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Exhibition en famille

Chapitre 2

Relations exhibitionnistes entre sœurs

Inceste
Notre séjour à Rome contée dans le Chapitre 1 qui a permis la redécouverte mutuelle de nos corps entre ma belle-sœur, Julie, et moi, avec approbation explicite de ma femme Mylène aurait pu s’arrêter là, mais le dernier jour de notre séjour a perturbé passablement les conditions de notre retour en France après l’éruption d’un volcan au nom imprononçable en Islande bloquant tous les avions au sol et nous obligeant à improviser de nouveaux moyens de transport entre le train jusqu’à Nice, puis la voiture de location jusqu’à chez nous, Julie ayant insisté pour revenir le plus tôt possible, ne voulant pas perdre de journée de travail.
Dans nos pérégrinations de voyage retour, nous avons été contraints de passer une nuit à l’hôtel à Nice, les traîns de nuit de la SNCF étant malheureusement bloqués, à la suite d’un mouvement de grève. C’est donc très tard que nous avons commencé nos recherches d’un hôtel avec deux chambres disponibles. Nous étions loin d’être les seuls ce soir-là à se voir opposer le panneau « complet » à l’entrée de chaque établissement. C’est donc par obligation qu’à 1H du matin passé, nous avons finalement accepté la dernière chambre dite « exécutive » de 35m² avec lit « king size » d’un grand hôtel non loin de la gare malgré le prix élevé pour une courte nuit !...
Le réceptionniste s’est un peu étonné que nous ayons pu accepter cette dernière chambre à un seul lit, certes très grand, mais à partager en trois. C’est Mylène qui a tenu à lui répondre sèchement que nous n’avions pas d’autre choix si nous voulions nous reposer un peu que de nous serrer sous la couette et que si elle acceptait de partager son mari avec sa sœur, cela ne le regardait pas !
C’est donc dans la perspective de pouvoir réaliser mon fantasme absolu de baiser ma femme et sa sœur en même temps que je suis entré dans la chambre à leur suite. Mylène était si vannée qu’elle s’est allongée en travers du lit toute habillée et n’a pas tardé à s’endormir. Julie m’a demandé si cela ne me dérangeait pas de prendre un bain réparateur en premier, je lui ai dit que vu le temps qu’il restait pour nous reposer, il vaudrait mieux qu’on le prenne ensemble, cela nous ferait gagner du temps. Nous avons bien sûr fini par baiser finalement sous la douche, elle, les pieds posés sur les rebords du receveur pour faciliter l’intromission de ma bite dans son vagin placé ainsi à ma hauteur. C’est avec l’eau coulant sur nous que nous avons copulé une nouvelle fois et que j’ai fini par décharger en elle.
De retour dans la chambre, Julie m’a proposé de l’aider à déshabiller sa sœur pour la coucher ensuite entre nous. J’ai fini par rebander quand elle lui a soulevé le bassin pour faire glisser sa culotte et caresser au passage son minou en me regardant avec ce sourire toujours aussi espiègle. Une fois ma femme entièrement dénudée, sa sœur m’a demandé depuis combien de temps je ne l’avais pas baisée. Interloquée par ma réponse de presque 10 ans, elle m’a proposé de m’aider à le faire ce soir-là, si j’en avais toujours l’envie !
C’est donc bel et bien à deux que nous avons caressé ma femme pour tenter de lubrifier à nouveau son vagin. N’y parvenant pas, Julie est finalement allée chercher du lubrifiant et un gode dans son Vanity et s’est elle-même chargée de l’introduire dans sa sœur avant d’allumer la fonction vibro tout en lui pressant le clito entre deux doigts. Je lui ai présenté mon sexe à sucer qu’elle a accepté, me laissant le soin de rythmer mon introduction. Quel tableau et quel pied !
Elle s’est positionnée ensuite en 69 sur sa sœur la vulve posée sur sa bouche pendant qu’elle continuait de me pomper le dard. Elle a ensuite brouté le minou de Mylène pour s’assurer qu’elle était assez ouverte et prête à me recevoir. C’est avec un bonheur intense que j’ai retrouvé la chaleur intime de ma femme enveloppant ma queue. Julie a tenu à ce que régulièrement, j’investisse sa bouche pour qu’elle puisse se délecter des liqueurs suaves de Mylène.
A ce rythme, ma femme a fini par sortir de sa torpeur, mais avec la vue toujours obstruée, cette fois par le fessier de sa sœur. Elle n’a pas eu l’occasion de réagir verbalement ayant la vulve rasée de Julie en contact avec sa bouche. C’est quand j’ai perçu dans le regard de sa sœur qu’elle jouissait à nouveau que j’ai compris que Mylène utilisait sa langue à d’autres fins que d’exprimer sa stupeur face à la situation dans laquelle elle se trouvait. J’ai alors redoublé mes mouvements de pénétration pour enfin retrouver ses suppliques que j’avais fini par oublier :
— Ohhh ! Ouiii ! Chéri, que tu es bon. Baise-moi à fond !— Voilà, tu vas en prendre un max comme tu l’as toujours réclamé !— Oh ouiii remplis-moi de ton foutre, ça fait si longtemps que j’attendais ça !— Tu n’as jamais été tentée de goûter à une autre queue pendant toutes ces années d’abstinence ?— Et bien non ! Tu vois !— Tu le regrettes ?— Aujourd’hui, oui ! Vous m’avez re-ouvert tant de perspectives durant cette semaine que je suis prête à tout, même à lécher la chatte de ma sœur comme tu vois !— La prochaine étape sera donc de prendre deux queues à la fois, alors ?— Ouiii que tu es bon chéri, continue !
— Tu voudras bien les partager avec moi sœurette ?— C’est beaucoup me demander en si peu de temps de libération de mes carcans !— Et là, maintenant, tu veux bien que ton mari s’introduise en moi sous tes yeux ?
Sans attendre sa réponse, je sors ma bite de son vagin pour faire le tour du lit et venir la coller toute gluante sur son visage. Sa langue quitte alors la vulve de Julie pour me lécher et aspirer mon gland avant de saisir ma queue de ses deux mains et de l’introduire dans la chatte de sa sœur tout en me léchant les couilles !
— Oui Julie, je crois que je suis prête à assouvir tous vos désirs à tous les deux. S’il te plaît, tète-moi le clito. Personne ne l’a jamais fait aussi bien que toi jusqu’ici !— Tu veux insinuer par là chérie qu’en dehors de moi, tu as déjà offert ton abricot à lécher ?— Si tu es aussi ouvert que tu le dis, je peux t’avouer ce soir qu’à force de me suriner d’aller voir ailleurs comment une autre queue pourrait me faire jouir, j’ai effectivement accepté que tes copains, Julie, puissent s’occuper de moi dans les toilettes lors de cette soirée en boîte où tu t’es trémoussée avec mon mari. Cela m’avait rendue si jalouse que je les ai laissés faire pour vous punir tous les deux en quelque sorte !— Mais je me souviens que tu as giflé mon copain sur la piste de danse !— Oui, effectivement, c’est ce que nous avions convenu pour donner le change et m’offrir un prétexte pour quitter les lieux.— Mais ton désir de m’imiter ce soir-là en ôtant tes sous-vêtements n’était pas alors réfléchi, mais plutôt la conséquence de tes ébats dans les toilettes, non ?— Oui, tout à fait puisqu’ils les avaient gardés et surtout utilisés pour essuyer le trop-plein de sperme qui s’écoulait de mon vagin, mon cul et ma bouche !— Alors là, chéri ! Et tu as pu garder ce secret tout ce temps ?— J’avais honte en fait de m’être conduite comme la première pute venue. Insensibilisée par l’alcool, je ne me souviens d’ailleurs pas avoir ressenti la moindre jouissance, mais uniquement d’avoir mal au cul le lendemain matin quand je suis allée rechercher les filles !— Et toi qui m’a toujours interdit la petite porte au prétexte que tu étais trop serrée pour m’accepter de ce côté-là !— Oui, mais j’ai eu si mal après que je n’ai jamais voulu retenter l’expérience !— Tu veux dire Mylène que mes trois copains ce soir-là ont abusé de toi ?— Oui, même si le mot abusé est un peu fort en l’occurrence. Et excuse-moi de les avoir un peu trop aguichés pour qu’ils en arrivent là !— aguiché sous quelle forme ? Je ne me souviens pas de t’avoir vu en faire trop ce soir-là !— J’en ai honte encore aujourd’hui 30 ans après !— Mais là, tu dois vider tout ce que tu as sur la conscience, tu te sentiras mieux après, tu verras sœurette ! — C’est très difficile à expliquer à froid ce soir alors que j’étais sous l’emprise de l’alcool ce jour-là et que beaucoup d’éléments vont paraître incohérents dans mon comportement, ne me souvenant pas précisément de la chronologie des événements qui m’ont amenée à agir ainsi, une vraie salope vous allez dire, et vous aurez cent fois raison. Je ne te mérite pas chéri. Que vas-tu penser de moi après ça, moi la mère de tes enfants comment ai-je pu accepter de m’avilir ainsi !— Je ne t’en voudrais jamais tu sais chérie, quoique tu aies fait. Tu as bien fait de te débarrasser de cette addiction qui t’a rongé jusqu’à provoquer ta dépression. Mais vas-y, vide-toi et tu seras libérée de ce poids qui t’oppresse encore aujourd’hui.— D’accord, mais laissez-moi d’abord vous caresser pendant que je tente de rassembler mes souvenirs.
Un long moment se passe pendant qu’elle glisse ses doigts de la main droite entre les lèvres intimes de sa sœur pour les écarter doucement tandis que de la gauche, elle me masturbe lentement. Nous finissons par lui rendre la pareille, Julie étirant les poils de sa toison pendant que je roule alternativement ses tétons entre deux doigts. Elle finit par ouvrir la bouche pour dire :
— Je vous aime tous les deux pour des raisons bien différentes, mais je vous remercie par avance pour votre compréhension.— Détends-toi chérie et laisse parler ta mémoire sans filtre. Tu sais, nous sommes prêts à tout entendre et nous ne te jugerons pas ensuite. Notre souci aujourd’hui est que toi, tu te sentes bien après !— Et bien voilà. Cela faisait longtemps que nous n’étions plus sortis en boîte. Tu te souviens chéri ?— Oui, bien sûr.— Alors, je me faisais une joie de t’accompagner Julie et de pouvoir faire la connaissance de tes copains.— Je t’en avais effectivement un peu parlé, mais sans aborder l’aspect sexuel de mes rapports avec eux !— C’est vrai. C’est au deuxième verre de gin-tonic et surtout après, je pense, avoir avalé tous les morceaux de gingembre confit qui l’accompagnaient en guise d’amuse-gueule que j’ai senti comme une boule dans le bas-ventre. En deux mots, une forte envie de baiser ! Nous venions d’arriver depuis moins d’une heure et je ne pouvais pas te demander chéri de me raccompagner à la maison !— Mais, tu aurais pu prétexter justement un mal au ventre !— Oui c’est vrai. Mais c’est à ce moment-là que tu m’as invitée à danser. Tu n’as pas remarqué alors comment je me frottais à toi ?— Non, je mettais justement cela sous l’effet de l’alcool et m’en réjouissais au contraire en pensant à notre retour à la maison pour une bonne partie de baise en perspective.— C’est quand j’ai remarqué que tu adorais particulièrement te retrouver avec Julie pour les slows notamment, en délaissant d’autres cavalières avec qui tu avais pu danser des rocks endiablés que j’ai commencé à être un peu jalouse.— Et tu as voulu me faire réagir en passant d’un copain de Julie à l’autre dans des danses de plus en plus lascives.— Exact. Mais j’ai - au contraire - semble-t-il alimenter ton fantasme de me voir prise par un autre mec !— oui je le confesse. Tu semblais si heureuse que j’étais de plus en plus excité à l’idée de bientôt te baiser peut-être même avant d’arriver à la maison !— Et bien moi aussi, j’étais si excitée à cette idée que je sentais mon corps comme flotter lorsque mon cavalier me faisait tourner avant de me plaquer à nouveau contre lui pour sentir sa bite dure se frotter sur ma cuisse.— Tu avais conscience que ce n’était pas la mienne qui s’excitait sur toi ?— A vrai dire, pas vraiment tant je me sentais bien. Les verres de gin et le gingembre se succédaient après chaque série de danse. J’ai d’ailleurs rapidement fini par ne plus accepter que les slows avec toi ou d’autres ne me rendant plus vraiment compte à la longue dans les bras de qui j’étais, mais avec une excitation grandissante à chaque fois. Il m’a semblé un moment percevoir des apartés entre tes copains, Julie, du genre pari à celui qui ira le plus loin avec moi. Ils se chuchotaient à l’oreille quelques mots avant que je passe de l’un à l’autre. Leurs mains se sont faites plus pressantes et plus ciblées. Ce n’est que lorsque tu dansais avec moi chéri qu’il se passait le moins de choses. Je le regrettais presque en souhaitant déjà ressentir de nouvelles palpations.— Mylène tout cela ne nous indique pas du tout comment tu as fini par devenir leur objet sexuel d’un soir. Moi aussi, j’adorais que l’on me pelote d’autant que sans sous-vêtement, les mains au cul furent nombreuses y compris celles de ton mari !— J’y viens justement. A force de boire, il m’a fallu un moment pour aller assouvir un besoin naturel !— Tu veux dire baiser ?— Mais non, même si c’en est un en effet que j’avais fini par oublier. Plus prosaïquement j’avais envie de pisser ! Vu la file d’attente devant les toilettes côté « femme », et ne pouvant vraiment plus me retenir très longtemps, j’ai demandé à mon cavalier du moment de m’accompagner côté « homme » pour me tenir la porte.— Ton entrée chez les hommes n’a pas dû passer inaperçu ?— En effet, quelques sifflets admiratifs se sont fait entendre, plutôt pour mon cavalier, je crois.— Pourquoi ?— Eh bien, parce que ne voulant pas être dérangée par d’autres, j’ai finalement accepté qu’il entre avec moi. J’étais au moins sûre que la tête d’un voyeur n’apparaîtrait pas au-dessus de l’une des cloisons ou de la porte.— Oui, mais mon copain allait être au premières loges pour te regarder pisser. Comment tu as pu accepter cela sœurette ?— Eh bien, c’est là que je demande toute votre indulgence. En plus d’avoir fortement envie d’uriner, j’étais terriblement excitée. Il m’avait tripoté longuement les fesses juste avant pendant le dernier slow et avait surtout fait rouler sa queue sur ma cuisse que j’avais en fait envie qu’il me la montre !— Et il l’a fait le salaud, j’en suis sûr comme je le connais !— Oui, mais tu sais Julie, c’est moi la fautive ! J’ai commencé par m’asseoir sur la cuvette des WC, face à lui, la culotte aux chevilles. Et je ne sais pas ce qui m’a pris chéri, mais j’ai eu envie de m’exhiber pour l’exciter.— C’est toi-là qui m’excites, chérie. Allez, raconte-nous dans le détail. Qu’as-tu fait exactement ?— Eh bien, j’ai commencé par retirer ma culotte de mes chevilles pour la lui donner tout en écartant les jambes pour qu’il voit mon minou et j’ai pissé très longuement en le fixant du regard !— Comment a-t-il réagi ?— J’ai vu sa queue durcir dans son pantalon. Et je ne sais pas pourquoi, je lui ai demandé s’il n’avait pas lui aussi envie de pisser. Il m’a répondu par l’affirmative en me demandant de l’aider à le faire !— Et tu l’as fait bien sûr ?— Je me suis d’abord relevée pour lui laisser la place. Il a alors sorti sa queue raide de sa braguette et m’a demandé de la lui tenir en faisant bien attention de viser la cuvette quand il allait pisser ! Elle était si tendue que j’ai eu du mal à la faire descendre pour ne pas arroser le mur ! Une fois terminé, il m’a demandé gentiment après m’avoir embrassé dans le cou de continuer de la tenir en main et de faire quelques va-et-vient pour soi-disant éliminer la dernière goutte ! — Tu avais déjà branlé beaucoup de mecs en dehors de ton mari, avant ?— Non, un seul, celui qui m’avait dépucelé !— Et tu l’as masturbé ?— Oui, je m’en excuse aujourd’hui chéri. Mais, j’étais comme dans un état second, toujours très excitée avec la chatte en feu. Il m’a fait asseoir sur l’abattant de la cuvette les fesses à nu. Sa queue s’est alors trouvée à quelques centimètres de mon visage. Son gland était très gros violacé. J’avais du mal de faire le tour de sa bite avec ma main. J’ai finalement utilisé les deux et son gland dépassait encore. Il doit vraiment bien te remplir Julie quand il te baise !— Oui, c’est vrai. Mais il ne t’a donc pas baisée ?— Non, mais j’ai fini par le sucer à fond et avaler son sperme pour qu’il ne m’en mette pas partout !— Tu as aimé sucer une autre queue que la mienne ?— A vrai dire, j’étais très excitée à la branler d’autant qu’il me caressait les seins pour m’encourager. Il a finalement même retiré mon soutien-gorge que tu avais dégrafé à la série de slow précédente, chéri. Il m’a alors demandé s’il pouvait le garder en souvenir avec ma culotte !— Ah le salaud ! Je comprends pourquoi maintenant, il a tenu à ce que je lui fasse cadeau de mes sous-vêtements cette nuit-là ! Mais de là à sucer à fond un inconnu dans les toilettes, il y a un grand pas à faire, au moins dans ta tête, Mylène ?— Tu as raison Julie. Mais avec ma tête embrumée ce soir-là, je pense que ce qui comptait le plus pour moi dans la situation où je m’étais mise, les seins à l’air dans les toilettes « homme » en train de branler un mec, c’était d’en sortir le plus dignement possible pour aller vous retrouver !— Tu veux nous dire que tu n’avais pas d’autre choix ?— Oui, je pense que mes capacités de réflexion du moment ne m’ont pas permis d’en trouver d’autres !— Qu’as-tu fait ensuite ?— J’ai rejoint notre table pour commander un autre gin afin de me rincer la bouche. Je me souviens vous avoir vu tous les deux sur la piste. Tu avais ta tête, Julie contre l’épaule de mon mari qui te palper allègrement les fesses. J’ai en mémoire également la vue de la table de tes copains qui me regardaient pendant sans doute qu’ils écoutaient le récit de mes exploits. Ce qui m’a choqué sur le moment c’est d’en voir un qui humait ma culotte en me faisant un clin d’œil !— Mais pourquoi ne m’as-tu pas demandé alors de rentrer à la maison ?— Vous êtes revenus à la table et je vous ai trouvé encore très émoustillés par la danse précédente. Je voulais savoir exactement ce qu’il en était entre toi et Julie et je t’ai entraîné sur la piste au moment où mon accompagnateur des toilettes est venu t’inviter Julie tout sourire en me faisant un clin d’œil complice !— Je me souviens à présent de tes questions alambiquées sur l’ambiance de la boîte de nuit. Tu voulais avoir mon avis sur le fait de danser avec plusieurs partenaires et connaître mon ressenti. Je me rappelle t’avoir demandé en retour si tu appréciais d’être dans les bras d’autres hommes et que tu m’avais répondu que tu ne t’étais jamais sentie aussi bien !— C’est vrai. De me retrouver contre toi, j’ai petit à petit repris le dessus et me suis à nouveau détendue. Tu m’as alors embrassé. De sentir ta langue après la queue de ton copain, Julie m’a rassuré. Tes mains, chéri, parcourant mon corps m’ont alors réenclenché le processus d’excitation et fait naître un sentiment de bien-être incroyable. Tu m’as même, si je me souviens bien, félicité pour mon audace de faire comme ma sœur, d’avoir ôté mes sous-vêtements ! — Oui, cela m’a même excité au point, je crois, d’avoir dans un mouvement de danse soulevé ta jupe en te demandant ce que cela te faisait de montrer ton cul nu à tout le monde !— Et j’ai dû te répondre que c’était très électrisant, de me sentir nue sous ma jupe, non ?— Oui, tu m’as parlé ensuite de l’effet produit sur ta chatte qui suintait le long de tes cuisses !— J’étais de nouveau très excitée, c’est vrai. Mais comme à la série de slow suivante, tu as tenu à danser plutôt avec ma sœur, je n’ai donc pas refusé une nouvelle invitation, même si j’ai reconnu celui qui m’avait fait un clin d’œil en reniflant ma culotte. Il a dû prendre cela comme une approbation de ma part à aller plus loin avec lui que la simple fellation avec son copain !— Tu étais donc consciente alors des conséquences de ta décision de danser avec lui ?— J’avais surtout envie que l’on me maintienne dans cet état de jouissance. Ce qu’il a parfaitement fait pendant le quart d’heure de la série. Je ne lui en ai pas du tout voulu qu’il passe sa main sous mon chemisier pour parcourir mon dos nu d’abord, mon ventre et mes seins. Sa queue dure me faisait du rentre-dedans sans équivoque et je me serrais au contraire plus fort contre lui. Il m’a embrassé ensuite le cou et enfin les lèvres... Et j’ai fini par laisser sa langue entrer. Je fermais les yeux pour mieux profiter du plaisir qui montait. Je m’imaginais, dansante nue au milieu de la piste et qu’il m’offrait au regard de ses copains !— Oh ! oui. Continue chérie, décris-moi en détail tes sensations. Tu m’excites tellement que j’aimerais que Julie me suce pendant que tu poursuis !— J’étais si bien à ce moment-là que je l’ai laissé me soulever la jupe près de la table de ses copains. Je jouissais intérieurement les yeux fermés comme dans un rêve érotique. Je n’ai pas réagi non plus quand il m’a détaché de lui pour offrir mon minou à la vue des copains, puis à leurs mains. Il m’enlaçait une main sur le ventre qui tenait ma jupe relevée et l’autre sur la poitrine qu’il avait dénudée également après avoir déboutonné totalement mon chemisier tout en m’embrassant dans le cou. Je sentais sa queue dure dans son pantalon qui se frottait à mes fesses nues. Je me laissais complètement aller tant je jouissais sous leurs caresses intimes et surtout de m’exhiber ainsi totalement à poil devant des inconnus.— Tu as l’air de revivre cette sensation, Mylène, tant tu mouilles à présent. Mais vas-y continues, laisse-toi aller complètement et fais-nous revivre la suite de ta soirée.— Je l’ai suivi sans problème ensuite quand il m’a demandé d’aller un peu à l’écart pour continuer de danser. Nous sommes finalement entrés dans une pièce sombre éclairée par une simple veilleuse où aucun couple ne dansait même si la musique était présente. Il a repris aussitôt son baiser avec ses mains baladeuses. D’entendre des feulements de plaisirs dans la pièce m’a petit à petit plongé dans un état second tel que je n’ai plus tellement eu conscience de la suite des événements. Mon chemisier et ma jupe se sont comme par enchantement envolés, le corps nu de mon partenaire s’est frotté tendrement à moi. Nous avons dansé un long moment ainsi découvrant la peau nue de l’autre dans ce corps à corps. Mes tétons me faisaient mal d’être si tendus. Il me les a soulagés en les tétant. Je crois l’avoir remercié en le suçant, c’est très flou dans mes souvenirs. Il m’a sans doute allongée ensuite sur un matelas et est entré en moi.
Car j’ai le souvenir d’un bien-être fou comme un soulagement d’être enfin pénétrée tant mon sexe le réclamait depuis notre entrée dans la pièce. Plusieurs mains ont dû me caresser, celles de ma voisine sans doute aussi qui ahanait de plaisir sous les coups de boutoir de son mec, ce qui m’excitait au plus haut point. J’ai un vague souvenir de langue qui s’enroulait autour de la mienne pendant que mon sexe était ramoné. J’ai donc probablement embrassé une fille ce soir-là. Mais que j’étais bien. Il m’a fait jouir plusieurs fois. Il était très endurant, à moins qu’il ait été remplacé sans que je m’en rende compte sur le moment.
— Tu veux dire que tu as été consciente ensuite d’être baisée par d’autres ?— Disons qu’il y avait une telle ambiance de sexe dans la pièce avec des odeurs enivrantes et un parfum de luxure que l’échange de partenaires a dû se faire autour de moi. Pour ma part, je gardais les yeux fermés, même si la pièce était dans la pénombre, me contentant de profiter de l’instant présent sans avoir vraiment conscience si je rêvais ou vivais la situation. Mais c’est surtout quand un doigt s’est introduit par ma petite porte en même temps que plusieurs dans la grande pour les agiter en cadence que j’ai pris conscience que mon partenaire avait dû changer ! Ses copains avaient probablement dû nous rejoindre entre temps, excités à l’idée de me baiser sans doute à leur tour, après les avoir laissés me peloter sur la piste de danse !— Tu n’as pas alors essayé d’arrêter là ta séance de baise ? — Mais c’est qu’il me faisait jouir une nouvelle fois. D’autant que ses doigts dans mon cul ensuite étaient suffisamment lubrifiés pour ne pas me causer de souffrance particulière quand il a commencé de m’élargir la rondelle.— Tu nous laisses entendre que quelqu’un t’a sodomisée ensuite, c’est ça ?— J’éprouvais en effet de nouvelles sensations avec ces doigts dans mon cul que je me suis laissée faire quand il m’a prise en levrette d’abord dans le vagin dilaté, puis avec une infinie douceur dans mon conduit étroit préalablement lubrifié et détendu. J’ai senti quand même une douleur au passage de son gland. Il n’a plus bougé jusqu’à ce que moi-même je recule mes fesses pour m’enculer ensuite à mon rythme. Quand j’ai ressenti ce nouveau plaisir monter en moi, je l’ai invité à accélérer le mouvement. Il s’est alors branlé avec mon cul serré, comme il m’a crûment dit, en me déversant un chapelet de mots orduriers qui semblait l’exciter et paradoxalement moi aussi. Je me sentais vraiment sur le moment la salope, la pute, le garage à bite ou la pouffiasse videuse de couilles qui venait en effet de prendre, de mémoire, au moins trois bites, chacune s’étant soulagée dans ma bouche, mon vagin ou mon cul !
Vous en pensez quoi alors maintenant de Mylène, vous la voyez sous un autre jour, ce n’est plus la femme ou la mère attentionnée ? Dites-le-moi franchement ?
— Chérie, je t’aime tu sais. Je te remercie d’avoir enfin pu te libérer de ce poids. Mais pourquoi ne l’as-tu pas fait plus tôt ? Par exemple quand je t’ai demandé d’aller à ce rendez-vous avec un couple rencontré sur le Net ?— Et bien parce que sur le moment j’ai très mal pris ta demande. Je me suis sentie à tes yeux plus du tout comme ta femme, mais plutôt comme un objet sexuel que tu pensais pouvoir à ta guise proposer au premier venu !— Je m’en excuse et suis désolé de t’avoir mis cela en tête à l’époque. Ce que je voulais surtout, c’était relancer la libido de notre couple. Et j’ai maladroitement complètement cassé le faible lien sexuel qui nous unissait alors, c’est ça ?— Et surtout, tu n’as rien fait pour m’ôter cela de l’esprit. Je voyais surtout dans ta démarche la possibilité d’aller voir ailleurs et d’en baiser une autre avec mon consentement implicite en me laissant pénétrer par son mari sous tes yeux !— Tu n’as pas complètement tort, je l’avoue. Mais je pensais naïvement que toi aussi tu pouvais avoir envie d’aller voir ailleurs ?— Ce n’était en effet pas du tout ma préoccupation du moment. Je venais de perdre notre mère si tu te souviens, m’envoyer en l’air n’était pas vraiment mon souci premier. Mais à quoi bon ressasser les douleurs passées, profitons plutôt du moment présent. Maintenant que Julie t’a remis en forme, j’aimerais bien que tu remettes le couvert à moins que tu préfères la remercier d’abord pour ses efforts ?— Si cela ne te dérange pas, j’aimerais vous prendre toutes les deux en même temps. Si tu laisses ta sœur s’allonger sur toi, minou contre minou et poitrine contre poitrine. Je pourrais alors vous pénétrer alternativement pour mélanger vos sucres internes en quelque sorte ?— D’accord si ça te va Julie ?— Qu’est-ce que je ne ferais pas ce soir pour faire plaisir à ma grande sœur ! Dommage que nous n’ayons pas fait ce voyage dix ans plus tôt pour mes quarante ans !— Au moins, maintenant, tu sais que si tu as envie de baiser, mon mari est là pour assouvir tes besoins et si tu as besoin d’une masseuse, je suis là également.— Je suis prête en retour à te rendre la pareille. Embrasse-moi pour sceller notre amour fraternel ainsi décuplé.
Mon fantasme absolu s’est réalisé cette nuit-là de pouvoir baiser en même temps les deux sœurs avec la perspective de renouveler indéfiniment l’expérience.Le réveil fut pour moi extraordinaire avec deux langues qui me léchaient le gland et la hampe puis les couilles. C’est Julie la première qui s’est enfilé ma bite pendant que ma femme est venue poser sur mes lèvres sa vulve fraichement rasée par sa sœur, sans doute. Pour la remercier, elles se sont mioumioutées en se caressant mutuellement la poitrine. Elles ont tenu à recevoir en même temps mon jus dans leur bouche ouverte après m’avoir sucé en duo. C’est tout naturellement ensemble qu’elles ont pris le bain ensuite.
Nous avons quitté à regret ce magnifique hôtel qui clôturait notre semaine de retrouvailles, incroyable par sa conclusion inattendue. Le retour en voiture fut calme d’autant que les deux sœurs se sont vite endormies après leur nuit de débauche avec moi. Julie - complètement allongée sur la banquette arrière - devait offrir une vue incroyable aux routiers que je doublais qui me remerciaient par un petit coup de phare. En bougeant le rétro, j’ai effectivement vu son entrejambe dénudé offert aux regards ayant ses deux pieds posés de chaque côté de la vitre qui relevait sa jupe ! Je me suis alors demandé si Mylène n’avait pas elle aussi omis ce matin de mettre ses sous-vêtements. Un rapide coup d’œil à son décolleté m’a conforté dans mon interrogation. J’ai alors délicatement défait quelques boutons supplémentaires avant de dégager un sein à l’extérieur. Le dépassement suivant d’un camion m’a été remercié par l’allumage de tous ses feux.
Ce manège qui me faisait passer le temps m’a poussé à aller encore plus loin. J’ai finalement déboutonné jusqu’en bas le chemisier de ma femme pour l’ouvrir entièrement. C’est cette fois le gars du péage suivant qui m’a remercié avec le pouce levé.
La séance d’exhibition involontaire s’est arrêtée quand un poids lourd a cru bon de remercier les filles avec un coup de klaxon qui les a réveillées d’un coup. Mylène s’est alors aperçue qu’elle avait les seins à l’air et m’a reproché de ne pas avoir rabattu les pans de son chemisier, quant à Julie, elle a simplement dit que tant mieux, si quelques routiers avaient pu ainsi se rincer l’œil. Ma femme nous a avoué qu’elle était en plein rêve érotique et qu’elle se voyait défaisant un à un les boutons de son chemisier pour libérer ses seins à la vue de tous et que cela l’excitait beaucoup de s’exhiber. Je lui ai alors demandé :
— Tu penses, chérie que si tu devais passer un jour du rêve à la réalité, cela t’exciterait encore ? — Au lieu de délirer une fois de plus, arrête-toi plutôt à la prochaine aire, car j’ai envie de pisser !— Tu ne voudras pas tout de même que je t’accompagne côté « homme », s’il y a trop de queues ?— Tu ne vas pas recommencer à vouloir m’offrir aux premiers venus !— Non, je voulais dire trop de queue côté « femme ». Ton corps t’appartient bien sûr.— Vous n’allez pas de nouveau vous disputer et gâcher notre semaine idyllique à tous points de vue.— Non, rassures-toi Julie, je voulais juste le taquiner. C’est toi qui m’accompagneras.— Ne me dis pas que tu as envie de nous voir pisser mutuellement comme toi avec mon copain d’il y a trente ans !— Non, c’était juste pour que tu me tiens vraiment la porte, mais si toi tu veux qu’ensuite je te nettoie le minou avec la langue pourquoi ne pas tenter l’expérience. — Regarde comment cette évocation fait déjà bander ton mari !
A l’aire suivante, elles sont effectivement parties ensemble côté « femme » pendant que j’allais côté « homme ». C’est mon voisin de pissotière qui m’a interpellé en me remerciant encore pour le spectacle. Il avait reconnu notre voiture de location quand nous nous sommes garés et suivi des yeux les deux sœurs qui partaient aux toilettes. Il a continué de discuter tout en pissant :
— Vous ne devez pas vous ennuyer avec deux femmes comme ça ?— Euh ! Oui disons que nous venons de passer une super semaine en Italie pour les 50 ans de ma belle-sœur et que les deux sœurs se sont découvert des affinités qu’elles ne soupçonnaient pas.— Comme l’exhibition par exemple ?— Oui tout à fait.— Si ça ne vous dérange pas trop, pourriez vous les convaincre d’exercer leur passion au bout du parking côté stationnement poids lourds, elles feraient des heureux !— Je vais voir ce que je peux faire. Pour ma part, j’aimerais bien tester ma femme à ce sujet. A tout à l’heure, peut-être.— A+, j’espère. Je préviens les copains à tout hasard.
De retour à la voiture, j’attends Mylène et Julie en me demandant comment je vais formuler ma requête. C’est Julie qui m’en offre l’angle d’attaque en soulevant sa jupe et en rigolant :
— Tu n’as pas peur que d’autres aient pu voir ton minou ?— Non bien sûr, j’adore en fait penser que des hommes puissent s’exciter à la vue de mon corps nu ?— Tu as déjà vécu ce genre de situation ?— Oui, dans un hôtel tout pourri, une fois où la douche donnait sur une grande fenêtre sans rideaux avec un immeuble en face.— Tu as vu des mecs te mater ?— J’ai aperçu des rideaux bouger et cela m’a beaucoup excitée. Et toi Mylène tu n’aimerais pas ?— Si bien sûr. C’est un rêve récurrent que j’ai depuis cette semaine avec vous qui vous êtes baladés à poil tout le temps.— De savoir que des routiers t’ont reluqué les seins t’excite ou pas ?— J’avoue que cela me provoque une sensation bizarre.— Tu aimerais leur en montrer plus ?— S’ils peuvent me voir, sans que je les voie, peut-être. Surtout, si tu me dis Julie que c’est très excitant comme situation ?— Je te le confirme.— Cela tombe bien, car figurez-vous que l’un des routiers que j’ai doublés pendant que vous dormiez était à mes côtés tout à l’heure aux pissotières et qu’il m’a demandé si vous étiez d’accord pour vous exhiber de nouveau, cette fois dans le parking au fond côté poids lourds. Qu’est-ce que vous en dites ?— Moi, je suis partante. Tu ne veux pas tenter l’expérience Mylène ?— Mais t’as vu l’état de mon corps aujourd’hui, mes seins qui tombent, mon ventre mou qui plissent, ma chatte avec ses lèvres pendantes. Tu me crois vraiment bandante ?— Tu sais moi, je ne suis plus de toute première jeunesse non plus. Je te l’accorde, mes petits seins restent en place, mais sont plus mous tu as vu. Je crois que l’on peut encore exciter des mecs comme les routiers. D’ailleurs, ils nous ont déjà matés et sont demandeurs !— D’accord, chéri. Mais on reste dans la voiture et je ne veux pas les voir s’exciter, mais juste les imaginer dans ma tête.— Tu n’as qu’à faire comme moi et mettre ton écharpe sur les yeux.
Je déplace dans un premier temps la voiture dans un coin déserté du parking, le temps qu’elles se dépoilent totalement et se bandent les yeux. Mylène préfère s’allonger sur la banquette arrière pendant que sa sœur s’assoit à mes côtés en posant ses pieds sur la boîte à gants jambes bien écartées. Un coup d’œil dans le rétro pour découvrir ma femme lascive avec une jambe sur le dossier et une main derrière la tête et l’autre se roulant un téton entre les doigts. Je démarre et me dirige côté poids lourd, un appel de phare me guide alors vers un regroupement d’une dizaine de chauffeurs. Je m’arrête au milieu d’eux. Mon voisin pisseur me remercie avec le pouce levé. Ils s’approchent et se placent du côté des filles qui me demandent toutefois de commenter la situation :
— Il y a une dizaine de gars, environ. Ils ont l’air ravis. En voilà un qui sort sa queue et se met à se branler juste derrière la vitre face à ta chatte, chérie. Cela te fait quel effet ?— Je crois que je mouille. Tu avais raison Julie, c’est très excitant.— Tu n’as qu’à te caresser comme moi. Ils vont apprécier, j’en suis sûr !— Ils ont tous la bite à l’air à présent. Ceux de derrière ont l’air d’attendre que le premier rang ait éjaculé pour commencer de se branler en vous matant de plus près.— Tu nous dis quand les premières giclées vont maculer la vitre.— La première est pour toi chérie. Cela te fait quoi ?— Je crois que je vais jouir. Regarde comme je me branle à présent. Jamais je ne m’étais masturbée devant quelqu’un, même pas toi chéri.— En voilà une autre qui vient s’écraser sur le parebrise. Elle est pour toi Julie.— Super, maintenant, je suis sûre de pouvoir encore exciter des hommes !— Tu avais dû pourtant remarquer que tu m’as fait bander toute cette semaine.— La première rangée a disparu. Ils ne sont plus que quatre, deux par vitre. Vous voulez que je les ouvre pour que vous les entendiez commenter leur branle ?— Tu peux ouvrir la mienne chérie puisque c’est toi qui me le proposes. Je suis curieuse de savoir ce qu’ils pensent vraiment de moi.— Mais de prendre une giclée de foutre sur ta jambe ou ta cuisse ne te dérange pas ?— Non du moment que je n’ai pas à l’avaler cette fois. Je plaisante !— Bon, ça y est. Je vais baisser ta vitre, chéri, et cessez de commenter pour qu’ils ne nous entendent pas.
La vitre arrière est à présent complètement ouverte. J’actionne l’ouverture de celle de devant ensuite et les commentaires ne tardent pas, tout comme les bites qui pénètrent dans l’habitacle. Une première main se met à peloter un petit sein de Julie, ce qui la surprend, mais ne la fait pas changer de position. Dans le rétro, c’est au tour de Mylène d’avoir une main le long de son mollet qui remonte vers la cuisse avec ce commentaire :
— Dis donc Lulu, t’as vu que la vieille a de beaux restes. Tâte-moi ça. Ce n’est pas aussi mou que je le pensais.
De la vitre avant fuse cet autre avis d’expert :
— Ces nichons sont encore fermes tu ne trouves pas Juju ?
Les mains à l’arrière ont atteint à présent l’entrejambe de Mylène qui se contente de dire d’y aller doucement et qui s’entend répondre :
— Avec une chatte gonflée comme ça et un clito pareil, vous avez dû en satisfaire plus d’un ?
Les doigts de l’un la pénètrent à présent pendant que l’autre lui gicle dessus. Il est tellement excité qu’il arrive à lui maculer le ventre. De son côté, Julie a pris plusieurs salves sur la poitrine, la figure et les cheveux et se retrouve de fait sans admirateur. Je remonte alors sa vitre. Croyant tout le monde parti, elle enlève alors son écharpe en disant :
— Quel pied j’ai pris !
Elle se tourne alors vers sa sœur pour la découvrir assise se faisant malaxer les deux seins pendant qu’elle branle son dernier admirateur qui l’encourage :
— Vas-y ma beauté, ne change pas de main. Tu sais que tu es bonne. Je t’en aurais bien mis un petit coup. Tu dois en avoir vu passer des bites dans ta chatte et ton cul vu comment tes lèvres sont distendues aujourd’hui. J’adore tes grosses mamelles. Tu aimes ça hein, te faire tripoter par le premier venu. Allez vas-y accélère, fais-moi jouir et approche-toi de ma bite que je te tartine la gueule.
Sans un mot, mais toujours aussi excitée, Mylène agite si fortement le mandrin du routier qu’il finit par l’asperger. A la première salve prise sur le cou, elle relève aussitôt le robinet pour prendre le reste sur la figure et les cheveux comme sa sœur. Une fois la vitre relevée, je redémarre pour me garer à nouveau loin des autres voitures. Mylène enlève alors son foulard et en regardant sa sœur et lui dit :
— Merci Julie. J’ai vraiment joui - tu sais - en me masturbant sachant que l’on se branlait pour moi. Je vois que tu es dans le même état que moi. Tu as des mouchoirs pour que l’on se refasse une beauté.— J’ai mon Vanity au-dessus des valises que tu peux attraper je pense.
Une fois nettoyées et repomponnées, les deux sœurs ont décidé d’un commun accord de poursuivre le voyage à poil pour le bonheur des routiers suivants !Depuis cette semaine mémorable, nous nous retrouvons régulièrement avec Julie et surtout Mylène partage à nouveau mon lit, plus uniquement pour y dormir, mais bien y baiser à l’occasion.
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