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L'expérience interdite

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Le mail que je reçu disait cela :
Aurore,Nadège a été fière de vous et je constate avec plaisir que jusqu’à maintenant vous êtes prête à continuer votre apprentissage. Cette semaine, vous irez chez le Docteur Jacques Dietr. C’est un ancien gynécologue qui aime mettre en pratique les fantasmes qu’il avait lorsqu’il exerçait. Il a 64 ans. Ne nous décevez pas.
Un gynécologue. Cela faisait bien longtemps que je n’étais pas allée consulter. Dans ma tête j’imaginais un vieil homme pervers malaxant et écartant ma chatte. Cette idée m’excitait férocement et je dus me masturber deux fois pour combler mes envies. Maintenant, lorsque je me doigtais je constatais que ma chatte et mon anus étaient de plus en plus souples, grâce aux objets que je gardais chaque nuit. Étant donné que c’était ma semaine de vacances, je me rendis chez mon maître en début d’après-midi.
Celui-ci me reçut convenablement et je dois avouer qu’il était très charmant malgré son âge. Nous bavardâmes quelques minutes de tout et de rien, lorsqu’il me dit que je devais avancer dans mon apprentissage.
« - Je reçois souvent les nouvelles recrues du club. Je dois en quelque sorte les ’préparer’, c’est-à-dire m’assurer qu’elles sont bien prêtes à continuer leur progression. Certaines arrêtent car les modifications corporelles sont souvent un frein à leur continuation. En effet, si vous voulez continuer, vous devrez vous faire un piercing aux tétons, aux lèvres et au clitoris. »
Je ne m’attendais absolument pas à ça, mais je me disais qu’après ce que j’avais pu vivre avec Nadège, ces quelques piercings n’étaient rien.
« -Je suis d’accord et je serai ravie de me les faire faire. Répondis-je docilement. »
« -Très bien, suivez moi, allons dans mon cabinet. »
Le docteur avait chez lui un véritable cabinet de gynécologie. Il m’expliqua que lorsqu’il partit en retraite, il préféra garder son cabinet plutôt que de le vendre. Il me fit asseoir sur son fauteuil, et j’enlevais mon soutien-gorge. Cette situation commençait à me faire mouiller. Il prit mon sein gauche dans ses mains, et présenta une aiguille en plastique assez large. Mes tétons pointaient par l’excitation et il me dit que c’était très bien. Il perça subitement et me mit mon premier piercing. Puis il fit la même chose à mon téton droit. Cette nouvelle sensation était douloureuse mais agréable, et je massais mes tétons de tous me doigts par réflexe. Puis je m’allongeais sur son fauteuil et j’écartais les cuisses, les soulevant pour les mettre sur les deux étriers. Il toucha et étira mes grandes lèvres ainsi que mon clitoris pour le rendre dur. Ma chatte commençait à dégouliner et il étala mon liquide en me massant. Je poussais des râles de plaisir en pinçant doucement mes tétons douloureux. Le docteur me fît un piercing à chaque lèvre. Puis il prit une pince et pinça mon clitoris. Les bouts de cette pince étaient percés, et il enfonça soudainement l’aiguille en plastique de haut en bas de mon clitoris, d’un coup sec. Un cri machinal sortit de ma bouche.
Avec ces piercings, je me sentais vraiment chienne. Le docteur me demanda de descendre du fauteuil et de me mettre par terre en levrette. Il se mit à genoux derrière moi et massa mon anus avec son gland. Mon trou était assez souple depuis que je le stretchais et mon maître s’enfonça facilement en moi. Mes tétons et mon clitoris qui étaient durs rendaient la douleur encore plus forte et ma chatte dégoulinait par terre. Lorsque je caressais mon clitoris, celui-ci était douloureux et ne pouvait me mener à l’orgasme. Jacques se vida donc dans mon anus sans que je jouisse. Il se releva et me dit :
« - Je t’ordonne de ne pas avoir de rapport sexuel vaginal avec un homme durant cette semaine. C’est pour que ton piercing clitoridien ne s’infecte pas. »
Je rentrais chez moi l’anus humide. J’insérais mes deux Plugs, pompant un peu plus pour distendre ma chatte. Je m’endormais.
Le lendemain j’étais chez Jacques à 9h00. Mes piercings ne me faisaient plus mal et je m’installai sur son fauteuil.
« -Ce matin nous allons jouer avec ta poitrine. Je vais injecter de la solution saline dans chacun d’eux. »
Je ne connaissais absolument pas mais je me laissais faire. Jacques prit une énorme seringue remplie du liquide et la planta de 2 cm dans mon sein. Le liquide brulait mais cette sensation nouvelle était extraordinaire. Je sentais mon sein entier gonfler, se distendre. La solution brûlait un peu mais c’était comme si des milliers de petites mains massaient mon sein de l’intérieur. Il fit la même chose à mon autre sein. Lorsque je me mis assise, je constatais que mes seins étaient énormes ! J’étais passé d’un 95B à sûrement du 100F. En me regardant dans un miroir, avec ses seins énormes et mes piercings, je ne pus m’empêcher de penser que je devenais une véritable salope. Et j’adorais ça. Mon maître m’ordonna de masser mes seins. Ce que je fis longuement, proche de l’extase, les malaxant de mes mains et les pétrissant fortement, les écrasant l’un contre l’autre. Jacques baissa son pantalon et approcha sa queue de mon visage. Excitée comme je l’étais, je le pris en bouche et le suça du mieux que je pouvais, léchant son gland et rentrant fortement sa queue dans ma gorge. Il jouit sur mes seins et j’étalais son sperme en continuant de les malaxer.
« - Tes seins seront ainsi jusqu’à demain soir. Tu peux prendre congé. A demain matin. »
Le lendemain matin, Jacques me fît installer sur son fauteuil et écarta mes jambes.
« - Nous allons jouer avec tes trous. Tu es docile, j’aime. Tu vas te laisser faire. »
« - Oui maître. »
Je ne savais pas ce qui m’attendait et je me préparais à une séance où en bonne soumise je me laisserai faire. Le docteur enfonça un long spéculum dans ma chatte et commença à l’ouvrir. J’étais fière de moi car avec mes séances de stretching vaginal chaque nuit, mes muscles vaginaux étaient désormais très souples et je pouvais accueillir des objets assez gros facilement. Le spéculum s’ouvrit de 10 centimètres et le docteur laissa mon trou ouvert ainsi. Puis il prit une petite tige en fer et je sentis une brulure atroce. Le docteur était en train de forcer mon urètre. Je commençais à souffrir et des larmes perlaient dans mes yeux. La douleur était atroce, mais intérieurement j’étais excitée. Jacques fit quelques allers-retours et la tige progressait de plus en plus dans mon urètre. Je mis un doigt sur mon clitoris pour le masser doucement. Je commencer à apprécier cette pénétration. Le docteur faisait des va-et-vient de plus en plus vite et de plus en plus loin. Je massais de plus en plus mon clito et j’appuyais sur mon piercing. Quelques minutes plus tard, je jouissais fortement. Mon maître sortit la tige afin que je puisse la lécher, ce que je fis avec application.
Cette semaine passa vite, le docteur me faisant subir plusieurs fois les mêmes supplices délicieux ; écartelant ma chatte avec un spéculum pour ensuite la fister, injectant des solutions salines dans mes seins et insérant des tiges dans mon urètre. Le dimanche soir, Jacques me donna un cadeau d’adieu, une sorte de corne que je devais enfoncer dans les trous de mes piercings de seins afin de les écarter. J’étais sur ma lancée et toutes ces modifications physiques m’excitaient. Ma chatte et mon anus étaient bien devenus souples après deux semaines de plug chaque nuit, maintenant je pouvais commencer à y insérer ma main sans beaucoup forcer.
Le lundi matin, j’avais un nouveau mail, m’indiquant où je devais passer la semaine.
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