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Expérience coquine en cabine

Chapitre 1

Erotique
Cette histoire est écrite en colaboration avec Yanos
Cette histoire se déroule il y a quelques jours. Peu de temps donc après la fin du confinement.
Après ce foutu virus et cette période anxiogène, je suis contente de sortir et de pouvoir faire un peu les boutiques de fringues. Le beau temps est au rendez-vous, je suis donc habillée en mode détente : un petit short en jean un top blanc et une veste en jean. Je porte de petites baskets blanches aux pieds. Je me retrouve donc dans un magasin de vêtements, une chaîne assez connue, peu importe le nom. Tandis que je me balade dans les rayons, je remarque qu’il y a cinq employés dans l’échoppe et peut-être une dizaine de clientes. Soudain, il me vient une idée… coquine.
Je vérifie que j’ai ce qu’il faut dans mon sac. (normalement j’en ai toujours un avec moi mais mieux vaut être sûre) C’est bon, il est là, dans son étui. J’ai souvent entendu des histoires de cabine d’essayage et justement, là tout de suite j’ai très envie d’essayer. Je prends quelques fringues un peu au hasard sur les portants et je file vers les cabines. J’en choisis une, j’y rentre et je referme le rideau de tissu ; je fais bien attention de ne pas être visible depuis l’extérieur. J’accroche aux patères les cintres portant les vêtements que j’ai amenés comme prétexte. Je jette un dernier coup d’œil au rideau, ça va, il est bien fermé. Je baisse et retire mon short et je m’assois sur la banquette de la cabine. En passant ma main sur mon string rose, je sens que je suis déjà un peu humide. Rien que cette idée m’excite à mort.
Je fouille mon sac et j’en sors l’étui qui contient mon ami de plastique souple. Je le déballe : c’est un très joli gode violet et vibrant d’une longueur de vingt centimètres environ et de quatre centimètres de diamètre. J’écarte mon string, je me caresse un peu le clito du bout des doigts de ma main gauche. Je lève une jambe et dépose mon pied à plat sur l’assise, tandis que l’autre reste au sol. Ainsi, mes jambes sont bien écartées et mon minou tout à fait accessible. Je mouille déjà pas mal, toujours autant excitée par la situation. Je donne alors quelques coups de langue appuyés sur le sexe de plastique. Et après l’avoir léché et humidifié avec ma salive, je le descend entre mes cuisses. Présentant le jouet de plaisir à l’entrée de ma chatte.
Peu à peu, je m’enfonce le gode et je dois réprimer un premier gémissement au moment de l’introduction. Je peux vite commencer les va-et-vient sans oublier de déclencher le mode vibration, de niveau un, pour commencer. Un doigt sur le clito et le phallus plastifié en moi, je laisse le plaisir s’emparer peu à peu de moi. Parfois j’entends des bonnes femmes dans le couloir des cabines, mais ça ne fait que m’émoustiller encore plus. J’observe les allées et venues du gode dans ma chatte et j’enclenche la deuxième vitesse de vibration. Oooh, c’est tellement bon. Je ne tarde pas à mettre le niveau de vibration le plus prononcé en route. Mes va-et-vient avec le gode se font de plus en plus rapides, puissants et profonds et deux de mes doigts s’activent énergiquement sur mon petit berlingot de chair rose. Mon cul musclé se frotte sur la banquette ; mes cuisses se contractent au fur et à mesure que je m’auto-baise. L’assise est déjà bien humide à cause de ma cyprine qui s’écoule sans cesse. Après vingt cinq minutes, je suis emportée par un violent et délicieux orgasme. Mais je ne peux pas l’exprimer à haute voix, pas sans ameuter tout le magasin. Je retiens mes gémissements, ce qui est encore plus fort du coup, mais mes jambes tremblent, mes yeux se ferment, ma main se crispe sur le gode et j’inonde un peu plus la banquette avec ma mouille. Il y en a même sur le sol d’ailleurs à présent.
Je calme un peu le jeu, me remettant doucement de mon orgasme et reprenant mon souffle. À l’extérieur c’est toujours le défilé devant les cabines. J’aperçois des ombres derrière le rideau et je perçois les pas et les voix. Alors que je finis de retirer le gode, tout juste arriver au bord de mes lèvres, je sens que j’ai encore envie en fait. Et puis merde, c’était trop bon ! Je recommence ! Ni une ni deux, je renfonce le sex-toy dans ma chatte trempée et brûlante. De nouveau, j’accompagne ça d’un bon frottement digital de clito. Le gode est positionné en vitesse trois directement cette fois. Et il ne faut que quelques minutes cette fois pour me faire gueuler (intérieurement bien sûr) et accéder à une jouissance aussi intense que la première. Ça sent le sexe dans la cabine et j’ai clairement laissé de la cyprine partout, sur la banquette comme sur le sol. Je recale mon string correctement puis je porte doucement le gode à ma bouche. Je dépose un baiser sur l’extrémité puis je le prends entre mes lèvres pulpeuses et je le suce rapidement, goûtant au passage à ma mouille.
Une fois bien nettoyé, je le repose dans son étui et je le dépose dans mon sac à nouveau. Je me relève tout en prenant garde de ne pas mettre les pieds dans "la flaque". Je repasse mon short et je me réajuste puis je respire un grand coup. Avant de sortir, je vérifie quand même que personne n’attende juste derrière le rideau. C’est ok. Je prends les fringues que j’ai amené histoire de dire, je les dépose en passant sur le portant qui se trouve devant les cabines et je repars pour ma balade, toute comblée d’avoir pu m’offrir ce double orgasme, en pleine journée dans un magasin.
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