Je vais passer la pause de midi à l’hôtel avec mon amant. Les températures sont légèrement fraîches aujourd’hui et cela fait pointer mes tétons en permanence, et ma tenue du jour les met bien en évidence. Je m’amuse à voir le regard des hommes que je croise en marchant sur le trottoir. Pour l’occasion, et sur ses recommandations, je ne porte qu’une robe noire, près du corps, arrivant à mi-cuisses, une ceinture à la taille, des bas noirs et des bottillons noirs à talons, sans rien d’autre. J’arrive à l’hôtel et connaissant déjà le numéro de chambre, je monte à l’étage à la chambre dix-sept. Je le retrouve dans la chambre et sans préliminaires, je suis à ses genoux à lui sortir sa bite que je veux savourer sans plus attendre. Et nous baisons... C’est une séance de baise très intense qui vient de se dérouler, avec une multitude d’orgasmes clitoridiens, vaginaux et même une jouissance anale sous la douche. Mais il est temps de retourner au travail et encore une fois je vais être en retard.
Au boulot, j’ai déjà eu des avertissements à cet effet, j’espère que personne ne remarquera mon arrivée tardive. J’arrive avec vingt-cinq minutes de retard, je me fais discrète et je rejoins mon bureau sur la pointe des pieds. Je suis fatiguée par ma partie de jambes en l’air, mais paradoxalement je suis encore excitée. Je n’arrive pas à me concentrer sur mes dossiers. Malgré la douche et une toilette intime, je sens des restes de sperme de mon amant couler de ma minette. Je place un mouchoir sur mon fauteuil afin de ne pas tacher le tissu. J’utilise une lingette pour me nettoyer, je la frotte, mon clito est tout gonflé et sensible, il faut que je stoppe là. Mon bureau se trouve dans un angle, une cloison en partie vitrée me sépare du bureau de deux autres collègues, la porte est ouverte afin de pouvoir communiquer plus facilement. Je peux quand même avoir une certaine intimité, et cela me permet souvent de me connecter à un site de chat coquin en toute discrétion. Et c’est ce que je fais... Je me mets sur le chat du site et je commence à répondre aux messages. Je dialogue notamment avec l’un de mes coquins préférés, où je lui raconte mon escapade à l’hôtel. Je lui fais quelques selfies de ma tenue en direct. La discussion devient bien cochonne. J’écarte alors ma chatte avec deux doigts pour lui montrer mon clito tout gonflé et je prends une photo quand j’entends un "Oh ! Pardon !!!" Je tourne la tête, et je vois, Éric, un de mes collègues fixer du regard mon entrecuisse. Je serre les jambes d’un coup sec, lui confus quitte mon bureau en quatrième vitesse. Je me sens un peu honteuse d’avoir été surprise dans cette position, mais bizarrement, c’est lui le plus gêné des deux. Je le vois passer plusieurs fois dans le couloir, me regardant furtivement, son visage rouge écarlate trahit son émotion. Je fais part de la situation à mon internaute et nous en plaisantons. Je suis excitée et je me sens hyper-salope. Mon collègue a la quarantaine, marié et physiquement, il ne me plaît pas forcément, mais son regard pervers me titille le bas-ventre. Je poursuis ma discussion sur le chat, je dis à mon interlocuteur que j’ai envie de jouer avec mon collègue pour le chauffer. Il me conseille d’aller lui parler en remontant ma robe, la coinçant dans ma ceinture afin de lui exposer mes fesses. Je ne peux pas faire ça maintenant, il y a encore du monde et c’est pour le coup très direct. Mais j’attends le bon moment pour lui parler... Je l’aperçois dans le couloir, je décide d’aller le voir. Je lui dis de me rejoindre dans mon bureau en fin d’après-midi lorsque je serai seule pour prendre un café. Le bureau d’à côté se vide enfin de tout occupant. Les collègues partent les uns après les autres pour rentrer à la maison.
Mon collègue passe sa tête au loin, je lui fais signe de me rejoindre. Au préalable, j’ai remonté ma robe sur le haut de mes cuisses. Il arrive dans mon bureau, je l’invite à s’asseoir sur la chaise derrière mon fauteuil. Puis je tourne mon fauteuil pour lui laisser apercevoir ma chatte clairement exposée. Il voit tout de suite et il me semble hypnotisé, son regard fixant l’intérieur de mes cuisses. Je lui propose un café tout en me dirigeant vers ma machine installée sur le classeur. Je me retourne lui laissant comme seule vue ma croupe puisque je me penche dans un tiroir du classeur pour en sortir une tasse. Je tourne la tête et lui lance d’une voix coquine " ça te plaît ? ". Son sourire en coin m’indique que c’est parti pour une petite exhibition en règle. Toujours debout, je verse deux tasses de café, je tourne la tête pour lui demander s’il le veut noir. Je remonte ma robe pour lui exposer mon cul nu. J’observe sa réaction en tournant la tête à nouveau. Il n’a qu’à tendre le bras, j’ai les jambes serrées et je cambre le plus possible pour l’inciter à me tripoter. Il ne se fait pas prier, derrière moi, sa main vient se poser sur mon postérieur, qu’il caresse dans un premier temps, puis qu’il pétrit avec envie. J’ai mon portable à la main et je tente de faire quelques clichés. Il ne se gêne pas pour insérer ses doigts dans la raie de mes fesses. Je réajuste ma position et j’écarte les jambes. Lui toujours derrière moi, sa main glisse entre mes cuisses et un doigt touche l’entrée de ma chatte humide. Je me cambre davantage, son doigt me fouille la chatte. Je me retourne pour lui faire face et je m’assois sur l’angle de la table. J’écarte les cuisses et je remonte ma robe. Mon sexe rose s’ouvre et perle d’excitation. Il me caresse à nouveau la minette, son pouce tourne autour de mon clito. Il porte son gros doigt à la bouche pour goûter ma mouille puis le replace sur ma chatte trempée. J’ai les bras tendus derrière, la tête en arrière, je ferme les yeux, l’orgasme arrive. Il me fait jouir avec son pouce. Il se rend vite compte de mon émoi par mes mouvements de bassins sur son doigt... Je relève la tête et j’effleure la bosse de son jeans, je sens qu’il bande bien. Je veux voir et je saisis son membre au travers de son pantalon. Il se lève et me sort l’engin totalement en érection. Miam je vais me régaler. Je m’assois les jambes ouvertes sur mon fauteuil de travail et j’approche ma bouche de ce merveilleux sexe. Je hume le parfum qui se dégage de ce bel engin. Je prends son sexe en bouche et le pousse au maximum en l’attirant vers moi en lui tenant ses fesses. — Prends-moi bien jusqu’au fond de ta gorge, me dit-il. Son sexe vient buter au fond de ma bouche, manquant de m’étouffer. Il se retire, mais je le retiens en lui tenant encore les fesses et l’empêche de se dégager complètement. Il guide fermement son sexe avec sa main vers ma bouche qui commence à s’habituer à sa bite. Mes lèvres chaudes et mouillées le font frémir de plaisir lorsqu’elles glissent sur sa queue, que je finis par avaler de plus en plus profondément. Je la ressors et lui présente ma langue qu’il tape avec sa queue. Je me remets à l’aspirer, mes joues se creusent et il coulisse sa verge rapidement. "Une véritable petite pompe à foutre !!! J’ai l’impression d’avoir mon sexe dans une ventouse" qu’il me dit. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il n’en peut plus et je pompe avec vigueur. Il ne peut s’empêcher de se décharger en de longs jets de foutre que je m’empresse d’avaler rapidement tout ce que je peux. Du sperme et de la bave dégoulinent sur mon menton, il me regarde les yeux révulsés.Il quitte mon bureau satisfait, je lui fais un clin d’œil. Je sais qu’il y aura plus dans un futur proche... Vivement que je raconte tout à mon chéri. Je range vite mon bureau, je rentre à la maison, et je suis toujours aussi excitée... J’allais sortir, le nouveau patron m’interpella et dit qu’il désirait me voir dans son bureau à la première heure le lendemain.
