Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 256 J'aime
  • 17 Commentaires

Exhib sans domicile

Chapitre unique

Hétéro
Exhib sans domicile

Cette histoire commence alors que je discute avec une amie. On parle de nos expériences sexuelles, lorsque je l’avertis de mon envie d’aller faire de l’exhib, dans l’après-midi. Elle me suggère alors d’aller sur un banc, dans un parc, habillée avec une jupe courte et un haut bien décolleté, le tout sans sous-vêtements, et de me taper le premier mec venu, qui ose s’avancer vers moi. J’accepte volontiers la demande de mon amie, et dès le début de l’après-midi, je me vêtis comme demandé.
Bien que la chaleur soit écrasante, je sors de chez moi, et je marche jusqu’au parc non loin de là où j’habite. Sur la route, je croise de nombreux jeunes hommes, tous attirés par ma plastique avantageuse, et surtout mes gros seins, qui ne demandent qu’à s’échapper de mon haut. Dans la foule de jeunes, je crois même reconnaître un ami de mon fils. C’est assez excitant de se dire qu’il va fantasmer sur la mère de son pote.
Je marche encore un peu plus, puis je passe sous la grande arche qui désigne l’entrée du parc. La balade se veut agréable, car à l’ombre sous les grands arbres, le tout entouré de verdure. Je trouve enfin un banc intéressant, qui pourra accueillir mes fesses, jusqu’à ce que je me fasse alpaguer. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’attente est longue. Il y a du monde qui passe devant moi, beaucoup regardent, mais aucun ne s’arrête. Je n’hésite pas à rehausser ma poitrine, remonter ma jupe, puis écarter les jambes. Bien que je sois à l’ombre, il fait chaud, très chaud. Si chaud que l’humidité entre mes cuisses n’est pas due à mon excitation. Mais tout cela va très vite changer.
Après quelques minutes d’attente supplémentaires, alors que le calme est revenu autour de moi, un homme s’approche. Tournant la tête du mauvais côté, je ne le vois pas arriver tout de suite. Lorsque je le remarque, il est déjà là, à quelques mètres de moi. Pour l’avoir déjà aperçu quelques fois, je le reconnais. Il s’agit d’un sans-abri qui passe son temps dans le parc.
Mon cœur bat vite, mais je dois jouer le jeu, et respecter les conditions données par mon amie. Il s’installe donc à côté de moi sur le banc, et une conversation se met en place. Il ne me saute pas dessus comme j’aurais pu le croire, à la place, il gagne ma confiance, qu’il avait déjà un peu avant cette rencontre.
Au bout d’un moment, il me parle de la vue que j’offre à tout le monde. Je lui explique donc mon côté exhib, et il semble plus qu’attiré par le sujet. Il me pose des questions, et me demande ensuite de confirmer sa conclusion, qui est que j’aime qu’on me mate nue. Avec le plus d’aplomb possible, je confirme ses dires, et c’est à ce moment-là, qu’il plonge ses mains dans mon haut, par le dessus, qu’il empoigne mes seins, et qu’il les expose à la vue de tous. Nous sommes en période de vacances scolaires, il y a donc possiblement beaucoup de monde qui peuvent me voir. De plus, ce parc n’est pas loin de chez moi, donc des proches pourraient me reconnaître.
J’ai l’habitude de l’exhib, et j’aime ce danger, je garde mon sang-froid, et fais comme s’il n’y avait aucun souci avec ce qu’il vient de faire. Il me caresse la poitrine, tout en félicitant mon courage. Je le laisse caresser mes seins, après tout, il ne fait rien de... Hmm une vague de plaisir me traverse le corps. Il vient de pincer mes tétons, d’autant plus sensible que j’ai envie de sexe depuis ce matin. Pour paraître un peu plus désintéressée, je desserre les jambes, et je prends une posture plus détendue. Il prend ça pour une invitation, et l’une de ses mains se pose sur ma cuisse, et la remonte, tandis que l’autre continue de jouer avec mes seins.
Ses doigts crasseux sont maintenant en contact direct avec mon intimité chaude, et très humide. Il me caresse, tout en continuant de me faire la conversation de façon totalement naturelle. Je ne peux plus me retenir, et de faibles soupirs de gémissements se font entendre. Il me demande si j’aime ça, et je ne peux pas lui dire le contraire. Sa main sur mes seins est alors rejointe par sa bouche. Il suce mes tétons bien durs, alors que mes soupirs se transforment en gémissements.
Ça y est, prise comme une travailleuse du sexe sur un banc, par un sans-abri, mon excitation s’enflamme. Tout en continuant son œuvre, il sort son sexe, tout aussi sale que le reste de son corps, et où l’odeur de la sueur a été rejointe par celle de l’urine. Toutefois, mes yeux ne quittent pas son membre. Aussi sale soit-il, il est surtout long, large, et semble puissant. Il lâche l’affaire avec mes seins, et pose une main derrière ma tête, pour l’approcher de son sexe turgescent. Sans d’autres mots, ma bouche s’ouvre, et son sexe s’y engouffre. Il est sale, mais je ne sais pas pourquoi, je ne peux pas m’empêcher de le sucer.
Par une suite de gestes bien pensés, il me fait comprendre de me mettre à quatre pattes sur le banc, ce que je fais. Il met mon derrière à nu, pour que chaque passant puisse avoir une vue totale de mes fesses, et de mon vagin maintenant mouillé pour d’autres raisons. Il caresse toutes ces parties à nu, sans oublier de me donner quelques petites fessées au passage. Je ne me contrôle plus, je suce son sexe comme si c’était le dernier sur Terre, lui faisant même explorer les profondeurs de ma gorge. Je sens mes seins se presser contre le banc, dont la chaleur me brûle les tétons.
Après une dernière fessée, il souhaite que je vienne sur lui pour le chevaucher. Je m’apprête à le faire, mais je vois que notre aventure a déjà attiré de la foule autour de nous. Par chance, je ne reconnais personne, mais je me dis qu’il serait mal venu qu’une de mes connaissances apprenne ça. Je n’ai pas envie qu’on raconte que je me tape les SDF, que ça retombe dans les oreilles de mon mari, ou pire encore, bien qu’excitant, qu’on se serve de ça pour me faire chanter. J’explique donc rapidement la situation à mon partenaire, et il comprend très bien. On se lève, et il disperse la foule alors qu’il m’entraîne dans les toilettes publiques.
Une fois là-bas, il m’entraîne dans une cabine, et ferme la porte derrière nous. Là je suis retournée, et plaquée contre la paroi de la cabine. Son gros sexe, maintenant nettoyé par mes soins, s’enfonce d’une traite dans le mien, me faisant pousser un lourd gémissement. Une main sur ma taille, l’autre se saisissant d’un de mes seins, il me baise sauvagement, et brusquement. Il ne doit pas avoir l’occasion de faire ça si souvent, alors il se déchaîne sur moi. C’est bon, mon Dieu que c’est bon ! Maintenant que je me sais un peu à l’abri, je ne retiens plus ma voix, et je gémis aussi fort que j’en ai envie. A chaque fois que je lâche un cri plus fort que les autres, il m’assène une fessée qui me fait crier encore plus.
Après un long moment de sexe intense, notre plaisir n’est toujours pas terminé. Il m’assoit, non pas sur le cabinet des toilettes, mais directement sur le réservoir de la chasse d’eau. Le fait que je sois un peu plus surélevée que lui, lui donne tout le loisir de téter mes seins comme un nouveau-né, tout en pilonnant mon intimité sans vergogne. Sous ses puissants coups, je bouge, et je sens petit à petit le levier de la chasse d’eau me rentrer dans l’anus. Je ne tiens plus, et je pousse un orgasme tonitruant et sincère. Il passe alors ses mains sous mes fesses, tirant une partie de la chasse d’eau au passage, et m’assoit cette fois-ci sur le cabinet. Il se masturbe devant moi, et éjacule une énorme quantité de sperme, qui recouvre à la fois mon visage, et ma large poitrine.
En plus d’être exténuée, pas encore remise de mon orgasme, je suis souillée par cet homme qui n’est pas le mien. Tout en se rhabillant, il me remercie pour cette séance de sexe. Je le remercie aussi, bien que plus faiblement, assis comme une fille saoule sur le cabinet des toilettes. Il sort en premier, chassant les curieux, et me ramène gentiment de quoi m’essuyer. Une fois à peu près présentable, nous sortons des toilettes, et il me raccompagne jusqu’à l’entrée du parc, pour éviter à n’importe qui de venir m’importuner. Les quelques minutes en sa compagnie, passent et repassent dans ma tête, le long du trajet jusque chez moi. Je me demande si nous nous reverrons. Je ferais peut-être mieux de retourner au parc pour m’en assurer...
Diffuse en direct !
Regarder son live