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Exhibition de plus en plus osée

Chapitre 2

- Première intromission étrangère -

Voyeur / Exhibition
Dans un premier chapitre mêlant réalité et fiction, j’ai exposé la progression de ma femme Mylène dans le difficile passage à l’acte de l’exhibition jusqu’à se laisser attacher, nue, les yeux bandés à un arbre de notre jardin en bordure de la rue.
Dans ce deuxième volet, je vais vous conter comment malgré elle, elle a fini par accepter une autre queue en elle !
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Il fallait donc que je profite de l’absence de nos enfants en vacances chez les grands-parents pour monter mon scénario avec Alain. L’occasion nous fut offerte quand Mylène eut besoin d’Alain pour préparer une prochaine réunion de leur association. Rendez-vous fut pris à la maison pour le lendemain en fin d’après-midi.
J’ai donc tenté de chauffer un maximum Mylène toute la journée suivante pour finir par la convaincre d’une sieste crapuleuse avant la venue d’Alain avec bien sûr bandeau, attachée au lit et léger fouettage de ses zones sensibles comme nous en avions souvent pris l’habitude. J’ai pris soin de prévenir Alain de venir discrètement nous retrouver bien avant l’heure prévue du rendez-vous.
C’est donc agenouillée, en position de levrette, la chatte et le cul face à la porte-fenêtre grande ouverte qu’Alain a découvert Mylène en train de me sucer. Je lui ai fait signe d’entrer et de se mettre à l’aise sans faire de bruit. J’ai repris les cordelettes de rideau pour fouetter le dos et les fesses de ma femme avant de les donner à Alain lorsqu’il s’est approché de nous, nu avec sa bite en complète érection.
Il s’est mis à la fouetter à son tour pendant qu’elle continuait de me sucer. Il n’a pu s’empêcher ensuite de la caresser pendant que je donnais le change en disant à ma femme qu’elle était bien rouge par endroit et qu’un massage lui ferait peut-être du bien. Je me suis mis de côté pour admirer pour la première fois ma femme se faire peloter par un autre. J’ai poussé le bouchon un peu plus loin en lui demandant de m’appeler une fois de plus Alain tout en m’encourageant :
— Oui, tu me fais du bien comme ça Alain. Mais tu sais, tu peux me triturer les tétons et malaxer mes nichons, j’adore !
Quel pied ! Je me suis mis à me branler en les regardant. Il s’est ensuite aventuré vers son entrejambe, caressant sa toison en écartant délicatement ses poils :
— Tu es très doux Alain. N’hésite pas cependant à me violenter avec tes doigts, plusieurs à la fois même.
Il ne se fait pas prier, me regarde la bite de plus en plus tendue et investit le vagin de ma femme d’un, puis deux et enfin trois doigts qu’il agite de plus en plus vite, provoquant une giclée abondante :
— Oh que tu es bon ! Mets-moi vite ta bite bien au fond Alain. J’ai hâte de la sentir en moi !
Il approche alors son gland de l’antre de Mylène en cherchant mon approbation du regard. Pour toute réponse, j’agite de plus belle ma queue qui finit par éjaculer au moment même où il est complètement en elle :
— Oh oui, Alain, tu ne m’as jamais prise aussi profondément. Tu peux te lâcher complètement. Vas-y, soulage-toi en moi. Oh la la ! que c’est bon, continue plus fort, plus fort. Je jouiiiiis !

J’ai juste le temps de nettoyer mon éjaculation au sol que c’est au tour d’Alain de remplir Mylène. Il se retire d’elle et de la pièce aussi discrètement qu’il est venu en me remerciant avec le pouce levé. Je pousse alors le vice en venant remettre ma bite dans l’antre suintant encore son foutre chaud pour faire retomber doucement la pression de Mylène, tout en lui ôtant le bandeau. Elle me fait signe alors de venir me faire nettoyer avec sa langue !
— Cela t’a plu mon chéri. Tu as vu comment ta salope de femme est capable de bien s’éclater avec Alain. Viens que je lui suce toute la semence qui recouvre encore sa bite ! C’est vrai qu’elle a un goût différent de la tienne !
Je reste dubitatif, ne sachant pas si elle joue toujours la comédie habituelle de nos ébats ou si elle s’est vraiment rendu compte de notre manège avec Alain. Ce n’est qu’une bonne heure plus tard après la douche que nous retrouvons Alain, cette fois à la porte d’entrée.
Après lui avoir fait la bise de bienvenue habituelle, Mylène l’invite à prendre place au salon et part chercher des boissons rafraichissantes à la cuisine. Alain m’interroge alors sur l’attitude de Mylène. Je lui réponds que je ne sais toujours pas si elle a flairé notre mise en scène ou pas.
A son retour avec le plateau des boissons, je constate qu’elle n’a plus son soutif et nous sourit quand nos regards se portent ensemble sur sa poitrine ! Elle s’assoit alors sur le pouf face à nous et se retrouve naturellement avec les fesses plus basses que les genoux qu’elle écarte machinalement, retroussant ainsi sa jupe jusqu’au haut de ses cuisses pour nous faire découvrir qu’elle ne porte plus de culotte non plus ! Sans se démonter, elle s’adresse à Alain :
— Qu’est-ce que tu veux boire ?
Les yeux rivés sur sa chatte exposée avec ses lèvres distendues et encore rougies par la séance précédente, il bafouille en rougissant :
— Cela m’est égal. Sers-moi ce que tu as sous la main !— C’est de découvrir mon intimité qui te met dans cet état, Alain ? Tu sais, c’est JP qui tient absolument à ce que je m’exhibe, même face à mes amis. J’avoue que j’y prends un certain plaisir et toi aussi, semble-t-il, à en juger par la bosse de ton pantalon !
Nos regards se croisent alors avec Alain, ne sachant pas comment prendre cette dernière remarque. C’est elle qui coupe court à notre réflexion en annonçant tout de go :
— Figure-toi Alain que pour pimenter nos ébats, JP n’a rien trouvé de mieux que de se faire appeler Alain pendant qu’il me prend pour soi-disant m’exciter un peu plus alors que c’est manifestement lui qui aimerait que l’on couche ensemble !
Reprenant son contrôle après tout ce déballage inattendu de sa nudité et de notre intimité, Alain, ne perdant pas espoir de la baiser en toute conscience une fois prochaine, lui répond :
— Et toi Mylène, cela te plairait de le faire ?— Oh là, les gars, vers quoi vous voulez m’entraîner !!!
Elle se lève alors en prenant soin de bien serrer ses jambes cette fois, et part dans notre chambre. Nous discutons un moment avec Alain sur la meilleure façon de procéder avec Mylène pour ne plus la brusquer jusqu’à ce qu’elle réapparaisse avec un pantalon et un chemiser opaque sous lequel les attaches du soutien-gorge se distinguent clairement. Elle retrouve alors son autorité naturelle de Présidente de l’association et dit :
— Bon Alain, je ne t’ai pas demandé de venir rapidement chez moi pour parler bagatelles, mais bien pour organiser la prochaine réunion du groupe et le week-end de formation à venir. Tu as réfléchi à un ordre du jour et aux thèmes de formation à aborder ?
Je les ai laissés travailler le reste de l’après-midi en me demandant sans cesse si elle a vraiment senti que ce n’était pas moi qui la baisais et si elle ne nous jouait pas la comédie pour éviter que cela se reproduise un jour, même si elle a manifestement pris son pied avec cette queue qui l’a remplie plus qu’à l’accoutumée !
La nuit suivante s’est passée à l’hôtel du « cul tourné » et Mylène m’a fait la gueule plusieurs jours durant. J’ai entre temps revu Alain pour savoir ce qu’il pensait de tout ça. Il m’a d’abord une fois de plus remercié de lui avoir permis de réaliser son fantasme, baiser Mylène et m’a résumé leur après-midi de boulot. Il a bien tenté de changer de sujet à l’occasion et lui dire qu’il l’appréciait vraiment beaucoup tant pour le boulot que par sa présence physique à ses côtés. Elle lui a juste avoué qu’elle avait consenti à s’exhiber sur mon insistance et qu’elle le regrettait à présent, même si de constater les effets de son sex-appeal l’émoustillait en fait beaucoup.
Il semble donc en première analyse qu’elle ne s’est rendu compte de rien, à moins qu’elle ne veuille se convaincre des bienfaits procurés en trompant son mari, même en sa présence, de peur d’y prendre goût.
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Nous n’avons plus jamais convoqué cet Alain lors de nos ébats, ni même d’autre queue pour l’exciter. Ce n’est que quelques mois plus tard après un week-end de formation en bord de mer de son groupe qu’elle m’a reparlé de cet Alain sous un autre jour que son collègue d’association ou professeur de nos filles.
Lors de la soirée de détente du samedi organisée par le VVF qui les hébergeait, elle s’est particulièrement éclatée pour libérer la tension accumulée les jours précédents et lors de la réunion de la journée dont elle a dû animer les débats. Elle a ainsi apprécié les différents cocktails offerts qui l’ont complètement désinhibée pour finir par se déchaîner sur la piste de danse, passant d’un cavalier à l’autre. Elle a même apprécié toutes ses mains qui lui pelotaient à l’occasion les fesses ou la poitrine sans manifester la moindre répulsion, les confortant ainsi à toujours aller plus loin dans leur investigation.
Lorsqu’elle a retrouvé sa copine délurée avec qui elle partage toujours la chambre, celle-ci n’a pas eu trop de mal à la convaincre de se joindre à elle pour un bain de minuit avec tous les copains. Mylène m’a avoué qu’elle est même sortie entièrement nue de la chambre avec sa copine, sans ressentir la moindre gêne malgré la lumière blafarde de la Lune qui éclairait leur silhouette sur la plage, les seins ballotant au rythme de leur course. C’est dans la bonne humeur générale qu’ils se sont ébroués ensuite dans l’eau un peu fraîche faisant tendre ses tétons. Ayant oublié dans la précipitation de prendre une serviette, c’est Alain qui lui a proposé la sienne. Elle l’a laissé l’essuyer de partout. Elle a alors ressenti le même bien-être, m’a-t-elle avoué, que lorsque je l’ai baisée, attachée à l’arbre ou en me faisant passer pour Alain, justement.
Je l’ai laissée poursuivre son récit qui l’excitait à nouveau en se le remémorant :
— Tu sais chéri comme je t’aime. Quand un de ses doigts s’est insinué dans mon antre, j’ai repensé à toi, me disant laisse-toi aller Mylène, imagine que c’est Alain qui te caresse !— Et sa caresse était aussi douce que la mienne, c’est ça ?— Oui. Je me suis alors lovée dans sa serviette et ses bras et il m’a raccompagnée à ma chambre au moment où ma copine en sortait pour aller passer la nuit avec un autre copain !— Et tu ne l’as pas laissé sur le pas de la porte, je suppose ?— Non, bien sûr. J’étais si bien dans ses bras que je ne l’ai pas repoussé quand il a approché ses lèvres des miennes. Après un long baiser langoureux, il m’a portée jusqu’à mon lit dans le noir sans allumer la pièce à ma demande. Il m’a couverte ensuite de baisers sur tout le corps, insistant sur mes tétons qu’il a aspirés et mordus avant de finir par téter mon clito et sucer mes lèvres intimes.— Et toi tu t’es occupée de lui également ?— C’est quand il s’est allongé tête-bêche à mes côtés pour présenter sa queue raide près de mon visage que je l’ai prise en main pour la caresser, la branloter avant de soupeser ses lourdes couilles.— Tu l’as sucé ensuite, je suppose ?— Oui. Son gland sentait la mer et avait un goût très salé. J’avais la sensation d’avoir toujours le bandeau sur les yeux et d’être avec toi, chéri. Je me suis laissée alors aller complètement à la jouissance grandissante qu’il m’a prodiguée, lui permettant même de passer par la petite porte où il s’est finalement répandu !— Oh, je t’aime ma chérie. Tu as enfin réalisé mon fantasme le plus cher. Viens que je t’encule à mon tour, pour te remercier !— Oui, baise ta salope de femme comme elle le mérite. Tu me puniras bien sûr pour mon incartade conjugale, hein chéri !— Oui désormais, tu devras faire tout ce que je te demande sexuellement, c’est bien entendu ?— Oui chéri.— Tu ne mettras plus de sous-vêtements pour tes réunions de groupes !— Si tel est ton plaisir, je le ferais.— Tu exhiberas ta chatte quand je te le demanderais.— Pas en famille quand même !— C’est à moi d’en juger, toi tu exécutes, c’est compris.— Bien chéri. Tout ce que tu voudras. Je t’aime, tu sais. Encule-moi fort !— Alors tu baiseras avec Alain chaque fois que je te le demande !— Encore faut-il qu’il soit d’accord pour le faire à ce moment-là !— Ce sera à toi de l’aguicher pour qu’il te prenne quand même.— C’est toi que j’aime chéri, je ne peux pas te faire ça.— Ne t’inquiète pas pour moi. Nous ne te prendrons à deux ensembles. Tu vas jouir comme jamais !— Tu es le plus pervers des maris que je connaisse. Aucune de mes copines n’en ont d’aussi vicieux que toi !— Mais toi, tu vas t’éclater sexuellement, ce n’est pas super, non ?— En attendant, fais-moi jouir par le cul !— Tu vas d’abord appeler Alain pour qu’il nous rejoigne immédiatement.— Je ne peux pas faire ça. Pour qui je vais passer auprès de lui désormais ? Mon autorité naturelle va en prendre un coup.— Je ne le crois pas. Il t’estime beaucoup au contraire et il est prêt à tout pour te baiser, maintenant qu’il y a goûté, je pense. A toi de le convaincre. Tu m’as donné carte blanche pour te faire faire tout ce que je veux sexuellement, non ?— Oui chéri. Je l’appelle.— Mets le haut-parleur que j’entende sa réponse.— Allo ! Alain. C’est Mylène. Comment vas-tu depuis le dernier week-end que je viens de raconter dans les moindres détails à mon mari ?— Ah bon ! Comment a-t-il pris la chose ?— Plutôt bien, puisqu’il te demande de venir nous rejoindre. Il est dans mon cul et t’offre mon vagin pour que vous me preniez en double !— Je ne te crois pas. Tu me fais marcher pour me punir d’avoir abusé de ta faiblesse après tous les cocktails ingurgités.— Non, je t’assure. J’ai envie de ta queue et je suis à jeun d’alcool.— Ce n’est pas possible que ce soit la Mylène que je connais qui puisse formuler une telle demande aussi crûment, même si j’ai bien senti que tu jouissais sans simuler lorsque j’étais en toi !— Tu veux que je te passe mon mari pour confirmer ?— Oui, s’il est bien près de toi ?— Il est même en moi bien au fond de mon cul et nous t’attendons dans notre position favorite face à la porte-fenêtre ouverte. Tu n’auras qu’à entrer sans frapper, même dans mon vagin que tu pourras alors labourer à ta guise !— La proposition est alléchante. Ce que je risque tout au plus, c’est de trouver porte close. Je suis impatient de te retrouver pour surtout comprendre ton changement d’attitude.— Dépêche-toi. J’ai besoin de jouir !— Bravo, ma chérie. Tu as été parfaite. Je sens même ta mouille couler abondamment sur mes couilles. Il me tarde de te voir enfin baiser avec un autre.— Je le fais surtout pour toi mon chéri.— Avoue quand même que tu espères jouir de nos deux queues, une fois l’appréhension de sa présence dans nos ébats passée ?— Oui je flippe un peu. Surtout de me présenter en salope face à lui jambes écartées quand jusqu’ici j’ai toujours été la femme fidèle et la mère attentionnée tirée à quatre épingles et sérieuse sous tous rapports !— Je t’aime ma chérie de te prêter ainsi à tous mes délires. Tu ne le regretteras pas, je pense, car tu vas jouir comme jamais !
Nous n’avons pas beaucoup à attendre avant d’entendre le portillon grincer et de voir la silhouette d’Alain se dresser à contre-jour dans la porte-fenêtre. Il est stupéfait du tableau et n’en croit pas ses yeux. Il ne prononce aucun mot pendant qu’il se désape complètement, offrant sa verge dure au regard avide de Mylène. Elle ne lui dit rien non plus, se contentant d’écarter ses lèvres intimes pour l’accueillir.
Je sens alors le passage de sa grosse queue qui se frotte à la mienne par cloison fine interposée. Mylène s’agrippe à ses épaules et le force à se pencher pour l’embrasser. Je suis dessous et sens le poids de leurs deux corps qui s’agitent bientôt en cadence. Je suis aux anges. Jamais je n’aurai cru possible une telle situation. Il est si excité lui aussi qu’il ne tarde pas à jouir en elle. Je mets peu de temps à l’imiter dans l’autre orifice.
Sans un mot, Mylène se dégage de nos deux bites pour aller prendre une douche. Nous commençons alors de discuter, Alain me remerciant une fois de plus de pouvoir profiter de ma femme. Je lui réponds que tout le plaisir est pour moi de voir Mylène se faire prendre sous mes yeux et que j’ai réussi à la convaincre de baiser avec lui chaque fois qu’il le souhaitait en me prévenant pour que je l’oblige à le faire. Nous venons en effet de juste passer un deal entre nous à la suite de son incartade en week-end avec lui pour lequel elle souhaitait être punie à la hauteur de sa débauche.
Il comprend alors le changement de comportement de Mylène qu’il n’imaginait jamais voir sous cet angle, aussi ouverte sexuellement. Nous profitons à notre tour de l’autre salle de bains pour nous rafraichir rapidement avant de rejoindre le salon toujours à poil bien sûr. C’est là que Mylène nous rejoint après un détour par la cuisine pour prendre des rafraichissements et venir s’assoir sur le pouf, cette fois entièrement nue, mais les cuisses toujours bien écartées pour offrir son berlingot à la vue d’Alain en lui disant :
— Tu prendras quoi Alain après la maîtresse de maison ?— Je te laisse choisir une fois de plus. Merci encore pour ce cadeau incroyable et surtout impensable de ta part, il y a quelques mois encore.— Tout le mérite en revient à JP qui a fini par me convaincre que d’aller voir ailleurs ne pouvait que m’enrichir sexuellement sans mettre à mal notre couple, puisque c’est sur son insistance que j’ai fini par céder et m’offrir à toi Alain pour mon plus grand plaisir, je l’avoue.— Ma chérie, je t’aime et de te voir t’éclater ainsi avec Alain m’excite beaucoup, tu sais. Maintenant que tu as accepté de réaliser toutes mes demandes d’ordre sexuel, quelle qu’elle soit, tu vas en guise de rafraichissement t’agenouiller entre les cuisses d’Alain et le sucer à fond !— Mylène, ne te sens pas obligé. Tu restes avant tout pour moi notre Présidente et c’est à toi de décider en toutes circonstances !— Non te t’inquiète pas pour moi. C’est avec grand plaisir que je vais m’abreuver à ta source chaude !
Elle ne prend pas la peine de se relever et c’est à quatre pattes qu’elle va se positionner entre ses jambes pour le prendre en bouche tout en le regardant dans les yeux. Il est terriblement gêné, mais ne tarde pas à bander. Sa docilité m’excite au plus haut point, et une fois en érection à mon tour, je me lève pour la prendre en levrette. Je ne peux m’empêcher de reprendre alors la discussion avec Alain en ignorant totalement Mylène, notre chienne d’un jour, obéissante à tous nos caprices. Nous échangeons nos positions tout en continuant de parler de choses et d’autres jusqu’à ce que nous éprouvions chacun le besoin d’éjaculer. C’est Alain qui le premier enfourne sa bite dans la bouche de Mylène qui tend sa langue pour l’occasion. Après un dernier branle vigoureux, il lui badigeonne rapidement la glotte. Elle avale tout y compris les quelques gouttes reçues sur ses lèvres qu’elle lèche en plongeant son regard dans celui d’Alain avant de dire :
— C’est bizarre, ton foutre a un goût très différent de celui de JP et pourtant, j’ai l’impression d’y avoir goûté déjà, notamment le jour où tu es venu pour préparer la réunion du groupe et que vu votre insistance à tous les deux à me déshabiller du regard alors que je n’avais justement pas de sous-vêtements, j’ai dû me rhabiller décemment. Vous pouvez me donner une explication ?
On se regarde tous les deux, médusés. J’approche alors à mon tour ma bite tendue de la bouche de Mylène qu’elle gobe en l’aspirant et la suçant comme une glace. Une fois assuré qu’elle ne va me répondre dans l’immédiat, je lui avoue notre stratagème. Ses yeux me fusillent alors du regard. Je lui bloque aussitôt la tête pour qu’elle continue sa fellation.Une fois que je me suis soulagé et qu’elle a tout avalé, je lui tends un verre pour qu’elle se rince la bouche avant de nous insulter :
— Tous les mêmes les hommes. Vous n’êtes capables de penser qu’avec votre bite. C’est toi Alain qui me déçoit le plus. Je ne te pensais pas aussi pervers que mon mari.— Comme tu le sais, ma femme m’a quitté depuis un moment déjà et quand ton mari m’a proposé lors de la soirée de fin d’année de notre groupe de pouvoir te draguer à ma guise avant de me soumettre ce surprenant scénario, j’ai accepté tant tu me plais tu sais et que j’ai envie de toi à longueur de journée !— Et bien maintenant, tu peux assouvir toutes tes pulsions avec moi. Mon mari a décidé de me partager avec toi. Tu ne m’as pas encore enculé aujourd’hui. Alors, profites-en ! Tu préfères me prendre en levrette ou que je m’assois sur ta queue !
A ces mots aussi crus, Alain n’en croit pas ses oreilles, mais se met à rebander. Il prend la main de Mylène pour qu’elle s’approche. Toujours assis, il ne fait que l’accompagner pour qu’elle vienne elle-même s’empaler et le masturber avec son anus en me regardant avec des yeux d’une froideur extrême.Le plaisir montant chez chacun d’eux, ses yeux finissent par s’embuer de bonheur jusqu’à ce que le ramonage produise son effet éjaculateur. Elle vient alors présenter son cul pour déverser le trop-plein de foutre sur mes cuisses :
— Voilà mon chéri. Tu es fier de ta femme, j’espère. Elle a assouvi tous tes désirs même les plus pervers. Sache que s’il n’y avait pas les filles, je te quitterais sur-le-champ pour aller vivre avec Alain. Aussi comme je te l’ai promis, je continuerais de baiser avec Alain ici ou ailleurs, MAIS avec toi, c’est fini. Tu as trop joué de ma crédulité pour assouvir tes pulsions. Tes stratagèmes pour m’exhiber pour soi-disant m’exciter n’amusent que toi en définitive, alors ne compte plus sur moi pour t’émoustiller. Ici, je serais dorénavant toujours habillée très sagement en ta présence et irais désormais m’exhiber ailleurs, si Alain me le demande.
Nous sommes d’un coup, tombés des nues avec Alain complètement estomaqué par sa dernière tirade. Nos regards se sont croisés, mais aucun son n’a pu sortir de notre bouche. C’est Mylène qui a rompu le silence :
— Bon Alain, si cela te convient, je fais ma valise et je viens passer quelques jours chez toi, le temps que JP comprenne bien ce qui lui arrive.— Euh ! Tu me prends au dépourvu. Je n’avais rien de spécial de prévu ces jours-ci, mais tu sais, je vis en célibataire depuis un moment et c’est un peu le bazar chez moi !— S’il n’y a que ça qui t’inquiète, j’aurai vite fait de tout ranger. Tu n’auras qu’à me baiser pendant que je fais le ménage. Je sais que c’est un fantasme récurrent chez les hommes que de se faire la soubrette à l’occasion !
Et là, ni une, ni deux, elle part faire sa valise dans la chambre pour revenir quelques minutes plus tard en chemisier transparent sans soutif et jupe courte qu’elle soulève sous mes yeux en me disant que c’est la dernière fois que je peux admirer son minou d’aussi près ! Alain comprend alors qu’elle ne plaisante pas et s’empresse de se rhabiller à son tour. Ils quittent alors la maison où je me retrouve seul comme un con !!!
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