allait atteindre le mois suivant l’âge pour moi canonique de trente-six ans. Je venais d’avoir dix-huit ans depuis quelques mois et elle était pour moi une déjà vieille, une vieille que j’adorais mais une vieille quand même.Nous étions donc seuls ce trois août pour fêter son anniversaire, a priori aussi frustrés l’un que l’autre par l’abstinence, et pour fêter ce moment je lui offrais dans la matinée de nous préparer un repas « comme au restaurant «, ce qu’elle accepta avec joie.
— Oui, oui, oui et on va s’habiller comme si sortait dans un trois étoiles !!! s’enthousiasma-t-elle.
Très surpris par cet intérêt inhabituel pour la mode textile, j’acquiesçais à sa proposition.
— Avec plaisir. On va carrément faire comme si tu étais mon invitée. Tu vas chez toi, tu me laisses tranquillement te préparer la soirée et tu reviens ce soir à 20h pile. Je serai en habit de soirée prêt pour te soigner. D’accord ?
Csillag accepta et partit de suite. Je mis les petits plats dans les grands, en tapant au premier chef dans la cave paternelle. A dix-neuf heures, une bouteille de Clos-Vougeot grand cru et un magnum de Bollinger dans son seau à glace trônaient sur la table nappée de blanc, sertie et ornée de chandelles.
A 20h00, élégamment habillé, j’ouvris la porte au coup de sonnette : Csillag était époustouflante, encore plus affolante que d’habitude. Elle avait revêtu une robe bustier écarlate pailletée d’argent et fendue sur ses interminables jambes ainsi parfaitement mises en valeur. Le plus sublime des cosplays de Jessica Rabbit me faisait face. Un rouge à lèvres vermillon dessinait le pourtour de sa bouche et ses seins explosaient le bustier. Ma cousine avait même poussé la précision du mimétisme jusqu’à teindre ses cheveux avec le même roux cartoonesque que son modèle.
Je lui fis une bise en la tenant par ses voluptueuses hanches. Je vous passe les détails des deux premières heures du repas faites de rires et de confidences. Le Champagne et la première bouteille de vin était partis. Après avoir entamé une seconde bouteille de Bourgogne, elle eut envie de danser. Le slow fut le choix évident de ce moment somme toute romantique et je me branchais sur la webradio nostalgie les plus grands slows. Nos corps s’aimantèrent. Csillag s’était accrochée à mon cou, pendant que mes mains restaient collées au milieu de son dos. La proéminence de ses seins qui frottaient ma poitrine au gré de nos très légers mouvements laissait un espace respectable entre nos deux abdomens.Je sentais la chaleur de ses excitantes collines qui se diffusait dans mon propre thorax, m’insufflant un grand sentiment de plénitude. Je la serrais un peu plus contre moi, humant la peau de son cou qui exhalait les effluves de Shalimar, son parfum préféré.
Sur la Webradio, Dalida comptait ses nuits d’automne. Moi, je me sentais fort comme un homme.
Les boucles de ses cheveux caressaient doucement mes oreilles et pendant que je promenais l’extrémité de mes doigts sur ses lombaires, elle laissait traîner la pulpe de ses doigts sur mes cervicales, agaçant de temps à autre la partie supérieure de mes trapèzes. Ma respiration devenait de plus en plus profonde sous l’effet de ces attouchements aux effets hypnotiques. J’étais bien, même pas excité du tout. Non, j’étais bien, très bien même.

Au bout d’une dizaine de minutes, notre désir réciproque prit quand même forme, surtout le mien.Ma jeune virilité s’exprimait triomphalement dans mon slip alors qu’elle accentuait la pression de son pubis sur le mien.
— hummm. Intéressante la brindille que je crois sentir. Tu es devenu un beau petit homme, tu sais.
Les mains de Csillag initialement accrochées à mon cou descendirent doucement, me caressant lentement le dos, puis les reins pour finir sur mes fesses qu’elle picora de ses doigts. L’électricité fusait dans ma moelle épinière. Mes mains imitèrent le même trajet et quand j’accrochais le bas de son dos, nos lèvres se soudèrent. Sa langue prit furieusement possession de ma bouche. Elle me dévorait.— Ça me fait tellement bizarre, lui dis-je après quelques minutes en interrompant notre ballet lingual. Tu es comme une grande sœur pour moi, presque une seconde maman, lui avouais-je dans la foulée.— Alors comme ça, je suis ta seconde maman. Mon petit garçon, mon tout petit garçon, Maman a très envie de te cajoler tout doucement, toi et ta très jolie petite asperge.
A l’époque je faisais encore une sorte de rejet de ma puberté et je m’étais complètement épilé le corps, voulant retrouver l’illusion de l’enfance que j’avais tant détesté quitter. Lorsque qu’elle sortit mon sexe de sa prison, elle ne retint pas sa surprise.
— Oh mais tu n’as aucun poil, mon bébé, dit-elle faisant coulisser sa main autour de mon membre. Tu n’es donc pas encore un vrai coq, un coquelet peut-être...Non, un petit poulet, un tout jeune petit poulet tout déplumé, mais avec déjà un joli bâton...— Tu as un ravissant zigouigoui, très doux en plus, très très doux, mon enfant murmura-t-elle en me fixant d’un œil cajoleur. Laisse ta maman prendre ton kiki.

J’étais totalement infantilisé par ses paroles qui me faisaient perdre au moins six ou sept ans d’âge mental, et je fus à partir de là incapable de faire la part des choses entre réalité ou désirs refoulés. Tous ses murmures me renvoyaient à l’état de préadolescent et mon esprit partit dans les limbes de l’espace-temps, à peine rattaché au réel par les mots de ma mère de substitution et les sensations qu’elle me procurait. Je m’imaginais avoir douze ans et m’abandonnais au bonheur coupable de mon fantasme.
— Tu es déjà bien dur pour ton âge, mon petit enfant, susurra-t-elle. Maman va te faire du bien. Laisse-toi te faire tripoter ta petite tige toute lisse par ta maman.
Ses doigts compressèrent mon barreau de plus en plus ferme, grattouillant alternativement mes cuisses et mes bourses.
— C ’est une très jolie saucisse, mon bébé. Maman adore dévorer les saucisses toutes lisses.— Oh, oui Maman, mange-moi ma petite saucisse.— Mmm, je crois que je vais d’abord m’occuper de tes deux jolies noisettes. Elles sont jalouses de ton vermisseau.
Maman-Csillag embrassa toute la surface de mes bourses, passant sa langue sur mon scrotum qui se raffermit encore plus qu’il ne l’était. Sa langue dessina en pointillés ma hampe et goba mes testicules.J’étais debout, pantalon sur les chevilles, avec ses mains plaquées sur mes globes lunaires. Elle me griffait les fesses avec un art consommé de la torture sexuelle. Mon gland était embrassé, embrasé, enflammé par des dizaines de petits bécots distillés comme du morse. Elle entoura des lèvres mon prépuce et l’aspira, ne gardant sur la langue que ce petit morceau de peau protecteur qu’elle mordilla.
Elle m’avala le sexe.La mise en bouche faillit faire immédiatement partir la moutarde. Mon gland me brûlait. Il était entouré par une langue plus rapide que les centrifugeuses de Cap Canaveral. Ma verge ne devint plus qu’apesanteur, une fusée prête à partir en orbite vers Pluton et les exoplanètes.
En moins de cinq minutes, la saucisse se transforma en hot-dog dont le morceau de pain était le fourreau buccal de mon invitée.
Csillag choisit ce moment-là pour me planter le majeur droit dans le rectum. Le Piton de la Fournaise explosa et un torrent de lave émergea de ma prostate, incendiant le passage jusqu’ à mon méat. Houston ne répondait plus du tout et le doigt dans ma lune coupa d’un coup l’alimentation de la fusée qui s’écrasa au beau milieu du parc de Yellowstone, envahi par les Toons.Bob Hoskins était planté dans une clairière avec le Old Faithfull en ligne de mire. Habillé en bûcheron, il s’accrochait aux fesses de Betty Boop qu’il tamponnait sauvagement dans une furieuse levrette. Mickey Mouse suçait Dingo.
Arborant un tee-shirt floqué « Apollo 11 », le Grand Méchant Loup avait, avec l’aide de Mère-Grand, coincé le Petit Chaperon Rouge sur un petit éperon rocheux. Bizarrement, cette dernière avait la tête de Charlotte. Mère-grand écartait le compas des cuisses de sa petite-fille et un gros plan montra alternativement son orifice vaginal et la rondeur de son petit puits anal. L’horrible canidé hésitait. Pour finir il opta pour la voie la plus naturelle et enfonça d’un coup dans la tendre pucelle son phallus velu aux proportions démesurées. La jeune fille hurla et un torrent de sang sortit du vagin défloré.Un cercle constitué de Daffy Duck, Sam le Pirate, Woody Woodpecker, Titi, Gros Minet et Bugs Bunny entourait un bosquet de champignons rouges et jaune fluo ; les six convives s’étaient mis en levrette et dégustaient les champignons avec un délice évident. En hurlant « quoi de neuf, Docteur ? », Roger Rabbit courrait autour d’eux. Il avait piqué la carotte de Bugs Bunny et s’arrêtait de temps en temps pour fourrer de ce légume le cul de chaque membre du cercle. Et moi debout sur un piédestal, je trônais au milieu des champignons devant l’épouse de Roger Rabbit qui me taillait cette pipe d’enfer. Ce bon vieux Old Faithfull disparut et se transforma en pénis géant. J’éjaculai alors un geyser aux proportions galactiques avalé jusqu’à la dernière goutte par Jessica-Csillag-Maman.
— Maman !!!Ahhhh....— Papa, papa !!!!
Je repris mes esprits en sursaut. Hagard. Aurore me regardait, la main sur mon bras et l’oeil curieux. Comment pouvait-elle deviner la puissance érotique de ma folle réminiscence, souvenir qui ne reprenait d’ailleurs que la première partie de cette soirée….
— Tu avais l’air de faire un cauchemar avec ta maman, dis-moi.
Adossée au hublot, elle était assise, les jambes écartées sur les deux sièges. Sa courte jupe violette s’était relevée, dévoilant le tissu vert opaque qui protégeait l’intimité de son entrejambe.
— Bien dormi, Petit bateau ? lui demandai-je pour donner le change.
Elle ne réalisa pas tout de suite la raison de ce surnom.
— Oups, désolé mon papa, s’excusa-t-elle, en laissant pourtant sa jupe retroussée.

Je pouvais ainsi pleinement apprécier le galbe de ses cuisses bien dégagées, pleines, musclées. Mais cette vue bouleversante sur sa culotte me permettait surtout de deviner son sexe, modelé par le coton tel un camée. Je devinais très bien les grandes lèvres charnues et bien renflées qui donnaient un relief très bombé à sa vulve. Sa mère avait les mêmes caractéristiques anatomiques.— Pas de quoi, ça n’est pas une vue insupportable. Tu as des jambes magnifiques, mon petit amour.— Merci, me dit-elle, rougissante. J’adore quand tu me dis cela.
J’eus droit à un câlin appuyé avant d’être interrompu par les manoeuvres d’atterrissage...
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