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Eveil de l'aurore

Chapitre 4

Inceste
L’avion ayant pris de l’avance sur le temps de trajet, il n’était même pas  quinze heures quand Aurore et moi arrivâmes à la sortie de l’aéroport. La canicule annoncée depuis quelques jours avait atteint la capitale des Flandres et l’été prenait avec violence ses quartiers dans la métropole flamande : L’afficheur situé au dessus du sas extérieur de l’aérogare indiquait trente-deux degrés Celsius.

Chloé avait été avertie de l’avance prise dès que ma puce avait pu sortir du mode « avion » et l’attente allait être courte. Il ne fallut donc que quatre minutes pour que je remarque à une quarantaine de mètres un bras se lever dans le parking. Dans la seconde, un « Aurore » cristallin vint de la direction de ce bras. Aurore y répondit par un « Chloé « tout aussi joyeux et un petit rire de bonheur. On sentait que ces deux filles s’adoraient.

Au fur et à mesure que le bras nous ayant salués se rapprochait, je distinguais la toute jeune femme à qui il appartenait. C’était une métisse dont le visage et le corps auraient pu orner les plus beaux catalogues publicitaires des Antilles. Dans un registre physique très différent, Chloé était au moins aussi belle que ma fille.

Aurore se précipita dans les bras de son amie et les deux filles passèrent une bonne minute à tournoyer en s’étreignant et en se faisant des bisous.

Chloé se tourna enfin vers moi et il me fut difficile de détacher mon regard des yeux bleu vif qui me fixèrent.

Elle était un poil plus grande qu’Aurore, aux alentours du mètre soixante-quinze. Sa robe jaune pâle lui descendant au niveau du genou, je ne pouvais voir que le bas de ses jambes, mais ses formes, mises en valeur,  indiquaient un vrai physique de sportive.

Seins très hauts et semblant bien fermes, cul délicieusement rebondi. Sa peau café soutenu au lait contrastait avec son vêtement et les bretelles de son soutien-gorge jaune citron. Une absolue merveille.

Mais je restais scotché devant elle pour une autre raison.

— Ca va ? Me demanda-t-elle.


— Euh oui, pardon, mais vous ressemblez tellement à la présentatrice de l’émission " Echappées Belles"!!!.

— Ahhhh, Tiga!! enfin Sophie. C’est son vrai prénom! C’est une cousine, du côté de Papa...Tout le monde m’en parle dans la famille de mon père. Encore jamais rencontrée. On a vingt ans d’écart, mais j’ai toujours l’impression d’être prise pour sa jumelle. 

Je lui tendis la main en me présentant :

— Bonjour, je suis Samuel.

— Chloé !!! me sourit la jeune fille, qui zappa la main tendue et me fit deux bises très appuyées.

Ses cheveux et sa peau exhalaient un mélange de noix de coco, de vanille et de cannelle. Enivrant exotisme.

Quand sa joue quitta la mienne, j’eus encore droit à un regard qui accrocha mon oeil. Brève mais intense connexion.

— Purée, ça commence à chauffer fort cet après-midi, s’exclama-t-elle.

Chloé se dirigea vers une Peugeot 208 jaune vif. Toujours du jaune. Cette fille était née sous le symbole du soleil.

Aurore monta devant en taquinant la belle brune.— Ton frère a vraiment pas peur de te la prêter, toi qui a eu tant de mal à savoir maîtriser un vélo.— Hé, toi, tu vas pas recommencer, s’esclaffa Chloé. Pi, c’est pas SA voiture, c’est aux parents. On se la partage. Elle se mit à chatouiller sa copine et les deux gamines chahutèrent en hurlant de rire.

Je m’éclaircis la gorge.— Je suis là, les filles. Votre appartement est loin Aurore ?

Chloé me répondit à la place de celle-ci.

— Non, en plein centre de Villeneuve d’Ascq, à côté de la Fac de Lettres. À peine dix minutes de voiture. Je vous dépose et je dois filer. j’ai rendez-vous à quinze heures et demi chez le kiné.

— Toujours ta contracture à la cuisse ? s’enquit sa copine.

— Ouep, c’est quasiment réglé. Encore deux séances et je serai comme neuve. Je suis pressée de reprendre le hand !!!

— Ça va au fait, tu es remise pour hier ?

— Pas complètement, j’ai vraiment eu peur. Encore heureux que Papa soit repassé hier.

— Vu comme il est baraqué, Il a été utile.

— Tu m’étonnes. Je l’appelle l’ours blanc, ça l’énerve, rigola-t-elle.

J’ affichais ma surprise.

— Comment ça, l’ours blanc ?

— Papa fait un mètre quatre-vingt-quinze. C’est une armoire normande...au sens propre comme au figuré vu qu’il est né à Rouen...

— Et pourquoi blanc ?

— Raaaaaa, faut tout t’expliquer, pouffa Aurore.

— Bin, il est pas noir. Moitié normand moitié breton, tout blond. C’est Maman qui est d’origine sénégalaise. Et par contre elle est hyper méga foncée, elle !! Ils se sont rencontrés dans les Landes.

— Ah oui le fameux camp naturiste, commenta Aurore avec une petite moue de réprobation.

— Décoince-toi, tu devrais essayer. C’est loin d’être désagréable. Ta mère est plus là pour te faire chier.

— Ah, adepte aussi du naturisme ? Lui demandais-je

— Pas hyper habituée, mais j’aime bien, me répondit Chloé. Depuis mes huit ans, les parents nous ont emmenés plusieurs fois, mon frère et moi. J’ y suis pas retournée depuis trois ans. Vous en faites ?

— Oui, régulièrement. Mes parents étaient totalement mordus. Il y a d’ailleurs quelques camps dans les Cévennes. Et puis j’ai une propriété isolée qui surplombe un vallon. Elle est complètement close, entourée d’arbres et de verdure. Tu devrais écouter ton amie, ma chérie, ajoutais-je après quelques secondes à l’attention de ma fille.

Aurore tourna la tête vers moi, les joues virant à l’écarlate.

— Euh, oui, peut-être, pourquoi pas, comme une fois quand j’étais petite, murmura ma tendre rousse.

— Moi, ça me tenterait bien, de faire ça par là. Dans la nature, avec personne qui te mate, ça doit être top, déclama Chloé.

— Tu viens quand tu veux !! lui assurais-je.

— Yeeesse, super tentant. Bref, reprit Chloé. Maman et moi on a eu du bol que Papa devait reprendre une perceuse pour sa nouvelle maison.

— Ah, il ne vit pas là ?

— Non. Il a acheté l’an dernier une ferme à retaper à côté de la forêt de Phalempin. La rénovation est presque finie, mais il continue de fignoler l’intérieur. Mes parents sont divorcés depuis deux ans, mais ils s’entendent encore super bien.

Les filles m’oublièrent un peu et enchaînèrent sur le handball.

 Effectivement le trajet fut rapide. À quinze heures quinze, la voiture s’ arrêta au pied d’un immeuble de six étages qui nécessitait plusieurs ravalements de façade.

— Bon, on y est. Je repasse dans une grosse heure. Choupette, tu auras le temps de faire ton tri. Je reviens avec la 5008. Ca sera plus simple pour tout emporter. Ce soir, vous mangez à la maison. Ah j’ai failli oublier. C’est pour toi Chouchou.

La ravissante métisse tendit un paquet à ma fille qui la regarda avec un oeil interrogateur.

— L’ouvre pas tout de suite...ça va te plaire, tu verras.

— Ok. Tu viens papa ?

«  Choupette » me prit par la main et m’entraîna vers le hall. Elle stoppa l’ascenseur au quatrième étage et me fit rentrer dans un appartement aux couleurs défraîchies. Le vestibule donnait presque directement sur un salon-salle à manger dont les grandes fenêtres donnaient plein sud, ce qui avec la chaleur qui s’était abattue sur Lille transformait déjà l’appartement en étuve.

Juste à gauche, une porte ouverte donnait sur une cuisine remplie de meubles en formica façon années soixante/soixante-dix. Aurore me fit rapidement le tour du propriétaire. Elle emprunta un petit couloir desservant sur la droite une salle de bain et sur la gauche les toilettes. Au fond de ce petit couloir deux portes étaient fermées.

Celle de gauche fut ouverte sur une vaste chambre. Je rentrais pour jeter un rapide coup d’oeil.

Sur le côté de la porte, un grand placard occupait la totalité du mur. Un lit king-size entouré de deux petites tables de chevet occupait la moitié du côté gauche. Séparé du lit d’un bon demi-mètre et lui faisant face, un immense placard orné en son centre d’un miroir occupait les quelque cinq mètres de linéaire du mur opposé.

À l’opposé de la porte, une fenêtre donnait sur un petit parc. Sous le châssis de celle-ci avait été placée une longue commode. Une petite armoire complétait l’ameublement.

— La chambre de maman, indiqua Aurore. Et ça, c’est la mienne.

Elle ouvrit l’autre porte, qui donnait sur une chambre bien plus modeste. Dix mètres carrés, pas plus. Spectacle de guerre. Ce qui restait d’un lit une place était accompagné par un petit bureau et un placard.

Le matelas était renversé, les pieds avaient été brisés, et la tête de lit faisait peine à voir. Le sommier dégagé laissait voir sous celui-ci un petit matelas d’appoint.

Un gros coup avait été asséné au placard, mais il était encore fonctionnel. Une commode jouxtait la fenêtre. Aurore resta les bras ballants devant ce désastre.

— Quelle salope, elle a tout cassé !!!

— Je vois. Pas grand ce simple lit. Enfin quand il était en bon état...

— Pour moi toute seule, c’était tout juste suffisant.

— Oui et j’ai cru comprendre que ta mère te bridait beaucoup. Pas de petit copain qui est rentré ici ?

Aurore piqua un fard.

— Non.

Elle hésita puis compléta.

— Je n’ai jamais eu de petit copain. Y a que Chloé qui venait des fois dormir ici.

— Si jolie et seule. Comment est-ce possible ?

— Avec ma garce de mère ? C’était comme au couvent...Par contre elle se gênait pas pour ramener des cochons comme Bogdan...

Sentant sa gêne, je n’insistai pas sur le sujet.

— Tu veux un petit coup de main pour t’aider à faire ton tri?

— Oh, tu sais, je n’ai pas grand-chose. Si tu voyais l’autre chambre. L’armoire et les placards sont remplis de fringues et de chaussures. Mais tu pourras quand même m’aider à tout sortir et les empiler sur la table. J’ai demandé à Chloé de ramener des valises de chez elle.

— Ok

Elle fit coulisser la partie gauche du placard. Une impression d’ordre militaire régnait dans celui-ci. Quelques robes sages étaient accrochées à la penderie, ainsi qu’un anorak et deux petits blousons. Dans la partie inférieure, outre quelques vêtements d’hiver, je devinais des affaires de sport ainsi qu’un grand sac Adidas.

Dans la seconde partie, elle enleva et me tendit deux jeans et trois pantalons, ainsi que quelques shorts que j’allais mettre avec précaution sur la table de la salle à manger. Une douzaine de tee-shirts, des jupes et quatre corsages les accompagnèrent. J’ouvris sa commode.

— Euh, c’est mes culottes et mes soutiens-gorge là dedans. Elle enleva sa petite garde-robe intime, digne de celle d’une fillette prépubère, qui alla rejoindre le reste de ses habits.  J’eus quand même le temps de voir l’étiquette d’un de ses soutiens-gorge. Celle-ci affichait un 85B.

Au bout d’une trentaine de minutes, le reste du placard et de la commode étaient vidées. Il était déjà quasiment seize heures.

-Dis Aurore, je cuis. Je peux prendre une douche ?

— Bin oui. Fais comme chez toi. Je vais faire pareil juste après.

Je ne fis pas durer trop longtemps mes ablutions pour permettre à Aurore de se rafraîchir avant le retour de sa copine. Je quittais rapidement la salle de bain et vu la température, je restais torse nu et en caleçon. Aurore resta une dizaine de minutes. Elle en sorti revêtue d’une brassière de sport blanche et d’un shorty  tout aussi immaculé.

La bande élastique inférieure, qui arborait plusieurs fois la marque Calvin Klein délimitait le dessous des seins en les remontant légèrement à la façon d’un Wonderbra.

La brassière enrobait superbement ses deux attributs mammaires. Le coton était même suffisamment fin et collant pour que son sous-vêtement montre avec précision la forme exacte des aréoles. Là aussi elle avait hérité de l’anatomie de sa mère. Prolongeant le sein, une colline en forme de demi-cerise était formée par le surgonflement de l’aréole, dont la partie terminale supportait des tétons semblant vouloir percer le textile.

Son ventre de sportive aux abdominaux bien dessinés était parfaitement plat, rehaussant par contraste la ferme arrogance de sa poitrine. Son intimité était recouverte par le shorty qui arborait sur une fine bande grise les mêmes inscriptions que la brassière, l’inscription. Moulant, il permettait, tout comme la culotte aperçue dans l’avion, de deviner le modelé de son mont de Venus et des grandes lèvres. La grande différence tenait à la transparence du blanc.

Sous le tissu, je devinais une broussaille orangée : quand je vous disais que "Choupette" était une rousse, une vraie de vraie.

Elle dégageait un érotisme fou.

— Wow, tu me disais que tu n’avais pas le droit de mettre des habits sexys...

— Tu es sublime comme ça.
Ses joues se colorèrent.

— C’est le cadeau de Chloé. Même pour faire du sport, je n’avais pas le droit de choisir mes sous-vêtements. C’était pas toujours très confortable. Mais comme Chloé et moi on a exactement les mêmes mensurations, elle me prêtait des fois ses affaires en douce et je lui rendais après chaque séance. Celui-ci me soutient tellement mieux...

— Hébé, on va vite corriger ça, tu devrais aller faire quelques courses pour acheter de la lingerie un peu plus...féminine.

— Tu veux dire des vrais soutifs de sport, et aussi des strings, des trucs en dentelle ?

— Oui aussi en dentelle, si tu veux.

J’eus encore droit à un élan de gratitude comme la veille. Sauf qu’en cet instant nous étions bien moins habillés. Son ventre dénudé se souda au mien tout aussi dénudé, en contact direct avec la peau de mon propre abdomen, et je pus ainsi ressentir la chaleur de sa matrice irradier mon estomac. Mes bras l’enveloppèrent et je posais les mains sur ses lombaires. Ses gestes étaient excessivement hésitants et maladroits. Pendant que mon cou recevait une pluie de bisous, elle ne savait pas comment positionner ses mains dans mon dos. Son pubis était collé au mien et je sentis mon membre frémir. Mes doigts bougèrent malgré eux, enserrant peu à peu le bas de son dos.

Un carillon interrompit brutalement ce moment en suspension.

Aurore se dégagea paniquée en jurant :

— Brin, c’est déjà Chloé.

Sauvés par le gong. Je ne saurais dire ce qui ce serait passé entre nous sans cette sonnette, ange de morale salvatrice.

Masquant mon trouble, Je filai vers la chambre de sa mère en embarquant mes affaires.




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