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Exhibition de plus en plus osée

Chapitre 1

- Premières fois -

Voyeur / Exhibition
Toujours mariés, Mylène et moi, nous vivons cependant désormais séparés de corps, elle vit en ville dans notre appartement pendant que moi, je reste dans notre maison de campagne. Nous nous retrouvons régulièrement pour voyager ensemble et surtout pour aller voir nos trois enfants et quatre petits-enfants.
Concernant le sexe, j’en suis réduit depuis un moment déjà aux plaisirs solitaires et même si nous faisons encore lit commun lors de nos voyages, nous ne nous touchons plus sous la couette. Mylène me reproche toujours, bientôt vingt ans après, d’avoir voulu la faire participer à une rencontre dans un bar avec un couple trouvé sur le Net pour voir s’il pouvait y avoir quelques affinités entre nous.
En effet, pour ne pas paraître rustre auprès de ce couple, je suis allé seul à ce rendez-vous, n’ayant pas le temps matériel de décommander. Mylène m’a bien fait comprendre depuis, qu’elle n’était ma chose dont je pouvais disposer à ma guise pour l’offrir au premier venu et que si l’envie d’aller voir ailleurs la prenait un jour, elle le ferait sans me prévenir et donc sans ma présence à ses côtés lorsqu’une autre queue la pénétrerait !...
Ce fameux couple cause de notre séparation de corps fut très déçu de ne pas rencontrer Mylène et moi aussi, j’aurai tant voulu à cette époque-là pimenter notre vie de couple en l’élargissant pour passer du fantasme à la réalité de voir Mylène dans les bras d’un autre.
C’est en y repensant que j’ai mêlé réalité et fiction pour concocter cette tranche de vie de notre couple.
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Il me revient en tête les premières fois où, pour mon plus grand plaisir, Mylène a accepté de se découvrir à l’extérieur. Même si elle n’a jamais osé se dénuder en public, elle a toujours dès nos premiers ébats, été particulièrement excitée à l’idée de baiser en tous lieux et toutes circonstances, à condition d’éviter la présence réelle de voyeurs pour juste les imaginer et mieux jouir de l’instant présent.
Ainsi même chez ses parents quand nous nous sommes connus, il nous arrivait fréquemment de baiser dans le salon sur le canapé ou même sur la table de la salle à manger en leur absence. De savoir qu’ils pouvaient rentrer plus tôt que prévu déclenchait en elle des décharges d’adrénaline lui procurant de fulgurants orgasmes parfois !
Sa sœur ainée étant mariée à mon frère ainé, c’est à leur mariage que j’ai fait la connaissance de Mylène. C’est dans l’année qui a suivi que nous avons fait plus ample connaissance. Mais il n’était pas question bien sûr que nous nous retrouvions chez eux pour partager le même lit. Aussi c’est dans ma voiture sur le parking en bas de leur immeuble que nous baisions le plus souvent au retour de sorties nocturnes en boîte ! La consommation d’alcool dans la soirée y étant pour beaucoup pour désinhiber Mylène au point d’accepter d’avoir les nichons et la chatte à l’air sous la lumière blafarde du lampadaire du parking. J’aurai tant aimé alors que des noctambules nous surprennent en plein ébats et pouvoir l’exhiber en pleine jouissance.
Il nous est bien sûr très souvent arrivé de baiser dans la nature au début dans des endroits dégagés pour que Mylène puisse apercevoir de loin d’éventuels passants. Mais par la suite, elle a accepté les clairières en sous-bois, voire les abords boisés d’une plage et même plusieurs fois que je la baise avec la porte entrouverte de notre chambre à condition qu’elle soit toujours de dos pour ne pas croiser le regard d’un voyeur éventuel, mais juste l’imaginer et en jouir ...
Nous avons également souvent baisé dans une chambre occupée par sa sœur cadette ou un autre couple avec l’excitation montante d’entendre l’autre lit grincer dans le noir au rythme de notre propre copulation ! Sans être pudique inconditionnelle, Mylène n’a jamais été au-delà d’exposer ses seins nus à la plage avec les enfants en bas âge. Mais de savoir que l’une ou l’autre de nos connaissances puisse passer à proximité l’a beaucoup excité. J’aurais tant aimé alors qu’elle accepte de franchir le pas de la plage naturiste, mais elle s’y est toujours refusée. Même si un jour dans la précipitation un matin où nous étions tous réunis en famille chez les beaux-parents, elle a dut se lever précipitamment en plein coït pour aller voir un de nos enfants qui pleurait dans la chambre voisine, omettant ce jour-là de mettre une culotte et un soutif.
Son degré d’excitation n’ayant pas retombée à sa grande surprise, elle a décidé de continuer de passer la journée sans sous-vêtements au milieu de sa famille !
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La sachant donc particulièrement émoustillée par l’exhibition, mais sans jamais le faire ouvertement, je l’ai très souvent amenée à dépasser ses appréhensions pour par exemple la baiser en appui sur la fenêtre ouverte lors d’un orage particulièrement électrique. Elle s’est laissée prendre en levrette, les seins à l’air, ballottant au rythme de notre copulation, mais en fermant les yeux pour imaginer, me disait-elle, plutôt que de voir nos voisins d’en face la dévisager en train de jouir.
Une autre fois beaucoup plus tard lorsque nous disposions d’une terrasse avec une rambarde en fer forgé donnant sur un jardin et le portail grillagé d’entrée, elle a accepté que je la déplace, ma bite toujours en elle de la chambre jusqu’à la rambarde où elle s’est appuyée pour que je continue de la limer. Ses seins et sa chatte poilue étaient parfaitement visibles cette fois de la rue où à ma connaissance personne n’est malheureusement passé ce jour là.
De voir à quel point cela l’excitait à chaque fois, j’ai tenté de la pousser toujours plus loin dans son exhibition. Ainsi un après-midi d’été où un orage a éclaté pendant que nous faisions une sieste crapuleuse, j’ai ouvert la porte-fenêtre de la chambre pour faire entrer la fraicheur de la pluie. L’atmosphère particulièrement électrique ce jour-là avait tant excité Mylène que je lui avais bandé les yeux et attaché les quatre membres au pied du lit afin d’abuser d’elle jusqu’à la fouetter même avec la cordelette du rideau. C’est elle qui me suppliait de frapper plus fort son entrejambe, ses seins ou ses fesses. De les voir rougir sous mes coups, je n’osais pas y aller trop fort.
C’est alors que l’orage a éclaté. Il m’est alors venu l’idée d’amener Mylène dehors et de l’attacher à un arbre du jardin face à la rue. C’est en continuant de la baiser debout tout en avançant vers l’extérieur que j’ai réussi à la faire sortir à poil ma bite en elle. C’est la pluie qui lui a fait comprendre que nous étions dehors. Mais cette fraîcheur soudaine l’a émoustillée de plus belle d’autant que toujours les yeux bandés, je lui glissais à l’oreille qu’elle était splendide en tenue d’Eve au point que certaines voitures ralentissaient en la voyant.
Loin de la freiner et demander que nous rentrions, elle a au contraire accepté de s’avancer un peu plus. Nous avons ainsi pu atteindre le prunus à quelques mètres de la haie éparse nous séparant de la rue. C’est quand elle a senti que je l’attachais à l’arbre qu’elle a manifesté sa désapprobation, mais sans trop de conviction cependant. Aussi, un scénario fou m’a traversé alors l’esprit, moi qui essayais de la convaincre régulièrement d’accepter de baiser avec un autre sous mes yeux, sans succès bien sûr !
Je l’ai laissée seule sous la pluie, elle avait gardé cette fois-là son chemisier qu’elle avait refermé pour ne pas prendre froid soi-disant, mais la pluie l’avait rendu transparent avec ses tétons tendus et ses aréoles brunes bien visibles même de loin, tout comme son poilu noir.
J’ai en effet prétexté une course urgente à faire en lui disant que je ne serai pas très long et qu’elle n’avait qu’à se passer des films en tête pour passer le temps comme je l’incitais souvent à faire pendant que nous baisions en y introduisant notamment un de ses collègues de l’association caritative qu’elle présidait et qui ne lui était pas indifférente, je crois !
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J’ai donc pris ma voiture pour aller la garer non loin de la maison, mais suffisamment pour qu’elle pense que j’étais réellement parti. A mon retour à pied, je me suis mis dans la peau d’un passant et l’ai distinctement aperçue depuis la rue agenouillée les bras toujours attachés dans le dos derrière l’arbre. Elle ne disait rien, mais son attention a été attirée par ma présence derrière la haie quand j’ai bougé suffisamment fort les branches. La peur s’est soudainement lue sur son visage.
Je suis alors entré chez moi en faisant bien reclaquer le portillon. Elle a tourné la tête, les yeux toujours bandés dans ma direction en m’interpellant :
— C’est toi chéri ?
Je n’ai bien sûr pas répondu tout en continuant d’avancer...
— Là, je n’ai plus envie de jouer, tu sais ! Tu m’as fait perdre toutes mes envies. J’étais si excitée que je crois que j’étais prête à tout, tu sais !!
Pour lui faire perdre complètement ses repères, j’avais poussé l’expérience jusqu’à acheter ce jour-là un autre after-shave bien pimenté et viril et m’en étais copieusement répandu sur tout le corps à nouveau dénudé, y compris la bite ! Parvenu à distance olfactive de Mylène, j’ai senti soudain la panique prendre le dessus :
— Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous faites là ? Ne vous fiez pas aux apparences, je ne suis pas de celle qui s’offre au premier venu ! C’est mon mari qui m’a mise dans cette posture ! Il ne va d’ailleurs pas tarder à revenir et vous faire déguerpir !
Toujours sans lui répondre, je m’approche jusqu’à l’effleurer :
— Ne me touchez pas svp !
Pour toute réponse, je lui pince un téton et le tourne entre mes doigts et elle se met aussitôt à crier :
— Non pas ça ! Vous me faites mal. Arrêtez !
Je passe alors délicatement ma main entre ses poils et titille son clito délicatement. Elle ne dit plus rien et se laisse alors caresser à ma grande stupéfaction. Je peux ainsi glisser mes doigts entre ses petites lèvres toujours humides qui se mettent alors à couler de plus en plus pendant qu’elle glousse de plaisir...
Je décide alors de voir jusqu’où elle est capable d’aller. Je bande comme un malade en la voyant ainsi s’offrir à un inconnu. J’approche mon gland turgescent de sa bouche en le faisant glisser le long de ses lèvres et sur ses joues. Contre toute attente, sa langue sort soudain pour tenter de le toucher au passage. Je ne bouge plus. Je vois alors sa bouche s’ouvrir et chercher à tâtons mon sexe parfumé à l’after-shave d’un inconnu ! Elle finit pourtant par le gober et entreprendre de le sucer. Je pars alors à la découverte de son corps en essayant de lui peloter les seins avec avidité comme un mâle en rut. Elle ne se dérobe pas et continue sa fellation avec application toujours sans les mains. J’avance mes couilles qu’elle se met à gober. Ce n’est bientôt plus que bruits de succion et quelques gloussements de plaisir qui prennent le pas sur le tonnerre qui s’éloigne avec l’orage.
Je me dégage de sa bouche et la soulève en passant mes bras sous sa poitrine pour la remettre debout. Elle se laisse faire et ne peut ignorer le but de ce changement de position. Une fois debout, je lui roule une pelle qu’elle ne refuse pas, enroulant même sa langue autour de la mienne en ayant pourtant ma moustache imprégnée d’after-shave inconnu sous ses narines !
Elle continue de m’embrasser pendant que je l’attrape sous les genoux pour soulever et écarter ses cuisses. Ma bite entre en elle sans aucun mouvement de recul de sa part. Je me mets à la pilonner sauvagement pour ne pas éveiller ses soupçons et la laisser dans son trip avec un inconnu :
— OHHH ! Ouiiii ! Que c’est bon ! Qui que vous soyez, baisez-moi ! Profitez de mon corps offert par mon mari ! Lui qui me supplie depuis si longtemps de baiser avec un autre, il va être surpris en me découvrant dans vos bras à son retour !
J’en profite alors pour la détacher et la prendre ensuite en levrette. Les mains en appui au sol, elle ne peut ainsi toujours pas ôter facilement son bandeau, même si elle ne semble pas pressée de découvrir l’identité de son baiseur :
— Pilonnez-moi fort ! J’aime sentir vos couilles venir taper contre moi ! Continuez à me fesser plus fort, ça chauffe, mais c’est bon !
De sentir son excitation monter, je tente le glissement d’un doigt dans sa rondelle après l’avoir lubrifiée dans son vagin. Elle ne contracte alors pas son anus comme à son habitude, mais se détend au contraire, laissant un deuxième doigt y entrer et tourner pour bien l’assouplir :
— Oh ! C’est bon ! Vous êtes très doux et sauvage à la fois ! J’adore !
Je prends cette dernière remarque pour un encouragement et tente de poser mon gland contre sa petite porte. Nous n’avions jusque-là essayé qu’une fois cette voie-là sans succès, vu la douleur et l’impréparation du moment. C’est elle qui se recule alors. Je pousse de mon côté et soudain, mon gland entre après un petit cri. Je ne bouge plus jusqu’à ce qu’elle s’enfonce elle-même ma bite dans son cul !
— Oh merci ! C’est mon mari qui va être content que vous m’ayez dépucelé le cul, lui qui en rêvait tant de me prendre par là aussi. Et même le cochon qu’une deuxième bite me ramone la chatte en même temps !
Je me mets alors à faire coulisser ma queue dans son conduit qui me serre de moins en moins au fur et à mesure de l’excitation montante de Mylène qui avoue prendre son pied par là aussi :
— C’est très bizarre comme sensation, mais c’est très jouissif aussi. Allez-y, vous pouvez accélérer et me pénétrer à fond que je sente à nouveau vos couilles venir taper contre moi ! Si mon mari nous trouve dans cette position, je crois que cette fois, j’accepterais qu’il me prenne en double comme il me le susurre si souvent à l’oreille pour m’exciter !
Je me demande alors la meilleure façon de conclure mon scénario qui m’a démontré que Mylène est bel et bien prête à sauter le pas pour ouvrir notre couple comme je le lui demande depuis si longtemps. Je profite d’un bruit de voiture qui freine pour continuer de jouer à l’inconnu qui craint le retour du mari et me retire d’elle et du jardin en me rhabillant vite fait à l’abri de son regard, car elle doit avoir déjà retiré son bandeau. Je rejoins non sans mal ma voiture. J’arrive juste au moment où mon téléphone sonne. C’est Mylène, je lui demande alors :
— C’est toi chérie ? Tu as réussi à te détacher ?— Non, un inconnu l’a fait pour moi !— Comment ça ? Raconte ?
Elle me résume son histoire en omettant de me dire qu’elle s’est offerte à un inconnu qui l’a fait jouir et l’a même sodomisée. Elle prétend être restée attachée tout ce temps à se morfondre en attendant mon retour, et c’est pour cela qu’elle m’appelle pour savoir ce que je fais et m’engueule même de l’avoir laissée si longtemps comme ça, attachée à l’arbre ! J’essaie d’en savoir un peu plus sur ses sensations du moment :
— Tu as dû flipper en entendant quelqu’un s’approcher de toi, non ?— Oui beaucoup d’autant qu’il avait cet after-shave que je ne supporte pas. Je l’ai supplié d’abord de ne pas s’approcher et que tu allais revenir incessamment.— Te sentir dénudée sous les yeux d’un inconnu t’a procuré un malaise indéfinissable, je suppose ?— Eh bien sur le moment oui. Mais quand il m’a effleurée et m’a félicitée pour ma beauté, j’ai ressenti soudain un bien-être intérieur qui m’a même fait mouiller, chéri. Je suis désolée de t’avouer cela !— Je sais que cela t’excite d’imaginer que l’on te découvre nue pendant que l’on baise par exemple !— Oui c’est vrai, mais là quand il m’a détachée, ses doigts ont parcouru mon dos et une onde de plaisir m’a soudain envahie.— Tu veux dire qu’il t’a pelotée ?— J’aurai bien aimé, je l’avoue, mais une voiture a freiné à ce moment-là et il est parti d’un coup pensant sans doute que tu revenais sans que je n’aie eu le temps de le remercier ni même de le voir. Il était déjà loin quand j’ai enfin pu retirer mon bandeau.— Tu comptais le remercier comment ?— Je te retourne la question puisque c’est toi qui m’as mise dans cette situation. Dis-moi ce que tu aurais aimé que je fasse !— Et bien que tu le laisses profiter de ton corps offert par un mari complaisant !— Je t’ai déjà dit plusieurs fois que je ne suis pas ta chose et que mon corps m’appartient.— Mais si cette voiture n’avait pas freiné devant la maison, tu l’aurais laissé faire courir ses doigts ailleurs que sur ton dos, non ?— Tu veux tout savoir de moi. J’ai un jardin secret et si l’envie m’en prend un jour d’aller voir ailleurs, je ne t’en ferais pas part de peur que cela t’excite trop !!!
Elle a alors coupé la liaison. Je suis revenu dix minutes plus tard. Mylène était sous la douche à l’étage. J’en ai profité pour prendre un bain avec des huiles essentielles dans la salle du rez-de-chaussée et tenter de faire disparaître l’odeur forte de l’after-shave...
Ce n’est que plusieurs jours plus tard que j’ai évoqué cet après-midi-là en relançant Mylène sur mon envie de la voir baiser avec un autre. Elle était particulièrement excitée à cette évocation tant et si bien que j’ai pu à nouveau la sodomiser. Elle a alors tenté de savoir si ce n’était pas moi l’inconnu à l’after-shave si fort puisque j’avais cru bon de prendre un bain aux huiles essentielles contrairement à mes habitudes, ce qui lui avait mis la puce à l’oreille.
J’ai fini par lui avouer, mais en lui faisant admettre qu’elle s’était bel et bien offerte à un inconnu même si elle a été rassurée plus tard d’avoir offert son pucelage anal à son mari.Il me restait maintenant à la voir vraiment passer à l’acte avec un inconnu ou un ami et la voir jouir sous mes yeux avec une autre bite !
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Fort de cette expérience, j’ai longtemps cherché la meilleure façon de la mettre à nouveau en position d’offrir son corps, mais cette fois à un autre que moi en toute connaissance ou non. L’occasion m’en a été donnée quand elle s’occupait d’une association caritative et que j’avais bien remarqué que l’un de ses collègues, divorcé depuis quelque temps en pinçait pour elle. Je l’ai alors régulièrement impliqué dans nos fantasmes pour faire monter la pression chez Mylène jusqu’à lui faire prononcer son prénom « Alain » quand je la baisais un bandeau sur les yeux et le plus souvent attachée au lit les cuisses écartées face à la porte-fenêtre ouverte de la chambre donnant sur l’allée d’entrée à la maison.
Je n’ai jamais su ce qui se passait vraiment dans sa tête alors, mais elle mouillait toujours copieusement dans ces moments-là. Il me restait le plus difficile, entrer en contact avec cet Alain, par ailleurs professeur de nos filles et surtout pouvoir lui parler de l’intimité de notre couple. C’est lors d’une soirée de l’association de Mylène organisée en fin d’année scolaire que j’ai pu discuter un peu plus librement avec lui, l’alcool nous ayant tous les deux désinhibé. C’est lui qui a abordé les sujets sexuels, notamment de son couple avant le divorce. Très libérée, son ex n’avait aucun tabou et participait volontiers à des soirées échangistes.
M’interrogeant alors carrément sur les aptitudes de Mylène à ce sujet, j’en ai profité pour lui raconter mes souhaits en la matière et surtout le comportement de ma femme lors de ce scénario, attachée à l’arbre. Il m’a alors directement demandé s’il pouvait draguer Mylène plus ouvertement. Je lui ai répondu que j’en serai ravi et même que j’aimerais le voir en train de la baiser. Son regard s’est illuminé et il m’a avoué qu’il en bandait déjà d’avance. Je lui ai dit qu’il en était de même pour moi.
Je lui ai alors raconté en détail comment Mylène aimait désormais baiser, attachée au lit avec les yeux bandés et que s’il voulait à l’occasion, il pourrait se glisser discrètement dans notre chambre et en Mylène par la même occasion ! Nous en étions là de notre discussion quand ma femme est venue voir ce que nous complotions. Alain lui a dit que nous parlions de nos filles en classe et que l’année s’était très bien passée pour elle. L’échange bref de leurs regards quand il lui a répondu m’a conforté dans l’idée que mon scénario pourrait même se réaliser un jour sans le bandeau sur les yeux d’autant qu’Alain baissant son regard s’est retrouvé face aux tétons tendus de Mylène qu’elle ne cherchait plus à cacher derrière son chemisier quasi transparent que je lui avais obligé de mettre sans soutif ce soir-là en présence de ses amis.
Une fois au lit, j’ai retrouvé une Mylène particulièrement excitée d’avoir pu s’exhiber ainsi au milieu de tous, oubliant même souvent de croiser les jambes alors qu’elle n’avait pas de culotte non plus ! Je l’ai alors questionnée sur les sensations ressenties toute la soirée :
— Alors, tu as aimé exhiber ta chatte poilue à tes amis ?— C’est plutôt de penser qu’ils pourraient l’apercevoir qui m’a excitée !— Tu penses qu’Alain a vu ton minou ?— En tout cas mes seins oui. Il n’a pas cessé de les reluquer !— Cela t’a excité, non ?— Oui, j’avoue d’autant que je n’ai plus trop fait attention au fil de la soirée à ma position assise, oubliant totalement l’absence de culotte et que oui, il a pu à l’occasion voir que je n’étais pas blonde naturelle !— Allez, mets vite ton bandeau et appelle-moi Alain en écartant bien tes cuisses pour me montrer consciemment ton minou.— Tu es vraiment un obsédé pervers, mais cela m’excite, c’est vrai Alain de te montrer mes seins et ma chatte. Tiens, regarde mon cul, vois comme il est bien strié, tu peux me prendre par là aussi, tu sais ! Allez Alain, approche-toi que je te suce pour te mettre en forme !
Nous avons longuement baisé cette nuit-là en laissant la porte-fenêtre ouverte. Nous sommes même retournés contre le prunus pour que je l’encule comme la première fois ! Heureusement que nos enfants étaient partis chez les grands-parents en ce début de vacances
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