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Expérience canine

Chapitre 4

Fellation solitaire

Zoophilie
Cela fait longtemps que je ne vous ai plus conté mes péripéties canines. Des semaines se sont passées, voire des mois, sans que je noircisse ces pages d’encre et de mots. Je ne saurais pas par où commencer, par où reprendre. La dernière fois que j’avais couché sur papier mon histoire, je vous ai laissés avec ma première fellation canine et le spectacle de mon amie, prise comme une chienne. Pour être sincère, y penser à nouveau me fait saliver, invitant mes doigts à la luxure. Cependant, je sais que si je me laisse emporter par cette gourmandise des plus alléchantes, je n’aurai sans doute pas la force, par la suite, de vous raconter les chapitres de mes expériences.
Peut-être cette suite vous sera d’un banal par rapport à l’exotisme de mes premières expériences en la matière. Après des mois d’absence, je désire vous raconter mon expérience la plus récente. D’ailleurs, je dois l’avouer, l’une des seules durant ces longs mois.
J’étais partie chez ma tante, pour deux petites semaines. Une femme d’une cinquantaine bien tassée. Elle vivait à quelques centaines de kilomètres de chez nous et je la vois, peut-être, que deux à trois fois par an, lorsque j’y séjourne. Elle vit dans une petite villa des années 70, perdue dans la campagne. C’est une maison avec beaucoup de charme, avec ses briques d’un joli jaune, son emplacement isolé et son terrain qui n’est que pur régal lors des longues journées ensoleillées d’été.
Elle vit seule dans cette maison, peut-être un peu trop grande pour elle. Seule. Elle a un compagnon avec qui elle partage son quotidien. Un petit Jack Russell mâle nommé Spock. Certains d’entre vous auront reconnu le personnage emblématique aux longues oreilles de Star Trek. Cependant, ses oreilles sont de taille normale. Son chien est énergique, courant dans la propriété sans arrêt. Un brin facétieux. C’est une belle bête. Un pelage avec une prédominance blanche et quelques tâches fauves, dont une sur son front, qui lui a (aussi) valu son prénom (qui signifie tâche en vieux belge). Pour ceux qui ne connaissent pas cette race, le Jack Russell est un petit chien d’environ six kilos, court sur pattes. Anciennement utilisée dans la chasse, c’est une race endurante et énergique, d’où le terrain clôturé dans lequel il peut courir toute la journée.
Je ne sais plus quel jour on était. C’était un peu des sortes de vacances pour moi. Je m’étais levée aux alentours de huit heures, ma tante déjà réveillée depuis un petit temps, étant très matinale. Il faisait gris dehors, à moins qu’il ne plût déjà. En tout cas, la météo hivernale n’était pas clémente en ce jour et une heure plus tard, lorsqu’elle me proposa de l’accompagner pour faire quelques courses, je déclinai la proposition, toujours vêtue de mon pyjama, flemmardant dans le canapé, pianotant sur mon téléphone. Elle partit une vingtaine de minutes plus tard, me laissant seule dans cette grande maison.
Je zappais les chaînes à la télévision, peinant à trouver une émission correcte en ce début de matinée, entre les reportages et les télé-achats lorsque Spock aboya sans discontinuer. Je me levai pour me diriger vers la terrasse arrière, ouvrant la porte et criant son nom. Généralement, cela suffisait pour que ses aboiements cessent. Cette fois, ce ne fut pas le cas. Je mis mes pantoufles et descendis dans la cave. La cave a un accès direct sur le jardin. J’ouvris la porte du garage, frissonnant à cause de l’air froid de dehors. En entendant la porte s’ouvrir, il arrêta instantanément d’aboyer, glissant sa tête vers moi. Il courut pour me sauter dessus, avec ses pattes mouillées. Je voulus me fâcher et le gronder, mais sa mine contente et son enthousiasme furent communicatifs et je caressai le sommet de son crâne en le complimentant.
Je le voyais sauter pour quémander plus de caresses lorsque j’entraperçus son sexe. Mes tétons se tendirent non plus à cause du froid, mais de l’excitation naissante, sous la fine étoffe de mon haut de pyjama – ne portant jamais de soutien-gorge pour dormir. Je sentais mon sexe devenir chaud, presque humide face aux idées qui me traversèrent l’esprit. Ma main glissa entre mes cuisses et sans m’en rendre compte, je me masturbais par-dessus la fine couche de coton du pantalon. Je me dirigeai vers la porte du garage et la fermai, me laissant seule avec le Jack Russell dans ce garage froid et péniblement éclairé par une ampoule à nu. Des idées libidineuses en tête.
Je m’assis à même le sol, frissonnant sous la froideur du carrelage. Mes tétons se distinguaient bien sous l’étoffe de ma tenue de nuit, tendus par le froid et l’excitation. Le chien vint vers moi, appuyant ses pattes avant sur mes cuisses pour se redresser et avoir encore quelques caresses supplémentaires. D’une main, je lui caressai la tête alors que l’autre glissa le long de son ventre, avant d’effleurer le fourreau de son sexe. Je commençai quelques mouvements de va-et-vient avant qu’il ne se retire dans un petit gémissement plaintif, léchant le bout de son sexe. Je vis son sexe à moitié bandant, sorti de son fourreau et mes cuisses devinrent rapidement poisseuses de ma propre excitation.
Il revint vers moi, sur moi et ma main se glissa, plus assurée, sous lui. Je vins maintenir la base de son pénis entre mon pouce et mon index avant de commencer – à nouveau — de légers mouvements de va-et-vient. Je le sentais excité sous ma main et cela m’excita davantage. Je me sentais quelque peu dégradée à faire cela, sur le carrelage froid et sale du garage, mais c’est également cette situation qui me plaisait énormément. J’adorais faire cela, de la sorte. Il respirait bruyamment et lâchait de temps en temps un petit aboiement. Je n’ai absolument aucune idée de combien de temps ce petit jeu a duré. Spock bougeait son bassin d’avant en arrière pendant tout ce temps. J’étais fascinée, regardant cet animal à la musculature dessinée de toutes ses courses dans le jardin qui n’avait qu’une envie : prendre une femelle. J’imaginais son sexe pénétrer une femelle digne de ce nom, sans aucune pitié.
Tout à coup, il s’arrêta et souleva une de ses pattes arrière pour essayer de se retourner. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Peut-être l’excitation, peut-être ces vidéos que je n’ai pas arrêté de visionner. Je l’ai accompagné dans son mouvement, en orientant son sexe vers l’arrière. Je voyais son pénis rosé. Luisant. À ma merci. Je sentis ma main devenir moite, collante. Je maintins fermement mes doigts à la base de son sexe. De mon autre main, je mis mes cheveux en arrière, et me penchais sur son sexe, prenant les quelques centimètres que faisait son pénis entièrement en bouche. Ce goût cuivré que j’avais découvert quelques mois plus tôt explosa à nouveau en moi, comme une sorte d’écho à ma fellation passée. Je le dévorais plus que le suçais. Telle une lionne affamée. Telle une chienne en chaleur. J’avais la bouche luisante, collante. Je sentais le goût de sa virilité descendre au fond de ma gorge. Je m’acharnais.
Je sentais mon pantalon de pyjama devenir trempé face à l’excitation sauvage de la situation. En cet instant précis, je n’étais qu’une petite chienne, le cul redressé, suçant goulûment un clébard. J’étais tellement excitée que l’idée qu’on puisse me prendre et me baiser dans cette position donna plus d’entrain à la fellation que j’étais en train de prodiguer.
Il ne tint plus en place. Un jet de semence me brûla la gorge. Je lâchai son sexe. Je regardai Spock se mettre dans un coin, lécher son sexe vif de cet ébat. Je vins machinalement lécher mes lèvres souillées de cette aventure et ouvris la porte du garage pour laisser le chien dans le jardin avant de jeter un œil à mon pyjama. Le col du haut était taché, la poussière venait coller le vêtement au niveau des coudes. Mon excitation avait été telle que ma culotte n’avait pas suffi à contenir le plaisir, avec des traces de boue lorsque le chien s’était jeté sur moi et de poussière. Je ris nerveusement, assommée de la situation.
Quelques minutes après cette jouissance canine, j’étais sous l’eau chaude, presque brûlante de la douche, les doigts perdus entre les lèvres de mon intimité. Les yeux fermés, les souvenirs de Spock, de son foutre dans ma bouche me firent venir, me laissant sonnée, pantelante.
Maintenant que j’ai couché ce chapitre, que je vous l’ai partagé de la manière dont je me remémore de ce moment, je vais me glisser sous les draps et m’abandonner à la luxure de mon imagination.
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