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Executive woman

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Elle m’avait prévenu de cette visite de travail. Je lui avais un peu fait la tête car on s’était promis de laisser le boulot à sa place, au boulot. En plus, un dimanche avant leur départ en voyage d’affaires. La bande d’emplumés arriva en début d’après-midi. Rien que des jeunes cadres dynamiques, la mèche, le portable, chez la chef du département finances qui planchait sur le rachat d’un concurrent.
Ils envahirent la maison. L’un d’eux me dit quand même bonjour, sans doute par distraction.
— Face de cul, pensai-je alors qu’ils entraient tous au salon. Les laptops envahirent la pièce. Les IPhone aussi.
Ma directrice financière de femme manageait sa team !
Elle portait sa tenue de manageuse de team ! Un brin executive woman, elle ne m’avait pas laissé de marbre avant que les fayots n’arrivent. Et les membres de la team lui souriaient.
— Bon, vous avez tous vos présentations PowerPoint et les slides sont ok ?
« Les Sliiiides sont okkkkay ? » murmurai-je en gagnant la cuisine. Je t’en foutrais du slide, moi, surtout avec ton tailleur moulant. Je te jure, dès qu’ils s’arrachent les blaireaux, ça va effectivement glisser ! Va y avoir du verglas dans le salon, j’te l’dis !
Vous l’aurez deviné, j’étais légèrement à cran. Un tantinet vénère !
Bon, pensais-je en regardant Rex, qui couché dans sa panière me regardait avec compassion.Ce York a du chien, pensai-je. Je l’avais baptisé Rex, et elle Chouchou.
Quand je le promenais, je le dressais, dès qu’on voyait un jeune cadre dynamique avec mèche et portable, je lui murmurais : « Attaque ! » Mais à part sa gamelle, il n’avait jamais rien attaqué. Si ! Un casse-dalle que je m’étais préparé pour écrire à mon bureau. Je suis auteur ! J’écris des romans. Je les connais par cœur. Au niveau tirage, c’est pas comme avec ma femme. Je plafonne à cinq cents exemplaires. Avec ma femme, c’est souvent Noël. Elle aime ça. Le cul. On fait une sacrée team, tous les deux !
Bon, je vais sortir le chien avant que ma queue ne me pompe tout le sang, je pourrai plus décider de rien après. Et lui, il s’oubliera dans la cuisine.
Rex ne voulait pas sortir. Encore un qui ne m’obéit pas ! Putain, je suis trop cool ! J’me laisse aller, il faut que je remette de l’ordre dans ma vie et que je trousse ma femme sur la table de la salle à manger après le départ du dernier blaireau.
Je décidai de me remettre à écrire et gagnai mon bureau. Je jetai un coup d’œil mauvais vers la team.
Ma femme se régalait de voir les sous-fifres boire ses paroles. Elle se complaisait dans son rôle de manager. Elle me jeta un regard, me fit un clin d’œil. Elle avait ouvert la veste de son tailleur. Sa poitrine semblait maintenant vouloir sauter aux visages de la team.
Ma femme est… une bombe. Des formes, de la sensualité ! Et elle aime le sexe, je vous l’ai déjà dit. Finalement, c’est notre seul point commun, sans compter l’amour qui nous unit.
À ma table de travail, je retrouvai le héros de mon livre. Il était en train de se curer le nez, assis sur le trottoir, et m’attendait pour la suite de ses aventures. Il semblait aussi désabusé que moi.
Du salon me parvenait la discussion. Cela me perturbait. Cela m’énervait. Mon héros allait casser du jeune cadre dynamique.
Deux heures s’écoulèrent pendant lesquelles je tapai deux pages. Le silence semblait avoir réintégré mon domicile. Les blaireaux avaient dû partir. Je sortis et rejoignit le salon.
Ma femme, les seins en avant, assise sur le canapé, la jupe remontée à la limite de la pudeur, discutait avec son adjoint. Ils se tournèrent vers moi.
— Chériiiii ! Pourrais-tu nous servir un verre, ce serait chou de ta part. Nous étudions encore la tactique avec Rodolphe.
Le Rodolphe en question me sourit béatement, en ramenant sa mèche.
— Oui, m’dame, dis-je en traînant ostensiblement les pieds pour gagner le bar. Whisky ? On the rocks ?
Je ramenai trois verres. Je surpris le regard de Rodolphe sur l’opulente poitrine de ma femme. Deux seins pleins, lourds, aux tétons agressifs, aux petites aréoles. Deux seins que j’aimais soupeser, pétrir, lécher, téter. Nul doute sur les intentions de Rodolphe.
Elle se laissait admirer. Elle aimait ça. À chaque fois qu’un type louchait sur sa poitrine, elle bombait le torse. Elle est comme ça !
Je repartis chercher la bouteille et revint pour surprendre cette fois le regard de Rodolphe sur les cuisses à peine couvertes. La limite des bas était proche.
— Merci mon chéri, nous l’avons bien mérité tu sais. Nous allons gagner, c’est certain. N’est-ce pas, mon Rodolphe ? dit-elle en posant sa main sur la cuisse de son adjoint.— Pas de doute là-dessus.— Je suis tellement excitée à l’idée de cette OPA ! J’adore ça, c’est presque physique !
Sa main restait sur la cuisse. Comme dans un état second, je vis sa main plonger dans l’entrejambe de Rodolphe, et ses longs doigts aux ongles vermillon enserrer une belle queue bien raide.
« Un mirage, je suis victime d’un mirage dans mon salon » pensai-je, alors que la main coupable levait le verre et que sa propriétaire portait un toast. À la victoire !
Nous trinquâmes à la victoire de demain.
— C’est un vrai bonheur de travailler avec toi, dit Rodolphe, je sais que demain, tu seras convaincante et impériale. Je suis certain que tu vas les tétaniser !— Oh oui, dit ma femme en s’adossant dans le fauteuil de cuir blanc, je vais les flinguer tous, l’un après l’autre.
Son mouvement avait remonté sa jupe déjà courte, et l’on voyait maintenant la chair de ses cuisses entre les bas et la jupe. Rodolphe regarda sa main vers le genou gainé de soie, en répétant que la victoire lui serait entièrement due.
— Votre femme est tellement séduisante que personne ne lui résiste, me dit Rodolphe les yeux dans les yeux.— Je suis bien d’accord avec vous, c’est comme ça qu’elle m’a eu ! Et il semble que vous ayez les mêmes symptômes que moi !— Oh, les mecs, arrêtez, vous allez me faire rougir, ronronna-t-elle.
Ses seins menaçaient toujours de faire exploser le chemisier pourtant déjà généreusement décolleté.
— Tu sais ma chérie, tu n’es pas seulement séduisante, tu n’as pas seulement une poitrine et un cul à damner un saint. Tu laisses à penser, sans le vouloir, qu’avec toi chaque homme a sa chance.— Ton mari a raison, dit Rodolphe.— C’est plaisant, répondit-elle les yeux clos.
Son épaisse chevelure brune encadrait son visage pâle, qui lui-même faisait éclater ses lèvres charnues, peintes de rouge.
Le whisky avait calmé mes humeurs mais pas mon désir. Je vous l’ai dit, ma femme et moi aimons le sexe, et il m’était arrivé de la partager, de l’emmener dans des endroits glauques où elle aimait se donner à des inconnus devant moi. Moi, je me plaisais à la regarder. Elle est teigneuse et hyperactive, je suis détendu et contemplatif.
C’était la première fois que cela se passait chez nous, avec une connaissance.
— C’est étrange, poursuivit-elle sans ouvrir les yeux, comme mon corps aime ça, le stress.
Rodolphe gardait la main sur le genou, mais maintenant ses doigts le caressaient, ce genou.
— Je ressens comme toi, dit-il en remontant sa main sur les fines mailles noires.
Un sourire de Joconde apparut sur les lèvres rouges.
Assis dans le fauteuil, je regardais. Rodolphe cherchait mon accord. Je ne pipai pas et laissai faire les choses.
La paume de sa main dépassa la limite du bas et flatta la peau. Je perçus l’infime ouverture des cuisses. De ma position, je voyais le triangle rouge de son string de dentelle. Elle porta le verre de whisky à ses lèvres et le finit. Rodolphe l’en débarrassa et en profita pour remonter encore sa main qui disparut à moitié sous la jupe.
— Huuuumm, soupira-t-elle, voilà ce dont j’ai envie.
Elle glissa dans le large canapé.
— Chéri, tu es là ?— Oui, je suis là.— Tu ne voudrais pas me dire comment est Rodolphe ? Est-ce qu’il bande ?— Je pense oui.— Non, vérifie, dis-moi.
Rodolphe ne regardait que ma femme. Je me levai et m’approchai de Rodolphe. Je me penchai et tendis ma main entre les cuisses de ce cadre. Il souriait. Je posai ma main entre ses cuisses et y trouvai ce que j’étais normalement censé y trouver en pareille circonstance. Une queue bien raide.
— Oui, il bande, chérie.
Rodolphe, sans doute électrisé par le passage de ma main, fit disparaître la sienne sous la jupe. Ma femme soupira et se mordit les lèvres.
— Ooooh, j’adore. Chéri ?— Oui ma chérie.— Ouvre mon chemisier.
Je m’approchai d’elle, maintenant, et dégrafai le chemisier blanc. Sa poitrine apparut.
— Le soutien-gorge ?— Oui, souffla-t-elle.
Il s’ouvrait par-devant. Je n’eus aucun mal à exhiber ses deux globes dont les tétons étaient dressés. Rodolphe fut captivé par la vue de ces seins.
— Chéri ?— Oui ma chérie.— J’aimerais que tu déshabilles Rodolphe.— Très bien.
Je m’approchai de lui et l’aidai à retirer sa veste. Il quitta à regret l’entrejambe de ma femme. Délaissée, elle se massa doucement les seins. Elle glissait sur le canapé, faisant bouchonner sa jupe sur ses hanches. Son entrejambe était découvert. Le triangle rouge écarté laissait voir son sexe. Rodolphe était torse nu.
Je lui ôtai ses chaussures, ses chaussettes, et défis la ceinture. Il se souleva et je retirai pantalon et boxer d’un geste. Sa hampe se dressa.
— C’est fait ma chérie.
Elle gardait les yeux fermés. Je bandais aussi très fort. C’était la première fois que j’étais actif dans ses aventures sexuelles.
D’habitude, je matais. Quand elle me le demandait, je prenais des photos. Parfois, si l’action durait, je me masturbais. Mais jamais je n’avais touché. Rodolphe était beau et généreusement équipé. Bronzé et soigneusement épilé. Il avait tout de l’Apollon de magazine.
— Déshabille-moi aussi.
Elle m’aida à faire glisser la jupe roulée, se souleva pour que je la débarrasse du haut. Je lui laissai les bas et les escarpins.
Trop sexy !
Elle se remit sur le canapé, semi-couchée. Elle écarta largement les cuisses. Elle sentait nos regards sur elle. Son sexe épilé était entrebâillé. Les chairs roses, brillantes de son jus. Son bassin ondulait doucement.
— Rodolphe ?— Oui.— Je t’excite ?— Beaucoup.— Tu as envie de me baiser ?— Oui.— Depuis longtemps ?— Depuis le premier jour.— Huuuum, dit-elle en pressant ses seins avec vigueur. Au début, je croyais que tu étais gay. Ça m’excitait aussi.
Rodolphe posa sa main à l’intérieur de sa cuisse et l’écarta au maximum. Sa chatte coulait.
— Ça ne m’empêche pas d’être excité par une femme.— Huuuumm. Tu le trouves comment mon mari ?
Rodolphe me détailla des pieds à la tête.
— Plutôt bien fait. Plutôt sexy même.
Oui, j’ai oublié de vous dire, mais la seule chose qui au départ avait pu attirer ma femme, c’est mon physique. Elle en avait eu une idée précise très vite car, après m’avoir renversé un café brûlant sur les cuisses, elle avait tenu à s’excuser dans les toilettes du train. Nous avions fait l’amour comme deux naufragés, pendant deux heures. Quand une pimbêche nous avait agressés à la sortie, elle lui avait dit que c’était trop bon pour arrêter. Depuis, on ne s’était plus quittés.
Ma femme se caressait le ventre. Sa respiration s’accélérait. Les yeux clos, elle finit par poser son majeur à l’entrée de son sexe. Rodolphe et moi n’en perdions rien. Il bandait fort et je ne pouvais m’empêcher de regarder cette belle hampe orgueilleuse.
— Chéri ?— Oui ma chérie.— Dis-moi comment est sa queue.
Tout en maintenant le regard sur l’entrejambe de Rodolphe, je la décrivis très précisément à mon épouse. J’insistai sur le gland renflé, et la hampe aux veines apparentes. Elle écoutait, un demi-sourire aux lèvres rouges de son visage – et le majeur jouant entre les autres.
— Huuuumm, ronronna-t-elle, ça me fait envie. Et toi Chéri, tu le trouves comment ?— Je le trouve… beau.— Huuumm…
Son majeur s’enfonça en elle.
— J’en peux plus maintenant, Rodolphe ! Prends-moi ! Maintenant !
Rodolphe s’agenouilla devant le canapé. Sa belle queue se tendait vers le sexe de ma femme.
— Allez, vite, juste un peu ! Je veux sentir ta grosse queue !
Rodolphe attrapa les hanches et son gland s’appuya sur les lèvres trempées. Ma femme bascula le bassin et le gland entra.
— Allez ! Baise-moi ! Mon Petit Prince ! Baise-moi !
D’un coup, il se planta en elle. Il donna quelques coups de reins très violents. Ses fesses lisses et musclées se contractaient fortement, témoignant de la violence des coups.
— Arrête ! C’est trop bon ! Je veux que ça dure, je veux que tu tiennes !
Rodolphe sortit de son ventre, sa belle queue luisante des sécrétions de ma douce.
— Déshabille mon mari, souffla-t-elle.
Il s’approcha de moi et j’eus la terrible nouvelle sensation de mains d’homme sur moi. Il me touchait, il me fit lever les bras pour retirer mon pull. Il observa mon torse, solide, aux pectoraux puissants. Il passa une main dessus. Elle était chaude.
Ma femme avait ouvert les yeux et souriait.
Il défit ma ceinture et fit glisser le reste de mes vêtements. Il observa mon sexe tendu aussi.
— Vous êtes beaux, tous les deux.— Venez, dit-elle, venez tous les deux. Elle se déplaça au centre du canapé.
Rodolphe s’assit à gauche. Je me mis à droite. Elle passa ses mains derrière nos têtes et les attira vers sa généreuse poitrine.
Nous nous mîmes ensemble à embrasser ses seins arrogants aux tétons fièrement bandés. Rodolphe m’imitait. Quand je tétais, il tétait. Quand je léchais, il léchait. Elle gémissait doucement en ouvrant ses cuisses. Elle donnait des coups de reins mimant le coït.
— C’est bon, c’est bon, allez, encore.
Rodolphe s’excitait de plus en plus. Je l’entendais respirer si fort. Tout à coup, il abandonna le sein et, s’agenouillant sur le canapé, il prit la tête de Barbara et lui intima l’ordre de le sucer. Sa queue était à proximité. Je ne pus m’empêcher de regarder la délicieuse bouche gober le gland cramoisi.
Elle l’avala totalement, jusqu’au fond de sa gorge profonde, puis le relâcha.
Rodolphe se tourna et me présenta son gland. Barbara me regarda. Il prit ma tête à deux mains et m’attira vers lui. Je craquai. Et à mon tour, je pris ce chibre prétentieux en bouche.
— Huuummm, me souffla-t-elle, c’est bon ça. Tu aimes ?
Pour toute réponse, je léchai le frein. Rodolphe me lâcha. Barbara me rejoignit sur la hampe. Nous honorions tous deux cet amant que, pour la première fois, nous partagions.
Ce n’était pas ma première relation homosexuelle, car j’avais expérimenté ça à la fac. Mais seul ! J’avais aimé, puis cela ne s’était plus présenté à nouveau. Mais là, il me plaisait. Barbara m’embrassa dans le cou pendant que Rodolphe allait et venait dans ma bouche.
— Chéri, j’addooooore ça, me souffla-t-elle en mordant le lobe de mon oreille. Huuuumm, vas-y.
Elle se dégagea en glissant à genoux devant le canapé et sans attendre se mit à me sucer.
Ce trio était passionnant ! Ses mains glissèrent sur mon ventre, mes seins, et elle saisit mes tétons pour les maltraiter. J’aime ça. Une incroyable tension nous unissait. Un désir bestial, une furieuse envie de sexe.
Rodolphe, lui, semblait décidé à tirer parti de cette situation.
— Tu me prêtes ton mari ? dit-il en baisant encore ma bouche.— Oui, lâcha-t-elle en caressant ma hampe luisante de sa salive, mais attends un peu.
Elle s’agenouilla sur le canapé à ma gauche et m’offrit la vue sur son sexe. De ses doigts elle écarta largement ses lèvres. Elle attira ma tête entre ses cuisses et me la plaqua contre sa vulve ravagée par le désir. Je la vis embrasser Rodolphe à pleine bouche et enrouler ses doigts autour de sa hampe.
— Oh chéri, chéri, fais-nous jouir !
Je m’activais, comme fou. Mes mains caressaient les deux fessiers si sensuels. J’avais ces deux corps pour moi. J’alternais et allais d’un sexe à l’autre. Rodolphe caressait la généreuse poitrine.
— Allez, dit-elle en s’asseyant, Rodolphe, il est à toi !
Rodolphe redescendit aussi.
Barbara m’obligea à relever mes cuisses pour les ramener sur mon ventre. Sa main partit entre mes fesses. Je sentis son majeur se glisser dans ma raie grande ouverte et ne pus retenir un gémissement de plaisir. Elle savait que j’aimais les caresses sur mon œillet lisse.
Elle suça son doigt, l’enduisit de salive et le poussa en moi.
— Je vais te le préparer et tu vas l’enculer sauvagement, n’est-ce pas mon Petit Prince ?— Tout ce que tu veux, dit-il en lui malaxant un sein.
Je gobai le second pendant que ses doigts élargissaient mon conduit. Après quelques minutes, elle me déclara apte et invita Rodolphe à me baiser. Celui-ci s’agenouilla devant moi et me saisit aux hanches. Je sentis la belle queue guidée par la main salope de Barbara, se placer contre mon œillet.
— Vas-y !
Rodolphe poussa et son gland me baisa, puis je sentis toute sa queue m’envahir. Je gémissais de plaisir. Barbara regardait attentivement la bite de Rodolphe plantée entre mes fesses.
Il se pencha pour lui gober un sein, pendant qu’elle se baisait avec les doigts. Elle se leva et posa ses pieds sur le canapé autour de moi, tournant le dos à Rodolphe. Au-dessus de moi, je le vis tendre sa langue entre les fesses qu’elle écartait d’une main.
— Oh oui, cria-t-elle, ta langue, mets-moi ta langue.
Rodolphe lapait la chatte et la raie, sans cesser de me sodomiser de plus en plus férocement. Elle se laissa ainsi dévorer un long moment. Rodolphe était endurant. Quel amant ! Soudain, Barbara plia les genoux et s’accroupit, sa chatte coulante au-dessus de mon gland qui se liquéfiait.
— Petit Prince, encule-moi aussi !
Rodolphe sortit de moi et je sentis qu’il la pénétrait. Les yeux de Barbara s’agrandirent au fur et à mesure que la queue l’embrochait. Elle effleurait mon gland avec sa chatte qui coulait sur moi. Rodolphe se cramponnait à ses hanches. Le balancement de sa généreuse poitrine témoignait de la vigueur des coups de reins.
Je les entendais gémir tous les deux. Je me caressais la hampe. Mon jus dégoulinait sur ma main. Je pris un téton en bouche.
— Aaaaah, putain que c’est bon, rugit-elle en s’asseyant sur ma queue !
Je sentis, à travers la mince paroi de son corps, le gland de Rodolphe qui allait et venait. C’était divin.
Les secousses s’accéléraient.
Barbara haletait comme une chienne. Rodolphe grognait comme un forçat. Ma queue bougeait dans la chatte de ma femme.
Elle cria soudain. Rodolphe grogna aussi mais sortit de sa gaine et gicla abondamment sur moi.
Barbara se pencha avidement et lécha tout, puis me fit jouir dans sa bouche.
Ce soir-là, Rodolphe dormit chez nous.
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