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Expérience sensuelle et troublante

Chapitre 1

Erotique
Bonjour,Je m’appelle Stéphane, bientôt quarante ans et marié à Déborah depuis plus de dix ans. Je travaille dans le domaine de la santé et suis un assez bon masseur d’après les dires de mes patients. Depuis quelques mois, nous hébergeons une amie beaucoup plus jeune que nous ; vingt-deux an ; Marion.Cette dernière est étudiante dans notre région, mais originaire de Picardie. C’est pour cela que nous la logeons.Afin de mieux comprendre et appréhender la situation, je dois vous préciser plusieurs choses sur mon couple.
En premier lieu, nous n’avons plus beaucoup de relations sexuelles avec mon épouse depuis plusieurs années et notamment depuis la naissance de notre fille.
Ma chérie ne ressent plus ; a priori ; de désir et d’envie sexuels. De mon côté, il y a deux ans, j’ai eu un souci de santé qui eut, malheureusement, quelques conséquences au niveau de mes attributs alors même que ma libido est toujours intacte comme à mes dix-huit ans. Ne voulant pas me laisser abattre et voulant contrecarrer ces problèmes d’érection, je me masturbe de temps à autre et cela va de mieux en mieux. Ce qui me manque le plus, c’est d’embrasser, caresser et lécher le corps féminin et d’emmener une partenaire à la jouissance, rien qu’avec mes baisers et mes mains.
Ce qui m’est arrivé il y a quelques semaines est peut-être banal pour la plupart des personnes, mais de mon côté très troublant et quelque peu excitant.
J’ai eu durant l’été plusieurs fois le plaisir de voir mon épouse et notre amie, dans de beaux ensembles deux pièces, bronzer dans notre jardin ou au bord de la piscine. Comme tout homme, je ne suis pas insensible à la beauté du corps humain (à n’importe quel âge, mais ça fera peut-être partie d’un prochain récit).
Un soir, je revenais du travail et trouvais mon épouse et notre amie en maillot de bain en train de bronzer. Mon épouse portait un slip de bain et un soutien-gorge associé.
Marion quant à elle, portait une sorte de tanga de bain dont elle avait ramené les côtés dans la raie des fesses pour je la cite : "éviter les traces de bronzages". De même, son soutien-gorge était dégrafé et elle était couchée sur le ventre.
Comme vous pouvez vous en douter, cette vue des deux femmes était très, très agréable.
Pour que vous puissiez vous imaginer la scène, il faut savoir que mon épouse est blonde, les cheveux longs, yeux marrons, légèrement ronde mais très gracieuse avec de très belles fesses et une magnifique poitrine légèrement tombante 95C.Marion, de son côté, est brune cheveux mi longs, yeux verts, fine et musclée avec deux belles fesses bien rebondies et un petit, mais beau 90 B en tour de poitrine. Je décidai naturellement de rester avec elles et de profiter du soleil vu qu’il n’était même pas encore dix-sept heures.
Après un échange de discussion divers et varié, les filles m’avouèrent que Marion aurait certainement besoin de moi et me raconta le motif qui malgré moi réveilla ma libido...
Ma femme m’expliqua qu’en début d’après-midi, elles s’étaient faites une séance d’épilation, bras, dessous-de-bras, jambes, maillot, etc… et que Marion avait même demandé à mon épouse de lui épiler les poils des fesses.
Elle m’expliqua que Marion s’était mise à quatre pattes sur notre lit sans sous-vêtements.
Et là, vous avez beau vouloir rester neutre et impartial, votre imagination fuse dans tous les sens et des idées lubriques vous arrivent en masse d’autant plus que vous avez une vue directe sur le beau postérieure de la demoiselle qui est en train de bronzer...
J’eus beaucoup de mal à me reprendre, mais par je ne sais quel moyen, je réussis. Mon épouse m’expliqua que l’épilation à cet endroit avait duré quelques minutes et que depuis ce moment, Marion ressentait une vive douleur dans le dos.Elle me demanda alors si je n’avais pas quelques conseils ou quelque chose à lui conseiller.
J’expliquai alors à Marion que si elle le désirait et si elle était consentante, je pouvais lui préparer une lotion à base d’huile végétale et d’huiles essentielles et lui masser le dos, les jambes et les pieds afin de permettre un bon drainage de la zone et ainsi calmer ses douleurs.
Elle acquiesça et nous décidâmes de faire cela après le dîner.
L’heure approchant, je me mis à la préparation du dîner pendant que Déborah et Marion filaient prendre leur douche.
Le dîner se passa normalement et c’est tout naturellement qu’après le dîner, je rejoins Marion dans sa chambre avec mon mélange magique.
A mon arrivée, elle était en petit short et T-shirt a priori sans soutien-gorge d’après ce que je pouvais voir.Elle me demanda comment elle devait se mettre. Je lui expliquai que l’idéal serait d’être couché sur le ventre afin que j’atteigne correctement la base du dos et qu’afin de permettre un bon drainage lymphatique et sanguin, le massage se ferait des pieds à la tête.Je précisai également que si elle était gênée, elle pouvait garder son short et juste remonter le T-shirt jusqu’aux omoplates, mais que le massage aurait peut-être moins d’effet.
Elle me répondit calmement et sans gêne qu’il n’y avait pas de problème et qu’elle n’était pas du tout pudique comme j’avais déjà pu le constater. C’est tout naturellement qu’elle enleva son haut, son short et se coucha sur le lit, se retrouvant uniquement avec son seul string très fin, bleu, comme vêtement. J’étais légèrement perturbé, mais je commençais mon massage doucement.
Mes mains passèrent sur le dos doucement dans un premier temps pour appréhender ce nouveau corps puis, de manière un peu plus ferme, tout en montant une main et descendant l’autre jusqu’au bas du dos. Au bout de quelques minutes, je la sentis se détendre. Son corps était très agréable sous mes mains, ferme et moelleux, juste bien.
Je décidai de poursuivre le massage et naturellement, comme tout bon masseur le sait, lors d’un massage : « le masseur ne doit jamais perdre le contact avec le corps de la cliente... » C’est donc tout naturellement que je passais sur ses belles fesses pour atteindre les cuisses. Malgré ma concentration, ce contact et la situation commençaient à m’exciter.
Je continuai mon travail en remontant de temps en temps vers l’entrejambe légèrement fermé, afin notamment de favoriser la circulation du sang près de l’artère fémorale. Je passai ainsi pendant de longues minutes mes mains du dos aux pieds, en passant par les cuisses.Marion fermait les yeux et soupirait de plus en plus.
Un bout d’un moment en passant sur les fesses vers l’intérieur des cuisses, mon petit doigt frôla légèrement - sans faire exprès - le tissu du string renfermant son jardin secret. Elle gémit et ouvrit ; instinctivement, je pense ; les jambes... C’est là que je vis le string qui ne cachait plus grand-chose et qui semblait un peu plus coloré à un endroit...
Je sentis pour la première fois depuis très longtemps qu’une érection naturelle pointait le bout de son nez... Je décidai ainsi, avant qu’elle ne s’en aperçoive, de continuer par un massage des pieds.
Ce massage ne me calma pas réellement, car j’avais une vue imprenable sur son intimité presque mise à nue. De plus, le massage des pieds, que je lui prodiguais, semblait lui faire énormément de bien puisqu’elle gémissait légèrement. Je repris mon massage sur la zone basse, car malgré tout, intrigué, mais sans vouloir en abuser, je voulais voir jusqu’à quel point mon massage lui faisait du bien.
A ma grande surprise, en alternant mon massage entre les fesses, les cuisses et les pieds, je crus détecter un léger orgasme, car je vis ses jambes bien écartées, trembler légèrement alors que Marion tenait fortement son cousin en poussant un petit cri (mignon).
Perturbé, je me dépêchai de clôturer le massage, remis la couverture sur cette belle jeune fille afin qu’elle n’attrape pas froid et lui dis que je descendais et qu’elle pouvait nous rejoindre quand elle le désirait. Je me dépêchais de retourner dans ma chambre et faible homme que je suis, je me masturbais rapidement en pensant à ce merveilleux moment...
Nous n’en avons pas parlé et je ne sais pas quoi penser... Si j’avais osé, j’aurais poussé le massage jusqu’à la lécher tendrement, mais ça, ce n’est que mon fantasme...
Merci de m’avoir lu, de votre tolérance pour mon premier récit et n’hésitez pas à m’écrire.
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