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Expérience éhangiste pour Florence.

Chapitre 2

Un phénomène de foire

Voyeur / Exhibition
EXPERIENCE ECHANGISTE POUR FLORENCE. 2
 
  Mais nous sommes dérangés sur notre lancée par le retour des deux serveurs toujours suivis par quelques jeunes femmes. Ils viennent déposer notre commande sur une table basse et demandent leur dû. Ils passent de l’un(e) à l’autre et comme une glace vanille/chocolat, je goutte l’un après l’autre aux joncs vigoureux de ces éphèbes. Il m’est déjà arrivé d’avoir en main un beau chibre, mais le contraste entre ces deux tiges pharaoniques est une première. C’est très plaisant et je sens ma chatte devenir suintante de plaisir. Je voudrais profiter un peu plus longtemps de ces sucres d’orge disproportionnés mais ils s’éloignent déjà suivis de leurs groupies.   Suite :  Finalement, comme j’aime beaucoup danser et qu’on entend la musique d’un slow, je décide d’inviter Maxime qui accepte.  Ma main fermement agrippée à la sienne, nous nous dirigeons vers la piste.  La plupart des couples qui dansent sont plutôt en forme physiquement, même s’il n’y a pas parmi eux de corps  de déesses ou de dieux grecs. Je me sens bien tout contre lui, protégée. J’apprécie ce moment et apparemment lui aussi. J’ai envie de l’embrasser. Répondra-t-il à mon invitation. Sur la piste, Maxime prend mon visage entre ses mains et m’embrasse langoureusement, sa langue explorant ma bouche avec une passion sauvage. Nous entamons un slow langoureux, j’ai mis mes mains sur ses épaules et lui les siennes sur mes fesses. Il se met à me caresser, me dis que je suis belle, que j’ai la peau douce, et c’est très excitant, l’atmosphère est feutrée, un peu sombre. Devant moi, un mec  caresse le dos de sa partenaire pendant qu’elle le masturbe. Tout le monde fait les gestes qu’on voie rarement sur une piste de danse, je vois des verges, des sexes de femme, des trucs hallucinants.  Une fille allongée par terre sur un matelas dans une chambre sans porte, est en train de se faire prendre devant des couples. Elle crie assez fort et tout le monde regarde en silence, des hommes se masturbent au-dessus d’elle. Je suis contente que Maxime n’y prête aucune attention car c’est le genre de scène qui excite les hommes.   Le contact de nos deux corps étroitement enlacés commence à produire ses effets et je sens quelque chose qui essaie de se redresser et finit par s’insinuer entre mes cuisses. Je m’écarte un peu, juste le temps de libérer le passage à son engin et me recolle aussitôt contre Maxime. Je suis fière d’être arrivée à le faire bander uniquement par le contact de nos peaux, laissant sa libido faire le reste. Maxime me caresse les seins qui s’érigent très rapidement.  Il commence à me les lécher avec application, la sensation est divine. Je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Mon corps est parcouru de frissons et je sens que je commence à être de plus en plus excitée. Je sens que je commence à mouiller. Je propose à Maxime de nous isoler à nouveau dans une petite pièce où nous pourrons laisser libre cours à nos envies. On  passe devant une multitude de « coins câlins » Des portes entre- ouvertes nous laissent entrevoir des scènes diverses. Je vois une fille à genoux, la tête entre les cuisses de sa partenaire,  lui faisant un cunni. Trois ou quatre  personnes  regardent un homme encore habillé dans le box suivant, le rideau étant ouvert. Elles sont là car il parait qu’il a une sacrée réputation. Le patron l’invitant gratuitement, lui faisant cadeau des boissons et autres petits avantages  pour la réputation de l’établissement car beaucoup de gens viennent pour le voir...pour montrer à leur femme le phénomène.  Un couple vient de le rejoindre  et l’homme lui demande  un trio avec sa femme.   -Il parait que vous êtes né avec un don ?  Que vous êtes bien monté ? Lui demande l’homme.— Bien monté, non… je suis hyper bien monté, sans fanfaronnade  aucune! Lui répond-t-il.  -Ah ! Et qu’appelez-vous, hyper bien monté? Ma femme aime les très grosses queues, s’esclaffe trivialement L’homme. On peut voir ? Tex, le fanfaron, prend la main de la femme et il la met sur sa braguette. Aussitôt, elle lui malaxe l’engin, caressant l’entrejambe du dénommé Tex faisant bien ressortir sa queue  à travers son pantalon qu’une grosse bosse déforme. Elle a le feu aux joues, ses yeux brillent. -Tu bandes comme un gros satyre toi ! S’exclame-t-elle, caressant l’engin que je devine le long de sa cuisse. Il doit vraiment avoir un énorme sexe, je me dis. -Peut-être… Répond nonchalamment Tex. Elle se frotte sur la queue et lui demande : -j’aimerais maintenant voir cette merveille.Tout le monde semble pressé de voir aussi la chose.  Tex retire tranquillement sa chemise puis s’attaque à son pantalon, il porte dessous un caleçon qui descend assez bas sur ses cuisses. Malgré l’éclairage tamisé, je peux voir que son membre occupe tout l’espace libre de la jambe gauche et descend assez bas sur sa cuisse.  Elle mordille le membre de plus en plus raide à travers le tissu du caleçon.  Il y a maintenant  une dizaine de personnes agglutinées devant le box. Tex commence à descendre son caleçon découvrant son bas-ventre imberbe.  Quand il est à moitié baissé, la femme revient à la charge, passant sa main sur la grosse protubérance qui apparait petit à petit, dévoilant la racine très épaisse de son membre.  Elle prend l’engin en main pour estimer les dimensions de cette teub hors normes à travers le tissu.  Elle n’y tient plus et tire vers le bas son caleçon, afin de découvrir enfin ‘’ la bête ‘’… Le caleçon est maintenant à mi-cuisses mais on ne voit toujours pas apparaître le gland de dessous le tissu. Elle arrive finalement à mettre l’engin complètement  à découvert.Ce n’est pas une bite que je vois, mais un véritable serpent !!!  Ce braquemard doit mesurer, au moins 25 centimètres, mais pend inerte entre les cuisses de Tex. La femme prend à deux mains ce monstre et commence à le masturber  énergiquement, en enfournant à peine le gland dans sa bouche.  Tex, les yeux fermés, la laisse faire. Plus la femme le suce et le caresse, plus  ce véritable manche de pioche continue de croître. Elle le masturbe devant nous, tenant à l’horizontal la bête qui grandit et grossit encore, prenant de la raideur. La « bête » doit avoir fini de croître avec une courbure prononcée vers le bas. Le « colosse » doit bien faire maintenant dans les trente centimètres !!!!! J’en suis persuadée… Quelle poutre!!! Rien que  le gland qui frise les sept centimètres, pose déjà des difficultés à la fille pour le mettre en bouche !  Le public a doublé, maintenant c’est une vingtaine de personnes qui  se poussent pour voir la femme s’escrimer sur ce phénomène de foire au membre XXXL. Les flashs crépitent pour immortaliser la scène. Les deux mains qui branlent cette  épaisse queue semblent minuscules.  Tex la repousse, la queue plus tenue est si lourde qu’elle pend pratiquement entre ses cuisses. Il s’étend sur le dos et attire la femme sur lui, elle l’enjambe en levant sa jambe gauche au dessus des jambes de Tex, se cale, un genou de chaque côté du corps étendu. La femme recommence alors à le masturber, satisfaite du résultat que sa masturbation produit sur « la bête », courbée et raide. Je vois même pulser, au gré de ses battements de cœur, le sang dans ce manche exceptionnel.
Nous avons en face de nos yeux écarquillés un cul qui se trémousse au dessus du pal. Tex la prend par la nuque et l’embrasse, lui caresse les seins. La femme tient héroïquement la verge monstrueuse et commence à s’empaler dessus. Mais son mari ferme le rideau, nous entendons sa femme geindre puis gueuler franchement à l’abri des regards lubriques des curieux. Je ne voudrais pas être à sa place… A suivre…
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