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Evolution d'un couple.

Chapitre 6

Trio

Avec plusieurs femmes
Résumé : Je viens de surprendre mon mari avec Léane l’ex épouse de son frère et que nous venions gentiment d’embaucher comme femme de service. Cet acte (que nous n’avions aaaabsolument pas prévu) je ne peux le laisser impuni...
Léane me regarde en train de jouer ma grande scène de la femme trompée pendant que Phil prend un air contrit.
— Oh Léane comment as-tu pu nous faire cela, nous voulions t’aider et voilà comment tu me récompenses en couchant avec mon mari !— Mais je, euh lui...
Vlan, je lui allonge une tape très légère juste qu’elle saisisse qu’elle est en faute et je reprends en furie.
— Salope, t’attaquer à un homme marié, c’est dégueulasse, ah tu vas nous le payer. Ah tu vas retourner dans la rue.— Non, pitié je bosserais plus dur, je le ferais plus, je...— Suffit ! Tu n’as plus ton mot à dire. Déjà tourne-toi tu ne mérites pas d’être prise ainsi !
Elle se tourne à moitié, ne sachant pas quoi faire, toute prête à écouter, sonnée de ce qui lui arrive même si le petit sourire en coin qu’elle a arboré l’espace d’un instant ne laisse aucun doute sur son plaisir à jouer le jeu.
— A quatre pattes, allez, tu voulais être saillie, je vais t’en donner moi, allez !
Phil la pousse un peu, je la tourne un peu et elle se retrouve à quatre pattes visage vers moi
— Allez Phil, prends-la comme ça, une petite chienne comme ça ne mérite que ça.
Cuisses écartées, en appui sur ses avant-bras, poitrine en valeur elle est presque domptée. Mon homme s’exécute avec un sourire complice et la pénètre à nouveau lui tirant un gémissement de plaisir.
— Ah non, tu ne vas pas apprécier en plus, prends-la fort mon chéri, il faut qu’elle le sente passer, qu’elle ne recommence plus !
Il attrape ses hanches et la pénètre profondément, lui arrachant petits cris et gémissements de plaisir.
— Voilà mon chéri, vas-y, défonce-la bien, il faut qu’elle sache que c’est pas elle qui commande.

Comme il est beau à la prendre comme un soudard, son ventre tape contre les fesses de Léane et le bruit rythmé est comme une litanie sensuelle qui nous met en joie. Nos regards sont fixés l’un sur l’autre et ce qui passe entre lui et moi est fort ; c’est un lien indéfectible, il baise (je ne peux encore une fois dire autre chose) une autre femme devant moi, sous mon contrôle, sur mon instigation et cela me rend toute chose. Je lui attrape le menton et rapproche son visage du mien.— Alors tu comprends que c’était mal, tu dégustes hein.— Oui, ouiii.— Tu comprends qui commande maintenant ?— Oui oui.— Oui qui ?— Toi, toi c’est toi qui commandes !— Allez chéri, défonce-la, je veux l’entendre crier.
Il y va fort, et elle a des sursauts quand il est totalement enfoncé en elle. Elle a le visage rouge, gémit encore et encore. Je passe l’autre main sous elle, dit à Phil de rester en elle, vais lui caresser, lui soupeser les bourses et continue mon quasi-monologue— Hmm chéri, prends-la bien à fond, allez !
Puis sur un regard il se recule et j’enfonce deux doigts en elle, la trouve trempée et la branle à toute vitesse, la paume frôlant chaque fois son clito tendu. Je la fixe dans les yeux, la défiant de se rebeller face au geste d’une autre femme. Je m’excite à toucher, que dis-je, à branler sauvagement une autre femme. Sentir sa chatte si coulante me fait une drôle d’impression et j’en sens l’écho dans mon propre corps. Je songe à ce que je puis encore faire.

Tenant toujours son menton, je lui présente alors mes doigts couverts de sa cyprine. Sur un regard elle avance la bouche pour les happer, je laisse passer une seconde puis lui enfonce mes doigts dans sa bouche qu’elle aspire alors comme si sa vie en dépendait. Bon sang, je n’espérais pas qu’elle allait être réceptive aussi vite, voilà qui va me permettre d’accélérer...— Allez suce ta mouille petite chienne.— Encore, encore...— Tu entends chéri, elle devait se branler souvent cette petite salope, elle en veut encore.— Donnes-en lui encore ma chérie.

Je replonge à nouveau mes doigts en elle, enfonce mes doigts sans retenue et vais lui faire à nouveau goûter ma récolte qu’elle déguste avec un plaisir évident qui me surprend même, ne reculant pas devant mes doigts qui entrent dans sa bouche.
— Dis-moi tu te touchais souvent ?— Oui, oui, j’étais, j’étais toujours seule.— Pauvre petite chienne, je vais t’en donner moi, tu en veux encore hein ?— Oui, oh oui.— Sors la langue.
Elle s’exécute immédiatement et cela fait courir un long frisson en moi. Je lui tends alors mes doigts que je viens de plonger devant elle dans mon intimité tout aussi dégoulinante que la sienne.J’essuie mes doigts sur sa langue sortie et elle bave presque d’envie dessus. — Chérie attention elle va tout te prendre, ne la laisse pas faire.— Tu as raison, elle ne va pas tout avoir n’est-ce pas ?
J’avance ma bouche et lentement saisis sa langue entre mes lèvres et aspire, la retiens un peu prisonnière. Oh les gémissements de mon mari en fond sonore, j’adore... Ensuite on se roule une pelle sauvage, j’écrase ma bouche sur elle, nos dents s’entrechoquent un peu et nos langues se goûtent, combattent, explorent la bouche de l’autre. Je me recule et nous nous fixons haletantes toutes les deux, les yeux brillants de vice, de la salive aux coins des lèvres et Phil qui a compris, la redresse un peu pour que nous puissions nous coller seins contre seins, bouche contre bouche, langue contre langue. Sa peau brûlante c’est délicieux.
Elle est totalement empalée sur lui que je sens trembler de plaisir contenu, les fesses de Léane sont écrasées sur le bas-ventre de Phil.
Ce petit pervers va la branler et nous tend ses doigts luisants de mouille que nous nous disputons presque comme deux assoiffées. Il en profite le petit malin à se lâcher sur mes indications dans un trio qu’il n’aurait (et moi non plus) jamais imaginé voici quelque temps.
Je me touche aussi et enduis le visage de Léane de mon miel avant de lécher ses joues, son front, son menton et de revenir partager avec elle. Puis c’est elle qui me branle et fait la même chose, comme c’est bon d’être couverte de son plaisir, d’être si chienne, si dans le plaisir.
Phil monte dans les tours devant ce spectacle et la refait se courber pour se déchaîner, sors totalement d’elle avant de replonger en une fois encore et encore. Léane n’est plus que gémissements, cris, je ne l’embrasse plus, sa tête est secouée dans tous les sens sous les assauts de mon mari et les soubresauts de son plaisir. Dans mon esprit j’ai des images de mille et une combinaisons plus lascives les unes que les autres mais là j’ai envie de la dominer, la soumettre gentiment, à ma façon. La sueur coule sur le front de Phil qui est proche de jouir ; tout comme Léane d’ailleurs. Je vais l’embrasser histoire de faire passer le fait que je le repousse en arrière puis l’emmène à ma place. Léane s’est un peu redressée et nous regarde, toute dans l’attente.— Ne crois pas qu’il va te faire partir, tu ne le mérites pas, branle-toi si tu veux jouir.
Nous la regardons se caresser comme une folle, une main sous son ventre, l’autre tripotant, pressant fortement un sein, elle bave d’envie devant la queue tendue de mon homme et je rajoute :— Si tu obéis bien, tu l’auras peut-être une autre fois mais pour le moment tu n’es qu’une petite salope, juste bonne à recevoir son foutre.— Ou, oui, tout ce que vous voulez.— Tais-toi mais ouvre la bouche !

Je suis collée derrière Phil, une main sur ses fesses et l’autre qui branle sa queue humide de leurs excitations. J’ai mon visage sur son épaule et je vois tout, Léane, la bouche tendue vers cette verge que je branle devant elle, langue à moitié sortie, dans l’attente du plaisir de Phil, se caressant pour parvenir à la jouissance. Je sens qu’elle a lié son plaisir au sien... Au mien.
Dans ma tête, je me répète « tu branles ton mec pour qu’il jouisse sur le visage d’une autre, tu branles ton mec pour le faire jouir... »
Je sens Phil vibrer, ma main monte et descend de plus en plus vite sur sa queue glissante et dure. J’en veux plus, et je fais glisser mes doigts entre ses fesses, il est aussi un peu coupable après tout et je vais pénétrer son petit trou. Il gémit de plus en plus fort et dans ma tête je rajoute — Tu branles et tu encules ton mec pour qu’il jouisse sur le visage de l’autre, tu es devenue une vraie salope.
Peut-être mais c’est si bon, si bon...
Je lâche enfin :— Allez gicle lui dessus, balance ton foutre !
Puis je lui enfonce plus profondément mon doigt. Il se raidit, je dirige sa queue en sentant le sperme monter et regarde les jets blancs s’écraser dans la bouche, sur les joues, le menton de celle qui est devenue notre soumise, notre plaisir. Elle jouit et moi, je mords l’épaule de Phil dans mon réflexe de plaisir. J’ai un orgasme de dingue entre leur plaisir, ma propre masturbation et la vision de son visage délicieusement souillé.
Je relâche ma morsure, Phil s’écroule entre nous, vidé, épuisé au-delà du plaisir et, par-dessus lui, je vais échanger un baiser de plaisir avec Léane, scellant le début de pleins de nouvelles choses.
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