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Expérience lesbienne

Chapitre 1

Lesbienne
Une envie pressante, vite !Je m’empressai de me rendre dans les toilettes du resto.Je tentais en vain de fermer cette maudite porte, qui pour je ne sais quelle raison refusait de se fermer... C’est en baissant les yeux que je reconnus le galbe de ce pied, posé comme dans un écrin, dans ces très jolis escarpins... Véronique !
Véronique, c’est la nouvelle compagne de Didier, un copain et ami de fac, dont j’ai été la confidente pendant pas mal de temps.
Ce soir-là, nous avions décidé de nous réunir entre amis, et Didier se faisait encore et comme toujours attendre.Lorsqu’il arriva enfin au bras de Véronique, je sentis mon cœur se serrer.Je ne la connaissais pas encore, et pourtant, lorsqu’elle passa la porte et que Didier fit les présentations, je ne pouvais détacher mon regard du sien...Ses cheveux coupés au carré, ses yeux verts, ses lèvres rehaussées d’un rouge discret, mais surtout sa silhouette dans cette petite robe fluide qui mettait en valeur ses hanches et retombait à mi-cuisses...
La soirée battait son plein lorsque cette dernière s’approcha :
— Tu aurais du feu ?— Bien sûr.— Tu fumes ?— Oui, mais pas maintenant.— Je sors, je te le ramène.— OK.
Elle sortit sur la terrasse et moi je restai là à observer le ballet de sa robe sur ses jambes à chaque pas qu’elle faisait...
Après m’avoir demandé mon briquet à plusieurs reprises dans la soirée, je lui fis la remarque qu’elle fumait trop. Elle s’approcha alors de moi et posa, ce qui me troubla, un doux baiser sur ma joue et me murmura :
— Je m’emmerde...

Je lui souris, et pour échapper à ce trouble je me dirigeai vers les garçons qui blaguaient plus loin. Pascal, un copain de Jacques mon mari, me saisit par la taille et me demanda :
— Tu en penses quoi de Véro ?— Sympa...— Avec son petit cul et sa tête d’ange... mouais, sympa...
Alors que les garçons ricanaient déjà, je leur demandai de parler moins fort, leur faisant remarquer au passage qu’ils devraient arrêter de boire.Alors que je m’éloignais du groupe, je croisai Véronique.
— Tu viens fumer avec moi ? J’ai piqué le briquet à Brigitte.— Vas-y, je te rejoins.
Brigitte... je ne sais pas pourquoi à cet instant je me sentis envahie par un sentiment de frustration... de jalousie...Allons, jalouse, moi ? Moi, hétéro invétérée ! Moi qui la semaine dernière encore, refusant de résister à mes pulsions, étais montée à l’arrière de la voiture de ces deux inconnus. Moi qui avais passé deux heures à me faire démonter sans ménagement, acceptant de répondre à tous leurs désirs... double pénétration, fessée, doigtage...
Je pris mes cigarettes dans la poche de mon manteau posé là et me dirigeai vers la porte qui menait à la terrasse. Alors qu’une personne qui rentrait me retenait la porte, un spectacle délicieux s’offrit à moi et me troubla : à cet instant précis, une bourrasque de vent souleva l’arrière de la robe de Véronique et je pus admirer – le mot est faible – ses bas et sa petite culotte ; de son côté, elle ne sembla ne pas y prêter attention.
A cet instant, je décidai que j’avais plus urgent à faire que d’aller fumer...Une envie pressante, vite !Je m’empressai de me rendre dans les toilettes du resto : il fallait à tout prix que je me masturbe !
Je tentais en vain de fermer cette maudite porte, qui pour je ne sais quelle raison refusait de se fermer... C’est en baissant les yeux que je reconnus le galbe de ce pied, posé comme dans un écrin, dans ces très jolis escarpins... Véronique !
— Bon, tu rentres ou tu sors ?
Véronique poussa la porte, me repoussa dans le fond de la pièce et referma à double tour. Elle posa ses lèvres sur les miennes et me saisit d’une main par les cheveux tandis que l’autre glissait déjà sous ma jupe. Je sentais son souffle dans mon cou. Haletante et excitée, elle murmura à mon oreille tandis qu’elle caressait ma culotte :
— Putain, mais tu es trempée !
Elle s’immisça ensuite au plus profond de mon intimité et je me sentis vaciller. Après quelques minutes de ce pur bonheur, elle sortit ses doigts pour les porter à mes lèvres que j’entrouvris pour lécher toute la cyprine.
Puis, me tenant toujours par les cheveux, elle m’accroupit, et soulevant sa jupe elle me lança dans un râle :
— Vite ! Je vais jouir, suce-moi...
En effet, alors que le spectacle de ses bas et de sa petite culotte s’offrait à mon regard gourmand, je sentais sa mouille envahir sa culotte qui changeait déjà de couleur. Je m’empressai d’en écarter le tissu pour lécher cette mouille odorante et succulente, ce qui lui provoqua de petits soubresauts et un orgasme qu’elle ne pouvait déjà plus contenir...
Après m’avoir à nouveau branlée avec vigueur pour me procurer le plaisir d’un orgasme qui grondait depuis notre premier regard, je la rejoignis devant le miroir où elle se refaisait déjà une beauté. Elle resta là à me regarder, et lorsque j’eus terminé, elle me lança un regard approbateur.
— Passe chez Didier ; je travaille sur place et je fais des pauses régulières.— Bien sûr.
Elle m’embrassa langoureusement avant de quitter la pièce...
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