Il était 18h, Mady attendait patiemment Ben à l’appartement. « Il ne devrait plus trop tarder maintenant » se dit-elle. Ben travaillait dans un laboratoire à quelques kilomètres de leur maison. Mady l’avait rejoint, traversant près de la moitié du pays et laissant derrière elle ses amies afin d’être auprès de son mari. A la recherche d’un nouvel emploi, les premières semaines étaient longues. Pour passer le temps, Mady aimait lire tout ce qu’elle pouvait trouver sous sa main. Mady était une très belle femme, brune, d’1m60 et très menue ; c’est ce qu’aimait son mari. D’apparence très sage, au plus profond d’elle-même Mady était une vraie cochonne. « Tant pis, je n’en peux plus de l’attendre, je vais me faire du bien toute seule! » pensa-t-elle. Attrapant sur l’étagère une des revues porno de Ben, elle s’installa sur le canapé et commença à feuilleter le magazine. L’enchainement d’images de femmes nues les jambes écartées, de ces grosses queues perforant ces chattes juteuses soigneusement rasées commençaient à exciter Mady. Elle commença alors à glisser sa main dans sa culotte, puis passa un doigt sur sa fente déjà humide. Mady aimait sentir son clitoris gonfler sous les mouvements trépidants de son majeur. Elle se branlait de plus en plus vite, de plus en plus fort. A la vue de ses deux grosses queues déversant une quantité impressionnante de foutre sur le visage de cette actrice porno, Mady laissa échapper un gémissement tel qu’elle fit sursauter le chat installé paisiblement à côté d’elle. C’est alors que la porte du salon s’ouvrir d’un seul coup. Ben rentrait tout juste du travail, accompagné de deux collègues. Mady avait complètement oublié la soirée foot de son mari avec ses collègues à la maison. Ils trouvèrent tous les trois Mady, les jambes écartées sur le canapé, devant une revue porno et avec les doigts trempés de mouille. « Je vous l’avais dit les gars, ma femme est une vraie nympho ! » lança Ben à ses collègues. Pris d’une colère soudaine, Ben attrapant Mady par le bras pour la faire se lever. N’ayant pas eu le temps de se rhabiller, elle se trouvait plantée au milieu de ses trois hommes à moitié nue. « Alors comme ça tu n’as même pas la patience de m’attendre 5 min pour prendre ton pied ?? » hurla Ben à sa femme. Mady tenta de répondre mais prise sur le fait, elle ne sut quoi dire. « Et bien maintenant tu as trois hommes devant toi, mais comme ça ne doit pas être assez pour la salope que tu es je vais t’en amener d’autres ». Ben pris son téléphone. Il appela ses deux voisins du dessous qui ne tardèrent à rappliquer. Cinq hommes pour Mady, voilà ce qui l’attendait. « Maintenant c’est à notre tour de prendre notre pied, et tu as intérêt à t’appliquer » dit Ben en appuyant avec sa main sur l’épaule de Mady pour la faire s’agenouiller. Les cinq hommes l’entourèrent alors. « Allez les gars, je vous offre ma femme en guise d’apéro pour ce soir ! Qu’on se vide bien les couilles sur elles, ça nous détendra pour le match de ce soir. » lança Ben à ses collègues qui commencèrent en retirer leurs pantalons. Mady sur les genoux avait une vue des plus directes, cinq queues bandantes devant son visage. Elle commença par celle de son mari. Elle prit cette grosse queue épaisse en bouche, tournant sa langue autour de son gland. Puis d’un coup sec, Ben pris la tête de Mady pour l’appuyer contre lui. Elle sentit cette bite venir se longer profondément dans sa gorge, lui donnant ce sentiment d’étouffement et de possession qu’elle aimait. En se retirant, de longs filets de bave apparaissaient entre la bouche de Mady et la queue de Ben. Mady pris alors ce sexe entre ses mains pour branler son mari. A peine le temps de quelques va et vient que les autres queues se firent plus pressantes n’attendant que la douce bouche de Mady. Pendant près de 15 min, les queues défilèrent entre ses lèvres devenues rouges et brulantes.C’est alors que Ben positionna Mady en levrette pour la baiser comme une chienne au milieu de ses quatre potes. Pendant que Ben limait la chatte humide de Mady, les quatre collègues de Ben continuaient à malmener la bouche de cette cochonne. Ben aimait prendre entre ses mains le petit cul de Mady pour écarter ses fesses. Il cracha alors sur son petit trou pour le lubrifier et commença a lui pénétrer le cul avec son pouce. Mady prenait vraiment son pied. La grosse queue de son homme dans la chatte, son doigt dans le cul et ces quatre bites s’enchainant dans sa bouche lui procurait beaucoup de plaisir. Elle se sentait chienne et aimait ça. Toujours à genoux, Ben lui pris les cheveux pour tirer sa tête en arrière et courber encore plus son dos. Il se retira alors de sa chatte pour venir présenter sa queue devant l’anus de sa femme alors encore légèrement ouvert par son pouce. Il pénétra d’abord doucement les fesses de Mady avant de donner des coups de plus en plus forts. Les queues de ses amis se faisaient aussi de plus en plus violentes dans sa bouche. Les quatre hommes prirent leurs queues avec leurs mains pour venir les faire claquer sur le visage de Mady. Elle sentit des crachas sur son visage et de grands coups de queues sur ses joues. Ce sentiment de soumission lui plaisait terriblement. Elle se laissait aller au désir de ces messieurs, parfois même venait à se branler le clitoris pour prendre encore plus de plaisir. Ben continuait à imposer son rythme dans le cul de Mady, puis vint plonger plus profondément sa queue. Il resta entre les fesses chaudes de sa femme pendant quelques secondes, puis se retirant doucement, il tira un peu plus fort sur ses cheveux pour diriger le visage de Mady vers lui. « Maintenant tu vas me nettoyer ma queue avec ta bouche ma cochonne » lui dit Ben. Mady s’exécuta. Elle adorait sentir sa propre odeur sur le sexe de Ben et pris sa queue le plus loin possible dans sa bouche.Les autres hommes se branlèrent en les regardant faire. Ben ordonna alors à ses collègues « Maintenant on va tous se vider sur son visage, et elle n’a pas intérêt à en laisser tomber sur le sol ! » Les cinq queues et les mains s’agitèrent devant elle. Un premier jet chaud vint atterrir sur son œil et coula le long de sa joue. Puis un autre, et un autre… En moins d’une minute, les cinq hommes s’étaient complètement vidés les couilles sur le visage de Mady. Elle se sentit complètement possédée par les cinq hommes, le visage couvert de ces spermes chauds. A genoux au milieu du salon, Ben et ses collègues se rhabillèrent. « Allez, va te laver maintenant et puis prépare nous l’apéro pour le match » lui hurla Ben.
