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Examen médical

Chapitre 10

Divers
Repartir nue dans ma voiture ne m’enchante guère, même si à cette heure, il y a déjà moins de monde dans les rues. Je roule depuis moins de cinq minutes et mon téléphone portable sonne. Que peut bien me vouloir ma belle-mère ?
— Ma petite Lucie, j’ai ouï-dire que ton inspection s’était très bien déroulée. Ta proviseur et l’inspectrice sont très satisfaites de ton dévouement et de tous les sacrifices que tu es prête à faire pour l’éducation de tes élèves.— Ainsi donc c’est vous qui tirez les ficelles de toute cette comédie. J’aurais dû m’en douter, dis-je, dépitée. — J’espère que tu n’as pas trop froid, ajoute-t-elle en riant. Avant de rentrer chez toi, passe à la maison, nous te réchaufferons.
Alors que je suis en passe de quitter la ville, je dois stopper à un feu tricolore. Comble de malchance, un bus de la ville s’arrête à ma hauteur. Les passagers étant plus hauts, en tournant la tête, je ne peux que constater que plusieurs d’entre eux en profitent pour jouer les voyeurs. Je cache mon visage de peur d’être reconnue et prie pour que le feu passe au vert. Avec soulagement, je démarre pied au plancher dès que le feu change de couleur pour distancer au plus vite cette meute de loups. Le reste du chemin de retour est maintenant plus tranquille et je ne crains plus rien. Quand je rentre dans la propriété de mes beaux-parents, la voiture de mon mari est déjà présente, ce qui m’étonne un peu. Même si j’ai peu de chance d’être vue par les voisins, je me précipite à l’intérieur de la maison. Je suis accueillie par ma belle-mère qui m’embrasse à pleine bouche et pose une main directement sur mon sexe, introduisant sans vergogne deux doigts dans mon antre.
Même si mon sexe est toujours très sensible, je m’évertue à ne pas gémir pour ne pas lui offrir le plaisir de savourer sa victoire d’entremetteuse.
— Mais elle est encore toute chaude et bien juteuse cette petite chatte, dit-elle, triomphante. Par contre, tu as sans doute un peu froid vu comment tu as la chair de poule.— Non non, dis-je, c’est juste parce que ça fait un moment que je suis comme ça, nue.— Tes deux hommes vont te réchauffer, je les ai préparés avec ma langue, je te laisse le choix, lequel veux-tu dans ta chatte et lequel veux-tu dans ton cul ?— Je vous en prie belle-maman, vous savez que j’ai déjà beaucoup donné ce soir, j’ai été obéissante, soyez généreuse pour une fois.— De tels propos mériteraient une punition en d’autres circonstances, mais je suis généreuse ce soir, pas de punition, mais satisfaire tes hommes, ça ma petite, tu n’y couperas pas. Alors tu te décides, qui devant, qui derrière ?— André devant et Patrick derrière, dis-je, désabusée.
Aussitôt, mon beau-père se lève comme un mort de faim, m’embrasse à pleine bouche et pointe son sexe au niveau de ma chatte. Pour faciliter la pénétration de sa grosse queue, j’écarte mes lèvres avec mes doigts. Il plaque ses mains sur mes fesses pour m’attirer contre lui et me pénètre d’un coup d’un seul jusqu’à la garde. Je ne peux empêcher un long râle de surprise et de satisfaction de sortir de ma bouche. Il attrape mes jambes pour que je les passe autour de lui. Dans cette position debout, je sens son sexe appuyer sur les parois de mon vagin. Mon mari vient se positionner derrière moi et profite que son père m’écarte les fesses pour pointer son dard contre ma rondelle. J’ai beau savoir que son sexe est assez petit, j’appréhende toujours un peu la sodomie. Pour précipiter les choses, mon beau-père me soulève et me laisse retomber sèchement. Mon mari qui a suivi le mouvement m’encule sans broncher et je sens les deux queues frotter l’une contre l’autre.
Je ne pèse pas bien lourd entre leurs mains. Je monte et je descends sur ses deux pics qui me labourent. C’est à peine si j’arrive à respirer entre deux gémissements. Ils ne se soucient pas de moi, j’ai plus l’impression qu’ils font un concours pour savoir qui craquera le premier et m’inondera de sperme. Leurs grognements couvrent mes gémissements. Je jouis et mes suppliques pour qu’ils arrêtent enfin ne reçoivent aucun écho. Je ne sais pas dire si je jouis de la chatte ou du cul. C’est avec soulagement que je sens mon mari se déverser dans mes entrailles, rejoint quelques secondes plu tard par mon beau-père. Je pense en avoir fini, mais ma belle-mère me demande ou plutôt exige que je nettoie la queue des deux hommes de la maison. Je ne montre aucune réticence, épuisée, je n’aspire plus qu’à rentrer chez moi pour prendre une bonne douche et me lover dans mon lit.
Pour mon retour au lycée, j’avoue avoir l’angoisse d’avoir été vue par quelqu’un la veille et de devoir affronter les sarcasmes. Au final, je ne retiendrais que le large sourire de la proviseur lorsque nous nous sommes croisées dans les couloirs.
Le jeudi suivant, c’est avec une certaine fébrilité que j’arrive au lycée vers 13h30. Sans passer par la salle des professeurs, je rejoins le bureau de la proviseur. En l’absence de sa secrétaire, elle a laissé la porte de son bureau ouverte pour m’indiquer sa présence. Je toque sur la porte pour prévenir de ma présence et entre dans son bureau sans attendre sa réponse.
— Ferme la porte derrière toi Lucie, nous n’avons qu’une petite demi-heure avant la reprise des cours, dit-elle.
Sans doute pour que les habitants de l’immeuble d’en face ne puissent nous espionner, elle a baissé ses stores. Cela a un côté rassurant, mais en même temps, j’imagine qu’elle doit sûrement avoir aussi quelque chose en tête pour être si prévenante.
— Ta robe est ravissante et le boutonnage devant va faciliter les choses, dit-elle. Ouvre-la que je vois ce qu’elle cache.
Un à un, je défais les boutons et je l’ouvre pour offrir à ma proviseur la vue de ma lingerie et de mes bas autofixants.
— Il me semble que tu ne devais porter ni soutien-gorge ni culotte, dit-elle d’un ton sévère.— Excusez-moi, j’ai mal compris, je pensais que pour venir jusqu’ici, je n’avais pas de contraintes, répondis-je timidement.— Ote ton soutien-gorge et ta culotte, tu n’en auras pas besoin pour tes cours de cet après-midi.
Je m’exécute et commence à reboutonner ma robe, l’heure du premier cours approchant à grands pas, mais la proviseur me stoppe immédiatement, ayant encore une petite surprise pour moi. Elle ouvre le tiroir de son bureau et sort un rosebud. Elle me demande de m’appuyer sur le bureau et de bien écarter mes fesses avec mes mains. Elle passe son doigt sur ma fente et constate sans ambiguïté que je mouille déjà abondamment. Elle plonge son doigt et le rosebud dans mon con. Je mords mes lèvres pour ne pas gémir, ne sachant si la secrétaire a déjà repris son poste. Elle pose maintenant son doigt enduit de cyprine sur ma rondelle, pousse et l’enfonce en entier dans mon cul. C’est trop de sensation pour moi et je ne peux retenir un petit cri. Elle joue un peu dans mon fondement puis tout en douceur remplace son doigt par le jouet.
— Voilà tu es bien équipée, maintenant tu peux remettre ta robe en ne boutonnant pas les deux premiers boutons en haut et le dernier en bas et rejoindre tes élèves, dit-elle.— J’ai un peu peur de perdre le rosebud et pour le dernier cours, je dois aider les élèves à faire des travaux pratiques, ne pensez-vous pas que deux boutons soient de trop ? demandais-je sans trop de conviction.— Dépêche-toi de filer, ne fais pas attendre tes étudiants.
Quand je sors du bureau, la secrétaire est déjà à son poste. En me voyant, elle arbore un large sourire qui me laisse à penser que peut-être elle connaît les moeurs de la proviseur. Je traverse plusieurs couloirs pour rejoindre ma salle de classe en positionnant mon sac sur ma poitrine pour ne pas laisser voir mes seins qui balancent à chaque pas et mes tétons tout durs à force de frotter contre le tissu de ma robe. Quand je rentre dans ma classe, mes premiers étudiants sont déjà installés et je constate avec stupéfaction que la façade avant de mon bureau a été enlevée, ce qui va offrir aux élèves une vue imprenable sur mes jambes. Lorsque je prends place sur ma chaise, le rosebud se rappelle à moi, me provoquant une bouffée de chaleur.
Durant les deux premières heures de cours, je dépense une énergie folle à faire très attention au positionnement de mes jambes pour ne pas offrir une vue de mon intimité. Mes tétons me font mal tellement ils sont durs et je vois bien à l’attention que me portent les élèves et aux chuchotements que tous ont remarqué que je ne portais pas de soutien-gorge. J’essaie de rester la plus naturelle possible, mais je dois avouer que l’excitation est permanente et que je sens ma chatte tout humide.
Pour la dernière heure de cours, mes étudiants réalisent des expériences, ce qui m’oblige à me déplacer de table en table. Se mouvoir avec un rosebud fiché entre ses fesses n’est pas chose aisée. Mon attention est tellement focalisée par la présence de ce jouet dans mon cul, que j’ai peine à me concentrer sur les expériences, allant même jusqu’à induire en erreur mes étudiants. Alors que cette classe est d’ordinaire très autonome, cette après-midi, les groupes d’élèves n’arrêtent pas de me solliciter. Mon obsession du rosebud m’a fait oublier que les deux premiers boutons de ma robe sont ouverts et qu’à chaque fois que je me penche, j’offre une vue panoramique de ma poitrine aux tétons dressés. Je finis par me persuader qu’il est trop tard pour essayer de cacher quelque chose. Dans l’euphorie de la situation, je décide même d’aider davantage les deux groupes d’étudiants les plus timides, leur permettant par la même occasion de profiter plus longtemps du spectacle.
Lorsque la sonnerie de fin des cours retentit, je suis soulagée et constate que pour une fois, les étudiants ne sont pas pressés de partir. Au moins, je me dis que j’ai capté leur attention.
Après un détour par la salle des professeurs, je retourne voir la proviseur. Lorsque j’arrive, elle est en discussion avec sa secrétaire. Elle me fait entrer, mais à mon grand étonnement, elle demande à cette dernière de rester.
— Alors Lucie, comment se sont passés tes cours cet après-midi ? me demande-t-elle.— Comme d’habitude, les élèves progressent bien.— Je veux dire comment as-tu ressenti leur regard sur toi ? Etais-tu excitée ? Tu peux parler sans crainte, Catherine est parfaitement au fait de la situation.— Ha, dis-je en rougissant. Je pense que tous les élèves ont remarqué ma tenue, surtout ceux de la dernière heure. Nier une certaine excitation serait mentir, d’ailleurs j’ai l’impression que mes tétons ne débanderont plus jamais.— Enlève ta robe.— Là ici tout de suite ? demandais-je, le regard interrogatif.— Oui évidemment ici, il faut bien que Catherine voie ta beauté. Elle et moi on forme une équipe, tu sais, on partage beaucoup de secrets ensemble.
Je déboutonne ma robe et presque par automatisme, je l’enlève et la laisse tomber au sol, me retrouvant nue devant ces deux femmes. Catherine s’approche de moi, caresse ma joue, mon cou, glisse sur mes seins pinçant au passage mes tétons, effleure mon ventre et mes fesses puis colle sa main sur mon sexe.
— C’est vrai que tu es très belle, dit Catherine. J’adore ton petit cul rond bien ferme. En plus madame la proviseur, elle est déjà toute trempée cette cochonne.— Toi qui aimes son cul, écarte ses fesses et regarde ce qu’elle porte depuis le début d’après-midi.— Dis-moi Lucie, tu es une petite cachottière, regardez ce beau bijou anal qu’elle porte, dit Catherine.
Elle prend le rosebud entre ses doigts et s’évertue à le faire tourner dans mon cul puis d’un coup sec elle le tire en arrière pour le faire sortir. Cinq ou six fois de suite, elle s’amuse à le faire entrer et sortir de mon fondement, m’arrachant à chaque fois de long râle. Alors que je m’apprête à me redresser, elle me force à rester pliée en avant, voulant constater par elle même la souplesse de mon conduit. Elle me plante un puis deux doigts dans mon rectum.
— Elle a un cul vraiment accueillant, dit-elle. Regardez madame la proviseur, comme ça coulisse facilement. J’ai bien envie de l’essayer. Me permettez-vous madame la proviseur ?— Mais avec joie. Regarde dans mon tiroir de gauche, tu y trouveras mon gode ceinture. Enfile-le, pendant que tu la prendras, elle me lèchera la chatte.
Catherine se précipite derrière le bureau, ouvre un tiroir et en sort un gode qui d’où je suis me semble plutôt de bonne taille. La proviseur ôte sa culotte, s’assoit sur son bureau, relève sa jupe, écarte les jambes pour bien m’offrir sa vulve. Je m’approche, me penche et viens coller ma bouche à son sexe. J’aime lécher une femme, mais là précisément après une journée de travail, l’odeur de sa chatte est un mélange assez puissant de cyprine et d’urine. J’ai un haut-le-cœur, mais la main ferme de la proviseur sur mon crâne ne me laisse aucun moyen de me dérober. Catherine, très excitée, a déjà enfilé le gode ceinture et le positionne directement en contact de ma rondelle. J’aurais aimé qu’elle le lubrifie dans ma chatte, mais visiblement, ce n’est pas son intention. Elle m’empoigne par la taille et pousse tel un taureau. J’ai beau avoir été préparée, l’engin peine à entrer. Mes cris sont étouffés par la chatte de la proviseur.
Une deuxième poussée aura été nécessaire pour que ce glaive me pourfende l’anus. Elle ne me laisse aucun répit, s’enfonçant encore et encore en moi. Hystériquement, elle me laboure les entrailles. Jouant sans doute pour la première fois le rôle de l’homme, elle ne se soucie aucunement de mes plaintes et grogne chaque fois que son mandrin s’enfonce en totalité en moi. Elle profite ainsi une bonne douzaine de minutes de mes fesses. Epuisée, elle finit par sortir le gode de mon cul. Ni moi ni la proviseur n’avons joui, mais elles semblent toutefois fort satisfaites de leur fin d’après-midi au travail. Leur joie est encore plus grande lorsqu’elles constatent que mon fion reste ouvert.
— Je garde ton soutien-gorge et ta culotte, dit la proviseur. Ce sera mon trophée et cela te rappellera que le jeudi après-midi, les sous-vêtements, c’est obsolète.
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