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L'expérience Ultime

Chapitre 2

Travesti / Trans
L’expérience interdite : Chapitre 2

Quelques heures plus tard, ils furent tirés de leur sommeil par le bruit sec de doigts toquant à leur porte. La nuit de Claire avait été agitée de rêves érotiques et, là encore, dans ses songes, elle n’était vêtue que de hauts talons et d’un bandeau sur les yeux, sa croupe offerte, attendant les étalons que Marc avait convoqués pour la baiser sans ménagement et sans un mot. Elle attendait avec impatience de ressentir la succession de sexes bandés entre sa vulve glissante et sentir leurs spermes chauds envahir le fond de son vagin. Claire entendit les phalanges sur le bois dans son rêve d’abord... puis à la troisième tentative, elle ouvrit finalement les yeux pour réaliser que quelqu’un frappait bel et bien à leur porte. La chambre était éclairée du soleil matinal, qui inondait la grande pièce d’une lumière chaude et douce. Claire posa les yeux sur la pendule Louis XVI. Déjà 10 heures !
Elle sortit de sa torpeur pour réaliser combien son entrejambe était frissonnant et humidifié par son dernier rêve. Marc était réveillé lui aussi. Il se racla la gorge avant de répondre aux cognements par un « Oui ? » encore rauque. Ils comprirent alors qu’il s’agissait sans doute du room service qu’ils avaient commandé. La porte s’ouvrit laissant d’abord apparaître le petit chariot couvert de viennoiseries, de fruit frais et d’un grand bocal de café brûlant dans un flacon d’inox isotherme. Claire se redressa dans son lit et releva les draps pour cacher ses seins nus avant que la femme de chambre n’apparaisse à son tour stoppant la petite desserte au pied du lit conjugal. Elle leur sourit et dit :
— Bonjour messieurs dames, votre petit-déjeuner est servi. Je suis Dominique, à votre service. N’hésitez pas à me solliciter si vous avez besoin de quoi que ce soit.
Dans l’état où elle se trouvait, Claire l’aurait bien sollicitée pour un service très spécial ! Elle la parcourait du regard, l‘inspectant de la tête aux pieds. Décidément, ce palace savait sélectionner son personnel ! La fille était plutôt jeune, vingt-huit ans tout au plus. Elle était grande et fine. Sa chevelure rousse attachée en chignon faisait ressortir de grands yeux verts en amande qui magnifiaient son visage angélique orné d’un sourire parfait. Alors que la fille s’affairait à préparer la table pour leur petit-déjeuner, Claire posa ses yeux sur les hauts escarpins vernis. Puis ils remontèrent le long de ses jambes recouvertes de nylon noir pour se poser sur des fesses sublimes et gainées sous une jupe noire et courte qui laissait entrevoir le haut de ses bas. Sa taille était cintrée dans un bustier vert sombre qui découvrait ses épaules et rehaussait sa poitrine ronde et généreuse.
Enfin, un ras-de-cou de velours noir enserrait son cou mettant la touche finale à sa tenue délicieusement sexy. Claire s’interrogea sur la tenue peu académique de la soubrette. Loin du vêtement noir et austère auquel elle se serait attendue. Seul le petit tablier de dentelle blanche rappelait la fonction de cette fille d’une beauté hors norme.
Ses travaux effectués, Dominique vint se poster au pied du grand lit et dit :
— Votre petit-déjeuner est servi messieurs dames, puis-je disposer ?
Claire remarqua alors le renflement sous la ceinture de son époux très visible sous les draps blancs moulants. Manifestement, elle n’était pas la seule à trouver cette femme de chambre à son goût. Marc la regarda et lut l’approbation dans le regard de son épouse. Il rejeta le linge de lit d’un mouvement ample pour exposer leurs deux corps nus et excités, à la vue de la sublime soubrette. Il répondit :
— Non ! Il nous manque une petite douceur matinale.
Dominique sourit, découvrant une dentition blanche et parfaite. Fixant alternativement le mari et la femme, elle passa ses mains dans son dos pour tirer sur le lacet et libérer le corsage dont elle se défit d’un mouvement lent et sensuel. Malgré le volume imposant de sa poitrine, ses seins pointaient fermement. Elle retira le petit tablier blanc puis rampa sur le lit jusqu’à se trouver à portée de bouche des deux époux qu’elle embrassa tout à tour. Sa bouche glissa sur les tétons érigés de Claire pour les sucer goulûment et la porter au paradis. Puis elle descendit le long du ventre de son amante pour goûter à son sexe déjà tout trempé d’une délicieuse cyprine qu’elle dévora d’une langue experte. Claire n’avait pas besoin de cela, elle jouit immédiatement...
Dominique se délectait maintenant des jus acidulés de Claire. Elle releva la tête pour embrasser la femme et partager avec elle ses humeurs orgasmiques dans un long baiser. Puis elle revint à ses devoirs et s’installa entre les jambes ouvertes de Marc pour le prendre en bouche sous le regard médusé de son épouse encore tremblante de plaisir. Le regard de Marc était figé sur ces lèvres sensuelles qui allaient et venaient sur son sexe bandé. Claire se pencha vers lui et l’embrassa comme pour marquer son approbation. Elle passa sa main dans les cheveux de la belle et défit la pince qui emprisonnait sa tignasse rousse pour libérer sa crinière de lionne qui retomba au-dessus de ses épaules. Elle s’en saisit pour accompagner le mouvement de haut en bas et mener son homme au plaisir suprême imprimant le rythme idéal qu’elle connaissait par cœur.

Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle voie, la verge de son homme pulser dans la bouche de la sublime fille et son sperme couler depuis sa bouche le long de son sexe tendu. Dominique se lova contre le corps de Marc pour donner des baisers longs et pleins de semence masculine aux deux époux. Les mains de Marc firent alors glisser le string de dentelle noire le long des jambes de Dominique jusqu’à l’en défaire. Claire comprit qu’elle devait être la prochaine étape de leur interlude amoureux. Elle se glissa entre les jambes de la belle et releva sa jupe pour admirer sa vulve qu’elle devinait déjà délicieuse.
Le cœur de Claire faillit alors s’arrêter tant elle fut surprise.Au lieu d’une paire de lèvres humides et chaudes, elle était à présent confrontée à un sexe masculin dur et imposant. Comment était-il possible qu’une telle féminité soit assortie d’une verge aussi belle, dure et énorme ? Elle n’en croyait pas ses yeux ! Cette « femme » était si parfaite ! Le compromis idéal. Un corps de femme sublime et des attributs d’homme à en faire pâlir de jalousie tous les machos de la terre. Claire s’empressa de saisir le majestueux pénis dans sa bouche gourmande le rendant encore plus ferme et bandé. Cette nouvelle situation l’excitait à un point fou. Au plus elle suçait et au plus elle mouillait. Elle se sentait inondée comme jamais ! Ses deux mains suffisaient à peine à couvrir le membre majestueux de cette fille sublime. A son tour, Marc la saisit par les cheveux pour guider sa bouche.
L’aider à aller et venir sur le pénis généreux, la faire lécher le gland turgescent et délicieux, faire courir sa langue le long de la verge énorme et prendre en bouche les testicules parfaitement rasés. Puis sans lâcher sa prise, il contourna son épouse pour s’introduire fermement dans son orifice d’amour tout glissant de désir. Claire ne se rassasiait pas de la verge dure de Dominique, à chaque coup de boutoir de son époux elle suçait de plus en plus fort jusqu’à ce que la fille n’en puisse plus et la stoppe.
Claire se laissa rouler sur le lit, les jambes ouvertes et prêtes à accueillir Dominique au plus profond d’elle. Cette dernière se redressa sur le lit piétinant le luxueux matelas de ses talons pointus pour offrir son sexe glissant à la bouche de Marc. Totalement ébahie, Claire voyait maintenant son époux, si parfaitement hétéro, offrir une fellation gourmande, à la sublime transsexuelle. A en voir son pénis de plus en plus gonflé, Claire comprit qu’il y prenait un plaisir certain. Elle laissa ses doigts descendre sur sa vulve glissante, ils allaient et venaient sur et dans son sexe mouillé au rythme de la bouche de son époux qu’elle ne parvenait pas à lâcher des yeux. Plus elle la voyait engloutir le sexe de la fille, plus elle sentait l’excitation encore monter. Elle ferma les yeux et accéléra sa masturbation.
Au bord de l’extase, elle ressentit alors le membre viril de Dominique s’introduire en elle. Long et épais, il écartait délicieusement les parois de son vagin sensible pour aller plus profond qu’aucun homme n’était jamais allé et causant un orgasme violent.
Dominique était douce, sa bouche embrassait la sienne avec tendresse maintenant, elle sentait sa poitrine gonflée contre la sienne, tétons contre tétons. Elle adorait ce frêle corps de femme sous ses mains et cette verge énorme qui allait et venait en elle délicatement. Elle avait tout pour être au paradis, tant de féminité, un parfum envoûtant à ses narines, une langue douce contre la sienne, des fesses parfaites sous ses mains crispées, mais tant de masculinité également, la pénétrant sans répit. Claire adorait et malgré ses deux orgasmes, elle sentait à nouveau le désir monter. Elle était subjuguée par l’endurance de cette fille qui la prenait délicatement dans de longs mouvements réguliers et profonds. Claire tourna la tête pour voir son époux s’installer assis, contre la tête du lit, il regardait les ébats des deux femmes en masturbant lentement sa verge dure.
Claire savait ce qu’il voulait maintenant. Ils en avaient déjà parlé, dans leurs échanges fantasmagoriques, mais elle ne voulait pas arrêter Dominique, elle voulait encore sentir ses inexorables mouvements de flux et de reflux, comme les vagues sur une plage de sable fin. Elle se résolut toutefois à stopper sa délicieuse amante en un long baiser fougueux. Puis bascula sur ses membres pour ramper entre les jambes de Marc et le prendre en bouche, ses fesses ouvertes et offertes à la virilité de Dominique. Elle le savait, c’était la dernière ligne droite maintenant. Elle savait aussi qu’à la tendresse érotique de leur dernière position succéderait une intense domination. Mais c’est ce qu’elle voulait maintenant.
Elle sentit l’imposant membre, dur comme l’acier, la pénétrer sans ménagement par derrière, allant et venant doucement, mais fermement. Sa tête enserrée dans les mains de Marc qui lui imposait le rythme de sa fellation alors qu’il fixait sa croupe, abusée maintenant, par le sublime androgyne. De plus en plus, Marc voyait Dominique durcir ses coups de reins, il entendait le claquement de son pubis glabre sur les fesses de son épouse, et à chaque fois qu’il pénétrait, les gémissements de plaisir de sa femme surexcitée. Marc libéra la bouche de son épouse pour la laisser s’exprimer. Maintenant il voulait écouter ses désirs les plus secrets, la désinhiber, l’entendre en demander encore et encore.
Il tira sur ses cheveux pour plonger ses yeux dans le sien et voir les traits de son visage tirés par le plaisir. Il lui dit :
— Tu aimes comme il te baise ?
Il avait dit « Il ». Alors qu’il avait regardé Dominique comme une fille toute la durée de leurs ébats, et ce, même lorsqu’il avait offert sa bouche à ce pénis gonflé. Il le voyait maintenant comme un homme qui malgré ses seins généreux développait une virilité sans faille.
Claire répondit, d’un « oui » trop timoré aux oreilles de Marc.S’en suivit un dialogue sexuel et cru. Claire se sentait maintenant prête à s’abandonner et se prêter au jeu. Comme on dit, il n’y a que le premier mot qui coûte ! Son mari voulait, l’entendre en demander ? Qu’à cela ne tienne !

Plus il la faisait parler et plus elle ressentait son excitation croître et peu importe si elle se comportait comme la dernière des salopes. C’était une expérience unique et elle en profitera à fond.Marc reprit le dialogue coquin :
— Je n’ai pas entendu ! — OUI, j’aime me faire baiser comme ça.— Alors, demande en plus ! — Baise-moi plus fort ! Baise-moi encore.— Petite salope ! — OUI, je suis une salope ! Baise-moi comme une putain.
Claire n’en croyait pas ses propres oreilles. Elle, si réservée d’ordinaire, comment pouvait elle se laisser aller à ce point. D’un autre point de vue, à chaque fois qu’elle s’autorisait à extérioriser ses fantasmes, elle ressentait son désir monter d’un cran.
— Suce-moi fort, salope.
Docile, Claire reprit son travail de succion pendant que Dominique n’en finissait pas de la ravager l’emmenant au paroxysme du bonheur. Elle se sentait utilisée, dominée, humiliée même ! Mais ce sentiment était divin. Elle ne s’était jamais vraiment senti l’âme d’une dominatrice et avait toujours préféré une douce soumission. Mais aujourd’hui, elle se sentait, un objet de plaisir entre deux hommes séduisants et excités. Elle fit l’expérience des doigts de Dominique empoignant sa chevelure et tirant sa tête en arrière pour mieux la régler à ses coups de boutoir intenses. Elle entendit son souffle se raccourcir et sentit ses hanches accélérer. Marc dit :
— Il va jouir, tu veux qu’il arrose ton cul ?
Claire était elle-même sur le point de s’abandonner une troisième fois. A tel point qu’elle n’entendit pas la question, mais dit spontanément.
— Remplis-moi de sperme, jouis dans ma chatte, donne-moi tout.
Ces mots à peine prononcés, elle sentit la puissante verge pulser violemment dans sa vulve serrée et des flots de sperme brûlants envahir son vagin. Elle fut aussitôt prise d’un spasme si fort qu’il en fut douloureux. Les deux amants jouirent de longues minutes avant que leurs corps ne retombent épuisés.Redevenue fille, Dominique rampa aux côtés de Marc pour l’achever dans une fellation sensuelle bientôt rejointe par Claire. Les coups de langue des deux femmes ne tardèrent pas à causer l’éruption d’un liquide chaud et blanc que les deux femmes collectèrent avec délice du bout de leurs langues et partagèrent dans des baisers langoureux et gourmands. Après quelques baisers supplémentaires échangés, Dominique s’extrait du lit et se glissa à nouveau dans ses vêtements éparpillés au pied de la couche. Sur le chemin de la sortie, elle se retourna une dernière fois pour souffler un baiser vers les deux époux comblés.
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