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Exhibition avec l'infirmière à domicile

Chapitre unique

Divers
Depuis quelques jours, une infirmière passe à la maison pour faire le pansement que j’ai au pied. J’ai subi une opération début juillet sous le pied, il faut donc des soins réalisés par une infirmière. J’habite dans un village dans le sud de la France.
Non loin de mon domicile, il y a un cabinet médical, et un office avec trois infirmières qui se partagent le secteur en faisant des tournées. Après plusieurs jours, par décision du chirurgien, les infirmières ne peuvent venir que deux fois par semaine. Vendredi, je vois l’infirmière Hélène, à qui j’ai dit d’entrer sans sonner, se présenter avec une jeune femme.
— Bonjour, je vous présente Judith. Elle travaille à l’hôpital, mais veut devenir infirmière libérale, me dit-elle.— Pas de problème... Bonjour Hélène, bonjour Judith, dis-je.
Judith est plus grande que sa collègue, cheveux châtains clairs attachés par une tresse. Ses yeux foncés contrastent avec la peau claire de son visage.
— Il fait frais dans la maison, dit Hélène en me suivant vers la salle de bain.
Elle doit laver mon pied avec un savon spécial et ensuite faire le pansement.
— Oui c’est vrai, je ferme les volets pour garder la fraîcheur de la nuit dans la maison.— Vous avez raison, répond Judith qui nous suit pour voir les opérations à faire. Sa voix est douce et claire.
J’ai une baignoire, donc je m’assois sur le bord avec les pieds dedans. Hélène se met au bord, attrape le pommeau de douche, lave mon pied. Durant ce lavage du pied, je peux voir dans son décolleté qu’elle a de petits seins charmants longs tétons. Judith est debout à côté de moi, très proche comme si elle voulait me retenir pour que je ne tombe pas.
Je tourne la tête vers elle, son regard est baissé vers Hélène, je suis sûre qu’elle peut elle aussi voir le décolleté et mater les seins nus. Et je ne me trompe pas, sa bouche est entrouverte, sa respiration est un peu rapide et surtout elle a les bras croisés sous sa poitrine avec un pouce qui caresse un téton sur son tee-shirt. Cela dure tout le temps qu’Hélène met pour laver et rincer le pied.
— Voilà c’est propre, dis-je quand Hélène termine de m’essuyer le pied.
Judith cligne plusieurs fois des yeux avant de sortir de la salle de bain. Le temps de remettre une chaussure spéciale qui permet de ne pas poser les doigts de pieds, mais que le talon, les deux infirmières préparent les compresses, bandages et ruban adhésif pour le pansement. Je suis assis dans un fauteuil et Judith commence à passer une crème cicatrisante.

— Tu vois, lui dit Hélène se tenant derrière elle en pointant son doigt la plaie commence à se refermer, à bourgeonner sur les bords.— Oui oui je vois, répond Judith.
Mais elle ne regarde pas que ça. Elle passe lentement une compresse autour de la plaie, prend du temps, trop de temps pour un simple pansement. Je regarde son visage tourné vers moi et ses yeux posés sur mon short.
Je sais qu’en m’essayant, il est remonté sur ma cuisse, le caleçon tiré sur le côté. Je remue sur le fauteuil en prétextant prendre une meilleure position, mais c’est pour que Judith puisse en voir un peu plus. Et c’est gagné, un testicule glisse hors du caleçon.
Je vois qu’elle passe sa langue sur ses lèvres. Je pose une main sur mon ventre, avec un doigt je fais des cercles autour du nombril avant de l’enfoncer. Judith se mord les lèvres. C’est excitant et je commence à l’imaginer nue face à moi en train de se caresser, ma bite se tend. Le pansement est terminé, le bandage posé, mais Judith continue de me tenir le pied par le gros orteil qu’elle caresse doucement.
— Ne t’endors pas ! dit Hélène qui avait aussi le regard tourné vers moi, vers mon short. Nous avons encore quelques patients à voir avant midi.
Judith se mit debout rapidement, range les boîtes dans le sac avant de se diriger vers la salle de bain.
— La semaine prochaine Judith ne sera pas là, alors Juliette viendra seule pour les soins. Je sais qu’avec elle vous serez en de très bonnes mains, me lance Hélène en faisant un clin d’œil, un petit sourire aux lèvres.
Dix jours plus tard, la troisième infirmière entre, Chantal, accompagnée de Judith.
Contrairement à ses collègues, Chantal n’est pas aussi expressive. Elle est plutôt stricte, un peu sévère même. Judith n’a pas la même attitude que les visites précédentes. Elle se tient en retrait, regarde de loin ce que fait Chantal qui travaille de façon ordonnée, méthodique.
Les soins et le bandage sont faits en sept minutes. Pas un mot n’a été échangé, pas un regard. A leur départ, Judith m’a fait un petit signe de la main en guise d’au revoir.
— Je reviendrai jeudi, dit Chantal d’une voix autoritaire.— D’accord, réponds-je en les regardant sortir.
Je les regarde s’éloigner, Chantal marche d’un pas rapide et assuré, presque au pas militaire. Judith la suit en allongeant le pas, elle tourne la tête dans ma direction, plaçant sa main contre sa joue avec le pouce et le petit doigt tendu en signe de téléphone.
Elles montent dans la voiture et disparaissent. Je retourne à dans la maison, ppffff... comment l’appeler sans son numéro. Je m’occupe dans la maison. Mes journées sont rythmées par la visite de l’infirmière, lecture, ménage, rendez-vous à l’hôpital avec le chirurgien et l’infirmière-chef pour contrôler la guérison de mon pied.
Je repense à Judith lors de sa dernière visite avec Chantal. Elle portait une jupe courte bleue à fleurs et un chemisier blanc. Elle était... elle est sexy et attirante.
Même si la visite n’a pas duré longtemps, j’ai vu et constaté qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses tétons se dessinaient sous son chemisier, c’était excitant. Ce qui l’était encore plus, c’est qu’elle se tenait debout, la hanche contre la table. Un bras sous sa poitrine et l’autre tendu devant elle.
Nos regards se sont croisés puis j’ai vu sa main se poser en coupe sous son sein, le pouce en contact avec le téton. L’autre main sur son pubis, les doigts faisant des cercles, tendus vers son intimité. De temps en temps elle se mordait la lèvre, fermait les yeux. En repensant à cela, en imaginant le plaisir qu’elle prenait, je commence à bander.
Je m’installe dans le fauteuil, je fantasme sur ses gros seins, sur son petit cul, sa fente nue sous la jupe. Je range des papiers au bureau, ouvre le courrier, jette les publicités. Je trouve dans le tas de lettres un morceau de papier plié. Un numéro de téléphone, une adresse mail, un prénom : Judith.
— La coquine, dis-je tout bas en rangeant le papier dans un tiroir.
Le lendemain soir, j’envoie un SMS : "bonsoir, merci pour le numéro ! Prête pour la visite de demain ?"Sa réponse arrive aussitôt : "bonsoir, oui prête ! J’ai hâte."
Nous avons encore échangé quelques messages. Ma nuit fut agitée, difficile de dormir, des rêves, des images, des fantasmes ont morcelé mon sommeil. Je me suis réveillé en sueur et en érection. Après une douche rafraîchissante, je prends une photo que j’envoie à Judith. Je reçois un message quelques minutes plus tard :"Ne chauffez pas trop... Chantal sera là !"
11h45. Chantal et Judith entrent. La situation est la même que lors de la visite précédente : Chantal fait le pansement de manière efficace et stricte. Pas de perte de temps en bavardage. La visite n’a duré que cinq minutes. Vite fait, vite expédié. J’ai eu le temps de voir Judith vêtue d’un legging bleu avec tee-shirt et veste en jean. J’ai envoyé un message à Judith... sans réponse.
Je passe la semaine à faire des activités dans la maison. La plaie sous le pied est bientôt cicatrisée, il ne reste qu’une petite trace rouge. Je me rends à l’hôpital pour un dernier rendez-vous avec le chirurgien. Je revois l’infirmière en chef Sophie et... Judith.
— Bonjour, dis-je aux personnes présentes. Puis je me tourne vers Judith :
Vous avez disparu, je vous ai envoyé des messages, mais sans réponse !
— Oui je sais, je suis désolée, rassurez-vous tout va bien, je vous réponds bientôt, dit-elle en sortant du bureau.
Je me trouve maintenant seul avec l’infirmière-chef. Une fois la porte fermée, elle se jette sur moi allongé sur la table d’examen. Elle m’embrasse, sa langue se mêle à la mienne, elle l’aspire.
— Je suis encore chaude... bouillante, me dit-elle en arrachant presque sa blouse.
Elle est nue dessous. Sa poitrine lourde aux aréoles tombe sur son ventre. Elle m’attrape la tête et la plaque entre ses deux seins. De l’autre main, elle tire sur mon tee-shirt, déboutonne mon pantalon. Ma bite est déjà raide et dure. Le contact avec sa main est comme un signal.
Tout va très vite. Elle quitte son pantalon sous lequel elle ne porte pas de slip. Je suis allongé avec le pantalon sur les chevilles. Sans attendre elle grimpe sur la table et se positionne tête bêche. Sa grosse touffe de poils laisse apparaître son clitoris et ses grandes lèvres humides. Je donne un petit coup de langue sur son bouton, elle lâche un petit cri avant de s’asseoir sur mon visage.
Elle roule son bassin, cambre les reins, joue avec le bas de mon visage contre et dans son intimité. Je suis rapidement couvert de cyprine. Elle râle, crie, gémit. Son souffle rapide et court est l’opposé du mien coupé par la pression de son sexe sur ma bouche et mon nez. Je prends ses fesses à pleines mains, je les claque. Elle répond à mon geste en giflant ma bite, en décalottant avec force le gland. Encore quelques mouvements de sa fente sur mon visage et je reçois son jus dans la bouche et sur le visage.
Elle vient de jouir sur moi. Elle se laisse tomber sur mes cuisses. Je vois ses fesses écartées avec l’anus qui frétille encore, les poils collés. Elle se tourne et vient m’embrasser. Ma bite toujours dressée frotte son bouton et la raie de ses fesses.
— On nous écoute ! dit-elle en posant un doigt sur ma bouche en guise de silence.
Elle se lève, se dirige à côté de la porte vers le coin caché par un rideau comme celui utilisé dans les chambres pour séparer les lits. Quelques secondes passent... une minute, puis deux. Je vois Sophie sortir de derrière le rideau en tenant une main dans la sienne. Elle s’avance accompagnée de... Judith. Je suis surpris de la voir ici.
Elle porte un pantalon blanc en toile avec le bouton à la ceinture défait, une veste blanche ouverte sur ses seins de la taille d’un pamplemousse. Les petites aréoles encerclent des tétons qui pointent.
— Regarde qui va là, dit Sophie en prenant Judith par la taille et la poussant vers moi.— Oui je vois... notre infirmière préférée ! Je tends le bras pour attraper sa main, mais elle refuse mon geste et passe ses bras autour de son ventre. — Non, fit-elle de la tête. Sophie se rapproche et monte sur moi.— Tu ne sais pas ce que tu perds, lui dit-elle en m’embrassant.
Judith reste debout à côté de la table puis va s’asseoir sur le bord du bureau. Je caresse le dos, les fesses de Sophie qui me répond en bougeant son corps contre le mien, et frottant son entrecuisse sur ma bite à nouveau raide.
Le gland humide glisse sur sa fente aux lèvres gorgées de sang. Judith commence à se caresser le ventre, les seins dont elle pince les tétons, les prend à pleines mains. Je constate que ses mains bougent en même temps que les miennes et sur la même partie du corps de Sophie. Je passe une main entre les cuisses de ma partenaire, Judith glisse une main dans son pantalon.
Je claque les fesses, elle gifle les siennes après avoir retiré le pantalon. Je vois alors ses fesses nues pour la première fois. Son cul est bandant, excitant, des fesses rondes et petites avec une profonde raie où je peux voir le petit trou sans les écarter. Son sexe totalement rasé laisse voir une chatte aux lèvres qui pendent.
Elle nous mâte tout en s’exhibant. Sophie s’empale avec rage sur ma bite qui s’enfonce en elle d’un seul coup. Judith s’est allongée sur le bureau et introduit plusieurs doigts dans sa chatte humide et luisante de mouille. La pénétration de ses doigts en elle et de ma bite dans Sophie est synchronisée au même rythme. Les seins de Sophie dansent au-dessus de mon visage, je les embrasse.
Judith a remonté ses genoux sur sa poitrine pour s’ouvrir davantage et introduire maintenant tous ses doigts jusqu’à la dernière phalange en elle. Son autre main pince, branle son clito. Les deux femmes râlent en même temps, gémissent à l’unisson. Judith étouffe un cri quand elle sort ses doigts de son sexe et expulse plusieurs jets puissants qui viennent nous éclabousser.
C’est le moment où Sophie s’empale une dernière fois avec force et violence sur ma bite et jouit sur moi. Je sens ma bite écrasée en elle, son bassin donne des coups de reins violents. Elle s’écroule sur moi en soufflant.
— Arrête de me chauffer comme ça, me dit-elle entre deux respirations.
Judith est toujours allongée sur la table, les jambes dans le vide. Je vois sa chatte ruisselante, humide, ses cuisses mouillées. Une main sur son ventre, un doigt qu’elle lèche, qu’elle suce en me regardant. Je fais un mouvement de tête à Sophie pour qu’elle regarde.
Elle sourit et descend de la table, s’approche de Judith et l’embrasse. Puis elle la relève et lui demande de se mettre à genoux, cuisses écartées, elle s’exécute. Sophie me fait signe d’approcher. Ma bite est encore couverte de sa mouille, le gland décalotté. Elle m’embrasse.
— Tu me laisses faire, me dit-elle en attrapant ma bite.
Elle la caresse, passe sur les couilles, me branle doucement. L’autre main tient la tête de Judith par les cheveux tirés en arrière.
— Ouvre la bouche et sors ta langue, lui ordonne-t-elle.
Elle me branle au-dessus de son visage, parfois les testicules cognent contre son menton. Sophie approche son visage, la langue qu’elle frappe avec ma bite.
— Ferme ta bouche, lui dit-elle quand elle pose le gland sur la langue de Judith.
Avec sa main, elle tire la tête vers ma bite, puis recule pour ne faire entrer que le gland. Je sens sa langue tourner autour du gland, glisser dans le méat.
— Ne pousse pas ! me dit Sophie quand j’avance le bassin pour m’enfoncer au fond de cette bouche chaude et soyeuse.
Judith se caresse les seins et pince les tétons d’une main, l’autre s’agite entre ses cuisses. Sophie me branle plus fort et plus vite, je commence à gémir, à souffler. Judith ne me quitte pas du regard, c’est comme un affrontement contre celui ou celle qui tiendra le plus longtemps.
Elle lâche de petits par sa bouche entrouverte sur le gland. Lorsqu’elle referme ses lèvres pour me téter la bite, je sens mes couilles se contracter, je projette le bassin en avant. Sophie appuie la tête de notre partenaire sexuelle vers moi pour que j’explose au fond de sa gorge.
Elle ne repousse pas cette pénétration violente, au contraire, elle se redresse sur ses cuisses, plaque ses mains sur mes fesses et m’attire plus fort vers elle, plus loin dans sa bouche et sa gorge. Je sens mon sperme couler en elle, je la vois avaler le jus avant de recracher mon sexe. Sophie se baisse et l’embrasse. Elles se relèvent, on se rhabille sans un mot.
— La visite est terminée, tout va bien ! lance Sophie, vous pouvez rentrer chez vous, ajoute-t-elle.
Je quitte le bureau avec regrets, en tournant une dernière fois la tête. Judith ferme la porte derrière moi en me faisant le signe du téléphone avec sa main et articulant : "je t’appelle."
Sur le chemin du retour, je m’arrête au bureau des infirmières pour leur annoncer la nouvelle. Puis je rentre chez moi heureux.
Dimanche en fin d’après-midi. On sonne à la porte. Judith est là, une bouteille à la main.
— Ooohh... bonsoir dit-elle avec surprise en me voyant avant de m’offrir la bouteille, pour fêter ta guérison, finit-elle par dire.— Bonsoir, réponds-je un peu étonné... pour ma guérison ?
Elle me sourit, me regarde de la tête aux pieds et entre dans la maison.
— Oui, dit-elle simplement. Elle s’avance dans la pièce comme si c’était chez elle.— Pourquoi tes collègues ne sont pas là si c’est pour ma guérison ? je demande en m’asseyant.
Elle s’avance vers moi d’un pas lent, faisant rouler ses hanches sous sa robe légère. Son haut court à fines bretelles dévoile en partie sa poitrine. Elle est debout à quelques centimètres devant moi. Elle pose une main sur ma tête, puis la joue, le torse et enfin les deux mains sur mes cuisses.
— Tu accueilles toujours tes invités en caleçon ? demande-t-elle.
J’esquisse un petit sourire.
— Uniquement le dimanche en fin d’après-midi... lorsque l’invitée apporte une bouteille.
Elle me rend mon sourire avant de s’asseoir à califourchon sur mes cuisses.
— Et si cette invitée n’est pas là pour boire, mais pour autre chose... de plus violent ! ajoute-t-elle en m’attrapant par les cheveux et tirant ma tête en arrière.
Le ton de sa voix est plus dur. Nos visages sont séparés de quelques millimètres. Je vois du désir dans son regard, de la rage aussi.
— Alors elle doit respecter l’hospitalité sinon elle sera punie.
Je l’attrape et la soulève par les hanches. Je la plaque ensuite face contre la table. Je commence à lui fesser le cul nu, elle se débat sans trop de résistance. Après plusieurs coups sur ses fesses, elle tend les bras pour attraper le bord opposé de la table. Sa robe ne cache rien de ses fesses ni de sa fente humide. Son haut est remonté sous le cou. Sa poitrine est écrasée sous son propre poids.
— Qu’attends-tu pour me punir alors ?! dit-elle en me regardant par-dessus son épaule...
J’arrache sa robe qui ne tient que par un bouton, elle tire sur son haut. Je me place derrière elle. Avec ma bite je frappe sur ses fesses, glisse le bout humide dans sa raie et contre sa fente.
— Huummmm... ne me fais pas languir ! gémit-elle.
Je frappe sur ses fesses avec ma bite, puis du plat de la main. Elle projette son corps en avant écrasant alors son clito contre le bord de la table, trémousse son cul et crie. Puis une seconde fois, puis encore. A chaque coup, je vois son anus se contracter.
— Vas-y t’arrête pas... continuuuuuue, crie-t-elle.
Je pose le bout de ma bite humide contre sa fente. Je le frotte sur toute la hauteur en appuyant sur le clito sorti de son capuchon. En appui sur ses coudes, Judith se caresse les seins, se pince les tétons. L’autre main glissée entre ses cuisses titille son bouton. Je pousse lorsque mon gland écarte les lèvres gorgées de sang de son sexe. Judith pose une main sur mon ventre pour arrêter la pénétration. Elle me fait signe de négation de la tête
— Pas tout de suite, dit-elle.
Elle attrape la base de ma bite et la frotte entre ses fesses. Une fois placée, je pousse doucement, mais ça n’entre pas.
Elle écarte un peu plus les jambes, cambre davantage les reins. Je récupère de son jus intime sur le bout de ma bite et recommence, nouvel échec. J’entends Judith souffler. Je me mets à genoux, j’embrasse ses fesses, puis sa fente humide. Ma langue joue avec son bouton, passe sur son sexe puis remonte vers son anneau plissé. Je dépose de sa mouille, je salive sur cet orifice brun.
Je passe autour de son trou avec le bout de la langue, puis je l’enfonce. En même temps, je caresse son clito, je le pince avant d’enfoncer deux doigts en elle. La pénétration de mes doigts dans son sexe et de ma langue dans son anus est simultanée. Elle gémit, elle remue du cul, elle tend ses fesses vers moi pour que ma langue s’enfonce plus loin.
Elle tend le bras pour appuyer sur ma tête et accentuer l’intrusion dans son fondement. Son anus s’ouvre de plus en plus. Je lèche sa raie et sa fente sur toute la hauteur, au passage je prends un peu de son lubrifiant naturel pour le poser sur son anus qui s’ouvre et se contracte.
— C’est bon maintenant... je suis prête, dit-elle en dirigeant ma bite contre son orifice anal.
Je pousse, le gland est entré avec une petite résistance. Elle respire fort et lentement.
— Attends ! gémit-elle.
Je sens les muscles de son anus se contracter sur mon gland tout entier en elle. Ses mains agrippent le bord de la table, elle cambre encore les reins, me regarde par dessus son épaule avant de faire un signe de la tête m’autorisant à poursuivre.
Je pose mes mains sur ses fesses pour les écarter un peu plus et je m’enfonce en elle d’un seul coup. La pénétration est lente avec quelques arrêts pour que Judith s’habitue à la taille de ma bite. L’air expulsé par sa bouche permet de vider sa cage thoracique, pensant ainsi que ça fait plus de place pour la remplir par-derrière.
Une fois au fond tout entier en elle, Judith remue des fesses. J’attrape ses hanches et je ressors. Le bord de son anus fait comme ventouse sur ma bite, puis je m’enfonce à nouveau. Son trou s’élargit à chaque va-et-vient, la pénétration devient plus facile et plus rapide. Je sens sa main caresser mes boules quand je suis contre sa fente.
Elle pousse un petit cri à chaque fois. Elle monte sur la table à quatre pattes et se met en position grenouille.
— Vas-y plus fort maintenant, ordonne-t-elle.
Son clito long et dur frotte contre le bord de la table, sa fente dégoulinante de mouille, son anus ouvert et boursoufflé. Je pointe ma bite tendue sur son anus et je m’enfonce d’un coup avec force. Son souffle est coupé, aucun son ne sort de sa bouche.
Une main sur sa hanche, l’autre sur son épaule, je pénètre son cul encore plus vite et plus fort. Ses seins, son corps tout entier se frottent contre la table. J’imagine alors son clito qui heurte le bord de la table à chaque coup de reins, à chaque pénétration.
— Vas-yyyyyyyyy crie-t-elle plus foooort.
J’écarte ses fesses au maximum, je pèse de tout mon poids sur elle pour essayer d’aller encore plus loin dans son anus maintenant dilaté. Parfois je décule complètement pour le voir ouvert quelques instants puis je pénètre avec brutalité. Mon pubis claque contre ses fesses, mes boules frappent contre son clito.
Elle râle une dernière fois quand je vois son corps se crisper, sa respiration s’arrêter avant de jouir, sa chatte expulse plusieurs jets qui m’éclaboussent le ventre. Mais je continue à la pénétrer dans le cul, tout son entrecuisse est mouillé, ça fait des clapotis quand son corps frappe sur la table, quand je m’enfonce en elle avec encore plus de rapidité. Ses pieds ne touchent plus le sol, tout son corps tremble, ma bite est serrée, écrasée dans son anus. Je la retourne à plat dos et je monte sur la table.
Elle gémit, sa respiration est encore rapide et courte. Je me place entre ses cuisses, la bite dressée face à sa chatte. J’embrasse sa poitrine, pince les tétons entre les dents. Mon gland frotte contre son clito. Elle croise mon regard, glisse une main entre nos corps et attrape ma bite. Elle se frotte l’entrée de son sexe, remue un peu le bassin.
Elle me sourit, fait un léger mouvement de tête pour me donner son accord. Je pousse et m’introduis en elle. Sa chatte est si lubrifiée, le trou tellement ouvert qu’il n’y a aucune résistance, aucun arrêt. Elle ouvre les yeux quand je suis au fond. Elle serre ses jambes autour de ma taille. Je commence un va-et-vient lent et régulier. Je sens ses jambes m’attirer vers elle pour aller plus loin et plus profond en elle.
J’accélère, elle plante ses doigts dans mes fesses pour m’insister à continuer. On roule sur la table et je me trouve sous elle. Sa poitrine aux tétons durs pendant au-dessus de ma bouche. Elle me chevauche avec rapidité. Elle se branle le clito en même temps. Une fois assise complètement sur moi, elle remue son bassin d’avant en arrière pour sentir ma bite en elle.
Nos corps se frottent, transpirent, se collent. Je regarde ma bite couverte de cyprine à chaque sortie, une écume blanche apparaît autour et à l’entrée de son sexe. Un liquide translucide sort de sa chatte avant qu’elle ne plaque avec forces ses jambes contre les miennes, je sens ses muscles vaginaux se contracter sur ma bite.
— Oooohhhhh oouuiiiiiiii crie-t-elle en jouissant.
Je continue à m’introduire en elle pendant sa jouissance, je suce ses seins. Un dernier coup de reins sur ma bite avant de s’écrouler sur moi. Il lui faut plusieurs secondes avant d’avoir une respiration plus calme et plus lente.
— Merci, me dit-elle au creux de l’oreille. — De rien, répondis-je, je te dirai merci quand...— Quand quoi ? demande-t-elle.
Je la regarde, puis ma bite encore dure et couverte de mouille, puis elle à nouveau.
— OK, articule-t-elle glissant au bas de la table. Je sens ses mains caresser ma bite, les couilles.
La caresse est facile et rapide tellement mon sexe est lubrifié. Elle se met à genoux sur le carrelage. Je m’assois sur le bord de la table. Je revois l’image à l’hôpital avec Judith à genoux devant moi et Sophie qui me masturbait.
Elle lèche le gland, les couilles puis enfonce ma bite au fond de sa bouche. Sa langue lèche la tige dure, le gland. J’appuie sur sa tête pour m’enfoncer plus loin encore. Je touche le fond de sa gorge, elle déglutit, de la salive coule sur son menton, ses seins. Elle recrache ma bite avant de la prendre entre ses lèvres.
J’attrape sa tête, en utilise sa bouche comme un sexe, mes couilles venant frapper son menton. Elle ne me repousse pas, au contraire, elle agrippe mes fesses et m’attire vers elle pour que je la pénètre encore plus loin dans sa gorge.
Après plusieurs minutes de cette fellation, je sors de sa bouche et me branle au-dessus de son visage. Judith sort la langue que je frappe avec le bout de ma bite. Elle se caresse les seins et son sexe. Mes couilles contractent, je sens des fourmis dans mon sexe et je crache sur ses joues, sa langue. Elle prend ma bite en bouche pour récupérer les dernières gouttes.
Elle se redresse, on s’embrasse.
— Merci, dis-je.— J’espère que la bouteille est encore fraîche, répond-elle.
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