Dans un premier chapitre mêlant réalité et fiction, j’ai exposé la progression de ma femme Mylène dans le difficile passage à l’acte de l’exhibition jusqu’à se laisser attachée, nue, les yeux bandés à un arbre de notre jardin en bordure de la rue. Dans un deuxième volet, j’ai décrit comment malgré elle d’abord, elle a fini par accepter une autre queue en elle, puis consciemment ensuite avant de quitter temporairement le foyer conjugal ! Ce troisième et dernier chapitre est consacré à la libération totale de son corps, mais aussi de ses obligations conjugales, voire même de certains tabous ...
– 0 –
Les quinze jours suivant son départ précipité chez Alain, son tout nouvel amant, m’ont paru interminable d’autant qu’elle ne m’a donné aucun signe de vie durant cette période. Heureusement que j’ai pu compter sur Alain qui ne sait toujours pas comment me remercier de ce cadeau inimaginable il y a quelques semaines encore, avoir dans son lit la Présidente de son association qui le fascine depuis toujours. Nous nous retrouvons ainsi tous les deux régulièrement afin de me tenir informé de l’évolution de Mylène. J’apprends ainsi qu’elle ne prend plus la peine de s’habiller dans la journée lorsqu’elle vaque aux occupations de la maison qu’elle a d’ailleurs très rapidement remise en ordre. Il peut ainsi la baiser à tout moment, en tout lieu, et toutes circonstances. Elle ne se dérobe jamais, une vraie bête de sexe « saute au paf » comme il s’amuse à l’appeler. Elle n’est plus du tout gênée par sa nudité, n’hésitant pas à aller ouvrir au facteur ou au voisin dans le plus simple appareil tant et si bien que ce dernier leur rend très souvent visite. C’est donc sans aucune réticence qu’elle a accepté d’aller sur une plage naturiste qu’ils fréquentent désormais régulièrement et où il lui a présenté deux couples d’amis échangistes avec qui elle a sympathisé. Il m’informe à ce propos que cet après-midi-là justement, ils devraient les rejoindre dans les dunes surplombant la plage, chacun apportant de quoi dîner et passer la soirée ensemble.
– 0 –
C’est avec le plan détaillé de leur lieu de rendez-vous sur la plage qu’il m’a griffonné que je m’y rends une bonne heure avant l’heure fixée, impatient de voir jusqu’où Mylène est capable d’aller aujourd’hui. J’ai pris soin de me munir d’une paire de jumelles et d’un appareil photo. Je choisis non sans mal un emplacement suffisamment proche, mais discret et commence de parcourir le guide pratique « Osez le candaulisme » que je viens d’acheter pour l’occasion ! Il ne me faut pas attendre longtemps pour voir arriver un premier couple, la quarantaine comme nous, elle petite et menue avec des cheveux châtains coupés très court à la garçonne ayant conservé ses petits seins d’ados, un ventre plat et un cul rebondi. Lorsqu’elle se penche pour étaler sa serviette, je distingue nettement son abricot lisse et fendu surmonté d’un bijou bien calé entre ses fesses. Son mari à l’opposé est immense, probablement ancien basketteur américain, tout en muscle avec un sexe démesuré même au repos. C’est sa femme qui le couvre de crème solaire sur tout le corps malgré sa couleur de peau. Elle insiste longuement sur son entrejambe, finissant par le masturber carrément avant de se pencher pour recueillir en bouche sa liqueur. C’est le moment choisi par un deuxième couple pour venir s’installer près d’eux. Elle, blonde, grande et élancée avec de jolis seins toujours fermes et un pubis clairsemé bien taillé confirmant sa couleur naturelle. Elle dépose ses sacs à proximité de sa copine qu’elle vient embrasser à pleine bouche, échangeant par la même le foutre encore chaud de son mari. Le deuxième homme moustachu à lunettes et au ventre bedonnant lui cachant probablement la vue de sa petite bite au repos parait très jovial puisqu’il déclenche l’hilarité générale après un bon mot que je n’ai malheureusement pas pu capter vu la distance qui me sépare d’eux. Mes jumelles en main, je peux distinguer l’arrivée lointaine de Mylène et Alain. Ils sont déjà à poil tous les deux lorsqu’ils apparaissent dans la petite clairière. Ma femme est resplendissante de bonheur au bras de son amant. Ses cheveux en chignon, son 90B et sa toison noire toujours aussi fournie complètent la diversité de la gent féminine réunie cet après-midi-là. Je suis complètement estomaqué de voir qu’elle embrasse tout le monde sur la bouche, y compris les filles insistant longuement dans un baiser langoureux avec la première arrivée qui lui a sans doute gardé un peu de semence à partager... Elle ne se dérobe pas non plus quand cette dernière frotte ses longs tétons durcis contre les siens et lui malaxe les fesses en guise de bienvenue. Elles s’assoient d’ailleurs toutes les deux, côte à côte, pour papoter un peu avant carrément de se retrouver tête-bêche pour entamer un broute minou endiablé. La grande blonde n’est pas en reste et s’occupe déjà de redonner vigueur au colosse noir pendant qu’Alain la pénètre sans préalable aucun. J’ai juste le temps d’apercevoir qu’elle porte également un plug anal. Le mari bedonnant en profite pour installer le campement en sortant tout le matériel nécessaire pour leur soirée. Outre les glacières pour le dîner et la nappe qu’il étale au milieu. Il dispose plusieurs petits matelas fins sur lesquels il place çà et là des capotes, du lubrifiant et plusieurs sex-toys de différentes dimensions. Là c’est sûr, ils ne sont pas venus uniquement pour la baignade ou le dîner entre amis ! Mes yeux ou plutôt mes jumelles s’attardent désormais sur Mylène et sa nouvelle copine de laquelle elle vient d’extraire le plug qu’elle suce alors avant de le tendre à sa propriétaire qui fait mettre ma femme à quatre pattes avant de lui glisser le bijou à son tour dans son fondement. Je ne peux m’empêcher d’immortaliser la scène avec mon appareil. Mylène reste dans cette position un long moment, m’offrant la vue directe de son cul ainsi mis en valeur. Je ne suis pas le seul à l’admirer dans cette position.
La bite noire totalement déployée après la fellation de la blonde est d’un diamètre tout aussi incroyable que sa longueur. Et pourtant c’est bien vers ma femme qu’elle se dirige à présent. Le temps de récupérer un flacon de lubrifiant et de copieusement badigeonner la vulve de Mylène et la voilà qui se dilate sous la poussée du mandrin. Il s’y reprend à plusieurs fois, me laissant tout loisir d’admirer le trou béant qui s’élargit à chaque intromission. Ma femme n’avait pas été autant dilatée depuis ses deux accouchements. Et pourtant, c’est bien elle que j’entends le supplier de bien la limer et d’entrer le plus loin possible. C’est quand je le vois ressortir lentement son engin que je mesure la souplesse du vagin de ma femme qui a pu le contenir dans sa quasi-totalité. La sortie me parait interminable. Comment tant de centimètres de chair ont-ils pu entrer ? Elle en redemande pourtant encore. Il la pilonne à présent si fort qu’elle en crie sa jouissance, rameutant quelques voyeurs, dont un qui vient carrément s’assoir à mes côtés : — Cela ne te dérange pas que je partage ton emplacement. C’est là que je viens habituellement. C’est le meilleur spot pour les photographier et les filmer.— Non bien sûr, si l’on peut également partager nos clichés à l’occasion. Tu viens souvent ici ?— Oui, une à deux fois par semaine quand ce groupe-là se réunit. Ils sont vraiment super et sans tabou. Pas de problème pour échanger nos photos. Je t’en enverrais quelques-unes de croustillantes notamment de celle au chignon défait qui est en train de se faire dilater le fourreau avant d’être godée par les autres femelles. Tu verras, cela fait partie de leur rituel habituel !— Il y a longtemps que tu les espionnes ainsi ?— Oui plusieurs années, mais la dernière arrivée depuis une dizaine de jours seulement semble déchaînée à vouloir rattraper le temps perdu tant elle se donne à fond pour chaque expérience qu’elle semble souvent découvrir comme embrasser une fille pour la première fois où lui lécher l’abricot. Elle est entre de bonnes mains pour parfaire son éducation sexuelle qui à la quarantaine semblait manquer un peu de diversité.— A ce que je vois, elle t’a tapé dans l’œil, si je comprends bien ?— Oui elle est vraiment canon et ouverte à tout. Je t’enverrai quelques photos d’elle, tu comprendras mieux.— Tu n’as jamais eu l’occasion de t’approcher d’elle ?— Si bien sûr. C’est pourquoi je ne rate jamais leur venue. Ils laissent souvent à la fin de leurs ébats la possibilité aux voyeurs de les approcher, voire de les toucher. J’en profite pour bien peloter cette brune pas farouche qui m’a même laissé un soir la pénétrer en me tendant une capote pour me remercier des gros plans que j’ai faits d’elle et que je lui ai envoyés chez son amant où elle vit désormais, m’a-t-elle confié. — Elle a eu le temps de te raconter sa vie pendant que tu la baisais ?— Non, mais elle m’a écrit un petit mot de remerciement pour les photos où elle m’a même dit que son cocu de mari ne l’avait jamais fait grimper aux rideaux, aussi fort que ce qu’elle vit ces derniers temps. Elle en profite donc un maximum avant de revenir chez elle quand ses enfants rentreront de vacances et que le train-train quotidien reprendra.— Ah d’accord ! Elle t’a donc à la bonne pour te confier autant de détail de sa vie privée ?— Oui. Elle compte bien utiliser tous mes clichés pour faire enrager son mari qui ne rêve que de la pousser dans les bras d’un autre. Avec toutes mes photos, il sera servi !— Alors, avec ton zoom ,essaie de bien lui montrer comment sa chatte est démontée à présent !— Toi aussi, je vois, tu en pinces pour cette nana. Si tu veux, je te laisserais ma place quand je la prendrai en levrette. Elle ne s’en rendra pas compte occupée qu’elle sera à sucer une autre bite !— C’est très sympa de ta part. Nous en restons là de notre discussion, accaparés par les ébats qui évoluent sous nos yeux. Le mari bedonnant se fait maintenant sucer par Mylène, sa bite si petite au repos s’allonge démesurément en restant fine au point qu’il n’a aucun mal à venir remplacer le plug de ma femme qu’elle remet en place aussitôt dans le cul de sa propriétaire, n’omettant pas au passage de lui prodiguer une « feuille de rose » que je lui voyais totalement incapable, même d’imaginer le faire, il y a quelques semaines encore ! C’est au tour de la grande blonde de profiter du braquemart géant, son mari s’occupant du cul de ma femme dont la bouche est posée à présent sur le berlingot de la menue. Elle alterne le léchage de clito et la succion des minuscules petites lèvres de sa nouvelle amie avec la fellation de la bite d’Alain qu’elle replace elle-même à intervalles réguliers dans le sexe qu’elle nettoie de sa langue avant chaque intromission. Cette scène émoustille mon voisin qui commence à se branler sans se soucier de ma présence. En parcourant des jumelles les bosquets environnants, je me rends compte que beaucoup d’autres voyeurs en font autant, certains n’hésitant pas à se rapprocher très près des couples en action. Mylène ne s’offusque ainsi pas que deux branleurs plus téméraires finissent par s’astiquer à genoux en posant carrément leurs bites sur son dos avant de le recouvrir rapidement de leur foutre. Ils donnent ainsi le feu vert à plusieurs autres voyeurs qui la couvrent bientôt d’une belle couche de sperme. C’est la grande blonde avec toujours la grosse bite en elle qui s’approche petit à petit de ma femme pour lui prodiguer un massage gluant de tout son corps y compris ses seins et ses cuisses et même les pieds, son mari ayant fini par cracher sa semence dans le cul de Mylène pour ajouter une touche finale à ce tableau, bien sûr immortalisé par mon voisin. Alain ayant lui aussi fini par se soulager dans la bouche de son amante, c’est elle qui donne le top départ pour courir se nettoyer dans la mer. Ce fut également le déclenchement de l’envolée de moineaux des voyeurs cachés tout autour. Nous n’étions plus que deux avec mon voisin qui en a profité pour me faire partager son repas, n’ayant pas pris la peine d’apporter de quoi me sustenter, n’imaginant pas que la soirée pouvait durer aussi longtemps. En fouillant son sac à dos pour récupérer de quoi boire, il a mis la main sur un petit album qu’il pensait avoir laissé chez lui. Il me l’a tendu.
– 0 –
Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu’il était entièrement consacré à Mylène ! Sur la première, on la voit habillée avec soutif et culotte qu’elle ôte petit à petit, non sans rougir, sur les suivantes. Il y en a même une où elle masque ses tétons d’un bras replié pendant que l’autre main cache sa toison avec tous les autres à poil en arrière-plan qui sourient. Dans la série suivante, c’est la garçonne manquée qui s’occupe de la dévêtir, mais cette fois, elle ne porte déjà plus de sous-vêtements. Elle a les yeux écarquillés quand la main fine s’insinue entre ses cuisses et toujours sur la photo suivante lorsqu’un doigt féminin la pénètre. Je la découvre sous un autre jour quand elle joue avec des godes de différents modèles seuls ou avec ses deux copines. Le gros plan de sa langue s’enroulant autour de celle de la grande blonde avec ses yeux embués me démontre qu’elle y prend vraiment goût. Il y en a une particulièrement suggestive où elle frotte son sexe contre celui de la grande copine, leurs poils bruns et blonds se mêlant et leurs lèvres s’écrasant avec leurs jambes encastrées en compas. Elle s’occupe sur le même cliché de lécher la vulve de la copine menue pendant que leurs trois partenaires masculins se branlent en les regardant. La série qui fait intervenir les hommes commence par sa tête médusée de voir l’énorme bite entrer et sortir du conduit étroit de son épouse à ses côtés qui lui sourit pendant qu’Alain la pénètre et que le dernier couple copule à ses côtés en l’effleurant. Les photos suivantes la présentent avec des bites différentes en elle que ce soit dans sa bouche ou sa chatte, son cul n’étant jusque-là qu’investi par celle d’Alain ou le mari de la blonde. La dernière photo de l’album est un gros plan de la bite de mon voisin dans le cul de ma femme !
– 0 –
Je finis juste de parcourir l’album quand ils reviennent tous trempés. Mylène se laisse sécher par Alain avant de se lover dans ses bras et l’embrasser langoureusement. Je découvre qu’elle ne m’a pas menti dans sa description du bain de minuit lors de son week-end de formation. Ils s’assoient tous en rond pour grignoter un peu et papoter, les couples ainsi reformer voient Mylène assise entre le bedonnant et le propriétaire de la grosse bite tandis qu’Alain est entouré de la grande blonde et de la petite menue. Je ne perçois pas ce qu’ils se disent, mais les rires vont bon train et Mylène n’est pas en reste complètement hilare même quand son voisin noir lui glisse quelque chose à l’oreille. Elle se soulève alors légèrement pour qu’il puisse la prendre par la taille et venir la déposer sur sa bite soudainement en totale érection. Elle écarte alors ses lèvres avant de se laisser redescendre complètement sur le mandrin démesuré. La discussion se poursuit pendant qu’il la pelote de ses grosses mains emprisonnant totalement chaque sein. Ainsi bloquée, elle ne peut empêcher ses deux copines de venir titiller son clito avec un vibro qui la fait bientôt tressaillir l’obligeant à se remuer avec ce pieu planté en elle. Quelle vision ! Ses yeux sont bientôt révulsés et elle crie sa jouissance une nouvelle fois, rameutant ainsi la population des voyeurs. Ses orgasmes se succèdent, elle rentre même en transe quand la bite se met en mouvement et vient sans doute cogner le col de son utérus. Les deux filles continuent d’exciter mécaniquement son clito tout en lui roulant alternativement des pelles pour la maintenir dans un état permanent d’excitation. Elle est totalement épuisée quand ils décident de la ramener sur Terre. Elle reste un long moment allongée jambe écartée avec son vagin grand ouvert duquel le liquide séminal de son baiseur continue de s’écouler. Ses lèvres carminées sont totalement chiffonnées, même son clito turgescent tarde à retrouver son capuchon. Mon voisin ne peut s’empêcher de zoomer dessus. Elle a les yeux clos et le souffle court, les bras en croix, elle semble implorer le Dieu Priape de lui avoir permis de découvrir de telles sensations insoupçonnées.
– 0 –
Le soleil commençant de rejoindre l’horizon, la luminosité ne permet bientôt plus de distinguer les corps qui se sont remis à copuler. C’est le petit bedonnant qui s’occupe d’allumer les lampes à gaz pour nous permettre de jouir encore un peu du spectacle érotique offert. Mon voisin me dit que cela va bientôt être notre tour de profiter des charmes de la brune dont les cheveux longs défaits recouvrent désormais sa poitrine. Elles les replacent régulièrement dans son dos en regardant dans notre direction comme pour s’assurer que son photographe préféré peut la mitrailler sous son meilleur angle. Je constate qu’il s’agit en fait d’un signal, car mon voisin me fait signe de le suivre. Nous sommes à présent proches d’eux, mais toujours dans la pénombre. Mylène consciente de notre présence se met à sucer Alain en prenant soin de nous présenter ses fesses, son abricot velu suintant toujours de cyprine dans l’attente d’une nouvelle pénétration. Mon voisin comprend le message et vient se placer derrière elle avant de lui taper légèrement la fesse pour signaler son arrivée. Elle creuse alors les reins pour offrir sa chatte à baiser. Il entre d’un coup et se met à la pilonner un long moment avant de me faire signe de le rejoindre quand il entame une série d’entrées et sorties complètes sans même la toucher des mains. Je m’approche, la bite en complète érection et entre à mon tour en procédant au même manège dans un premier temps avant de me masturber carrément en elle. Alain me reconnait alors et me fait un clin d’œil avec le pouce levé !
– 0 –
Le hasard a voulu que peu de temps après, je rencontre sa copine délurée avec qui elle partage souvent sa chambre lors des week-ends de formation de leur association. Ignorant que je sois au courant de l’infidélité de Mylène avec Alain, elle semble gênée que je l’aborde. Je la rassure très vite pour qu’elle me raconte sa version de cette soirée où Mylène a volontairement pour la première fois expérimentait l’exhibition totale en public et la pénétration d’une nouvelle bite. Elle a trouvé Mylène déjà un peu changée à son arrivée en week-end, ne s’offusquant plus de voir sa copine déambuler nue dans la chambre. Mais c’est quand elle l’a vue partir en réunion sans soutif avec un chemisier léger sous lequel ses seins ballottaient sans retenue qu’elle a cru bon de lui demander ce qui lui arrivait d’autant qu’elle devait animer les débats de la journée avec tous les regards tournés vers elle. Elle lui a répondu que c’est son mari qui veut qu’elle se lâche un peu plus en exposant plus ouvertement ses charmes. Elle a alors soulevé sa jupe mi-longue pour me faire découvrir pour la première fois sa toison. Prise par les discussions en séance, elle a rapidement oublié qu’elle ne portait pas de culotte et j’ai pu voir l’attention grandissante de l’assistance masculine comme féminine chaque fois qu’elle décroisait et recroisait ses jambes en soulevant toujours un peu plus sa jupe. Elle a remercié à la fin tous les participants pour l’excellente tenue des débats et a quitté la salle sous les applaudissements. Quand nous nous sommes retrouvées dans la chambre pour prendre une douche et nous changer pour la soirée, elle m’a imité en se déshabillant sous mes yeux pour aller nue sous la douche sans prendre la peine de fermer la porte. Je l’ai vue se caresser longuement les seins avec de la mousse en se pinçant les tétons avant de s’occuper de son entrejambe et titiller carrément son clito en levant les yeux pour voir si je la matais ! A son retour dans la chambre, toujours à poil, elle m’a demandé si j’avais une crème épilatoire ou un rasoir pour que je lui fasse le maillot. J’étais complètement ébahie par son changement de comportement, elle si pudique jusque-là. Elle souhaitait juste que son poilu ne soit pas trop envahissant, mais tenait à garder des poils même sur sa vulve. Elle a opté ensuite pour un haut léger qui moulait bien sa poitrine et faisait ressortir ses tétons tout en laissant ses seins se mouvoir librement et sensuellement. Une jupe plus courte toujours sans-culotte et un maquillage léger, mais plus soutenu autour des yeux pour compléter le tableau m’ont fait augurer d’une soirée débridée dans laquelle ta Mylène comptait bien s’éclater. Ce qui fut le cas tant elle a enfilé d’abord de cocktails différents avant de s’éclater sur la piste avec tous les mecs présents. Elle n’a même pas daigné remettre de l’ordre dans sa tenue quand l’un d’eux lui a défait le chignon pendant qu’un autre passait son top carrément au-dessus de sa poitrine. Elle a continué un moment comme ça à danser les seins à l’air et la chevelure défaite pour le plus grand plaisir de l’assistance qui l’encourageait. Quand complètement vannée, elle m’a demandé de la raccompagner à la chambre, j’ai bien senti qu’elle était terriblement excitée. Je ne me faisais alors aucun doute sur la suite des événements. Je n’ai pas eu beaucoup à insister pour qu’elle m’accompagne au bain de minuit et à notre retour j’ai fait en sorte qu’elle voit bien que j’allais découcher pour lui laisser la chambre libre. Elle me glisse alors à l’oreille : — Tu sais, tu as une épouse incroyable. Laisse-la vivre sa vie de femme épanouie. Elle t’en sera gré et reviendra vivre auprès de toi, j’en suis sûre. Vos deux filles en seront les témoins privilégiés.
– 0 –
Les jours restants avant le retour de nos filles me font beaucoup cogiter sur l’avenir de notre couple ayant pu constater à quel point ma femme s’éclate avec Alain et ses amis aussi bien qu’au sein de son association où elle est très appréciée. Il faut que nous en parlions tous les trois avant qu’elle ne rentre à la maison pour trouver la meilleure solution qui satisfasse chacun.
