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Exhibitionnisme parmi les vacanciers

Chapitre unique

Voyeur / Exhibition
Noémie ouvrit les yeux et ne comprit pas tout de suite où elle se trouvait. Elle était couchée sur le sol au beau milieu d’une forêt, sans aucun vêtement sur elle ni à portée de vue. Noémie sentit sa gorge se nouer sous l’émotion, elle ignorait comment elle allait sortir de cette mauvaise passe.
Après quelques minutes de sidération, Noémie se souvint qu’elle s’était inscrite à un jeu quelques mois plus tôt. Elle n’en connaissait pas précisément les modalités, elle savait seulement qu’il s’agissait d’un jeu d’aventure. Elle avait renvoyé un questionnaire portant sur sa situation de famille, son mode de vie et ses passe-temps préférés. Puis sans bien en comprendre la raison, Noémie avait reçu un message lui indiquant qu’elle était sélectionnée, mais sans mention de la date de début du jeu.
En considérant sa situation actuelle, Noémie comprit que le jeu avait bel et bien commencé sans qu’elle le sache. Elle se souvint qu’elle avait rempli le questionnaire en décrivant ses vacances annuelles dans des centres naturistes, et cette expérience du naturisme avait dû fortement influer sur sa sélection. Toutefois, Noémie n’éprouvait pas les mêmes sensations que pendant ses vacances naturistes. Elle n’avait pas d’argent, elle était loin de toute habitation, et elle allait devoir marcher nue pendant des kilomètres, sans parler des mauvaises rencontres.
Noémie se leva et elle jeta un œil autour d’elle. De la clairière où elle se trouvait, des chemins partaient dans toutes les directions. Une flèche rouge était peinte sur un arbre, et elle se décida à suivre cette direction. Après dix minutes de marche, elle se trouva face à un cours d’eau. Sur l’autre rive, elle aperçut des champs à perte de vue. Noémie se désaltéra, puis elle décida de traverser la rivière à la nage. Elle mit plusieurs minutes avant d’arriver sur la rive opposée, et en sortant de l’eau, elle s’aperçut qu’elle grelottait de froid. Elle sauta sur place pour se réchauffer ; les matinées étaient très fraîches en ce début de printemps.
Noémie chemina le long de la berge pendant plusieurs minutes et bientôt elle aperçut une grange au loin. Au fond d’elle, elle espérait rencontrer des gens compréhensifs, qui pourraient l’aider sans pour autant la mettre mal à l’aise. Noémie s’avança jusqu’au portail de la ferme et le franchit. Devant les bâtiments agricoles, une jeune fermière lançait des graines en direction d’une dizaine de poules. Elle s’interrompit en voyant Noémie, lui jetant un regard interrogatif. Noémie tenta de justifier sa situation, en expliquant qu’elle participait à un jeu au cours duquel elle devait se débrouiller sans argent et sans vêtements. Elle ajouta qu’elle n’avait pas mangé depuis la veille, et la fermière la fit rentrer dans sa cuisine.
Tout en s’affairant à lui servir une boisson et des biscuits, la fermière remarqua un QR code au bas du dos de Noémie. En le scannant, elle vit apparaître le nom d’une gare ferroviaire proche. Devinant que c’était sa destination, la fermière indiqua à Noémie qu’une ligne de bus s’y rendait.
Quand un grand gaillard bourru entra dans la cuisine, Noémie eut un moment d’angoisse vive. La fermière lui présenta l’homme comme son frère, puis elle expliqua la situation à ce dernier. Il scrutait Noémie sous toutes ses coutures, et elle avait la désagréable impression qu’il la considérait un peu comme du bétail. Voyant que Noémie était mal à l’aise, la fermière s’interposa et proposa à Noémie de l’emmener à l’arrêt de bus. Noémie la suivit jusque-là, et remercia vivement la fermière quand elle lui offrit un ticket. Noémie attendit bien sagement le passage du bus en plaçant à titre de précaution son bras gauche devant sa poitrine et sa main droite devant son pubis.
Lorsque le bus arriva, Noémie se dirigea vers la porte avant et entra. Elle se prépara mentalement à devoir affronter le regard du chauffeur et des voyageurs. En progressant dans le couloir central, elle s’aperçut que certains semblaient un peu choqués tandis que d’autres devaient plutôt se réjouir de la présence d’une femme dénudée. Plutôt que de s’asseoir, Noémie resta debout près de la porte arrière. A chaque arrêt, elle avait l’impression que les voyageurs qui descendaient la bousculaient intentionnellement.Quand le bus arriva devant la gare, Noémie descendit et fit quelques pas dans la rue avant d’apercevoir un panneau portant le logo du jeu. Un homme qui semblait faire partie de l’organisation lui demanda de patienter quelques instants.
******
Le matin même, alors qu’Irène courait comme tous les jours dans un bois proche de son domicile, elle entendit une voix masculine qui l’interpellait. Un homme était en partie dissimulé derrière un arbre, il expliqua qu’il participait à un jeu et qu’il n’avait ni vêtements ni argent. Il semblait dire la vérité et Irène écarta vite la possibilité d’un homme aux mauvaises intentions. Le jeune homme était charmant, il déclara s’appeler Wilfrid. Irène partit au pas de course et il la suivit sans discuter. Quand ils arrivèrent au domicile d’Irène, elle l’invita à prendre un café. Au passage, elle remarqua qu’il avait un QR code tatoué sur l’omoplate. En le décodant, elle lut le nom d’une gare dans une ville voisine.Irène emmena Wilfrid en voiture à sa destination tout en discutant de choses et d’autres. En arrivant sur place, Wilfrid aperçut un panneau avec le logo du jeu, il se dirigea vers le panneau tenu par un homme qui lui fit signe qu’il était bien au bon endroit.
L’organisateur du jeu présenta Noémie et Wilfrid l’un à l’autre, puis il leur donna un carnet de route ainsi que des billets de train. Quand Irène eut connaissance de leur destination, elle prit également un billet au guichet de vente. Ils montèrent tous les trois dans le wagon à destination d’une station balnéaire bien connue. Noémie raconta son aventure à Wilfrid, en précisant qu’elle était employée à la mairie de son village et qu’elle avait 24 ans. Wilfrid indiqua qu’il travaillait dans un commerce alimentaire et qu’il avait 32 ans. Noémie était beaucoup plus détendue que le matin dans la forêt. Elle commençait à s’habituer à la nudité publique.
Wilfrid n’était absolument pas gêné d’être dénudé dans le train, il trouvait cela plutôt sympathique, et par ailleurs il était en face d’une jeune femme qu’il trouvait sublime. Son regard était constamment attiré par sa belle poitrine.

Quant à Irène, elle semblait attirée par Wilfrid et notamment ses attributs virils qu’elle épiait de temps en temps. Wilfrid l’avait remarqué et il s’en trouvait flatté.
Quand le train atteignit sa destination, les trois compagnons de voyage prirent la direction de la plage. Une fois arrivés au bord de l’eau, ils plongèrent directement dans la mer. Irène n’hésita pas à retirer ses vêtements pour suivre Wilfrid et Noémie.
Les trois compères batifolaient dans l’eau, heureux de pouvoir se baigner sans maillot de bain ! Wilfrid profitait pleinement de la vue sur les corps dénudés de Noémie et d’Irène tandis qu’Irène semblait très émoustillée de côtoyer Wilfrid.
Quand ils sortirent de l’eau, ils vinrent s’allonger directement sur le sable humide. Ils étaient l’objet de l’attention de beaucoup de vacanciers. Plusieurs hommes passèrent volontairement à proximité de Noémie et d’Irène pour mieux les observer. Noémie y prenait un certain plaisir, elle se rendait compte qu’elle aimait s’exhiber tout simplement ! Irène enfila un slip et un soutien-gorge pour éviter de se faire mater.
Wilfrid et Noémie en profitèrent pour ouvrir leur carnet de route, dans lequel étaient collés des bons d’achat pour divers magasins de la station balnéaire, ainsi que des jetons de casino. Ils traversèrent la promenade de la plage et se rendirent dans le quartier commerçant de la station.
Les vacanciers regardaient un peu bizarrement le petit groupe en partie dénudé, mais les trois compères faisaient mine de ne pas s’en apercevoir. Noémie entra dans une boutique de mode : à son arrivée, la vendeuse sursauta tant la surprise était grande ! Noémie prit son temps pour choisir des colliers et des bracelets tandis que les vacanciers se collaient à la devanture pour mieux la scruter sous toutes ses coutures. Mais Noémie ne leur en voulait pas ; bien au contraire, maintenant elle adorait ce genre de situation.
Pendant ce temps, Wilfrid était entré au casino, accompagné par Irène. Il se dirigea vers la salle du jeu de roulette. Pendant qu’il observait les autres joueurs, Irène contemplait ses biceps, ses abdominaux, et sa virilité bien en vue. Wilfrid nota mentalement les numéros qui sortaient, et finit par miser sur un numéro qui n’était pas sorti depuis longtemps. La roulette s’immobilisa dans un profond silence : Wilfrid avait gagné 40 fois sa mise ! Irène, toute heureuse, lui sauta au cou en l’enlaçant. Ils échangèrent un chaste baiser, à la suite de quoi Wilfrid fut gagné par une légère émotion qu’il ne pouvait dissimuler. Rapidement, il passa au guichet pour toucher ses gains avant de sortir du casino avec Irène ; sur la place, Noémie les attendait.
Avec l’argent gagné, Wilfrid voulait se payer un palace pour la nuit, mais aucun hôtel ne les accepta. Ils tentèrent d’aller dîner dans un restaurant huppé, sans résultat, aussi ils finirent par avaler un hamburger dans un fast-food. Ils se dirigèrent ensuite vers la plage et s’assirent sur le sable, face à la mer. Le coucher de soleil était magnifique, ils s’allongèrent tous les trois côte à côte et discutèrent longuement avant de s’endormir.
Le sommeil de Wilfrid fut quelque peu perturbé. Il sentait comme un picotement sur sa peau. En ouvrant un œil, il s’aperçut qu’une main parcourait son torse et son ventre : c’était celle d’Irène. Wilfrid ferma les yeux et décida de faire semblant de dormir, tout en s’étonnant de l’audace de la jeune femme.
Il sentait maintenant des doigts palper son chibre, la sensation était tout à fait exquise. Désormais, il n’y avait plus aucune ambiguïté sur l’attitude d’Irène. Elle y allait franco, pratiquant des attouchements très poussés sur ses parties intimes, et Wilfrid n’y voyait rien à redire.
Il sentait maintenant les lèvres d’Irène refermées autour de son dard, et bientôt elle pratiqua une fellation d’une façon quasi professionnelle. Wilfrid appréciait énormément les soins que la jeune femme lui prodiguait.
Après quelque temps, ne sentant plus rien, il se demanda si Irène s’était rendormie. Mais bientôt il sentit sa présence au-dessus de lui, elle devait être accroupie. Elle dut s’y prendre à plusieurs reprises pour faire entrer son engin dans son antre, mais quand elle y parvint, Wilfrid sentit une bouffée de plaisir l’envahir. Irène allait droit au but qu’elle s’était fixé sans doute, elle montait et descendait avec de plus en plus de rapidité, et Wilfrid se sentait partir ailleurs.
Il repensa au début de la journée, quand il avait hélé Irène dans la forêt : il n’aurait pas pu deviner qu’elle serait toujours là cette nuit, enserrant son dard dans sa grotte intime. Irène ne mollissait toujours pas, elle suivait un mouvement alternatif intensif qui allait les mener à l’apogée de leur jouissance. Wilfrid continuait à faire semblant de dormir, mais il n’en ressentait pas moins des sensations agréables qui allaient le mener à un orgasme intense. Il allait longtemps se souvenir de cette relation inattendue sur cette plage avec une quasi-inconnue.
Le lendemain matin, quand Wilfrid se réveilla, il ne put que constater qu’Irène avait disparu ! Il en fut très étonné, mais, en y réfléchissant, il comprit qu’Irène avait eu ce qu’elle voulait ! Noémie constata l’absence de sa rivale sans faire de commentaire, et sans se douter de ce qui s’était passé pendant la nuit.
Wilfrid et Noémie commencèrent leur journée par un bain de mer avant d’aller acheter quelques croissants. Puis ils consultèrent leur carnet : ils devaient passer la journée dans un golf à proximité.Ils furent accueillis à bras ouverts par le personnel qui leur prêta du matériel. En sortant du club-house en direction du green, ils affrontèrent le regard réprobateur de quelques habitués. Wilfrid et Noémie allèrent taper quelques balles sur un practice avant de se rendre sur le parcours. Leur présence attirait de nombreux joueurs qui semblaient plus intéressés par leur physique que par leur jeu. Plusieurs femmes les abordèrent en les complimentant, elles voulaient même toucher les tétons de Noémie et les parties intimes de Wilfrid.L’une d’elles indiqua Noémie qu’elle aurait bien voulu être jeune comme elle pour se permettre de jouer au golf dans le plus simple appareil ! Noémie rougit du compliment et répondit en riant :
— Merci, mesdames ! C’est exact, c’est vraiment très agréable de jouer au golf les fesses à l’air !
Ces femmes allèrent également remercier Wilfrid qui n’avait jamais cherché à dissimuler sa virilité. Après avoir bouclé leur parcours, Wilfrid et Noémie revinrent sur la plage.Le lendemain matin, ils jetèrent un œil à leur carnet de route : une grande randonnée à travers la campagne environnante était au programme. Ils se mirent en route, suivant un sentier très fréquenté, et affrontant les regards réprobateurs de certains promeneurs.Ils firent une rencontre intéressante avec un couple de jeunes qui marchaient dans la même direction. Hervé et Lucie s’intéressèrent à leur cas, et leur posèrent plein de questions. Conquis par leur façon de vivre, ils finirent par ranger leurs shorts et teeshirts dans leur sac. Tous les quatre poursuivirent leur chemin sans porter aucun vêtement, ils ressentaient la brise sur leur peau, et ne s’en portaient pas plus mal. Les quatre amis terminèrent leur journée sur la plage ; ils se jetèrent à l’eau, et se baignèrent avec grand plaisir, sans maillot.
Le lendemain, Wilfrid et Noémie consultèrent à nouveau leur carnet : ils avaient la possibilité de passer une heure à la piscine. Ils entrèrent directement dans le bassin sans passer par les vestiaires. Wilfrid plongea dans l’eau et fit quelques longueurs de crawl sous l’œil surpris des autres nageurs. Noémie marchait le long du bassin, attirant les regards de nombreuses personnes, et elle y trouvait quelque plaisir. Elle nagea plusieurs longueurs de brasse puis elle vint s’allonger sur une serviette. Noémie ne fit pas vraiment attention à sa position, elle avait les cuisses légèrement écartées et les hommes l’observaient avec satisfaction. Toutefois Noémie prenait aussi du plaisir à se faire mater, surtout quand les regards se portaient sur ses parties intimes.
Wilfrid était lui aussi l’objet de regards appuyés de la part de plusieurs jeunes femmes, ce qui ne lui déplaisait pas, car il aimait lui aussi l’exhibitionnisme. Quand il avait le gourdin, il ne s’en cachait pas, restant couché sur le dos, fier de sa virilité.
Au fil des jours, Wilfrid et Noémie devenaient de plus en plus exhibitionnistes ; ils cherchaient les situations appropriées pour en montrer toujours plus. Un soir, ils se dirigèrent vers la boîte de nuit la plus connue de la station. Noémie se mit à danser avec un homme habillé, puis elle entama un rock endiablé avec Wilfrid, qui la tenait serrée contre lui. Les spectateurs étaient enthousiasmés par ces deux corps dénudés qui faisaient le spectacle. Noémie excitait les hommes par sa plastique irréprochable, ses petits tétons et ses fesses galbées. Ils restèrent de longues minutes à se déhancher en virevoltant au son de la musique, sans ressentir la moindre lassitude. Au contraire, ils étaient de plus en plus excités.
Ils sortirent sans un mot avant de s’asseoir sur un banc dans un parc public, restant blottis l’un contre l’autre, avant de se rouler une pelle. Indifférent aux quelques passants, Wilfrid s’allongea sur Noémie, et ils se caressèrent longuement. Noémie léchait la pine de Wilfrid tandis qu’il dévorait sa friandise. Ils restèrent toute la nuit enlacés sur ce banc, dans un sommeil peu profond.Le lendemain, Noémie et Wilfrid sortirent du parc et allèrent se promener sur la plage. Ils retrouvèrent par hasard Hervé et Lucie, avec qui ils allèrent se baigner avant de partir en excursion dans la campagne.
Le soir, Noémie et Wilfrid avaient rendez-vous dans le grand hôtel de la station : on les laissa entrer sans difficulté et ils s’installèrent au restaurant. Tous les autres clients avaient de belles robes, ou des smokings, aussi leur tenue négligée pouvait choquer. Pour certains au contraire, c’était un réel plaisir de pouvoir admirer la nudité de ces deux êtres jeunes et beaux.
Ils attendirent bien sagement qu’on les serve, puis dégustèrent l’entrée et le plat sans rechigner. Toutefois, ils avaient tellement de désir en eux qu’avant même le dessert, ils descendirent sous la table. Et là sous le regard ahuri des clients, Wilfrid prit Noémie en levrette : ils furent immédiatement mis dehors manu militari.
Toutefois, ils étaient toujours passablement excités, et on les aperçut dans plusieurs positions du Kamasutra en divers lieux comme la grand-place, le parc, la promenade de la plage et même la jetée du port. Quand les bateaux rentraient au mouillage, leurs occupants ne pouvaient pas rater le couple : Noémie était dos à la mer et Wilfrid lui broutait le minou, ou alors Wilfrid était debout tandis que Noémie à genoux lui léchait le gland. Parfois même, les passagers des yachts pouvaient admirer les deux amis en position du papillon ou de la liane. A la tombée de la nuit, Wilfrid et Noémie allèrent s’allonger sur la plage, épuisés de fatigue.
Le lendemain, ils eurent la visite inopinée d’un organisateur du jeu, Léo, qui vint leur annoncer qu’ils avaient remporté de nombreux lots. Ils avaient réussi toutes les épreuves prévues le premier jour, aussi bien dans le train, sur la plage, que dans le casino. Les jours suivants, ils s’étaient rendus au golf, à la piscine, dans la boîte de nuit, comme il leur avait été demandé. Pour finir, ils avaient marqué des points de bonus en forniquant comme des bêtes sur un banc, dans un restaurant, et sur la jetée.Noémie et Wilfrid pensaient en avoir terminé avec le jeu, mais c’était sans compter sur les organisateurs qui avaient concocté une ultime épreuve.
Pour cela, Léo mena les deux acolytes jusqu’à la place centrale de la ville sous les yeux étonnés des vacanciers. Il attacha chacun d’eux dans le dos à un poteau au moyen d’une paire de menottes, il lia leurs chevilles également, leur banda les yeux et les bâillonna.Léo annonça ensuite au public qui se massait en cercle autour des deux participants qu’ils avaient l’autorisation de les toucher où bon leur semblait. On pouvait observer les comportements les plus inattendus de la part des passants : une femme plutôt âgée s’approcha de Wilfrid et sans prévenir elle se mit à presser ses roubignoles, une autre voulut frapper le fessier de Noémie du plat de la main. Elles les avaient reconnus comme ceux qui perturbaient la station depuis quelques jours et voulaient les punir. Toutefois, Wilfrid et Noémie ne ressentaient pas cela comme une punition, mais plutôt comme un plaisir.
D’autres habitants de la station se mirent à palper la saucisse de Wilfrid, ou à caresser le bourgeon de Noémie. Certains revenaient avec des instruments ad hoc qu’ils plongèrent dans les orifices des deux protagonistes. Ils étaient tous les deux sollicités comme jamais. Wilfrid ne comptait plus les mains qui s’acharnaient sur son bâton maintenant bien rigide, et Noémie se sentait envahie par divers appareils vibrants ; ils ressentaient un plaisir croissant.Certains vacanciers étaient très excités eux aussi : une femme léchait fougueusement le chibre de Wilfrid tandis qu’un jeune homme avait la main plongée dans la grotte de Noémie. Les deux candidats éprouvaient une jouissance de plus en plus forte, ils finirent par exploser dans un orgasme quasi simultané, et la foule les applaudit comme des héros.Une fois libérés de leurs liens, les deux participants remercièrent leur public de leur avoir donné tant de plaisir, puis ils s’enlacèrent sous les vivats de la foule en délire.
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