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Expérience SM ...

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Partie 4

Elle est alors sortie dans le couloir, nue, comme il se doit. Je l’ai attendue quelques minutes, entendant craquer dans le couloir, restant attentif à un éventuel appel au secours...Dès que je l’ai entendue frapper, j’ai ouvert, pour ne pas la faire attendre. Je me suis reculé, pour la laisser exécuter mes ordres. Elle est ensuite revenue vers moi pour reprendre sa place, et elle m’a tout raconté:
— Maître, je me suis rendue au distributeur comme vous me l’aviez ordonné, et j’y ai bu une canette d’orangina. J’en avais bien besoin d’ailleurs ! J’ai ensuite commencé à revenir et c’est là que j’ai croisé un homme, je dirai 40 ans, maître. Il m’a demandé ce que je foutais nue dans le couloir, et je lui ai simplement demandé si cela le gêne réellement. Il a ri et m’a souri puis il est parti ! J’ai fini ma canette et je suis revenue, maître. Merci pour ce petit plaisir !— Mais de rien ma soumise...
Pour cette question, tu vas parler librement.Qu’as-tu pensé de cette après-midi ?
Je lui ai laissé une minute, le temps de la réflexion, puis d’elle même m’a répondu:
— J’ai adoré maître, cette expérience m’a épuisée, mais révélée à moi-même maître. Je ne peux que vous remercier.— Tu m’en vois ravi ! Nous aurons l’occasion d’y revenir en plus détaillés dans ce cas...— Je ne demande pas mieux maître ! Merci, me dit-elle en baissant les yeux.— Allez, va sous la douche, encore... pour sortir manger tous les deux, il est déjà 20 heures ! Nous avons bien profité.
Nous sommes allés au restaurant le plus proche, habillés tous deux simplement. Nous étions alors redevenus un couple comme il y en a tant.

Une semaine s’est alors écoulée, nous sommes retournés à nos vies respectives. Elle ne m’a parlé à nouveau de son envie que le jeudi pour se voir du vendredi soir jusqu’au dimanche soir chez ses parents.
— Mon chéri, je t’ai dit avoir adoré être ta chose, ta soumise...— Oui, je n’ai pas oublié ne t’en fais pas ! Pourquoi ? — J’ai envie de pousser un peu le petit jeu que tu m’as imposé dans le couloir de l’hôtel. Être exposée, et le risque de l’être... cela m’a rendue folle, je n’ai fait que cela d’y penser de la semaine ! — Voyez-vous cela ! Tu cherches à être vue ??— Risquer de l’être plutôt...— J’ai peut-être une idée pour cela.
Le samedi matin, je l’ai fait grimper dans la voiture, et nous sommes allés dans une grande enseigne de l’habillement. Direction le rayon robes. Elle a compris mon manège lorsque nous sommes allés vers les cabines pour lui passer la robe. Elle était rouge vif, assez large, et le décolleté se fermait par quatre pressions entre les seins. Elle est entrée, et sans même me parler, a laissé le rideau ouvert de moitié. Les cabines sont au fond du magasin, sans couloir d’accès. Elle se rend ainsi visible de tous, et de sa propre initiative.
— Cette fois, s’il te plaît, laisse-moi gérer chéri.— Comme tu voudras... lui répondis-je avec un sourire en coin.
Je l’ai donc regardé se déshabiller en observant par dessus mon épaule. Elle pouvait voir les badauds la regarder retirer ses vêtements, notamment ses dessous. Elle prit plaisir à retirer le soutien-gorge en premier, se tournant pour glisser ses seins en dehors. Elle me fit face, ainsi qu’au magasin, les mains sur la poitrine pour les cacher, m’a embrassé, et alors que je réouvrait les yeux après son baiser passionné, je la vis retirer ses mains, dévoilant à tous ses seins magnifiques. Je ne pus que constater son plaisir et son excitation au vu de ses seins alors devenus si fermes. Ils étaient pointés là, vers moi, vers le magasin, tels des obus prêts à libérer son plaisir.
— Tout le monde te regarde, je crois là non ?— Oui, et j’aime assez cela je dois te l’avouer ! me répondit-elle en rougissant.— Oseras-tu continuer ? Ou tu préfères enfiler ta robe ?— L’idée que je sois nue devant tous ces gens ne te gêne pas ? — Pas aujourd’hui ma chérie !
Je la vis me sourire et retirer lentement sa culotte et me la donner rapidement avant d’enfiler sa robe, de peur d’être jetée par une vendeuse trop zélée. Les badauds se régalaient de son spectacle, et elle de leur offrir !Elle me montra sa robe dans laquelle elle était divine. Ses seins étaient si bien mis en valeur malgré l’absence de dessous !Par jeux, elle a alors choisi de marcher dans la boutique. Elle est donc partie déambuler et sans rien lui ordonner, je la vis défaire une à une ses pressions, rendant son décolleté des plus affriolants. La savoir exposée sans soutien-gorge ni culotte me rendait fou. Mon érection était forcément visible, et c’est à pleines mains qu’elle me la serra à son retour avec un sourire des plus coquins.
— Je ne la prends pas... mais je veux jouir !
Avoir partagé la vue de mon corps nu devant tous ces inconnus ne te rend pas jaloux ? N’as-tu pas envie d’une vengeance...?
— Crois-moi, j’en meurs d’envie chérie ! Et tu vas... hurler !
Elle s’est changée, rideau fermé. Elle avait eu son plaisir et nous sommes rentrés. Par chance, nous avions la maison parentale pour nous seuls ce week-end, partis pour des raisons de familles auxquelles ma chérie n’accordait pas d’importance.
Sans rien demander, elle s’est présentée à genoux, tête baissée et mains dans le dos face à moi:
— Pardon de vous avoir rendu jaloux maître, je comprendrai d’être punie maître.— Tu va être punie, ça oui, ne t’en fais !
Je l’emmène au salon de ses parents et la fais déshabiller. Une fois nue, je la fais asseoir sur une chaise, et je l’attache dessus, jambes écartées par les chevilles et bras sur chaque accoudoir. Elle rougit et je vois son sexe s’ouvrir lentement, perler d’envie. La laissant dans l’attente, je disparais quelques instants et elle commence à me réclamer. Pour éviter cela, je la bâillonne avec sa propre culotte, qu’elle m’avait donnée au magasin. Après l’avoir regardée quelques instants:— Tu vas hurler... de plaisir, je ne sais pas, mais tu vas hurler !
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