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Exorcisme

Chapitre 1

Hétéro
Sœur Marie frissonna. Elle redoutait, en confessant ses pensées impures au père Larcet, qu’il ne lui infligea une rude pénitence. Cependant, elle savait qu’elle devait avouer devant le Seigneur, le trouble qui l’avait étreint en croisant ce beau jeune homme, tout de blanc vêtu, à la fête des Rameaux. C’était la première fois qu’une pensée interdite venait la tourmenter de la sorte, car dès l’adolescence, elle avait choisi de consacrer sa vie à Dieu. Ainsi avait-elle entrepris le long chemin jusqu’au noviciat, fuyant toutes les tentations de ses amies d’alors, qui cherchaient à l’entraîner dans le sillage des garçons. Ses amies, aujourd’hui, étaient les sœurs qui composaient la petite communauté, parmi lesquelles elle se sentait bien. Elle contribuait à la vie monastique en restaurant des statues ou en sculptant des œuvres d’art. Mais aujourd’hui, la gouge et le maillet lui échappaient des mains... Car, bientôt, elle devra se confesser.
— Qu’est-ce qui se passe sœur Marie, vous avez l’air bien préoccupée ? interrogea sœur Clothilde.
Sœur Marie soupira, reposa ses outils et avoua à son amie son souhait de taire, en confession, ses pensées impures.
— Mais vous n’y pensez pas ! C’est impossible voyons. Oseriez-vous défier le Seigneur ?— Non, non, mais... j’ai peur du châtiment.— C’est le prix à payer pour obtenir l’absolution.
Sœur Marie regarda son amie.
— Vous aussi vous avez eu à confesser ce genre de pensées ?— Hélas, oui.— Et alors ?— J’ai dû me soumettre à la purification. Ne m’en demandez pas plus, je vous en prie.
Vingt minutes plus tard, la mère supérieure fit irruption dans l’atelier.
— Sœur Marie, l’abbé vous attend dans votre cellule.
Sœur Marie frissonna puis elle se leva lentement. Sœur Clothilde posa la main sur son bras et murmura :
— Courage.
Arrivée devant la porte de sa cellule, elle frotta ses mains moites sur sa robe... puis elle poussa la porte.
— Bonjour ma sœur.— Bonjour mon père.
Pendant dix minutes, elle confessa des péchés de gourmandise et d’orgueil puis elle s’arrêta brusquement de parler.
— Que se passe-t-il ma sœur, j’ai l’impression que vous ne me dites pas tout. Oseriez-vous mentir au Seigneur par omission ?
Sœur Marie baissa la tête.
— Non, mon père.— Alors, je vous écoute.
Sœur Marie parla de la fête, de la liesse populaire, puis baissant la voix, du jeune homme en blanc, qu’elle avait trouvé si beau.
— Avez-vous eu envie de l’approcher, de lui parler ?
Sœur Marie ferma les yeux et murmura :
— Oui, mon père.— Et avez-vous eu envie d’autre chose encore, le concernant ?
Marie ne répondit pas et l’abbé lança d’une voix autoritaire :
— Sœur Marie !
Elle ferma les yeux et avoua :
— J’ai... j’ai eu envie qu’il m’étreigne... passionnément !— Etait-ce que vous faisiez avec les garçons avant d’arriver dans la communauté ?— Oh, non, non, mon père, je n’ai jamais touché un homme !— Ces pensées sont inquiétantes, sœur Marie. — C’est... c’est la première fois mon père. Mais ça m’a fait des choses bizarres que je ne saurais expliquer.
L’abbé Larcet dodelina de la tête.
— Je crains que ça ne soit là une tentative du démon pour souiller votre âme et vous détourner du chemin du Seigneur.— Oh mon Dieu, répondit sœur Marie en se signant.
L’abbé poursuivit :
— Je crains que prier ne suffise pas, mon enfant. Nous devons agir sans attendre pour repousser le mal.— Vous croyez que je... je suis possédée ? balbutia sœur Marie en tremblant.— Calmez-vous, mon enfant, calmez-vous. Nous allons faire ce qu’il faut pour vous libérer de l’emprise de Satan, mais cela dépend en grande partie de vous. Le malin ne va pas se laisser chasser facilement, croyez-en mon expérience. Vous devrez m’obéir et ne point chercher à réfléchir.— Oui, mon père, oui, murmura Marie.
L’abbé sourit puis il prit les mains de Marie.
— Voulez-vous que nous commencions dès à présent ?— Oh oui, mon père, oui, cria Marie.— Calmez-vous, calmez-vous, sœur Marie.
Le père Larcet tira des feuillets de sa sacoche.
— Je dois d’abord évaluer le degré de votre possession. Peut-être le malin n’en est-il qu’aux prémisses de corruption. Regardez attentivement ses dessins, mon enfant.
L’abbé posa sur le sol une dizaine de feuilles représentant des hommes nus... et des couples en train de forniquer dans diverses postures.Marie écarquilla les yeux, puis elle se pinça les lèvres avant d’y passer la langue... plusieurs fois. L’abbé l’observa attentivement puis il demanda :
— Montrez-moi l’image qui vous trouble le plus, Marie.
Timidement, elle désigna la feuille la plus proche d’elle sur laquelle on voyait une femme effectuer une fellation. L’abbé se signa et Marie réagit aussitôt :
— Oh, mon Dieu, c’est grave, c’est ça ? Dites-moi tout mon père, je peux tout entendre.
L’abbé soupira.
— Je ne veux pas vous mentir, mon enfant. Le mal est en vous et il a déjà commencé à vous pervertir.
Marie se mit à pleurer et l’abbé demeura quelques minutes silencieux avant de murmurer.
— Je suis là mon enfant, n’ayez pas peur. Je veux que vous vous concentriez sur ces images. Que vous vous imaginiez avec le beau jeune homme dont vous m’avez parlé tout à l’heure.
Marie observa attentivement les feuillets et l’abbé attendit quelques minutes avant de poursuivre :
— Sentez-vous qu’il se passe quelque chose, Marie ?— Comme quoi ? Mon père.— Entre vos cuisses, par exemple, c’est souvent là que le malin se manifeste.
Marie ferma les yeux avant de répondre :
— Oui, je crois, mon père.— Expliquez-moi.— Je... j’ai l’impression d’être mouillée.— Beaucoup ?— Je... je ne sais pas mon père.— Ecartez les jambes Marie, je dois me rendre compte de votre état.
Sur ces mots, l’abbé glissa la main sous la robe de sœur Marie qui se mit à trembler. Il posa les doigts sur la culotte en coton.
— Vous êtes très mouillée, Marie.— Ç... ça... m’a... fait... drôle quand vous m’avez touchée, balbutia-t-elle.— Etait-ce agréable ?— Je... je crois que oui.
De nouveau, l’abbé se signa et, voyant cela, sœur Marie murmura :
— Oh mon Dieu, oh mon Dieu.
L’abbé soupira puis il prit les mains de Marie et dit à voix basse :
— Nous ne pouvons plus attendre, mon enfant. Nous devons chasser le mal avant qu’il ne vous précipite dans les flammes de l’enfer.
Marie se signa trois fois puis le père ordonna :
— Déshabillez-vous.
Sans hésiter, elle se leva pour retirer sa robe.
— Enlevez tout mon enfant, précisa l’abbé.
Lorsqu’elle fut nue, il la contempla longuement en silence puis il la fit marcher dans la pièce et l’exhibition renforça son érection. De toutes les sœurs qu’il avait ainsi soumises, Marie avait le plus beau corps, et il pensa qu’il allait... se régaler. Marie, quant à elle, avait le feu aux joues, et elle gardait les yeux fermés. Elle était infiniment troublée de se montrer ainsi devant un homme, pour la première fois. Bien sûr, elle croyait que c’était nécessaire... Que l’abbé lui imposait cela pour la guérir du mal qui la rongeait. Elle avait bien senti, tout à l’heure, le trouble qui l’avait envahie devant les images, et elle était convaincue à présent qu’il s’agissait de l’œuvre du diable ! Elle en était encore à ces pensées terrifiantes lorsque l’abbé déclara :
— Sœur Marie, je vais devoir vous toucher. Je dois savoir où se loge le malin.— Oui, mon père, oui, murmura Marie. Que dois-je faire ?— Rien, je vous demande juste de m’obéir. Je pense que vous avez compris à présent l’urgence de la situation.— Oh oui, mon père, oui.— Bien.
L’abbé se positionna derrière Marie. Il laissa courir ses mains sur ses épaules... son dos... et lorsqu’il passa sur ses fesses, Marie cria :
— Oh !!— Est-ce agréable ? — Oui, oui, mon père, souffla Marie.— Alors c’est qu’il est là, Marie. Je dois insister, précisa l’abbé en palpant la croupe callipyge. Puis, empaumant les seins volumineux quelques secondes plus tard, il ajouta :— Et il doit être ici, aussi.
Marie frissonna, puis elle gémit quand l’abbé pinça ses tétons.
— Le plaisir que vous ressentez, Marie, c’est lui.— Oh mon Dieu !— Et il ne faut retenir ni vos gémissements ni vos cris. Ce sont eux qui le chasseront de vos entrailles. Alors nous devons les rechercher... les provoquer... et nous ne serons pas trop de deux.
L’abbé s’assit sur le bord du lit puis il fit positionner Marie, de dos sur ses genoux.
— Ecartez bien les cuisses, Marie et pendant que je tente de le chasser de vos mamelles où il a pris refuge, vous allez poser votre doigt là.
Il lui prit la main et en dirigea l’index sur son clitoris.
— Je veux que vous bougiez doucement votre doigt.
Dès qu’elle commença à agiter son index, Marie fut prise de tremblements. L’abbé tenta de la calmer puis, tandis qu’il saisissait ses seins à pleines mains, il l’exhorta :
— Ne retenez rien, Marie, c’est important. Exprimez toutes les sensations qui arrivent. N’hésitez pas à crier si vous en avez envie. Vous chasserez le malin par vos gémissements et vos cris.
Libérée de ses hésitations par l’autorisation ecclésiastique, Marie se mit à respirer bruyamment... à gémir... puis elle lâcha de petits cris aigus... jusqu’au moment de sa jouissance où elle émit un son ininterrompu et saccadé.
— C’est bien mon enfant, vous êtes sur la bonne voie. On va pouvoir passer à l’étape suivante. Mettez-vous à genoux.— Dois-je prier ?— Non, c’est moi qui prierai, car je dois participer activement à votre expiation.
Sur ces mots, l’abbé déboutonna sa soutane et sœur Marie manqua de s’évanouir en apercevant le sexe volumineux.
— Sœur Marie, remettez-vous. Ne laissez pas Satan dicter sa loi. Il va tenter de vous pousser à refuser ce que je vous demande, parce qu’il veut rester en vous. Alors, vous ne devez pas réfléchir, Marie, et avoir confiance en moi.— J’ai confiance en vous mon père.— Tant mieux. Il prit les mains de Marie, et ajouta : tout à l’heure, je devrais entrer en vous, Marie, pour extirper le mal de vos entrailles. Mais avant cela, pour vous purifier, vous devez avaler ma semence qui sera bénie par ma prière.
Sœur Marie ouvrit de grands yeux incrédules. L’abbé hocha de la tête.
— Mon enfant, je sais combien cela va vous être difficile, mais vous n’avez plus le choix. Pensez à votre âme. Nous avons commencé le processus expiatoire et nous arrêter en chemin serait catastrophique. Comprenez-vous, Marie ?— Oui... oui, je crois, mon père, balbutia-t-elle.— Bien.
L’abbé laissa choir sa soutane sur le sol et lorsqu’il fut nu, Marie ne put s’empêcher d’admirer son corps musclé et de chercher à deviner son âge, le pensant au final d’au moins vingt ans son aîné. L’abbé présenta son sexe dardé devant les lèvres de sœur Marie.
— Ouvre la bouche, Marie.
Le tutoiement soudain, en plaçant l’abbé dans une position dominante, curieusement, rassura Marie. Elle ouvrit la bouche et l’abbé glissa sa queue entre les lèvres charnues. Il posa sa main sur la nuque de Marie et lui fit comprendre le mouvement qu’elle devait faire.
— Serre-bien les lèvres, Marie.
Elle commença à sucer lentement l’abbé qu’elle entendit prier à faible voix. Il s’interrompait régulièrement pour l’encourager, la rassurer, puis soudain il éjacula et Marie retira aussitôt sa bouche. Immédiatement, l’abbé lui bloqua la mâchoire. Il traça un signe de croix sur les lèvres maculées de sperme et murmura :
— Maintenant, tu dois avaler mon enfant.
Marie ferma les yeux, fit la grimace et déglutit.
— C’est bien, approuva l’abbé. Maintenant, nous allons prier ensemble.
Ils restèrent agenouillés près d’une demi-heure puis le prêtre termina :
— Amen.— Amen, répéta Marie, qui se releva à l’instar de l’abbé.— A présent, je veux que tu t’allonges sur le sol, les bras en croix. C’est l’étape la plus importante, Marie. Je dois entrer en toi pour terrasser le mal.— Mais, mais... je n’ai jamais... je suis... balbutia Marie.— Je le sais mon enfant, ne crains rien.
Il saisit le menton de Marie et demanda :
— As-tu confiance en moi ?— Oui, mon père.— Alors, crois-moi. Nous n’avons plus le choix, Marie, nous devons aller jusqu’au bout.— Je sais mon père, et... et je suis prête.— Alors, allonge-toi sur le ventre et souviens-toi que tes gémissements et tes cris seront les pourvoyeurs de ton salut. Ne les refuse pas.— Non, mon père.
Lorsqu’elle fut allongée sur le ventre, les bras en croix, l’abbé glissa un coussin sous son bassin puis il s’allongea sur elle et tandis que Marie fermait les yeux, il s’enfonça délicatement dans sa chatte humide en souriant. Marie émit un cri ténu lorsque l’hymen céda. L’abbé fit une courte pause puis il la baisa, cherchant à provoquer ses réactions en variant les mouvements. Bientôt, la respiration de Marie s’accéléra et elle commença à gémir... alors l’abbé intensifia ses pilonnages jusqu’à ce qu’elle explosât dans un orgasme dont la puissance la surprit. L’abbé lui accorda quelques minutes de répit puis il écarta ses fesses.
— Non, non ! cria Marie.— Marie, Marie, calme-toi. Si je ne fais pas ça, tout le reste n’aura servi à rien. C’est lui qui te pousse à refuser. Pour m’empêcher de le chasser. Nous ne pouvons pas abandonner maintenant. Il reviendrait te tourmenter avec une force que tu ne peux pas soupçonner. Alors, laisse-moi faire et ne crains rien, je suis très doux.
Marie soupira, mais elle ne s’opposa pas à l’abbé lorsqu’elle sentit son gland forcer sa rondelle. Elle grimaça. Cependant l’abbé procéda avec une telle délicatesse que la douleur qu’elle avait ressentie à l’introduction s’estompa rapidement. La sensation que lui procurait l’épaisse queue, coulissant dans son étroit fourreau, lui parut exquise, et elle y vit là l’œuvre du malin. Alors, comme le lui avait répété l’abbé, elle libéra quelques gémissements qu’elle retenait encore.
— On y est presque, Marie, mais pour LE terrasser, je vais devoir te sodomiser plus fort.— Oui, mon père, se contenta de répondre Marie.
L’abbé intensifia ses pilonnages... et Marie ses gémissements, auxquels se joignirent quelques petits cris ténus. Puis brusquement, l’abbé éjacula en rugissant.
— Ça y est, mon père, murmura Marie. Il est parti ?— Oui, je le crois.— Alors je n’aurai plus de pensées horribles ?— Je ne le pense pas, mais si tel était le cas, elles ne mettraient plus ton âme en péril à condition de m’en parler immédiatement.— Oui mon père, fit Marie en se rhabillant.
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