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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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exhibition en public

Chapitre 1

Hétéro
J’ai toujours associé le sexe au plaisir et dés mon adolescence je me suis montrée sexuellement ouverte et curieuse. Malgré cela il m’a fallu attendre mes 28 ans pour rencontrer l’homme qui allait pleinement assouvir ma libido. Cette histoire remonte à cette période de ma vie et plus précisément à mon troisième rendez-vous avec Jérôme.Exhibition en public ...Le soleil était à son zénith alors que pour ma part j’émergeais tout juste. J’avais la folle nuit de la veille en tête et la journée devant moi pour me remettre de mes dernières émotions. En quelques jours Jérôme m’avait entraînée plus loin que tous mes précédents amants et aussi déraisonnable que cela puisse paraître je savais que ce n’était pourtant que des prémices. J’en avais à la fois la conviction et l’envie. Sa dernière demande, que je sois toujours nue et disponible sous une robe ou une jupe légère, en disait d’ailleurs long sur son état d’esprit.Le téléphone venait de sonner, coïncidences troublantes. Je laissais justement libre cours à mes fantasmes les plus inavouables en pensant à nos futures rencontres tandis qu’il pensait que cette superbe journée ensoleillée était idéale pour faire des photos érotiques de moi, nue et offerte sous le soleil. L’appel a été bref et direct mais à y réfléchir mon comportement lors des deux premiers rendez-vous indiquait qu’il pouvait me faire ce type de proposition sans détour.Une petite heure plus tard j’étais devant chez lui, nue sous une petite robe légère qui se boutonnait de haut en bas par devant. Je voulais pouvoir me montrer ? joueuse ? avec un minimum de discrétion et cette robe autorisait une large gamme de possibilités entre tous les boutons fermées et la grande majorité d’entres eux ouverts. L’idée de poser dans des positions et des lieux que j’imaginais indécents me plaisait beaucoup, j’avais envie de m’exhiber sans pudeur et de le voir fondre derrière l’objectif. Je n’avais qu’une seule inquiétude : l’usage qu’il pourrait ensuite faire des photos. A cet égard j’avais préparé un discours et une entrée assez percutante qui, je l’espérais, me permettraient d’arriver à mes fins : aller loin dans l’exhibition mais en toute sécurité.Jérôme m’attendait assis sur les marches de son perron, un bouquin dans une main et son appareil numérique dans l’autre. J’ai commencé à offrir un à un les boutons de ma robe dés que je suis entrée dans son jardin, avec la ferme intention de le clouer sous l’effet de surprise. Lorsque je me suis arrêtée face à lui j’avais la poitrine entièrement dénudée et offerte sous ses yeux. Ma proposition fut approximativement la suivante :— Ce soir je récupère les photos. Tu garderas les plus anonymes et le plaisir d’avoir fait les autres. En contre partie, si tu acceptes, je te promets d’être très conciliante et cochonne en toute liberté devant cet objectif, je prendrais même des initiatives qui vont te surprendre.Il n’a pas cherché à négocier. A ma grande surprise il s’est contenté de se lever pour ouvrir sa porte et m’inviter à entrer d’un signe de main. Lorsque je suis passée à sa hauteur ses seuls mots ont été ? sur le balcon ?. Je n’ai rien dit, je suis tout simplement allée m’adosser à la balustrade de celui-ci et je les regardé arriver doucement.— Conciliante et cochonne en toute liberté devant l’objectif : je suis prêt, montre moi et surprend moi.Dos au vis-à-vis et face à lui, je n’ai éprouvée aucune difficulté à continuer ce que j’avais commencé dans son jardin. Mes mains libérèrent les derniers boutons de ma robe tandis qu’il me fixait à travers l’objectif. Une fois la robe ouverte j’ai laissé ses pans tomber librement de part et d’autre de ma taille et j’ai caressé du bout des doigts mes seins.— Plus de sous-vêtement en ta présence, tu vois je respecte mes engagements. Et toi, tu respectes les tiens ?Cette phrase aussi je l’avais préparée, je voulais instaurer une confiance mutuelle entre nous. Dans cette position il était le seul à pouvoir discerner que ma robe était entièrement ouverte et que j’étais nue en dessous, le seul à profiter du regard vicieux que je lançais à l’objectif, bouche entre ouverte. Ce fut la première photo. Même si on m’y voit nue, la pointe des seins déjà bien érigée et le sexe épilé, le plus érotique sur cette photo est la présence de l’arrière plan très dégagé sur d’autres habitations en contre bas.La suite il me l’a soumise sans parler, juste avec un sourire et un geste de la main droite. Je savais que l’exhibition ferait partie de notre jeu et le souvenir d’avoir fait l’amour de nuit contre cette même balustrade lors de notre premier rendez-vous était encore très frais. Sans un mot j’ai exécuté docilement ce que m’avait mimé sa main : me retourner. Je lui ai offert par la même occasion, une vraie pose érotique. Ou pour être moins hypocrite JE me là suis offerte.Ce fut la deuxième photo et elle scella notre accord : je poserais sans inhibition mais je conservais les photos. J’y suis en gros plan de ? dos, jambes légèrement écartées, penchée en avant contre la balustrade de son balcon. Les pans de la robe découvrent largement mon corps nu face au vis-à-vis et sont relevés pour dévoiler à l’objectif mes fesses nues et offertes par mes mains. Je reprenais ainsi une demande qu’il m’avait faite lors de notre deuxième rendez-vous : lui présenter mes fesses écartées par mes deux mains.La pose fut rapide, mon regard eu juste le temps de survoler rapidement les habitations sans rien voir de particulier. J’ai ensuite rejoint le centre du balcon de quelques pas sûr et précis, sans le lâcher des yeux. J’avais envie de sentir son corps, de lui montrer qu’il n’était pas le seul à contrôler la situation. Je suis resté quelques instants devant lui la robe ouverte puis j’ai libéré mes épaules pour la faire tomber à ses pieds.— Tu veux que je reste ainsi nue sur ton balcon et faire plaisir à tes voisins ou préfères tu me porter jusqu’à ta chambre et te faire plaisir ?Deux minutes plus tard nous étions dans sa chambre. J’ai pris tout mon temps pour le déshabiller, en commençant par dénuder son torse et en finissant par son caleçon pour assouvir un de mes petits plaisirs : Etre accroupie devant le sexe de mon amant pour le contempler alors que je le libère raide et gonflé de désir pour moi. Certains aiment être ainsi observés, d’autres sont vites gênés. Jérôme m’a laissé sereinement admirer son sexe avant que je le caresse de la langue et que je le prenne dans ma bouche.La suite est trop classique pour que je vous la raconte ici. Disons simplement que pour la première fois j’ai pris les initiatives. Je l’ai allongé sur le lit et j’ai placé son sexe devant les lèvres de mon vagin avant de m’asseoir profondément dessus. J’ai choisi la vitesse et la profondeur des pénétrations jusqu’au moment de notre jouissance et nous n’avons quitté la chambre que le soir tombant. Je suis alors retournée sur le balcon chercher ma robe et je me suis rhabillée devant son objectif. Quel doux plaisir de sentir son excitation renaître pendant que je prenais des poses subjectives!— Très bien, et si nous allions finir cette journée pleine d’érotisme en ville ?Je ne compris le vrai sens de sa démarche qu’une fois arrivée face à l’enseigne lumineuse d’un sexe shop. J’en avais déjà visité un mais il avait pignon sur une grande rue et c’était entre copines, par curiosité. Le regard de Jérôme ! Je connaissais déjà que trop bien le regard qu’il me lançait face au sexe shop, autant explicite que des mots. J’ouvris tout d’abord un premier bouton supplémentaire à chaque extrémité de ma robe mais je compris vite qu’il voulait que j’aille bien plus loin. Ma robe était déjà très ouverte, continuer revenait à inscrire ? pure salope ? sur mon front et je m’étais préparée à une exhibition très différente. J’avais plus imaginé une nudité intégrale dans un lieu naturel très peu fréquenté, pas une exhibition provocante devant un public averti et ? sur mesure ?.Adossée à une porte cochère ce sont ces doigts habillent et la lueur de défi dans son regard qui me décidèrent. Savourant sa caresse j’ai ouvert un second bouton sous mes seins et évasé ma robe. Jérôme, quant à lui, à retirer de sa main libre les boutons qui masquaient encore le haut de mes cuisses, s’arrêtant à la limite du convenable, lorsque la main qui me doigtait ne fut plus gênée : juste sous mon entre jambe.? A toi l’honneur ma belle, la suite se passe juste en face ?. Je suis entrée dans le sexe shop en ne pensant justement qu’à la suite, j’étais trempée. La première chose qui m’a frappée c’est l’ambiance tamisée et le nombre de cassettes vidéo, puis les regards que la demi-douzaine de clients posait sur moi ont occultés tout le reste. Pus personne n’était affairé à chercher un film, les yeux n’étaient plus rivés que dans mon décolleté ou sur mes cuisses, j’étais devenue le centre de leur univers et j’ai adoré ça.C’était la première fois que je m’exhibais ainsi et je m’attendais à ressentir une certaine gêne, surtout dans un lieu que je pensais fréquenté essentiellement par des jeunes ou des vieux vicieux. Ce fut tout le contraire, je fus rapidement très à l’aise parmi une majorité de trentenaires dont le costume trahissait la petite escapade du déplacement professionnel. Les doigts de Jérôme m’avaient mis dans tous mes états et très vite je me suis promenée sans complexe autour de l’étalage central. J’évitais les regards mais je savais pertinemment que les clients étaient focalisés sur moi et sur le moindre mouvement qui pourrait en montrer plus. La situation m’amusait, je tournais autour du présentoir, dévoilant à chaque pas une robe largement ouverte et croisant à l’occasion un ou deux clients qui plongeaient allègrement leurs regards dans mon décolleté béant.— Nous choisirons une cassette tout à l’heure ma chérie, vas plutôt choisir un gode pour ton beau petit cul.Jérôme venait de refaire son apparition. Dans une ambiance où le silence était roi un hygiaphone n’aurait pas obtenu de meilleurs résultats. Je me suis rapidement éclipsée au fond du magasin, rouge comme une pivoine.Le rayon des godes me sidéra, il y avait vraiment de tout. Après avoir assouvie ma curiosité pour quelques extravagances je me suis aperçue que mes goûts étaient très conservateurs: couleur chair, bien membré mais sans excès, de texture agréable au touché. C’était le type de modèle que j’avais dans les mains lorsque je fus rejoins discrètement par un des clients, à bonnes distances. Sa présence m’a électrisée, j’ai continué de l’ignorer sans pouvoir m’empêcher de caressant des doigts la texture du gode. Poussant le vice jusqu’à l’entourer de mes doigts pour le faire glisser contre la paume de ma main, les yeux rivés sur la hampe artificielle pendant que je simulais une masturbation.La situation me paraissait folle et l’arrivée de Jérôme n’arrangea rien. Il se colla derrière moi, une main directement contre l’intérieur de mes cuisses pendant que l’autre dirigeait ma propre main pour que je repose le gode sur l’étagère et que je prenne celui d’a côté, de même type mais bien sur un peu plus gros. Puis il présenta sous mes yeux sa trouvaille : un loup en cuir noir finement dessiné. Je me souviens de sa remarque : ? ne rien voir et ne rien savoir, cérébrale comme tu es c’est un achat obligatoire, viens nous allons l’essayer ?.Nous ne sommes pas aller très loin. Les présentoirs de la rangée suivante exhibaient des cassettes aux jaquettes et aux titres particulièrement suggestifs, la pluralité y était de mise et les jaquettes montraient principalement une ou deux femmes en compagnie plurielle. Je n’eus pas le loisir d’en voir beaucoup plus, Jérôme posa délicatement le loup sur mes yeux, me rendant aveugle. ? Juste une ou deux photos ? m’a-t-il susurré dans l’oreille! A la quatrième j’avais définitivement perdu toutes décences. Il n’avait pas son pareil pour m’entraîner dans des situations que je n’aurais jamais crues possibles. Je la regarde en ce moment, mes épaules sont dénudées et ma main libre caresse mes seins pendant que l’autre fait glisser le gode le long de mon visage. A la revoir je me trouve aussi vicieuse que les femmes des jaquettes en arrière plan. Mon visage n’exprime rien d’autre que le vice.Je n’ai jamais su si des clients ont profités de cette séance photo, Jérôme a toujours maintenu le doute. Si c’est le cas ils ont été particulièrement discrets mais en ce qui me concerne avec les yeux bandés j’ai fantasmé sur leur présence. C’est peut-être pour cette raison que je n’ai pas reboutonné significativement ma robe lorsque Jérôme m’a entraîné vers les cabines de projection. Ca ne lui a d’ailleurs pas échappé, il a pris un malin plaisir à prendre son temps pour passer les rayons et nous emmener au sous-sol. Les clients me mataient mais je m’en moquais : ça lui a plu.Au sous-sol il y avait une douzaine de cabines espacées d’un petit couloir tarabiscoté. La moitié des cabines étaient vides et il m’emmena dans celle du fond. Elle contenait un large fauteuil, un écran de bonne taille, une tonne de boutons sur un boîtier et un espace un peu restreint mais suffisant. Me tenant par la taille devant l’écran Jérôme a inséré une carte et choisi le canal de son film avec une maîtrise qui ne me surprit pas. Je ne fus pas plus étonné lorsqu’il me guida avec des gestes précis pour me placer dans une position qu’il avait anticipé, bien penchée devant l’écran avec les mains à plats de chaque côté et les jambes bien écartées.L’impudeur de ma position et les scènes crues du générique m’ont immédiatement rappelé la porte de la cabine. Je ne me souvenais pas avoir vu Jérôme la fermer, tout était allé très vite. Est-ce que c’était calculé ? J’ai voulu tourner la tête mais avec le buste bien droit devant l’écran et Jérôme derrière moi il m’était impossible de voir la porte.Le film a débuté en douceur, Jérôme se contentait de me caresser habillement sous ma robe et les bandes sons obscènes des projections d’à côté étaient presque décalées. Puis rapidement les scènes ont été cohérentes avec le titre que j’avais lu : ? offerte à tout ?. Jérôme a ouvert ma robe, la bouchonnée sur mes épaules, et ses doigts se sont montrés bien plus aventureux. A l’écran trois beaux blacks déshabillaient et caressaient une actrice plantureuse.Inutile de vous décrire mon état d’excitation lorsque Jérôme a ouvert sa braguette et a présenté son sexe contre ma vulve. J’ai tout zappé pour ne retenir que le plaisir de ses pénétrations longues et efficaces. Tantôt j’étais en appuie sur le bout des pieds pendant qu’il me ramenait fermement contre son sexe, tantôt j’étais les mains bien à plat contre le mur, lorsqu’il relâchait la pression et que son sexe désemplissait temporairement mon vagin. Jérôme a fait preuve d’une endurance inhabituelle et ravageuse, une seule chose comptait alors pour moi, le plaisir du sexe sous toutes ses formes. Je n’ai rouvert les yeux qu’à sa demande, pendant une courte pose. C’est d’ailleurs à ce moment là que les bruits de pas et les chuchotements qui provenaient du couloir m’ôtèrent tous doutes, la porte était restée entrouverte.Face à moi les acteurs n’avaient pas perdus leurs temps. Le visage de l’actrice était maintenant en gros plan et avec l’écran juste sous mes yeux j’avais l’impression qu’elle me dédiait son regard direct. Elle était prise assez sauvagement en levrette pendant que de part et d’autre lui était présentés deux sexes de belles dimensions : c’était envoûtant. Lorsque Jérôme a calé ses mouvements sur celui du black et que l’actrice a commencé à sucer un des deux sexes sans me lâcher des yeux j’ai follement eu envie d’être réellement face à elle et de l’accompagner. Le résultat ne s’est pas fait attendre, je me suis associée à la bande son avant d’avoir un magnifique orgasme.Lorsque je me suis relevée, repus, pour me coller contre Jérôme et reprendre mes esprits, j’avais l’impression de ne plus me connaître. Jérôme m’a tendrement embrassée dans le cou, a arrêté la projection, et alors que je pensais remettre ma robe il m’a présenté le loup. J’étais rassasiée mais il m’a rappelé qu’il n’avait pas joui et m’a promis que ce ne serait pas long, ajoutant qu’il voulait ? finir en beauté ce que nous avions commencé?. Je me suis laissée faire, en toute confiance et en totale inhibition.Une fois le loup sur mes yeux nous nous sommes déplacé doucement de quelques mètres. La configuration des lieux laissait aucune place à l’ambiguïté, lorsqu’il a appuyé sur mes épaules pour que je m’accroupisse devant son sexe je savais qu’il voulait que je le suce entièrement nue et à la vue de tous dans le couloir du sous-sol de ce sexe shop.— applique toi bien ma belle.Je n’ai éprouvée aucune gêne, je me suis offerte en spectacle en faisant de mon mieux pour être à la hauteur des attentes de Jérôme. Dans ma bouche je le sentais au bord de l’éjaculation, son sexe à la fois tendu et doux réagissait au moindre contact de ma langue. Il a tout de même eu le temps de réussir une belle photo, elle est cadrée sur mon visage en contre plongée au moment de son éjaculation devant ma bouche ouverte. Je regrette simplement qu’elle ne donne aucune indication sur le lieu.Nous sommes ensuite retourné dans la cabine et il a ôté mon bandeau avant de me tendre ma robe avec un sourire. Lorsque nous sommes sortie ensemble je ne fus pas surprise de croiser quatre personnes qui avaient des sourires jusqu’aux oreilles en me regardant. Je suis passée assez rapidement entre ceux qui m’ont sans nul doute mâtée en se masturbant et j’ai attendu Jérôme à l’angle de la rue pendant qu’il achetait le gode et le loup.Le soir même avant de m’endormir je lui ai avoué avoir pris beaucoup de plaisir, surtout quand j’ai joui face à l’actrice et aux deux sexes. Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, mais ceci est une autre histoire que je suis néanmoins prête à raconter, si vous le désirez, le réclamez ....Carole M (? maboitecoquine@hotmail.com).
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